Après avoir quitté les douches, je bandais terriblement et quand je rentrai dans la chambre, je ne pus plus attendre. Je devais coucher avec quelqu’un. Et ce quelqu’un serait Louis, mon meilleur ami, avec qui je partageais ma chambre pour la nuit. Il dormait pour l’heure profondément, en caleçon. La couette ne couvrait presque plus son corps et je pouvais apercevoir son torse musclé qui me faisait envie. Je le contemplai pendant quelques minutes, puis je décidai de passer ma main sur ses tétons pour commencer. Ces derniers se durcirent au contact de mes doigts mais Louis ne se réveillait pas. Il dormait paisiblement, la tête sur le côté, et je m’autorisai donc à continuer l’exploration de son corps en passant ma main sur ses abdos, puis sur la ligne de poil qui partait de son nombril et qui descendait vers son caleçon. Ce dernier moulait d’ailleurs parfaitement le chibre de taille imposante de mon meilleur ami. Mes caresses continuèrent, parcourant son dos sculpté, ses cuisses fermes et ses mollets poilus. Mes mains s’arrêtèrent finalement sur la bosse que formait dorénavant son sexe. Petit à petit, la bite du jeune homme se dressait dans son sommeil. Il devait faire un rêve érotique grâce à moi, et cela me plaisait. Je finis par sortir la queue de sa prison de tissue et la contemplai un instant. Son gros gland rose, sa tige bien bandée, ses couilles poilues et fermes me donnaient envie et pourtant je me retenais. Que dirait-il s’il se réveillait? Me laisserait-il faire? Après tout, je ne l’avais jamais sucé seul, sans que ses potes ne soient autour pour détendre l’atmosphère. J’effectuai quelques allers retours de ma main avec le chibre tendu, quand Louis commença à ouvrir les yeux doucement, s’éveillant à son rythme. Quand il vit que je tenais son sexe dans ma main droite, il eut un mouvement de recul et s’exclama:
"Putain Gaël, qu’est-ce que tu fais là?!
-Bah je te branle, qu’est-ce que tu crois que je fais?, rétorquai-je innocemment.
-Ah ouais en gros je dors et toi t’en profites! T’es vraiment un porc mec, bouges de là."
Devant sa réaction, je partis me coucher dans mon lit, déçu et m’endormit vexé sans rien lui dire d’autre. Il devait être deux heures du matin quand je me réveillai alors, à cause de quelque chose qui me frappait au visage. Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis la grosse bite de Louis juste devant mes yeux. Le jeune homme était entrain de me bifer pour m’éveiller. Il me regarda sortir du sommeil puis dit d’une voix autoritaire:
"J’ai changé d’avis, j’ai trop besoin de me vider. Suces."
Je ne me le fis pas dire deux fois. Ma main saisit le gros calibre pour venir le masturber quelques instants. Après quelques allers retours je finis par approcher ma bouche et par prendre le gland gonflé entre mes lèvres. Là, mon meilleur ami se mit à soupirer d’aise. Je voulais lui donner du plaisir alors j’activais ma bouche du mieux que je pouvais, montant et descendant sur son bâton de chair, donnant du rythme à cette pipe délicieuse. Je léchai sa queue en le regardant crispé à chacun des mouvements de ma langue. Mes mains vinrent caresser ses petites fesses musclées puis ma bouche alla suçoter d’elle-même les bourses du jeune homme. Il me poussait le dos de la tête de ses mains, m’incitant à aller plus fort, plus profond. Quand je repris sa pine en bouche, je n’eus d’autre choix que de lui faire une gorge profonde. Mes yeux restaient grands ouverts et je pus donc voir les poils du jeune homme se rapprochait de moi, et sentir ses couilles claquer contre mes lèvres. Louis avait l’air d’aimer chacun de mes mouvements, il guidait désormais l’acte avec des petits mouvements de bassins sexy. Au bout d’un moment, il recommença à me bifler, me disant de l’embrasser pour lui faire plaisir. Je m’exécutai avec plaisir, montant et descendant le long de l’objet de mes désirs.
Au bout d’une dizaine de minutes, Louis me repoussa contre mon lit. Là, il baissa mon boxer et commença à lécher mon sexe avec vigueur à son tours. C’était la première fois que je le voyais se libérer à ce point là. Je frémis: jamais quelqu’un ne m’avait sucé aussi bien. Sa bouche, bien quinexpérimentée, savait exactement où aller pour que je gémisse de plaisir. Il prit mes couilles en bouche, imitant mes gestes précédents. Les bruits de succions me rendirent fou et je baisai donc ses lèvres en tenant fermement le dos de sa tête. Je l’incitai à faire une gorge profonde mais il ne voulait apparemment pas. Qu’à cela ne tienne, je donnai une grande impulsion et il y fut forcé. Un bruit de déglutition se fit entendre mais je l’ignorai. Louis m’offrait une pipe divine, je fus donc malheureux quand il arrêta de lécher ma bite pour se concentrer sur mon cul. Habilement, il me releva les jambes et commença à enfoncer un doigt dans mon anus pour l’heure fermé. Il cracha sur son index pour qu’il coulisse plus facilement et effectivement, la pénétration fonctionna mieux après cela. Tellement bien qu’il enchaîna avec deux autres doigts. Bientôt, il me baisait le cul avec rage, souhaitant me montrer qu’il maîtrisait la situation. Quand il se lassa de ses doigts, sa bouche prit le relais et sa langue vint se frayer un passage dans mon intimité encore légèrement fermé. Il m’offrit un anulingus parfait et mes halètements de plaisir s’accentuèrent. Plus il léchait, mieux je me sentais. Quand il allia son doigt et sa langue, je crus défaillir d’excitation et il dut couvrir ma bouche pour ne pas que les professeurs soient attirés par le bruit.
Enfin, il me retourna une bonne foi pour toute et mit sa bite bandée devant l’entrée de mon cul. Il cracha sur son membre puis l’enfonça en moi d’un coup. Il alternait le rythme de ses mouvements, me procurant du plaisir en variant les plaisirs. Sa main m’offrait une bonne branlette en même temps qu’il kiffait ses vas et viens avec des grommellements. Louis me défonçait le cul mais d’une façon plus tendre que les autres, nous partagions réellement quelque chose et sa bite gonflé semblait simbriquer parfaitement dans mon anus dilaté. Quelques fois, mon meilleur ami donnait un coup plus violent et un cris un peu trop fort m’échappait. J’étais en levrette et je décidai de me retourner pour le voir en action. Il était magnifique, son torse luisait de sueur, ses muscles brillaient à cause de l’effort qu’il était entrain de donner et quand je posai mes mains sur son cul, je sentis ce dernier se crisper à chaque poussée. Pendant que le jeune homme continuait de me baiser, je malaxai ses couilles du mieux que je pouvais et au vu de ses yeux qui se levèrent au ciel, je compris qu’il adorait cela. Au bout de quelques temps, nous décidâmes d’échanger les positions. Louis devenait passif pour la seconde fois: la première fois, son frère l’avait violé et il en avait gardé un assez mauvais souvenir mais il était prêt à réitérer l’expérience.
"Vas pas trop fort surtout s’teuplait. J’ai eu trop mal quand Antoine l’a enfoncé direct.
-T’inquiètes, le rassurai-je avec un sourire, tu vas aimer t’en fais pas."
Je léchai un instant son cul, lui offrant le même anulingus dont j’avais profité puis je le retournai et l’enculai rapidement. Les cris de douleur de Louis ne tardèrent pas à venir. La deuxième fois faisait tout aussi mal que la première dans mes souvenirs, c’était donc normal. Il mordait sa main pour ne pas hurler et malgré cela, je prenais mon pied en sentant ma bite dans son anus contracté. Je m’amusai à aller plus vite, à réellement le défoncer comme une salope, lui que personne ne prenait pour un gay mais qui se trouvait être une vraie salope au lit. Je touchai son torse, ses tétons durs, vint branler sa bite pour qu’elle redevienne dure et me penchai même pour l’embrasser sauvagement. Nos langues se joignirent au rythme de mes vas et viens. Je le retournai et le pris alors avec plus d’ardeur: le jeune homme bandait dur et je voyais qu’il prenait désormais du plaisir à cette partie de jambe en l’air. A le voir comme une chienne, dans cette position de soumis, je finis par sortir de son cul, par m’approcher de sa bouche, et par éjaculer entre ses lèvres sans lui demander son avis. Louis prit toute ma semence sans broncher, avalant même le sperme qui coulait sur son menton d’un coup de langue. Je me penchai alors et le branlai tout prêt de mon visage pour qu’il se lâche sur moi, ce qu’il fit en criant. Trois jets de sperme m’atteignirent et je pus goûter son petit goût sucré avec plaisir.
Pendant que Louis se reposait enfin, je m’assis et suçai ses couilles un moment pendant qu’il débandait, rassasié par cette séance de baise. Chacun repartit ensuite dans son lit: je savais que c’était la règle avec lui: il ne voulait pas se sentir "pédé" alors il ne fallait pas reparler de ce que nous venions de faire. Néanmoins, je me sentais ravi de ce qui c’était passé et je n’avais qu’une envie: continuer mon exploration sexuelle avec d’autres personnes désormais.