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Stacy – Chapitre 11




Alexandra était allongée nue sur son lit. Filou s’était couché à côté de sa partenaire et il fut la première chose que la jeune fille vit en ouvrant les yeux. En prenant conscience de ce qu’elle avait vécu, la petite blonde présenta un large sourire à l’animal.

Bonjour mon amour… Quelle nuit ! Ça valait vraiment le coup !

Posant sa main sur le flanc du labrador, Alexandra commençait à sentir la chaleur monter entre ses cuisses. Elle avait eu de nombreux rapports avec le chien de Karine la veille, mais un désir était malgré cela en train de naître en elle.

Je crois que j’ai envie de toi !

Comme s’il avait compris, le chien remua la queue et se mit à lécher le visage de celle qu’il avait déjà prise plusieurs fois dans la nuit. La jeune fille ouvrit sa bouche et essaya du mieux qu’elle put de créer un contact entre sa langue et celle de l’animal, puis elle dirigea instinctivement sa main vers le sexe de Filou qu’elle se mit à masturber doucement jusqu’à érection.

J’ai encore envie de te sentir en moi !

La petite blonde passa sa jambe par-dessus son amant, puis elle fit glisser le sexe de l’animal contre le sien. Lorsqu’elle sentit de petits jets couler sur ses cuisses, elle chevaucha son amant et s’inséra rapidement le membre canin pour entamer de sensuels mouvements du bassin.

Hmmmmm… j’adore faire l’amour avec toi ! Je veux que tu passes ton nud maintenant !

Écartant les cuisses au maximum, la petite blonde réussit sans trop de mal à accueillir la totalité de son amant en elle. Ainsi coincée, Alexandra se mit à pousser de longs gémissements pendant que l’animal éjaculait dans les entrailles de cette jeune fille qui n’avait connu que lui comme partenaire sexuel.

ALEX !

Maman ?! NON ! Ne me regarde pas !

Alex, sors-le de là tout de suite !

Je peux pas, il vient à peine de rentrer ! Laisse-nous, s’il te plaît !

Olivia était rentrée chez elle tout de suite après son rapport avec Max pour annoncer à sa fille qu’elles allaient garder Filou avec elles, mais l’image de sa fille en pleine action avec l’animal l’avait refroidie. Même si elle venait de se faire visiter tous les orifices par le beauceron de Stacy, Olivia ne voulait pas que sa fille suive le même chemin qu’elle.

ALEX ! C’est avec un chien que tu couches, là !

Merci maman ; j’avais remarqué, mais je ne crois pas que tu sois la mieux placée pour me juger !

S’il te plaît ma chérie, sors au moins ce chien de ton corps pendant que tu me parles !

Comme pour imposer sa situation à sa mère, Alexandra se redressa et tenta de se relever, mais son sexe et celui de l’animal étant verrouillés, il lui était impossible de bouger sans tirer son amant.

Comme tu peux le voir, son sexe et le mien sont coincés ensemble ! Laisse-le terminer de jouir dans mon corps et je suis à toi !

Quelle horreur ! Ma fille est en train d’avoir un rapport sexuel avec un chien

Maintenant, tu sais ce que j’ai ressenti quand je t’ai surprise avec Rex !

Olivia n’ayant pas d’autre choix, elle se résigna à laisser sa fille en pleine action avec le labrador et alla se réfugier dans sa chambre pour y récupérer le sommeil dont elle n’avait pas pu bénéficier durant la nuit. Alexandra resta accrochée à son partenaire pendant plusieurs minutes avant de pouvoir se déplacer. Une fois libérée, la petite blonde se rendit dans la chambre de sa mère et, voyant cette dernière endormie, elle retourna auprès de Filou pour profiter encore une fois de l’incroyable anatomie du chien. Installée à quatre pattes sur son lit, la jeune fille se laissa pénétrer à maintes reprises, persuadée que chaque saillie serait la dernière avant que son amant ne reparte chez sa propriétaire.

*****

QUELLE GROSSE BITE ! Mets-la-moi bien profond ! Oh OUIIIIIIII !

Johanna subissait les assauts de Sultan dans la salle de cinéma alors que l’écran était noir depuis longtemps déjà. Le film sur la mariée avait excité la blondinette qui se laissa chevaucher par le dogue allemand plusieurs fois avant de lui offrir un passage entre ses fesses. Alors que la métisse se faisait frénétiquement sodomiser, Stacy revint dans la pièce pour peaufiner sa proposition.

Oh ! J’arrive trop tôt on dirait ?

Ahhhhh ! Non, j’ai le cul occupé mais mes oreilles sont libres. En plus, il va… Haaaaa ! Non, il vient juste de passer son nud… maintenant je t’écoute.

Mais ça ne te gêne pas d’avoir le sexe de mon chien planté en toi pendant que je te parle ?

Pas du tout ; c’était gênant pendant qu’il me ramonait parce que javais du mal à me concentrer, mais maintenant qu’il me jouit dans le cul, je t’écoute.

Bien. D’abord, sache que si tu veux vraiment tourner avec moi, il faut que tu fasses de gros efforts de langage. C’est-à-dire, fini les bites dans la chatte, les cassages de cul et autres ramonages, baises et j’en passe…

OK ; mais je pourrai quand même me faire casser le cul avec la grosse bite d’un chien qui giclera dans mon trou avant de me baiser comme une pute ?

Tu es toujours aussi drôle, ou seulement pendant qu’un chien te sodomise ?

Je vois que c’est pas l’heure de rigoler…

Chaque chose en son temps, ma belle ; pour le moment, j’aimerais que tu enlèves ce que tu as entre les fesses et que tu me rejoignes dans le salon pour parler affaires.

Très bien ; d’ailleurs, je crois que ton chien en a fini avec moi…

Johanna avait vu juste : Sultan essayait effectivement de se libérer de l’emprise anale qu’avait la blondinette sur lui, et c’est en la faisant crier de douleur que le dogue allemand réussit à s’extraire des fesses de sa partenaire. La rouquine était installée dans son salon et attendait patiemment sa nouvelle actrice lorsque cette dernière se présenta totalement nue dans la pièce.

J’en ai vraiment plein le cul de ce chien ! Dans tous les sens du terme !

Essaie de ne pas trop tacher mon salon ! Tiens, pose tes fesses sur cette serviette et concentre-toi un peu, s’il te plaît.

Merci… Alors, comment ça va se passer ?

Tiens, commence par lire ça…

Stacy tendit à Johanna une pile de feuilles couvertes d’écriture manuscrite. En parcourant le script, la métisse ne put se retenir de glisser sa main entre ses cuisses pour se caresser.

*****

Alexandra en était à sa quatrième saillie avec Filou depuis son réveil. Lorsque l’animal fit enfin sortir son nud de sa partenaire, elle décida de prendre une pose pour nourrir son compagnon et prendre une douche. Le labrador était en train de se restaurer tranquillement dans la cuisine pendant que la jeune fille s’activait dans la salle de bain pour évacuer toute la semence qu’elle avait recueillie depuis la veille. Olivia se réveilla doucement et le souvenir de sa discussion avec sa fille lui fit l’effet d’un électrochoc. La mère de famille se précipita dans toutes les pièces de la maison et fut rassurée de voir que le labrador et sa fille n’étaient plus en train de s’accoupler. Olivia se rendit dans la cuisine et se mit à parler à Filou comme s’il était capable de comprendre ses paroles.

Tu sais, j’ai pris du plaisir avec tes semblables, mais je ne veux pas que ma fille suive le même chemin. J’aimerais qu’elle rencontre un gentil garçon avec qui elle serait heureuse et qu’elle me fasse des petits-enfants ; tu comprends ?

Filou n’était absolument pas intéressé par les mots que prononçait cette femelle, mais il avait l’impression qu’elle attendait quelque chose de lui. N’écoutant que son instinct de mâle, le labrador envoya sa truffe entre les cuisses de la mère de famille et tenta de lécher ce sexe qu’il ne connaissait pas.

Oh ! Doucement mon beau ! J’ai encore mon pantalon !

Intriguée de savoir pourquoi sa fille était autant attirée par ce mâle, Olivia quitta son pantalon et sa culotte et présenta son sexe nu devant la truffe de l’animal. Il ne fallut pas longtemps à Filou pour poser sa langue sur cette nouvelle paire de lèvres dont il découvrait le goût pour la première fois.

Hmmmmm ! C’est vrai que tu es doué avec ta langue ! Et tu sais faire quoi avec le reste de ton corps ?

La mère de famille se mit à quatre pattes et encouragea son partenaire à la chevaucher. Le labrador posa ses pattes sur les flancs de la femelle et envoya de coups de reins pour la pénétrer.

MAMAN ! QU’EST-CE QUE TU FAIS !

ALEX ! Attends, c’est pas du tout ce que tu crois !

QUOI ?! T’ES PAS EN TRAIN DE TE TAPER MON MÂLE, C’EST ÇA ?!

Attends ma chérie, c’est lui qui a voulu me prendre.

NON ! JE TE CROIS PAS !

Alexandra était arrivée dans la pièce au moment précis où le sexe de Filou s’insérait dans celui d’Olivia. La blondinette put assister en direct à la saillie de sa mère par celui dont elle était tombée amoureuse. Profondément blessée par cette image, la jeune fille alla s’enfermer dans sa chambre mais le bruit de ses pleurs furent vite couverts par les cris de jouissance d’Olivia.

*****

Quelle histoire ! C’est incroyable !

Merci, et c’est parce que c’est incroyable que c’est crédible, non ?

Carrément ! Et j’aurai quel rôle ?

Moi, je serai la vétérinaire et toi mon assistante. Ça te convient ?

Parfaitement ! Juste un détail…

Quoi ?

J’aimerais bien être avec toi pendant la scène de la promenade.

Si tu veux, mais c’est plutôt risqué.

En fait, ça mexcite ! Et quand est-ce qu’on tourne ?

Samedi prochain, ça te va ?

OUI ! Bon, je rentre chez moi me reposer et aucun rapport canin d’ici là ! Ça sera encore plus crédible !

Merci Johanna ! À samedi alors ?

Sans faute !

Johanna se rhabilla et prit la direction de chez elle, non sans prendre le temps de déposer un doux baiser sur la joue de Stacy.

*****

Johanna ?! Tu es rentrée ?

Oui maman, j’ai passé la nuit chez Karine pour qu’elle puisse passer du temps avec son nouveau mâle.

Eh bien, c’est gentil à elle de t’accueillir ; mais j’espère que tu ne la déranges pas trop ?

Rassure-toi maman : comme je prends bien soin de son chien, elle adore que je passe du temps chez elle. D’ailleurs, pourquoi on n’a jamais eu de chien ?

Qu’est-ce que tu racontes ? Tu te rappelles pas de Médor ?

OUI ! C’est vrai ! Qu’est-ce qu’il est devenu ?

On l’a gardé que deux mois et il s’est enfui pendant que je le promenais un soir au parc.

Et tu veux pas qu’on adopte un nouveau chien ?

Tu as peut-être raison, ma fille ; deux femmes seules, même dans un petit village… Ça serait plus prudent d’adopter un gros chien, au cas où.

Je dois retourner chez Karine samedi prochain pour passer le week-end ; tu veux que je lui en parle ?

Pourquoi pas ? Mais tu ferais peut-être mieux d’aller voir la femme qui a repris l’ancien chenil ; une amie m’a dit qu’elle y avait adopté un chien.

Johanna n’avait pas encore fait le rapprochement entre son attrait pour les animaux et le fait que sa mère n’avait jamais laissé un homme entrer chez elle. Leila était pourtant une magnifique maghrébine très attirante dont les origines marocaines étaient très prononcées. Son physique était identique à celui de sa fille, au point que les personnes qui ne les connaissaient pas les prenaient pour des surs. Le père de Johanna n’était qu’un coureur qui avait profité de la naïveté de Leila alors qu’elle n’avait que quinze ans pour coucher avec elle et la plaquer immédiatement après. La jeune fille qu’elle était à l’époque décida de garder l’enfant et de construire toute seule sa vie. L’héritage d’un oncle éloigné lui donna un coup de pouce pour qu’elle et sa fille soient à l’abri du besoin le reste de leur vie.

Une amie ? Quelle amie ?

Tu ne la connais pas ; c’est une femme de ménage. En fait, c’est elle qui m’avait confié Médor.

Ah… Bon, j’ai encore des trucs à faire. Je prends une douche et je vais faire un tour en ville.

D’accord ma chérie, fais attention à toi !

Johanna profita de la journée pour acheter les divers accessoires et vêtements dont elle allait avoir besoin pour son tournage et rentra chez elle en début de soirée en gardant toute la journée dans sa tête l’idée que sa mère était peut-être elle aussi une adepte de l’amour canin.

*****

Seulement vêtue d’un débardeur et les cuisses encore ruisselantes de sperme animal, Olivia tambourinait à la porte qui la séparait de sa fille.

Alex, ouvre-moi !

Non ! Tu viens de te taper mon mâle, je veux plus jamais entendre parler de toi !

Alex, je l’ai fait pour toi : tu vois bien que c’est un animal et qu’il ne fait pas de différence entre une fille et sa mère !

Mais moi, j’ai fait l’amour quatre fois avec lui ce matin !

Oui, et ça ne l’a pas empêché de me sauter dessus juste après ! Tu as conscience que ce chien est passé par ton trou et ensuite par celui d’où tu es sortie ?

MAMAN ! NE SOIS PAS ECURANTE !

Et pourtant Que tu le veuilles ou non, toi et moi on s’est fait visiter par le même sexe ! Arrête de faire ton enfant gâtée et ouvre cette porte, maintenant !

Non ! Rends Filou à Karine et oublie-moi !

Justement, Karine est partie avec Rex et nous a confié son chien.

Alexandra fit un bond jusqu’à la porte de sa chambre qu’elle ouvrit à la volée pour s’assurer qu’elle avait bien entendu.

Tu veux dire que Filou va vivre à la maison, maintenant ?

Oui ; et comme j’ai prévu de profiter encore d’un chien et qu’il est impossible d’en avoir deux, tu vas devoir te faire à l’idée que celui que tu considères comme TON mâle me chevauche de temps en temps.

Mais…

Ne t’inquiète pas, ma chérie, je te laisserai toujours profiter de lui avant moi et à chaque fois qu’il me prendra, je me débrouillerai pour que tu le saches.

C’est gentil, maman, mais je vais pas réussir à supporter qu’il ne me soit pas fidèle !

Alors soit infidèle toi aussi ! Trouve un garçon gentil qui t’apporte ce qu’il te manque avec Filou, comme j’ai fait avec ton père !

Alors, tu as fait ça pour moi ? Pour m’aider ?

Oui ma chérie ; si tu ne restes qu’avec un animal, tu vas passer à côté de ta vie. Tu n’auras peut-être pas la chance de trouver des amies qui comprennent pourquoi tu ne regardes pas les garçons comme elles. J’accepte volontiers de te savoir prise par un chien, mais j’aimerais que tu essaies tout de même de trouver un équilibre avec les hommes.

Très bien ; mais tu me promets de ne jamais laisser Filou te prendre avant moi ?

Rassure-toi, ma chérie ; si tu as envie de le prendre en bouche un jour, tu n’y trouveras pas de trace de mon passage.

Olivia se rendit à son tour dans la salle de bain pour nettoyer toute la semence animale dont elle était souillée, puis elle proposa à sa fille de faire un tour pour se changer les idées. Le week-end qu’elles venaient de passer ensemble était principalement composé de rapports sexuels tabous, et Olivia voulait retrouver un semblant de vie de famille avec sa fille.

À suivre…

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