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Ma femme est enceinte. – Chapitre 1




Je me prénomme Ludovic et ma femme s’appelle Jennyfer.

Nous nous sommes rencontrés sur les bancs de la fac où nous poursuivions nos études en vue de devenir prof.

Si au cours de la première année, nous nous sommes quelque peu regardés en chien de faïence, c’est lors de la soirée de reprise des cours que tout a basculé.

Il y avait plusieurs mois que je n’avais plus de copine aussi ai-je commencé à flirter avec Jennyfer… Je la trouvais très à mon goût avec ses longs cheveux châtains qui cascadaient le plus souvent sur ses épaules… Son visage ovale était éclairé par deux grands yeux marron très rieurs et pétillants de malice… La bouche relativement étroite était bien dessinée. Sa silhouette mince était trompeuse car plus tard, j’ai découvert que Jennyfer avait une bien jolie poitrine avec des seins en forme de pomme…

Bref, malgré un flirt poussé, ce soir-là, je ne suis pas parvenu à mes fins mais nous nous sommes quittés bons amis…

Lors de la première séance de travaux dirigés, Jennyfer est venue s’asseoir près de moi :

— Ça ne te gêne pas si je viens près de toi ?

— NON, bien sûr… Cela me fait plaisir !

— Alors garde-moi la place à chaque fois… J’aime bien être près de toi…

— C’est sympa !

— Non c’est juste parce que je veux échapper à quelques lourdauds… ils croient que je suis avec toi…

C’est ainsi que nous avons pris l’habitude de nous trouver côte à côte pendant les années qui ont suivi. Nous nous retrouvions aussi souvent dans le petit logement que mes parents louaient à prix d’or pour des révisions : Tous les deux, nous avions le même but : Préparer le CRPE (concours de recrutement de professeurs des écoles) que nous devions passer en fin de classe de Master 1.

Mais un jour qui ne devait pas être comme les autres, nous nous sommes retrouvés dans le même lit ! Jennyfer avait enfin cédé à mes avances… Certes ce n’était plus une oie blanche mais lorsque nous avons fait l’amour pour la première fois, j’ai découvert une jeune femme avide de caresses et de sexe…

Je ne comprenais pas qu’elle ne m’ait pas cédé plus tôt ! Heureusement que nous étions vendredi et que le lendemain nous n’avions pas cours ! Nous avons passé le week-end à baiser…

Quelques semaines plus tard, Jennyfer s’installait chez moi en disant :

— Ainsi j’échappe à la surveillance de ma jumelle ! Elle me pèse… Elle est jalouse de tous ceux qui m’approchent, filles ou garçons… Pour elle, je me dois entièrement à elle…

— C’est un peu normal… vous venez de la province et vous êtes isolées à Paris !

— Tu es bien seul toi aussi ! Mais je dois t’avouer une chose, un jour que nous n’avions pas le moral parce que nos parents venaient de se séparer après 25 ans de vie commune, nous nous sommes consolées mutuellement et nous avons eu une relation homosexuelle… et nous avons recommencé plus d’une fois… Depuis, elle me relance sans arrêt, surtout depuis que je vis avec toi… Selon elle, je ne te mérite pas ! Elle veut garder son emprise sur moi !

Je savais de Jennyfer avec une sur mais je ne pensais pas que Joyce était sa jumelle. Je comprenais mieux désormais pourquoi Joyce était aussi possessive !

Les semaines puis les mois ont passé… Jennyfer ne m’avait pas encore présenté sa sur jumelle, disant que cela ne présentait pas d’intérêt mais de mon côté, je l’avais présentée à mes parents qui étaient enchantés par sa gentillesse.

Bref tout allait pour le mieux et nous nous sommes mariés dans la plus stricte intimité. Mon meilleur copain me servit de témoin et Joyce (dont je fis la connaissance ce jour-là) fut le témoin de Jennyfer !

C’est ainsi qu’elle est entrée dans notre vie. Elle a changé de point de vue à mon sujet et dit souvent à sa sur que nous avions beaucoup de chance de nous être rencontrés.

Quelques semaines après avoir passé le CRPE, Jennyfer m’annonça qu’elle était enceinte… Nous nous y attendions car depuis quelques mois, elle avait cessé de prendre la pilule et nous avions calculé que notre enfant naîtrait à la fin de l’hiver ou au printemps de l’année suivante.

Hélas, tout est allé de travers… Les premiers mois de la grossesse ont été difficiles… Jennyfer a dû rester au lit en permanence si elle voulait conserver le ftus… elle était fatiguée, déprimée si bien que sa sur est venue s’installer chez nous… Nous n’avions pas beaucoup de place et elle a dû se contenter du divan du séjour comme couchage…

Joyce ne savait que faire pour faire plaisir à sa sur et à moi… Elle poursuivait ses études de son côté et Jennyfer passait la plupart de ses journées seule à la maison, allant de notre lit à la salle de bains ou sur le divan pour regarder la télévision… Par ailleurs, nous nous étions arrangés pour qu’elle n’ait pas à se lever ou le minimum… Son déjeuner était prêt et elle n’avait qu’à le réchauffer.

Un soir alors que je venais de rejoindre Jennyfer dans le lit conjugal, elle me montra ce qu’elle avait trouvé entre les coussins du divan : Un gode de belle taille ! Sa sur devait se donner du plaisir avec, car depuis près de deux mois elle cohabitait avec nous et n’avait pas eu de mal à nous satisfaire, et elle à prendre du plaisir. J’avais appris à la connaître… elle était aussi chaude que sa sur mais elle, elle collectionnait les mecs et les filles…

Jennyfer appela sa sur qui achevait de ranger les affaires dans le séjour et en lui tendant le gode elle lui dit qu’elle l’avait trouvé en faisant sa sieste cet après-midi…

— Oh… il m’aurait manqué… mais ça ne vaut pas une bite bien raide ! Tu l’as essayé ?

— Non…

Elle a récupéré son jouet et nous nous sommes endormis…

Le lendemain matin, j’étais dans la salle de bain, nu après la douche et le sexe bandé quand Joyce est entrée… Diable, j’avais oublié de verrouiller la porte. Alors que je tentais de masquer mon érection, elle s’est exclamée :

— Oh… le beau membre… Tu me le prêtes ?

— Mais t’es dingue… Et ta sur ?

— Ma sur… je suis certaine qu’elle t’encouragerait ! Elle sait que tu es en manque et que je suis à même de te satisfaire !

— Peut-être… Mais ce n’est pas sérieux !

— Elle n’en saura rien si tu ne lui dis pas ! Viens je vais te soulager… J’ai l’impression que tes couilles sont bien pleines !

Joyce s’est agenouillée devant moi, elle a écarté mes mains et a embouché mon sexe pour l’enduire de salive puis, elle a commencé à le faire aller et venir entre ses lèvres, m’avalant parfois jusqu’au plus profond de sa gorge… les poils de mon pubis allant chatouiller son nez !

Sa fellation était savante et très excitante. Il ne m’a pas fallu longtemps pour sentir la jouissance naître dans mes reins et quand j’ai voulu me retirer pour cracher mon foutre, Joyce m’a retenu et je me suis vidé dans sa bouche !

— Dis donc… T’étais vraiment en manque ! Qu’est-ce que tu m’as mis… j’ai eu du mal à tout avaler !

— Merci… T’es très bonne !

— T’as pas encore tout vu !

— Bon ce n’est pas le tout… On a cours ce matin !

Tout au long de la journée, j’ai repensé à ce qui s’était passé le matin même avec Joyce mais quand je suis rentré à l’appartement, j’ai eu un choc quand Jennyfer m’a demandé au moment où je l’embrassais, si la bouche de Joyce était bonne : ELLE SAVAIT !

— Mon pauvre chéri… tu étais en manque et Joyce aussi… La découverte du gode nous a permis de passer certaines barrières…

— Tu crois… Je culpabilise quand même pas mal !

— Sois tranquille… Tu ne m’as rien enlevé… Bien au contraire je suis soulagée que tu te sois vidé les couilles ! Je m’étais arrangée avec Joyce pour provoquer cette occasion !

— Quand même… j’ai le sentiment de t’avoir trompée !

— Sois rassuré… Joyce m’a envoyée en l’air plus d’une fois depuis qu’elle est là… Elle me fait des cunnis chaque fois que tu rentres un peu tard… et je puis te dire qu’elle a une langue au TOP !

— Donc elle est douée avec sa bouche !

— Tu ne peux pas savoir… Depuis que nous avons baisé ensemble pour la première fois… je ne me lasse pas de me faire lécher le minou et de lui rendre la pareille !

— Je savais que des jumelles étaient parfois très proches mais là, je suis surpris !

— Comme le médecin me recommande de m’abstenir de faire l’amour pendant le reste de la grossesse, si tu veux baiser avec Joyce, je ne suis pas contre… bien au contraire !

— Comme tu y vas ! Qui te dit qu’elle sera d’accord… Me tailler une pipe, c’est quelque chose, baiser, c’en est une autre !

— Tu verras ce soir ! En attendant prépare-moi un thé avec des gâteaux…

La soirée a débuté comme beaucoup après le repas pris sur le divan entre les deux femmes nous avons commencé à regarder un film qui rapidement nous a paru insipide… Jennyfer et Joyce m’encadraient et quand elles ont tendu la main vers mon entrejambe, je ne les ai pas repoussées… Rapidement mon sexe s’est dressé dans mon boxer et les mains des deux surs se sont retrouvées pour caresser ma bite…

Puisqu’elles avaient envie de jouer, je les laissai faire pour voir la tournure des choses…

Malgré son ventre déjà bien rebondi au cinquième mois de sa grossesse, Jennyfer s’est agenouillée entre mes cuisses et d’un même mouvement, elle a ôté mon boxer et mon pantalon, faisant jaillir mon vit devant ses yeux et ceux de sa sur qui l’a rejointe sur le tapis…

Les deux jumelles se sont partagé mon sexe dans une fellation à deux bouches du plus bel effet… Quand l’une avait mon membre dans sa bouche, l’autre massait ou suçait mes bourses et mes testicules roulaient, de plus en plus sensibles…

Soudain Jennyfer s’est écriée :

— Venez dans la chambre… Ludovic va me baiser en levrette, il sera doux et j’ai envie de le sentir se vider en moi et toi Joyce, pour te remercier de prendre soin de mon mari, je vais te manger la chatte !

Joyce s’installe confortablement en position semi-assise contre la tête de lit et Jennyfer se met en levrette face à elle, la bouche déjà collée sur le sexe de sa sur… Je n’ai plus qu’à me placer derrière Jennyfer et la pénétrer doucement… C’est la première fois depuis plus de deux mois que je ne lui ai pas fait l’amour… Elle a calé son petit ventre rond avec des oreillers et elle me dit de bien la baiser, qu’elle se sent en forme et qu’elle a envie de sentir ma bite lui inonder l’utérus !

Malgré mon envie, je prends mon temps pour faire monter le plaisir de Jennyfer et le mien… J’ai mis mes mains autour de sa taille et ma bite va-et-vient dans sa chatte… C’est bon… et Joyce m’encourage :

— Oui… Ludovic, baise bien ma sur ! La prochaine fois, c’est moi que tu baiseras !

Jennyfer relève sa tête en interrompant le cunni qu’elle faisait à sa sur :

— Oui… Je t’autorise à la baiser ! Tu verras, c’est une bonne amante elle aussi !

Et elle reprend ce qu’elle était en train de faire jusqu’au moment où Joyce se met à jouir sous sa langue… Je me répands aussitôt dans le sexe de ma femme la faisant jouir à son tour !

Quelle partie à trois ! En plus avec ma femme et sa sur jumelle…

Il y a un an, je n’aurais jamais envisagé telle situation… c’est tout juste si Joyce m’adressait la parole !

Rien ne se passe les jours suivants mais le samedi soir, nous sommes à nouveau tous les trois sur le divan quand Jennyfer se met à genoux devant moi, elle descend mon pantalon et mon boxer et embouche mon sexe qui est au repos mais il s’érige rapidement sous l’action combinée de la langue et des succions de ma femme.

Quand elle me juge « à point » elle s’adresse à sa sur et à moi en disant :

— Il est prêt… Je vous regarde baiser ensuite nous irons nous coucher ! Joyce, mets-toi en levrette… Il adore !

Dès que Joyce est en position, je me place derrière elle, elle est à genoux sur le tapis et sa tête est entre les cuisses de sa sur qui a relevé sa robe de grossesse sous laquelle je la découvre nue !

Ça s’annonce chaud ce soir encore !

— Viens… baise-moi et tu n’as pas besoin de capote… Nous sommes sains !

— OK… Alors prépare-toi !

Avec mon sexe bandé, je parcours le périnée de Joyce, plaçant mon gland contre son sphincter qui se rétracte puis je vais agacer son bourgeon en allant et venant entre ses lèvres intimes… Bientôt sa chatte bave d’envie et… d’un seul coup, je place l’estocade, m’introduisant en puissance dans le vagin de Joyce qui pousse un grand cri !

— Waouh… Qu’est-ce que c’est bon une vraie bite !

— Alors profites-en bien !

— Oui… Joyce… Ludovic a une bonne queue… et il sait s’en servir !

Dès que je me suis introduit dans le sexe de Joyce et que j’ai placé mes mains autour de ses hanches, je n’ai vu aucune différence avec Jennyfer… Vues ainsi, elles étaient très semblables, et si je n’avais pas eu ma femme en face de moi, j’aurais pensé baiser Jennyfer…

La chatte de Joyce est chaude et très humide et quand mon gland arrive au plus profond, cette coquine masse mon bout avec ses muscles intimes…

Elle m’encourageait à la baiser plus fort, plus profond, mais la taille de mon sexe était juste dans la moyenne… Jennyfer m’encourageait elle aussi en m’envoyant des baisers et en caressant ses seins qui commençaient à prendre de l’ampleur !

C’était torride !

Les semaines puis les mois ont passé… Je faisais l’amour à Joyce sous les yeux de ma femme à qui nous avions donné du plaisir juste avant… Souvent Joyce lui mangeait les tétons et les faisait rouler entre ses dents pendant que je faisais un cunni à Jennyfer ou lui prenait la chatte avec un des nombreux jouets que nous avions achetés… Il n’était plus question de lui faire l’amour mais nous voulions qu’elle ressente les effets de la pénétration…

Finalement, quelques semaines avant le terme, nous avons obtenu un logement plus grand dans le même immeuble… Cela s’avérait très pratique pour le déménagement…

Ma femme était enceinte et je baisais sa sur jumelle.

Le déménagement s’est passé rapidement… Nous avions peu de meubles… Avec Jennyfer, nous avons opté pour la chambre avec une alcôve qui accueillerait le berceau de notre fille et compte tenu de ce qui s’était passé pendant la grossesse, il a été décidé d’un commun accord que Joyce s’installerait dans la seconde chambre.

Ce soir-là, Jennyfer a terminé la conversation en disant :

— Comme cela, tu auras tes deux maîtresses à disposition…

— Et tu ne seras pas jalouse ?

— Bien sûr que non… Je pense que tu sauras trouver l’équilibre !

Si j’aimais beaucoup Jennyfer qui nous avait donné une merveilleuse petite fille, mes sentiments vis-à-vis de sa sur étaient complètement différents… Elle représentait pour moi le troisième élément de l’ensemble « mari + femme + maîtresse » que les amateurs de vaudeville du milieu du siècle précédent ont maintes fois brocardé.

Et c’est ainsi que je me suis installé dans le confort douillet entre deux femmes ardentes à qui il fallait beaucoup de sexe…

C’était l’été… Nous avions décidé de passer les vacances universitaires à Paris pour en profiter pour faire un peu de tourisme… mais nous visitions plus souvent des parcs où les allées n’étaient pas très fréquentées… Jennyfer poussait le landau de notre fille et Joyce la tenait souvent par la taille alors que je marchais quelques mètres derrière elles pour observer leur démarche chaloupée (que parfois elles accentuaient comme pour m’aguicher…)

Jennyfer et moi, nous attendions notre affectation en région parisienne ou à Paris même alors que Joyce avait rapidement trouvé un CDD dans une banque du XIIe arrondissement à cinq minutes à pied de notre logement !

Finalement la chance nous a souri (et pour une fois l’administration a été intelligente) nous avons obtenu un poste dans deux écoles voisines et pas très loin de la maison. C’était parfait !

J’étais comme un coq en pâte entre les deux jumelles qui rivalisaient pour me satisfaire dans les moindres détails de la vie de tous les jours : je ne faisais strictement rien à la maison alors qu’auparavant, je partageais volontiers les tâches ménagères avec Jennyfer !

Après le dîner, j’avais pris l’habitude de prendre ma douche et de rester en survêtement pour attendre l’heure de passer au lit… Les filles me rejoignaient sur le divan du séjour, Jennyfer à ma droite et Joyce à ma gauche… Nous restions ainsi au moins une heure à nous raconter les péripéties de la journée alors que j’avais passé un bras autour du cou de mes deux compagnes pour les câliner.

N’allez pas croire que tous les soirs, je baisais l’une ou l’autre… Non… c’était plus subtil…

Entre elles, c’était devenu une sorte de jeu et elles tiraient au sort avec des cartes celle qui partagerait mes ardeurs : il y avait le roi et la dame de cur (qui nous représentait avec Jennyfer) et la dame de trèfle qui représentait Joyce.

Quand les cartes apparaissaient dans les mains de l’une ou de l’autre, je savais que le début de la nuit serait chaud… et c’est le sort qui désignait celle que j’aurais le privilège de conduire sur les chemins de la jouissance. Parfois une relation triangulaire dans le lit de l’une ou de l’autre était indiquée par la carte d’atout qui s’ajoutait aux autres pour l’occasion ou même parfois il y avait deux reines… Là je comprenais que je serais tenu à l’écart, devenu simple spectateur d’une étreinte saphique entre les deux surs. !

La vie était belle… Comme cela pas de jalousie mais peu à peu, je me suis aperçu que le sort désignait trop souvent Joyce… J’en ai parlé à Jennyfer qui m’a dit de ne pas me soucier, que la chance allait tourner… qu’elle était heureuse ainsi car le bébé et le travail la fatiguaient plus qu’elle n’aurait cru…

Plus d’une année s’est écoulée… Notre fille commence à marcher… Notre relation triangulaire avec la jumelle de Jennyfer vient d’être renforcée par une nouvelle : Joyce attend un enfant de moi… cela vient de lui être confirmé par son médecin il y a peu…

Je suis comblé !

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