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Nicole et sa fille – Chapitre 3




UNE LESBIENNE, UNE BI, UN GOUJAT.

Elodie et Pierre vivent depuis 3 ans ensemble mais depuis quelques temps, ils s’éloignent l’un de l’autre sans trop savoir pourquoi.

Lui ; refusant des sorties pour être tranquille mais jamais là à cause de son boulot.

Elle ; en sortant ou invitant du monde. Elle a essayé de lui parler, de le faire sortir sans y parvenir, mais il a toujours un prétexte pour décliner l’offre. (Lassitude, boulot, etc …) et s’éclipser pour rejoindre soit disant ses copains.

ELODIE.

Je ne sais pas comment nous en sommes arrivés là. Pierre est pourtant un sacré amant doté d’un sexe très au dessus de la moyenne, même presque trop mais c’est un vrai macho, limite goujat.

 Il en faisait même des complexes au début de notre relation avant de changer et de devenir brutal, et je dois dire que ce n’est pas de tout repos avec lui.

C’est arrivé à un point ou nous vivons ensemble sans nous voir et surtout sans plus nous toucher, nos discutions ne concernent plus que ce qui touche à la vie quotidienne.

Lors d’une soirée, j’ai sympathisé avec une belle femme. Stéphanie.

Nous sommes devenues de grandes amies. Un jour, elle m’a invité chez elle et m’a avoué que pour elle, c’était plus que de l’amitié qu’elle éprouvait pour moi, mais de l’amour.

J’ai été surprise, mais flattée quand même, mais lui ai dit que les femmes ne m’intéressais pas.

Elle m’a rétorqué :

-Tu es comme un enfant qui n’a jamais goûté un plat mais qui affirme qu’il n’aime pas !

Tu ne peux pas savoir avant d’avoir essayé. Moi, je prends le plaisir ou je le trouve sans me préoccuper que ça soit un homme ou une femme.

-Comme toi, j’ai fréquenté des hommes mais depuis que je me suis révélée avec les femmes, plus aucun ne m’a touché.

Quelques temps après, j’ai fini par lui céder après une soirée bien arrosée, et j’y ai pris goût.

Notre relation dure maintenant depuis environ 3 mois.

 Notre relation sexuelle est incroyablement intense (et n’a rien à voir avec ce que je vis depuis des années avec Pierre). A part peut-être à mon tort, que je suis soumise dans les 2 cas à leurs désirs. Ce sont 2 dominateurs !

Aujourd’hui, elle est venue me rejoindre chez moi. Pierre étant absent pour son boulot quelques jours.

Elle passe mes bras autour de son cou pour un baiser langoureux.

Nous nous retrouvons vite sur le divan. Elle sait bien comment donner du plaisir à une autre femme.

Pendant que je la serre dans mes bras, elle pose ses mains sur ma poitrine pour caresser mes seins. Je fais de même avec elle après lui avoir retiré son soutien gorge. Je touche ses seins dénudés, elle a la peau beaucoup plus douce que la mienne mais elle m’affirme que ce n’est pas vrai.

 Elle fait de même avec moi et nous nous serrons à nouveau très fort. Nos deux poitrines se pressent l’une contre l’autre, je sens ses pointes dures venir en contact avec les miennes qui le sont tout autant.

Elle veut maintenant que nos pubis entrent eux aussi en contact.

J’attends avec impatiente qu’elle aille plus loin, qu’elle s’occupe de mon sexe.

Elle comprend mon désir et enlève mon slip puis le sien, passe une main entre nos deux corps pour la poser sur mon sexe. J’écarte les jambes, bien soumise, prête à accepter d’être fouillée par ses doigts fins et agiles.

Elle sait comment faire jouir une fille comme moi. Sa main trouve sa cible et la caresse sans chercher à y pénétrer, se contentant de glisser sur tout le tour du pubis et sur la fente frémissante. Elle ne sent pas encore comme je suis trempée. Je la laisse me donner du plaisir et j’essaie de le lui rendre.

Je ne suis pas encore une experte comme elle mais je m’applique de mon mieux. Ses doigts viennent enfin de découvrir mon bouton et le caressent, je l’imite et caresse le sien qui durcit sous mes doigts.

J’adore jouir de sa main, la sensation est extraordinaire et beaucoup plus forte que quand c’est moi qui me branle. Je pousse un léger cri quand je jouis. Mon Dieu que c’est divin !

Son autre main s’est glissée entre mes fesses, cherche la raie et descend pour découvrir mon petit trou.

Je fais comme elle, découvrant son petit trou, le caresse comme elle me fait mais m’enhardie et glisse un doigt dans son anus.

Elle gémit doucement quand je commence à faire bouger mon doigt, de plus en plus fort jusqu’au moment de l’orgasme libérateur.

Elle m’entraîne dans la chambre et nous nous retrouvons tête-bêche, bouche contre chatte, chatte contre bouche.

Sa langue fait tout pour me donner du plaisir et s’égare de temps en temps un peu plus bas, passant régulièrement de l’anus à ma vulve.

 Je sens monter l’orgasme mais je ne sais pas comment elle s’y prend pour le retarder le plus possible.

Mais elle ne peut repousser l’inéluctable et déclenche une nouvelle jouissance qui me fait geindre comme une petite fille.

 Je fais tout mon possible pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Je glisse ma langue dans son sexe, en explore l’intérieur avant d’aller me concentrer sur son bouton.

Je décide me m’aider avec mon majeur et mon annulaire dans la grotte de Stéphanie.

J’accélère le mouvement de mes doigts dans sa grotte qui se resserre fortement. Je continue mes massages vaginaux à un rythme frénétique jusqu’à ce qu’elle laisse échapper des cris de jouissance.

Encouragée, j’accélère encore, je la vois partir, je replis mes doigts pour m’occuper plus particulièrement de la face antérieure du vagin et je reprends frénétiquement mes mouvements.

Son plaisir en est littéralement décuplé, ses cris deviennent de véritables hurlements, son visage grimace.

J’accélère la cadence à un rythme infernal. Stéphanie hurle comme une vraie folle, prise de spasmes dans tous les sens, les jambes écartées au maximum. Je n’en reviens toujours pas de l’effet dévastateur de la jouissance chez elle et pourtant ce n’est plus la première fois que j’y suis confrontée.

Je continue à la pogner à mort quand soudain, devant mes yeux toujours incrédules et mes oreilles éreintées par un râle rauque et sans fin venu de ses tripes, elle arrache avec violence ma main de sa chatte en feu et expulse un véritable geyser d’une puissance folle de son urètre, les hommes n’ont qu’à se rhabiller à coté de ça !

Je suis complètement arrosée et ça continue par d’autres jets tout aussi puissants, Stéph. continue de brailler en se tordant sur les draps.

Je suis arrivée à mes fins, je n’attendais que ça.

Il lui faut de longues minutes avant de récupérer et qu’elle m’avoue dans un murmure :

-Tu es douée, aucun homme n’est arrivé à me faire jouir autant et très peu de femmes.

Une fois remise, elle va fouiller dans son sac et en retire des sex-toys dont un énorme gode-ceinture qu’elle fixe à son bas ventre. Il est d’une taille impressionnante, elle me demande d’un air narquois :

-Alors, tu ne vas pas me dire que celui là aussi est plus petit que la bite de ton mec ?

Elle vient me le coller sous les yeux, il fait dans les 25 cm et la grosseur de mon poignet que j’ai assez fin.

Je lui rétorque :

-Eh bien ! Disons que tu as trouvé l’exemplaire qui y ressemble le plus, oui, c’est tout à fait ça, les ficelles en moins.

-C’est pas possible ! Et tu as du subir ça pendant trois ans ! Tu as dû en voir des vertes et des pas mûres. Je sais que tu es plus ouverte que moi mais tu as du mettre un sacré moment à t’y habituer. Moi, jamais un tel pal ne violera mes frontières intimes!

-Oui, je dois t’avouer que j’ai mis un certain temps avant d’éprouver du plaisir avec lui mais c’est un sacré amant, en plus il est inépuisable. Le problème, c’est que maintenant, un mâle lambda n’arrive plus à me contenter, j’ai essayé et ça a été un fiasco. Il n’y a qu’avec toi que j’ai retrouvé la joie de jouir !

Stéphanie plonge son regard dans le mien et me dit de me laisser faire :

— Que penses-tu si j’utilise ce jouet pour te faire oublier ton mâle et t’envoyer au septième ciel ?

Elle s’est rallongée à coté de moi après avoir fixé le gode à son bas-ventre. Je sens l’artéfact dur contre ma cuisse, elle est excitée et je dois dire que moi aussi par ce qui va suivre.

Elle me bécote puis positionne le gode XXL entre nos sexes, le dirige d’une main entre mes lèvres vaginales et le fait glisser jusqu’au fond de mon conduit tout en douceur.

Je lâche un soupir de soulagement et de tristesse de ne pas ressentir en moi la chaleur d’une vraie verge. Je l’incite à aller plus loin :

— Oui ! Fais de lents aller-retour jusqu’au fond avec le gode mais n’arrêtes pas de m’embrasser surtout.

Les yeux fermés, j’essaie de me concentrer. Le gode appuie sur mon clitoris à chaque passage, me faisant languir sans compter sa langue en perpétuelle mouvement dans ma bouche.

Mais au bout d’un moment, elle stoppe et retire le gode.

-Je vais te prendre autrement !

Elle détache l’instrument, en glisse l’extrémité plate dans sa bouche et pose sa tête dans mon entre jambe.

C’est sans aucune résistance qu’elle commence cette pénétration incongrue, sa tête bouge en rythme, imprimant des mouvements de va et vient du gode dans les profondeurs de mon vagin.

Je frissonne de plaisir, rythmant avec mes mains agrippées à ses cheveux la vitesse et la profondeur de l’intromission.

Quand je suis trop proche de la jouissance, je tire sur ses cheveux pour ne pas craquer éjectant la pâle copie de mon sexe.

Je suis proche du point de non retour lorsque je sens une pression sur mon anus, elle a réussit à insérer sur une bonne longueur sans trop de difficulté le gode dans mon cul pendant que sa langue à pris la place de l’engin, il faut dire que j’ai été à bonne école avec Pierre.

Je gémis et perds le contrôle de mon corps. Le jouet et la dextérité de sa langue humide sur mon bouton ont raison de moi.

Mes cris couvrent tous les bruits du voisinage quand soudain s’élève une voix :

-Quel beau spectacle, on s’amuse bien ici ! Je me régale depuis cinq minutes ! Je peux participer ?

Nous nous figeons, affolées, avant de regarder d’où proviennent ces paroles.

Pierre est sur le pas de la porte, en train de se branler, hilare.

Une fois remise de la surprise, je lui jette :

A en voir l’état de ta queue, j’imagine que tu as l’air d’apprécier !

A suivre

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