Nous sommes samedi et Florian vient d’achever sa première semaine de stage dans son entreprise. Nous nous voyons peu dans la journée si ce n’est à l’heure du petit-déjeuner et au dîner puisqu’il prend ses repas avec nous à la maison, à l’exception du déjeuner qu’il partage avec ses collègues de travail. C’est vraiment un jeune homme très poli et, même si je lui ai demandé de me tutoyer comme je le fais avec lui, il continue pourtant de me vouvoyer. Le matin, nous partageons peu de mots même si nous ne sommes que tous les deux dans la cuisine puisque mon mari part très tôt de la maison. Même si je veille à ne pas être provocante, je prends soin chaque matin à ne pas trop serrer ma robe de chambre pour qu’il puisse apercevoir la naissance de mes seins. Perchée sur mon tabouret de cuisine, je fais également en sorte, très naturellement en buvant mon café, de croiser et décroiser les jambes pour que son regard puisse s’égarer sur mes genoux et le haut de mes cuisses. Le soir, nous sommes tous les trois autour de la table de la salle à manger et ce sont eux, mon mari et Florian, qui font la conversation.
Tout en ayant des conversations très sérieuses, François mon époux fait en sorte d’aborder régulièrement des thèmes coquins, voire érotiques.
Ainsi ce vendredi soir, il nous raconte sa visite au musée d’Orsay pour faire un inventaire des tableaux confiés par le ministère de la Culture à ce musée national installé de longue date dans une ancienne gare parisienne. Au cours de la conversation, il sort son téléphone portable puis, le tendant vers Florian, lui demande – Florian, connais-tu cette peinture de Gustave Courbet ? C’est un peu osé mais c’est une uvre mondialement connue.
Notre neveu prend le téléphone en main, regarde quelques secondes puis me tend à son tour le téléphone en répondant
— Non, pas du tout ! Mais on dirait presque une photo.
Tandis que je regarde à mon tour l’écran qui montre un tableau de nu particulièrement explicite, disons pour faire simple un sexe de femme bien poilu, mon mari lui répond
— Ce tableau s’intitule « L’origine du monde » et tu as raison, on dirait vraiment une photo.
Puis, poursuivant d’un ton toujours aussi professionnel
— Il paraît que maintenant les jeunes femmes ont toutes le sexe parfaitement épilé, je trouve que cela fait trop enfantin et c’est beaucoup moins excitant qu’une belle touffe de poils pubiens. Qu’en penses-tu ?
Florian lui répond, un peu gêné
— J’avoue ne pas avoir beaucoup d’expérience dans ce domaine et donc pas d’avis particulier sur la question.
— Alors il faut que tu profites de ton séjour sur Paris pour t’intéresser à ces choses-là et goûter à tous les plaisirs de la vie. Tu verras, les Parisiennes méritent qu’on leur accorde de l’attention. énonce-t-il en retour.
— Allons François, laisse Florian tranquille. Charmant comme il est, je suis certaine qu’il va vite se trouver quelques jeunes copines. dis-je à mon tour en me mêlant à la conversation.
— Je n’en doute pas, reprit François, mais il doit aussi s’intéresser aux Parisiennes plus âgées que lui, ce sont des femmes expertes dans de multiples domaines.
Je mets alors ma main sur celle de Florian assis à ma droite et lui dis
— N’écoute pas ce que dit François, c’est un vieux coquin qui regrette de ne pas avoir la vitalité des jeunes hommes de ton âge.
Le lendemain après-midi, samedi, le sachant sportif, je demande à Florian s’il a envie de m’accompagner à ma salle de sport pour faire un peu de musculation pendant que je ferai du fitness. Il accepte mon invitation et part se préparer. Quinze minutes plus tard, après une petite marche à pied, nous arrivons sur les lieux rue Victor Hugo et chacun regagne son vestiaire pour se changer. Je suis déjà en train de faire mes mouvements lorsque Florian me rejoint. Il me détaille des pieds à la tête comme s’il me découvrait pour la première fois. Il faut dire que je me suis attaché les cheveux et la tenue fuchsia que je porte me sculpte parfaitement le corps en mettant bien en valeur mon 85C, ma taille de guêpe, mes fesses musclées et mes fines jambes. Par ailleurs, mon legging est si bien serré qu’il me colle au pubis et laisse deviner la fente de mon sexe. Je dis à Florian que je vais faire 45 minutes intensives de sport avant quinze minutes de hammam. Pendant ce temps, il peut se défouler sur les appareils de musculation et ainsi évacuer le stress de sa première semaine de stage.
Trois quarts d’heure plus tard, je suis en sueur lorsque je vais le voir à l’autre bout de la salle. Il est installé devant une sorte d’appareil de torture et soulève une barre chargée de disques qui me semblent bien lourds. Je le regarde et je vois qu’il est vraiment bien fait, musclé et n’a pas un poil de graisse.
— J’en ai fini, lui dis-je, tu viens avec moi pour une bonne petite séance de hammam ? Il n’y a rien de tel pour éliminer les toxines accumulées pendant l’exercice.
— Je suis désolé Hélène, mais je n’ai pas pris de maillot de bain. me répond-il navré.
Je lui fais un grand sourire avant d’ajouter
— Cela n’a pas d’importance. Suis-moi !
Quelques instants plus tard, nous sommes tous les deux dans le hammam avec quelques autres abonnés de la salle de sport, hommes et femmes en tenue d’Adam et Eve.
La chaude vapeur d’eau atténue les traits des personnes présentes comme une sorte de brouillard. Florian s’assoit sur l’un des bancs carrelés de faïence blanche tandis que je m’installe en face de lui à côté d’une jeune femme.
Me penchant vers lui, je lui dis
— Si tu as trop chaud et ne peux pas tenir les quinze minutes, tu n’es pas obligé de m’attendre.
— C’est la première fois que je fais du hammam et je compte bien en profiter. Cela va dénouer mes muscles après tous ces exercices. me répond-il.
Je ferme les yeux et savoure cette détente ; la vapeur me chauffe la peau et me délasse les muscles. J’appuie mon dos contre le mur et je décroise un peu les jambes. Entrouvrant légèrement les paupières, je vois que Florian me regarde avec attention. Je bombe un peu plus le torse, la vapeur d’eau chaude se condense sur ma peau, perle le long de ma nuque et sur mon visage, ruisselle en fines gouttes sur mon cou, mon buste et mon ventre. Négligemment de la paume de la main, tout en observant Florian à travers mes paupières presque closes, j’essuie les gouttes d’eau sur mes seins, mon bas-ventre et mes cuisses. J’écarte un peu plus mes jambes et il a maintenant une belle vue sur mon sexe et ma touffe de poils. Les gouttes d’eau chaude qui glissent sur ma chatte me procurent une douce sensation. Je vois le sexe de Florian qui gonfle doucement, se dresse et se déplie pour atteindre une taille plus que respectable, et bien supérieure à celle de mon mari. De ma langue, j’essuie maintenant avec lenteur les gouttelettes sur le bord de ma bouche et je m’installe en tailleur sur le banc comme si je prenais une position de yoga pour bien me relaxer.
Mes cuisses sont grandes ouvertes et, dans cette position bien impudique, je sais que mon fruit intime est bien entrouvert et que Florian, malgré le léger brouillard qui nous entoure, peut en voir la chair rose et moite. Sa queue est maintenant brandie comme un glaive ; il croise les jambes et prend une position lui permettant de masquer cette excitation qu’il ne semble pas pouvoir maîtriser. Je garde ma position encore quelques minutes supplémentaires pour bien l’exciter puis, ouvrant les yeux et me levant, je viens devant lui et lui dis
— J’ai trop chaud maintenant, je dois sortir. Tu viens ?
— Non Hélène partez devant. J’en profite encore un peu et j’arrive. me répond-il en fixant mes seins fièrement dressés devant lui.
Je comprends qu’il a besoin de débander avant de sortir et je sors donc du hammam en veillant toutefois à bien onduler de la croupe pour qu’il profite encore un peu du spectacle que je lui offre de manière si naturelle.
Nous voici maintenant dans la rue en train de rentrer à l’appartement. Je lui demande s’il a apprécié cette séance de sport et il me dit que cela lui a fait beaucoup de bien. Pour le provoquer un peu, j’ajoute que s’il préfère venir seul la prochaine fois, cela ne me gêne nullement car je comprends très bien qu’être accompagné d’une femme de mon âge n’est pas ce qu’il y a de mieux pour lui. Puis, en souriant, je rajoute
— Dans le hammam, la jeune fille à côté de moi te dévorait du regard. Ma présence t’a certainement mis mal à l’aise et elle a dû penser que j’étais ta mère.
Au bout de quelques pas et quelques instants de réflexion, il me dit
— Non Hélène, j’ai été ravi de cette première sortie avec vous et j’espère bien que ce n’est pas la dernière. Je suis en confiance avec vous et soyez certaine que vous êtes loin de faire votre âge. D’ailleurs je ne le connais pas et je m’en moque !
— Florian, tu es un amour de neveu. François ne pratique aucun sport et il déteste faire les magasins. Je crois que je vais profiter de ta présence chez nous pour te faire visiter Paris et ses nombreuses boutiques. Tu vas voir qu’au bout d’un mois, tu seras heureux d’échapper à ta tante parisienne pour rejoindre le calme du cocon familial à Bordeaux. lui répondis-je en le prenant le bras pour finir notre route.
Le soir au lit, François me demande comment s’est passée cette sortie en salle de sport. Le connaissant, je lui raconte en détail notre séance dans le hammam en veillant à bien lui décrire les positions que j’ai prises pour exciter son neveu. Rapidement il vient sur moi.
— Tu es une affreuse salope, me dit-il. Tu l’as excité et il va être obligé de se branler longuement en pensant à toi.
Tout en continuant à me dire combien je devais continuer ainsi avec Florian, il m’enfile sa queue dans la chatte et me baise frénétiquement. Quelques toutes petites minutes plus tard, ses jets de sperme se répandent en moi avant que je prenne du plaisir. Lui s’endort, je suis frustrée. Je pense à ce jeune mâle dans la chambre d’à côté et c’est la main bien nichée entre mes jambes que je sombre dans un profond sommeil peuplé de jeunes sportifs nus qui m’entourent dans la salle de sport……