Élise était dans la cuisine, petit short de surfeuse, et top à bretelles, je la voyais de dos. Elle avait des formes, mais vraiment harmonieuses. Pas un petit cul comme ceux de Manon et Sophie, mais un bon cul, qui me fit envie de suite. Elle rangeait des trucs dans un placard en hauteur, je me suis approché dans son dos, me suis collé à elle, ai pris le pot de ses mains en l’air, en levant le bras pour le ranger.
— Je peux t’aider peut-être ?
Je l’ai sentie sursauter et frémir un peu. Avant de réaliser que ce n’était que moi. Du coup elle a frémi un peu plus encore.
— Volontiers oui.
— Et voilà.
— Merci Isaiah.
— De rien Élise.
Elle s’est retournée, et comme je n’avais pas bougé, on était face à face à quelques centimètres à peine l’un de l’autre.
— Manon est partie ?
— Oui, ça y est.
— Oh, pas trop triste ?
— Un peu.
— Tu ne m’as pas vraiment remercié pour mon aide.
— Merci Élise.
— Oh, tu peux faire beaucoup mieux je suis sûre.
— Demain, je suis tout à toi.
— Ahhhh, mais c’est parfait ça. Mais je pensais plus à un remerciement immédiat.
— Ah ?
— Embrasse-moi beau gosse.
— Manon vient de partir, je ne préfère pas me jeter direct sur sa copine.
— C’est mignon. Mais tu oublies que tu as carte blanche !
Je n’en revenais pas. Élise me souriait, et avait posé ses mains sur mon torse en disant cela.
— Il y a des choses que vous ne vous dites pas ?
— Mmmmmmm, pas vraiment.
— Je vois ça.
— Enfin demain, je ne lui raconterai sans doute pas tout.
Elle souriait. Avec envie.
— Donc ?
J’ai posé mes mains sur ses hanches et l’ai soulevée pour l’asseoir sur le plan de travail derrière elle. Elle a poussé un petit cri de surprise mais a rapidement écarté les cuisses pour me laisser me glisser entre elles. On s’est embrassés, des pelles à répétition, elle embrassait vraiment bien. Je ne tardais pas à avoir une sacrée érection. Elle le remarqua bien vite.
— Mmmmm je te fais de l’effet, ça fait plaisir.
— Je vous l’ai dit hier, j’ai du mal à résister à la tentation.
— Tant mieux. Tu me reposes ?
— Pardon ?
— Je te veux demain, pas aujourd’hui beau gosse.
— Tu déconnes ?
— Et non.
Elle a sauté par terre en me souriant.
— T’en fais pas, tu le regretteras pas.
Et elle s’est éloignée. Putain la garce. J’avais envie de la baiser comme une grosse salope. De la faire hurler et de lui couvrir le visage de mon foutre. Je nen revenais pas. Pour me calmer, je décidais de monter dans sa chambre : 1. je prendrai une douche et rangerai mes affaires et 2. peut-être y serait-elle…
Elle n’y était pas, j’ai donc pris une douche. Ça m’a calmé. J’allais ranger mes affaires, regarder mon portable et m’organiser pour la journée et la soirée ; j’avais l’impression qu’on était en plein milieu de journée, mais en regardant l’heure, il n’était que 8h du mat. Le pied. Je suis un lève-tôt j’adore les longues journées. Une fois séché, je sortais de la salle de bain, et allais m’habiller quand jai vu Sophie sur le lit, en micro nuisette qui tapotait sur son téléphone. J’étais nu. Elle m’a regardé.
— Salut.
— Salut.
— Tu as pris une douche ?
— Oui.
— Dommage.
— Pardon ?
— Tu vas devoir en reprendre une après, et trop de douches ça abîme la peau.
— Après quoi ?
— Après m’avoir baisée.
— Non, non, non.
— Viens t’asseoir.
Je ne sais pas pourquoi mais je le fais. Elle me montre son téléphone, et l’échange de SMS qu’elle a eu avec Manon à l’instant.
— Tu es sûre, je peux ?
— Oui Sophie, profites-en.
— Vraiment ?
— Oui, vraiment. De toute façon je sais que tu ne pourrais pas résister à un beau black.
— Et quel beau black !
— Tu m’ôtes les mots de la bouche. Allez, vas-y profite.
— Merci ma chérie.
— Juste un service.
— Oui ?
— Ne me raconte pas d’accord ?
— Bien sûr, oui, pas de problème.
— Et un autre aussi en fait.
— Oui ?
— Mettez une capote.
— Mais évidemment ! Merci ma chérie.
— Je t’aime ma chérie.
— Moi aussi.
Irréel. Sophie me reprit le téléphone.
— Le seul problème que je vois c’est qu’elle parle de capotes au singulier. Je pense que tu en auras besoin de plusieurs. Mais en même temps comme elle me demande de ne rien lui raconter, ce n’est pas un souci, si ?
En finissant sa phrase, elle avait posé sa main sur ma queue et me branlait doucement. Je l’ai attrapée d’un coup pour la faire venir sur moi, à califourchon, je lui ai roulé de grosses pelles. Mes mains pétrissaient son petit cul à travers sa nuisette, puis dessous. A un moment, des bruits de pas se rapprochaient, je détournais légèrement le visage vers la porte.
— T’inquiète beau black, j’ai fermé la porte à clef.
— Dommage.
— Salaud ! Tu vas me le payer.
— Ah oui ?
— Oh oui !
Elle a retiré sa nuisette, nue devant moi, son corps magnifique, cambré à cheval au-dessus de moi. Je bandais comme un âne, elle commença à onduler sur moi, pressant ma queue raide. Elle a glissé à mes pieds et m’a sucé. Après une brève fellation, je l’ai allongée sur le lit, pour la lécher. Je connaissais déjà ses talents de suceuse, je voulais goûter le reste. Sa chatte était entièrement épilée, et juteuse, moins que celle de Manon, cela dit. Je m’appliquais à bien la lécher, je ne voulais pas la décevoir sur cet aspect-là, après le plaisir qu’elle m’avait donné la veille. Elle ne fut pas déçue. Elle fut secouée par deux orgasmes puissants, sa mouille était délicieuse. Je me suis glissé contre elle en cuillère et l’ai pénétrée, elle mouillait tellement que je suis entré comme dans du beurre, elle couinait de plaisir. Je l’ai limé à fond. Ensuite elle a voulu s’empaler sur ma queue, je l’ai laissée faire, elle me chevauchait à fond, s’enfilant ma queue le plus loin possible. À un moment elle s’est extasiée sur le fait que j’étais tout au fond d’elle, et qu’il restait encore un sacré morceau en dehors, je me suis levé en restant en elle et l’ai plaquée contre le mur de la chambre, je l’ai pilonnée comme ça jusqu’à ce qu’elle jouisse une nouvelle fois.
Après quelques secondes, elle s’est mise d’elle-même à quatre pattes sur le lit, je me suis positionné derrière elle, et après l’avoir bien doigtée, je l’ai pénétrée en levrette, je tenais ses cheveux d’une main et jouais avec son clito de l’autre pendant que ma bite allait et venait en elle. Elle se cambrait à fond. Petit à petit je l’ai fait s’aplatir sur le lit, et je me suis mis à la chevaucher, tout mon corps allongé au-dessus du sien. Elle a joui une nouvelle fois. Elle a tourné la tête vers moi et en souriant :
— Retire la capote bébé. Viens en moi.
J’ai obéi;-) Je l’ai pénétrée toujours dans la même position jusqu’à la remplir de mon sperme chaud. Elle a joui en même temps que moi. Je suis resté allongé tout contre elle, ma queue en elle de longues minutes. Puis petit à petit j’ai recommencé les va-et-vient. Me sentant me remettre en action, elle a juste murmuré en souriant :
— C’est pas vrai…
— Si tu veux que j’arrête…
— Non ! T’arrête pas bébé.
— Implore-moi.
— Je t’en supplie, t’arrête pas Isaiah, baise-moi. Encore.
Je l’ai rebaisée, d’abord dans la même position, puis en reverse cow-girl, puis assis sur une chaise de la chambre elle est venue sur moi. A la fin elle s’est agenouillée devant moi et m’a pompé et m’a fait jouir sur son visage, se frottant ma grosse queue de black sur son visage de blanche à black. J’adore. Et elle aussi.
— Mmmmmmmm le pied.
— Oh oui.
— Suis ravie que Manon t’ait donné ton week-end.
— Lol.
On est allés se doucher, on s’est embrassé. J’avais envie de lui remettre un coup mais me suis contrôlé. J’avais besoin d’être en forme pour le reste de la journée. Je suis redescendu. Sophie, elle, a fait une petite sieste dans la chambre d’Élise. Celle-ci m’attendait en bas.
— Demain, viens vers 10h30 11h, OK ? Avec les croissants.
— Bien Madame.
— Mmmmmm parfait mon chéri.
Je suis parti. J’avais la trique. J’avais eu envie de la mettre à genoux, de la biffler, de mettre ma pine entre ses obus. Je me suis raisonné. Je n’avais finalement pas eu le temps de regarder mon tel, à cause de Sophie, je suis rentré à la maison, et me suis posé dans le canapé.
Messages de Karine :
— Tu me fais la gueule ?
— J’ai envie de ta queue.
— Quand viens-tu me baiser ?
— Bon, ben fais-moi signe, j’ai envie de toi.
Messages de Juliette datant de ce matin :
— Toujours OK pour ce soir ?
Je lui réponds :
— Oui bien sûr, venez vers 20h OK ?
J’hésitais à lui proposer de venir avant toute seule, mais j’avais peut-être d’autres projets pour la journée.
Elle m’a répondu :
— OK. Y a un dress code ?
— Oui : « Allumeuses »
— ;-) Et un pouce levé
Messages de Manon :
— Bon week-end mon chéri.
Puis :
— Apparemment ça a bien commencé.
Je lui réponds :
— Bon week-end ma belle. Oui, pas mal, j’avoue. Je pense à toi.
Elle répond dans la seconde :
— Ne t’arrête pas.
Je décide de répondre à Karine :
— Ça te dit une balade en voiture en bord de mer ?
— Oh mais tu es vivant ? Me voilà rassurée.
— Allez, fais pas la gueule ça te va pas.
— J’ai un mec maintenant.
— Je m’en fous de ça, je te veux toi.
— Tu me veux.
— Oui.
— Suis avec mon mec et une amie là, tu nous rejoins ?
— Deux questions : vous êtes où ?
— On arrive au resto là, en bord de mer. Et pour répondre à la seconde, voici.
J’ouvre une photo qu’elle a jointe au message. C’est une photo d’elle, il y a à côté un mec son bras autour de Karine, ce doit être son mec, il a l’air nul, et une autre fille blonde aussi, mignonne.
— J’arrive.
— N’oublie pas, j’ai un copain.
— N’oublie pas : je m’en fiche.
— On t’attend.
Je reprends une douche et m’habille, et les rejoins. Une des grandes qualités de mon père c’est qu’il a bon goût et qu’il aime le luxe. Je partage cela avec lui. Je prends sa voiture préférée que j’ai faite mienne depuis cet été, une Cobra. Magnifique. Autant dire que je ne passe pas franchement inaperçu avec. Je me suis déjà fait arrêter deux fois depuis qu’on est là. Ça m’amuse, mais c’est une autre histoire. Karine m’a envoyé la localisation du resto. J’y arrive assez vite, et me gare vraiment salement juste devant. Tous les gens en terrasse me regardent, dont Karine donc, et les deux personnes à sa table.
— Salut !
— Salut Isaiah. Je te présente Élodie, une de mes meilleures amies, de passage, et mon copain Nicolas. Je vous présente Isaiah, un copain.
Je broie la main de Nicolas, et je fais la bise à Élodie. J’apprends qu’Élodie est mannequin, de passage pour le boulot. Karine est bandante mais à côté de sa copine, on l’oublie presque. Élodie est une blonde aux yeux gris vert, 1m75, 58kg, 90c de tour de poitrine, un faux air de Blake Lively. Je m’assieds à côté d’elle. On discute, elle est très sympa. Évidemment j’oriente assez vite la conversation sur sa vie de mannequin, le fait qu’elle doit se faire draguer tout le temps, plaire aux mecs etc… La belle en joue à mort. Elle se lève à un moment pour aller se refaire une beauté et quand elle pivote je remarque un petit tatouage à sa cheville, un « Q » en noir enfermé dans un symbole de pique. Pour ce qui ne connaisse pas, c’est la marque de la « dame de pique ». Pour ceux qui ne connaissent pas c’est le signe d’une femme qui est une vraie blanche à blacks. Je ne peux m’empêcher de sourire. Karine le remarque. Elle me sourit. Son mec ne comprend pas. Une fois Elodie un peu loin, Karine me dit :
— Alors, tu as vu ?
— Oh oui.
— Vu quoi ?
— Rien rien, Elodie a un petit tatouage sur la cheville.
— Et alors c’est courant.
— Celui-là pas trop.
— Pourquoi c’est quoi ?
Nicolas est complètement dans le flou. Karine explique :
— Elle a un tatouage symbolisant une dame de pique.
— Une dame de pique ? OK et alors ?
— Et alors ? Ça veut dire qu’elle ne couche qu’avec des blacks.
— Pardon ? Qu’est-ce que c’est que cette connerie ?
— Ce n’est pas une connerie. Certaines femmes n’aiment baiser qu’avec des blacks.
— OK, et elles se font tatouer pour le prouver.
— Plutôt pour se faire remarquer de ces mêmes blacks.
— C’est des conneries ça.
Karine et moi on se marre. Nicolas semble perdu.
— En plus le truc des blacks c’est n’importe quoi. Excuse-moi Isaiah, mais franchement ça ne change rien, blanc, black, jaune.
Je ne dis rien. Karine se tourne vers lui et lui fait un bisou sur la joue.
— Si tu veux mon chéri. Allez n’en parlons plus.
Assez long silence, je souris toujours, Karine regarde au loin et Nicolas a le nez dans son assiette. Puis il ne tient plus.
— C’est comme ce truc de « once you go black you never go back ».
— Oui et ?
— Et c’est des conneries.
Elodie revient à cet instant et s’assied.
— Qu’est-ce qui est des conneries ?
— Non non rien.
— Mais si mon chéri, explique-lui.
Karine sourit, Nicolas rougit, moi je reste stoïque.