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La soumission de Lola – Chapitre 4




La soumission de Lola

Chapitre 4

La soirée semble interminable à Chloé et à Lola. Chacune de leur côté, elles consultent régulièrement leurs téléphones, impatientes de découvrir le message de leur Maître. Et enfin, le bip annonçant l’arrivée d’un SMS retentit chez elles, presque en même temps.

— Bonsoir mes petites salopes. Votre prestation de ce soir était d’un bon niveau, mais il vous reste beaucoup de choses à découvrir. Les prochaines séances se dérouleront chez moi (je vous envoie l’adresse), et auront pour but de faire votre éducation de soumises. Je vous recevrai individuellement dans un premier temps. Chloé sera la première, demain soir, puis ce sera le tour de Lola, le lendemain.

Éberluées, les deux femmes découvrent que leur Maître, qu’elles imaginaient lointain et virtuel, habite à quelques kilomètres, et est tout à fait réel. Voilà un évènement qui donne un tout autre cours à cette relation !

Le lendemain matin, au cours du passage de Lola dans le bureau de Chloé qui devient quotidien les deux soumises échangent sur leurs réactions face à ce coup de tonnerre, et sur leurs craintes. Sans le lui dire, Lola est contente que Chloé soit reçue et éduquée la première : elle espère obtenir de sa collègue suffisamment d’infos pour décider si elle peut poursuivre ou non dans la voie de la soumission.

En fin d’après-midi, Chloé reçoit un nouveau SMS de Sébastien.

— Je t’attends à 18h précises. Avant de partir de ton travail, tu enlèveras ton string et ton soutien-gorge, et tu les laisseras sur ton bureau. Je veux que tu sois nue sous tes vêtements pour venir chez moi, et que tu fasses en sorte que les automobilistes puissent s’en rendre compte pendant le trajet. Tu me raconteras, mais surtout, tu m’enverras des selfies en route. Trois au moins. Je sais que ça te fera mouiller, et je vérifierai à ton arrivée. Je t’attends, ma salope. PS : interdiction de communiquer avec Lola sans mon autorisation.

Chloé blêmit en lisant le message. Elle porte juste un petit tailleur en lin, très sexy, sur ses sous-vêtements. Veste boutonnée assez bas, minijupe fendue sur le côté.

17h30. Les locaux de l’entreprise ont commencé à se vider, depuis une demi-heure. Chloé vérifie qu’il n’y a personne aux alentours, et très vite, ôte soutien-gorge et string, qu’elle pose sur un coin de son bureau, le moins en vue possible.

Elle sort de l’immeuble, priant de ne rencontrer personne, monte dans sa voiture, et démarre. Dans sa tête, les ordres de Sébastien tournent en boucle. Elle est encore trop près de son bureau Enfin, elle décide de s’arrêter, dans une rue déserte, et déboucle sa ceinture, sans couper son moteur. Elle se tortille, pour retrousser entièrement sa jupe, et elle ne peut s’empêcher de mouiller, en voyant son minou tout lisse, offert à la vue des passants, et surtout des automobilistes haut perchés, dans des 4×4 ou des camionnettes

Elle déboutonne sa veste, qui s’ouvre largement sous la poussée de sa poitrine gonflée par l’excitation. Elle reboucle sa ceinture, qui sépare ses seins, fait un premier selfie qu’elle envoie à Sébastien, et redémarre.

Elle rejoint un grand boulevard, encombré à cette heure, et son calvaire commence. Elle se retrouve arrêtée régulièrement, bloquée par des feux rouges, et là Elle surveille, anxieuse, dans ses rétroviseurs l’arrivée des autres véhicules, qui vont stopper à leur tour, à sa hauteur. Jamais elle n’avait eu conscience qu’il y avait autant de monospaces, d’utilitaires, de camions !

A chaque fois, elle sent le regard du conducteur ou du passager, rivé sur elle, ou plutôt sur ses seins et sur sa chatte. Elle n’ose pas tourner les yeux, et cache autant que faire se peut son visage avec sa main.

Mais il y a ces fichus selfies, exigés par son Maître. Chloé a posé son téléphone sur le siège passager, et lorsqu’elle est arrêtée longtemps, elle fait une photo d’elle qu’elle envoie en MMS. Sur l’une de ces images, on aperçoit le visage goguenard du conducteur d’un fourgon, qui n’en croit pas ses yeux.

Ce qu’elle éprouve est indescriptible. Il y a la fois la honte, l’humiliation d’être transformée en objet, mais aussi ce plaisir trouble de s’exhiber, qui lui devient familier. Le pire, c’est lorsque l’un de ces hommes baisse sa vitre et l’apostrophe. Jamais elle n’avait redémarré aussi vite au feu vert !

Enfin, Chloé arrive au bout de ce satané boulevard. Un tour de giratoire, et elle s’engage sur une petite route. Dans quelques kilomètres, elle arrivera chez Sébastien, et elle recommence à s’angoisser déjà. Sur son GPS, l’heure d’arrivée à destination hésite entre 17h59 et 18h. Elle sera ponctuelle

Le cur de Chloé se serre, lorsqu’elle gare sa petite voiture devant l’adresse indiquée. C’est une grande maison, entourée d’un haut mur de clôture. A côté du grand portail, elle aperçoit un vidéophone. Elle sonne. Attend un moment

A l’intérieur, Sébastien savoure cet instant, en admirant sa soumise sur l’écran du portier électronique. Il la fait attendre, pour mieux faire monter sa tension. Et enfin, sans dire un mot, il ouvre le portail.

Chloé pousse le lourd vantail, et pénètre dans un jardin planté d’arbres. La maison, ancienne, avec une façade à moitié décrépie, est imposante, presque inquiétante. Lentement, elle gravit le perron, et la vieille porte d’entrée en chêne s’ouvre, sans qu’elle ait besoin d’appuyer sur la sonnette.

Sébastien est là, dans l’embrasure. Vêtu d’un tee-shirt noir, qui moule son torse, et d’un pantalon serré en cuir, noir aussi, retenu par un large ceinturon. Aucun sourire sur son visage.

— Bonsoir Chloé.

— Bonsoir mon Maître. Je t’ai obéi.

— Oui, je sais, J’ai reçu tes photos. Tu es une belle salope, comme je les aime. Entre.

Chloé, intimidée par l’accueil froid et distant de Sébastien, rentre dans un large vestibule, avant de le suivre vers un grand salon, d’une hauteur sous plafond impressionnante. La pièce est meublée dans un style très contemporain, un miroir occupe tout un panneau, et ce que Chloé remarque au premier coup d’il, ce sont les photos de femmes nues, accrochées aux murs. Ces femmes sont toutes très belles et sexy, et posent dans des attitudes extrêmement provocantes.

Sébastien s’installe confortablement dans un fauteuil, sans proposer à Chloé de s’asseoir.

— Je vais t’appeler ma salope. Tu vas commencer par te mettre en tenue, pour me servir et t’apprendre la soumission. Quelle est la pointure de tes chaussures ?

— 37, Maître.

Il se lève, ouvre un grand placard, et en sort une paire d’escarpins à plateformes, avec des talons d’une hauteur incroyable, ainsi que quelques accessoires en cuir, dont Chloé ne comprend pas immédiatement l’usage.

— Tu vas commencer par te mettre nue, ma salope. Entièrement. Enlève tout, y compris tes bijoux, ordonne Sébastien.

Chloé déboutonne sa veste, et fait glisser la fermeture de sa jupe, pour apparaître dans le plus simple appareil, avant de retirer ses chaussures, son collier, et ses bracelets. Sur un simple geste de Sébastien, elle enfile les escarpins Jamais elle n’a été juchée sur des talons aussi hauts ! Elle a les pires difficultés à garder l’équilibre.

Satisfait, Sébastien admire sa soumise, sans le moindre commentaire. Les escarpins ont fait gagner 17cm à ce petit gabarit, transformant sa silhouette. Il tourne autour de Chloé, flattant sa croupe et sa poitrine, comme s’il s’agissait d’un animal. Il passe sa main entre ses cuisses, puis regarde ses doigts.

— Ma parole, tu mouilles déjà, salope ! Tant mieux, la suite ne t’en paraîtra que plus agréable. Je vais installer sur toi des accessoires, auxquels tu devras t’habituer.

Avec des gestes précis, il fixe aux poignets de Chloé de larges bracelets de cuir, munis de solides anneaux métalliques. Ses chevilles reçoivent des bracelets similaires. Ensuite, c’est un collier dans le même cuir qu’il passe autour de son cou, et il y accroche une laisse. Puis, il fixe aux anneaux de ses chevilles, une tige métallique d’une trentaine de centimètres, équipée de mousquetons.

— Marche ! Ordonne-t-il à Chloé.

Elle avance, gênée par la hauteur de ses talons et par l’entrave, trébuche, et se rattrape de justesse à un meuble. Une claque sonore s’abat sur ses fesses.

— Fais donc attention ! Il te faudra t’habituer, tu seras souvent dans des tenues de ce genre, quand tu seras ici. Tu vas me servir un whisky, avec de la glace. Tout est dans le bar, ajoute-t-il en montrant le coin de la pièce.

A petits pas, se concentrant pour ne pas tomber, Chloé prépare un verre de whisky, et met quelques glaçons dans un seau de cristal. Puis, toujours prudente, elle apporte le tout à Sébastien, qui ne la remercie même pas.

— Reste debout à côté de moi, et raconte moi ton trajet pour venir ici. Commence par le moment où tu as enlevé ton string et ton soutif, et où tu les as déposés sur ton bureau.

Les yeux baissés, Chloé commence son récit, d’une voix assourdie par la honte.

— Plus fort ! La rabroue Sébastien.

Chloé poursuit son histoire, à haute voix, pendant qu’il la caresse du bout des doigts, en sirotant son whisky. Malgré l’humiliation ou peut-être à cause d’elle les seins de Chloé se tendent, et elle sent sa chatte s’humidifier.

— Mais tu mouilles, salope, tonne Sébastien qui s’attardait sur sa fente. Je vais te rafraîchir ! Écarte tes cuisses.

Il saisit un glaçon, ouvre la fente luisante de Chloé, et enfonce le glaçon dans sa chatte. Elle pousse un cri aigu, mais un deuxième glaçon rejoint le premier. Ce qu’elle ressent est fou. Le contact de la glace la brûle et la tétanise. C’est un plaisir et une douleur, mélangés, et elle coule de plus belle, sa cyprine se mélangeant à l’eau.

Sur l’ordre de Sébastien, elle reprend son récit, tandis que des larmes ravagent son maquillage et roulent sur ses joues.

Il termine son whisky, au moment où Chloé finit de raconter son arrivée chez lui. Il se lève, et empoigne la laisse.

— Nous allons poursuivre cette charmante soirée, dans une pièce mieux adaptée. Suis moi, ma salope. Et fais attention à ne pas tomber.

A tout petits pas, elle quitte le salon en suivant son Maître, ressort de la maison, et s’engage dans une allée de graviers, à peine visible dans la végétation, qui aboutit à une ancienne dépendance. Sébastien prend une clé dans sa poche, ouvre une lourde porte métallique, et pousse Chloé à l’intérieur.

La pièce, apparemment sans fenêtre, est totalement noire. Lorsqu’il allume la lumière, Chloé découvre une immense pièce, dont les murs semblent capitonnés. Répartis sur le sol en pierre, une longue table, des bancs, une croix de saint André, un grand lit de bois équipé simplement d’un mince matelas. Des cordes sont accrochées au plafond, et se terminent pas des mousquetons. Des placards sont disséminés le long des murs, sur lesquels Chloé aperçoit des anneaux scellés.

Un frisson d’effroi parcourt tout son corps. Elle réalise que tout cet attirail ressemble à ceux qu’elle a parfois aperçus dans des vidéos pornos qui lui donnaient la nausée.

— Je t’en prie, mon Maître, supplie-t-elle. Laisse moi partir, je ne dirai rien. Pas même à Lola !

— C’est trop tard pour changer d’avis, ma petite salope. Tu as accepté de rentrer dans mon jeu. Tu m’as même présenté Lola ! Tu es à moi maintenant. Tu es ma chose, mon objet sexuel. Mais je te rassure, ça te plaira ou plutôt, tu finiras par y prendre goût.

— Non, Maître Oh non ! Dit-elle en sanglotant. Je suis certaine que je vais vous décevoir, je ne suis pas une femme pour vous.

— Que dis-tu ? Tonne Sébastien. Tu n’as pas à avoir d’avis ni d’opinion dans ces domaines. Je te rappelle que je suis ton Maître, et c’est bien ainsi que tu m’appelles toi-même ! Tu as gagné : tu vas avoir droit à ta première punition !

D’un geste brusque, il saisit le bras de Chloé, et l’entraîne sur le côté droit de la pièce, là où pendent les cordes, accrochées à des poulies fixées au plafond. Il saisit l’un de des poignets, le lève très haut, et accroche le bracelet de cuir au mousqueton. Puis c’est au tour de son autre poignet d’être attaché.

Sébastien décroche l’entrave qui relie les chevilles de Chloé, mais c’est pour l’obliger à écarter les cuisses, pour pouvoir attacher les deux autres bracelets à des anneaux fixés dans le sol. Chloé panique, implore celui qu’elle considère à ce moment comme son bourreau.

— Non, mon Maître, non ! Ne me faites pas de mal, je vous obéirai !

Loin de se laisser infléchir, Sébastien va chercher dans le placard une grosse boule en silicone, reliée à une sangle en cuir. Il enfonce la boule dans la bouche de Chloé, et fixe la sangle derrière sa tête. Bâillonnée, dans l’incapacité de dire un mot, ses cris sont étouffés, pendant que son Maître règle les cordes qui tirent sur ses poignets.

Chloé est littéralement pendue par les bras, écartelée. Elle ne peut plus bouger, terrorisée, et le sourire carnassier de Sébastien n’est pas fait pour la rassurer. Au contraire. Ses larmes jaillissent de nouveau, quand elle le voit s’approcher, en tenant une cravache.

Il est bien conscient de l’état de panique de sa soumise. Il sait que cette étape sera décisive. Il doit fouetter suffisamment fort Chloé, pour qu’elle ressente la douleur, mais pas trop, pour que, de cette douleur, naisse un plaisir inconnu pour elle. Il est persuadé que cette jeune femme sera bientôt accro à ces jeux, s’il s’y prend bien.

Il tourne autour de Chloé, qui le suit de ses yeux exorbités par la peur. Il fait passer la mèche de la cravache sur les pointes de ses seins, à l’intérieur de ses cuisses, entre les lèvres de sa chatte. Elle tremble, et si elle n’avait pas eu le bâillon, elle aurait hurlé, lorsque la cravache s’abat une première fois sur ses fesses cambrées. Un deuxième coup suit, puis un troisième.

Sébastien revient devant Chloé, et frappe plus légèrement son entrecuisses. Même si la force de ce coup est modéré, Chloé le ressent d’une manière très vive. Elle appréhende qu’il recommence, plus fort, mais non. La mèche de la cravache effleure son ventre, remonte vers sa poitrine.

— Mon Dieu, pense-t-elle. Pas sur mes seins. Ils sont sensibles, et là, c’est encore pire, car ils bandent. Je me demande bien pourquoi.

Sébastien donne des coups de cravache, sur les côtés des petits nichons de Chloé. Elle souffre, mais elle s’attendait à pire. Il revient à côté d’elle, et un grand coup sur ses fesses la surprend. Suivi d’autres.

Une sensation trouble envahit Chloé. Sa position est humiliante, mais elle éprouve quelque chose qui ressemble à du plaisir d’être exhibée ainsi. Sa soumission l’exonère de toute responsabilité, elle subit, et ce n’est finalement pas désagréable.

Et puis, il y a les coups de cravache. A la douleur se mêle, là aussi, un autre plaisir, et même de l’excitation. Elle se rend compte qu’elle coule, que ses tétons dardent Pourvu que son Maître ne s’en aperçoive pas

Ce fol espoir ne dure pas longtemps. Sébastien se saisit de son smartphone, et prend toute une série de photos de sa soumise. Nue, écartelée, bâillonnée. Les larmes sur son visage ravagé par la douleur et le plaisir. Les zébrures rouges laissées par la cravache sur son joli cul. Sa chatte et ses seins

— Mais tes nichons bandent, salope ! Et tu mouilles, tu coules même Attends, je vais te donner encore plus de raisons d’être excitée.

Sébastien se dirige vers une des armoires, et revient avec un accessoire que Chloé n’identifie pas au premier coup d’il. De petites pinces, une chaînette Il ôte son bâillon. Il se place derrière elle, et elle sent l’énorme bosse de sa queue dressée, comprimée dans le cuir de son pantalon, collée contre ses fesses douloureuses.

Les mains de Sébastien enserrent ses seins, les malaxent. Elle ne peut pas s’empêcher de ronronner de plaisir, et il commence à pincer ses tétons, les tourner. De plus en plus fort. Ses pointes se dressent, stimulées par la souffrance qui irradie dans les deux globes durcis. Sébastien  en  prend une entre ses doigts, la tire, l’étire, jusqu’à arracher une petite plainte aiguë à Chloé, et il place une pince sur la petite framboise grenue qui coiffe le mamelon. Puis c’est au tour de l’autre sein de Chloé. Les pinces, reliées entre elles par une mince chaîne, allongent les tétons de Chloé, qui grimace de douleur.

Mais ce n’est pas tout. De la chaînette, qui relie les seins, pend une autre chaînette, terminée par une pince identique. La main de Sébastien descend entre ses cuisses, et découvre son clito gonflé, luisant de cyprine.

— Je vois que ça te fait mouiller d’être pincée, ma petite salope, lui murmure-t-il à l’oreille. Alors réjouis toi. Tu vas adorer la suite

Comme il l’avait fait avec ses tétons, il masse le petit bouton qui pointe hors de son étui, le roule entre ses doigts. La respiration de Chloé devient saccadée, elle devine ce qui l’attend. Alors, Sébastien installe la troisième pince sur son clitoris hypersensible. Elle pousse un véritable hurlement, et se cambre, comme un animal blessé.

— Ooooh mon Maître Je t’en prie, ça fait trop mal.

— Détends toi Chloé. Tu vas t’habituer Et tu vas aimer Mais je vais m’occuper aussi de ton adorable cul. Cambre toi Mieux que ça, salope !

Chloé n’avait pas vu que Sébastien tenait aussi dans sa main un magnifique Rosebud. D’une taille impressionnante, orné d’une belle pierre, d’un bleu profond. Elle regarde le bijou, subjuguée, et se cambre. Elle sent son Maître écarter les deux globes de ses fesses, et deux doigts, lubrifiés par sa propre mouille, ouvrir sa rosette, s’y glisser et tourner, pour la dilater.

Sébastien ne veut pas pénétrer sa soumise trop brutalement, et c’est avec douceur qu’il enfonce le cône du plug dans le petit illet sombre de Chloé. Le Rosebud progresse lentement, puis, lorsque la partie la plus renflée est passée, le bijou vient se placer de lui-même au creux de son cul. Cette pénétration a provoqué un flot de sensations chez Chloé, qui reste cambrée, haletante.

Sébastien reprend son smartphone, et c’est une nouvelle série de photos de sa soumise, avec ses seins et son clito pincés, et son bijou anal. Puis il détache ses chevilles et ses poignets.

— Bien. Nous allons faire une petite pause, lui annonce-t-il. Tu vas aller jusqu’à la maison, et me ramener mon whisky, un verre, et le seau à glaces rempli. Sur un plateau, tu en trouveras un dans le bar. Et fais attention à ne rien renverser, sinon tu seras punie.

Chloé frotte ses poignets et ses chevilles endolories, et détend son corps ankylosé après être resté écartelée si longtemps. Sébastien lui ouvre la porte, et elle sort dans l’air tiède du soir, nue. C’est une sensation qui lui rappelle sa première séance de nudisme sur une plage. Mais cette fois, il y a les pinces et le Rosebud. Elle avance difficilement sur le gravier de l’allée, juchée sur ses hauts talons qui lui donnent une démarche de pute en train de racoler, et à cette pensée, elle sent la honte revenir.

Dans la maison, elle trouve facilement ce que lui a demandé Sébastien, et elle va le rejoindre, avec mille précautions pour ne pas pencher le plateau ni renverser son contenu. Quelques instants plus tard, elle pousse la porte de la dépendance, dans laquelle il l’attend.

Il s’est déshabillé pendant ce temps. Chloé découvre enfin, "en vrai", ce corps qu’elle a aperçu longuement sur son écran. Sa verge, à demi dressée, lui semble encore plus épaisse, et elle sait qu’elle doit se préparer à la recevoir, même si elle est incapable d’imaginer ce que Sébastien va inventer pour en arriver là.

— C’est bien, ma petite salope. Tout est là. Pose le plateau sur cette table, et sers moi un whisky.

— Oui, Maître, répond Chloé, tête baissée.

— Et ensuite, tu t’agenouilleras à côté de moi, cuisses écartées, tes mains derrière ta nuque, ajoute-t-il en s’asseyant sur une chaise, à côté de la table.

Chloé verse le whisky, y ajoute deux glaçons, et tend le verre à Sébastien, qui contemple sa soumise. Elle se met à genoux, et pose ses mains derrière sa nuque. Ce mouvement remonte sa poitrine et la fait saillir.

Il boit une première gorgée, puis prend un glaçon, et le frotte contre les seins de Chloé. Saisie par le froid, elle frémit, ses chairs se contractent, et la chair de poule marque sa peau. Ses tétons et son clito gonflent et se dressent, et elle est obligée de se mordre pour ne pas crier, tant les pinces lui font mal.

Sébastien suit avec un il de connaisseur les réactions de sa soumise. Il sait que la douleur qu’elle ressent se mêle à l’excitation et au plaisir, et il poursuit son petit jeu. Les glaçons fondent vite et se succèdent, sur son ventre, ses fesses, entre ses grandes lèvres, mais c’est surtout sur les aréoles sensibles de Chloé qu’il insiste. Elle coule, et de temps en temps, il passe un doigt dans sa fente, puis il l’oblige à le sucer ensuite, et à avaler sa cyprine.

Après avoir bu son whisky, Sébastien se relève. Il remet Chloé debout, et la conduit vers une  table, sur laquelle elle doit s’allonger.

A nouveau, elle est attachée. Ses poignets d’abord, à des cordes attachées de chaque côté de sa tête. Ensuite, ses chevilles, au même niveau que ses poignets. Ses jambes sont relevées, écartelées, et dans cette position, sa chatte et son cul sont offerts.

Sébastien la laisse ainsi plusieurs minutes, sans la toucher, pour faire monter en elle la peur et le désir. Puis, il commence à la caresser, du bout des doigts. Son cou, ses épaules, le haut de son buste, son ventre, l’intérieur de ses cuisses. Il évite les zones les plus érogènes, pour faire durer l’attente.

Cette attente, pour Chloé, devient insupportable, surtout avec l’inconfort du bois de la table.

Et enfin !…

Sébastien touche l’abricot gonflé, juteux de Chloé. De la pointe de son index, il tourne autour de son petit bouton pincé, il écarte ses grandes lèvres, ourlées de son jus. Chloé ne peut retenir un long gémissement de plaisir, lorsqu’elle le sent s’enfoncer dans sa fente. Son Maître explore sa grotte, avec un soin infini. Et elle crie, quand il atteint son point G.

Pour ne pas faire souffrir Chloé au-delà du supportable, il enlève la pince qui écrase son clito, avant d’introduire un deuxième doigt dans son minou. Cette entrée est saluée par un jet de mouille, qui dégouline sur la main de Sébastien. Puis un troisième doigt investit son fourreau Un quatrième Ils vont et viennent, dans un bruit humide, tandis que, de son pouce, Sébastien écrase le petit bouton tendu.

Les gémissements de Chloé se sont transformés en vocalises, qui retentissent entre les vieux murs, heureusement insonorisés.

— Tu aimes ça, salope ?

— Oh oui, mon Maître, c’est bon. Je sens que je vais jouir.

— Attends, retiens toi. Tu jouiras seulement lorsque je t’y aurais autorisée !

— Oh mon Maître Ayez pitié de moi J’ai tellement envie.

— Tu ne pourras venir que lorsque ma bite sera dans ta chatte. Tu la veux ?

— Oui, oui ! Je veux votre bite, dans ma fente de salope. Je la veux, Maître, bien au fond de mon ventre.

— Alors, prépare toi, tu vas être servie.

Le bassin de Chloé repose au bord de la table, et Sébastien se place face à l’orifice qui l’attend et le réclame. Il fait glisser son gland gonflé entre les petites lèvres de sa soumise, dont la respiration est de plus en plus irrégulière. Sa longue attente prend fin D’un vigoureux coup de reins, il plante sa queue dans la grotte trempée d’une Chloé, hystérique, qui se tord de plaisir en hurlant.

Elle est tellement lubrifiée qu’il enfonce tout son dard, d’une seule poussée. A travers la mince paroi, il sent la présence du Rosebud, comme si un autre homme sodomisait Chloé. Il marque une courte pause, mais elle n’est plus qu’une chienne en chaleur. Elle contracte spasmodiquement ses muscles, pour masser l’épaisse tige de toute la force de son vagin.

Sébastien est presque dépassé par cette situation, alors qu’il l’a créée. Cette salope le rend fou de désir à son tour, et il ne parvient plus à se contrôler. Il se met à pilonner avec rage le sexe de Chloé,  dont le dos décolle de la table à chaque pénétration sauvage.

Elle jouit enfin, en giclant comme une fontaine, dans un concert de râles, de hurlements, et de mots crus, sans suite.

— OOOooooh ! Ouiii. Je jouis Oh putain ! Aaaaah, oui, Ta bite Je Oui, plus fort Je suis ta salope oooooh ! inonde moi de ton foutre

Mais Sébastien parvient malgré tout à retarder son éjaculation. Il continue de défoncer, sans faiblir, le petit minou de Chloé, qui sent de nouvelles vagues de plaisir monter. Elle ne pense plus à ses chevilles douloureuses, aux crampes qui la surprennent dans ses cuisses, à la dureté de la table qui ruine son dos.

Elle part dans une série d’orgasmes, lorsqu’elle sent la liqueur de son Maître remplir sa chatte, et déborder en coulant sur ses fesses.

Pour Sébastien aussi, le plaisir est total. Une "petite mort" Rarement il avait atteint de tels sommets dans l’extase. Sa soumise est à lui, et il compte bien en faire son esclave sexuelle, consentante.

Pour l’instant, il se retire. Son sexe encore dur est luisant, gluant, enrobé dans une épaisse couche de sperme crémeux et de mouille. Il fait le tour de la table, et vient le planter dans la bouche de Chloé, pour qu’elle savoure leurs liqueurs.

La tête renversée en arrière, elle reçoit avec gourmandise entre ses lèvres le pieu qui vient de lui donner tant de plaisir. Elle le suce goulûment, bruyamment, sans honte ni retenue. Sur sa langue, elle sent la bite durcir déjà à nouveau.

Sébastien détache Chloé, et la fait mettre à genoux, une fois de plus. Sans un mot, il prend sa queue dans une main, empoigne la chevelure de sa soumise, et enfonce son gland dans sa bouche, jusqu’à buter au fond de sa gorge. Elle étouffe, hoquette, mais elle ne le repousse pas. Elle saisit les fesses de son Maître, et se met à le sucer avec fougue. Très vite, il bande, et sa verge coulisse entre les lèvres de Chloé.

Il ne veut pas lui laisser l’initiative, et tire ses cheveux, pour lui montrer que c’est lui le Maître.

— Tu vas prendre ma queue au fond de ta gorge, aussi loin que tu pourras. C’est compris ?

— Oui mon Maître Elle est trop bonne, j’adore te sucer.

Elle n’a pas fini sa phrase, que Sébastien commence à aller et venir avec brutalité dans la bouche de sa soumise. Il la gifle, quand elle n’arrive plus à reprendre sa respiration, et il parvient à introduire toute sa tige épaisse, jusqu’à sentir la luette contre son gland.

Chloé n’est pas loin de s’évanouir, lorsqu’il se retire enfin. Elle ne parvient pas à reprendre son souffle, et reste là, agenouillée, en appui sur ses bras tendus, des larmes roulant sur ses joues.

Le sexe de Sébastien a, lui, retrouvé toute sa vigueur, et se dresse fièrement. Lorsqu’elle reprend ses esprits, Chloé lève des yeux implorants vers son Maître, espérant qu’il va mettre un terme à cette séance. Mais elle se trompe lourdement.

Il la saisit de nouveau par les cheveux, et la ramène vers la table sur laquelle il l’a baisée. Cette fois, elle reste debout devant la table, et doit seulement se pencher, pour que Sébastien attache ses poignets à des anneaux fixés sur l’autre côté du plateau.

— Cambre toi, salope, lui ordonne-t-il. Montre moi ton cul.

Chloé s’exécute, et elle s’aperçoit avec horreur qu’il a repris sa cravache. Sébastien, sadique, apprécie la position cambrée de sa soumise, qui fait ressortir ses fesses, encore marquées par les coups de tout à l’heure. Il a une telle envie de la sodomiser !

La cravache s’abat une première fois sur sa croupe. Elle crie, se cabre comme un animal pris au piège, mais la mèche de cuir la cingle une deuxième fois, encore plus fort. A chaque coup, la chaînette accrochée à ses seins pincés ballotte, et cogne le bord de la table dans un cliquetis métallique.

— Tu aimes ça, hein, ma salope ?

— Oui, Maître, avoue-t-elle et elle ne lui ment pas.

— Je le vois bien, tes cuisses sont pleines de ta mouille. Tu en veux encore ? Insiste-t-il, alors qu’il abaisse de nouveau brutalement la cravache.

— Oh oui Aïe !!!! Tu me rends folle.

— Et tu aimerais que ma bite défonce ton petit cul ?

— Ou Oui. Oui, Maître.

— Alors, demande le moi ! Supplie moi !

— Je t’en prie, Maître Oooohhhh ! En Encule moi.

Chloé mesure son humiliation. Elle est devenue, sans se défendre, l’esclave sexuel de Sébastien. Jusqu’où s’abaissera-t-elle ? Elle sent le Rosebud qui bouge dans son anus. Il est en train de lui retirer doucement, et elle gémit quand la base du cône franchit sa rosette.

Sébastien, ravi et excité, contemple le petit trou de sa soumise, qui reste dilaté. Il sait qu’il va la pénétrer sans difficulté, et il bande déjà comme un taureau en rut.

Il se place derrière Chloé, et pose le bijou anal sur la table, sous les yeux de sa soumise. Il prend sur ses doigts un filet de cyprine qui coule de la chatte inondée en permanence, et en enduit son gland, puis crache dans le sillon des fesses offertes de la jeune femme.

Chloé attend la pénétration, avec autant d’angoisse que de désir. Ce n’est pas la première fois pour elle. Elle garde, de ses expériences, des souvenirs très contrastés : certaines fois, pénibles et douloureux, d’autres, somptueux, la laissant épuisée et comblée.

Elle ne cherche pas à se contracter, lorsqu’elle sent le gland de Sébastien pousser la porte restée entrouverte de son sphincter. Elle ne peut pas retenir ses cris, quand il s’enfonce en elle brutalement, d’un seul coup de reins. Il n’a pas réussi à introduire sur toute sa longueur sa tige épaisse dans le fourreau de sa soumise, mais il ne lui laisse aucun répit. Pas de mouvements de va et vient pour l’instant, il maintient sa poussée, en tenant de ses mains fortes les hanches de Chloé pour l’empêcher de bouger.

— Tu la sens bien, ma queue, ma salope ?

— Oui, Maître Elle est grosse Elle me remplit Olala Oh oui, c’est bon

— Alors, demande moi de te défoncer.

— Oh mon Maître, j’ai envie que tu défonces mon petit trou

Sébastien, qui s’était immobilisé au fond du ventre de Chloé, ressort sa verge presque entièrement, marque un court temps d’arrêt, et enfonce à nouveau son pieu, en entier, de toutes ses forces. Elle a mal, elle hurle, mais rien n’attendrit son Maître, ivre de désir. Il pilonne l’étroit orifice sans vergogne, et elle a l’impression qu’elle va exploser.

Les seins de Chloé, pincés, tendus, ballottent sous son torse, et Sébastien tire sur la chaînette, arrachant d’autres cris à la pauvre soumise. De son autre main, il triture son clito, le pince aussi et le tourne entre ses doigts.

Contre toute attente, Chloé sent le plaisir naître au creux de son ventre. Sa chatte n’est plus qu’une fontaine, et l’orgasme monte en elle, incontrôlable.

— Je jouis ! Je jouiiis, crie-t-elle.

— Tu attendras que je te l’ordonne, rugit Sébastien.

— Je ne peux pas C’est trop fort Je viens, je jouiiiiis !

Furieux, il lui assène une violente claque sur les fesses, et reprend sa sodomie à un rythme d’enfer. La rosette de Chloé est en feu, mais son plaisir surpasse sa douleur. Elle a du mal à réaliser à quel point il est même décuplé par ce qu’elle subit.

Sébastien est lui aussi dans un état second. Jamais une soumise n’avait aussi bien réagi, et ne s’était autant lâchée, répondant à tous ses fantasmes. Alors, il retarde au maximum le moment où il va libérer les flots de semence qu’il sent sourdre dans ses couilles.

Chloé, quant à elle, s’abandonne complètement. Elle râle, gémit, hurle des mots sans suite. C’est un tsunami qui l’emporte. Elle jouit de nouveau, mais maintenant les orgasmes se succèdent comme les vagues dans la tempête. Elle gicle, avec une violence telle que la cyprine coule sur les cuisses de Sébastien.

Cette fois, il se laisse aller aussi. Il veut voir son sperme jaillir de son gland, et que Chloé le regarde à cet instant. Alors, il l’empoigne par les cheveux pour l’obliger à tourner la tête, il se retire, et dans un concert de ahanements et de grognements, sa queue semble éclater, libérant de longs jets d’un foutre chaud et crémeux. Les fesses, les reins, les cuisses de Chloé en sont bardés.

Sébastien est obligé de prendre appui sur la table pour récupérer, et le couple reste ainsi plusieurs minutes, haletant, à se regarder. Il finit par libérer sa soumise, lui tend une serviette pour qu’elle s’essuie, et il l’autorise enfin à s’asseoir sur une chaise.

— Ça t’a plu, n’est ce pas, petite garce ?

— Oui, mon Maître, répond elle d’une voix encore essoufflée.

— Demain, ce sera le tour de Lola. Je veux que tu sois présente. Et que tu participes ! Je veux faire de vous deux mon petit harem de soumises vicieuses.

— Je vous obéirai, mon Maître. Mais que dois je dire à Lola, quand je la verrai demain matin au bureau ?

— Rien du tout ! Je vous donnerai mes ordres par SMS, comme je l’ai fait pour toi aujourd’hui. De toutes manières, Lola aura droit à un "programme" différent du tien. Et avec deux salopes comme vous, je vais pouvoir laisser libre cours à mon imagination.

Sébastien offre un whisky à Chloé. Même si elle n’a pas l’habitude de boire de l’alcool, elle a bien besoin d’un remontant, après une telle soirée. Pendant qu’ils se remettent de leurs efforts et de leurs émotions, la conversation prend un tour plus convivial, et elle découvre un autre personnage derrière le masque du Maître dominateur.

Chloé est toujours nue. C’est presque à regret qu’elle remet son petit tailleur en lin, pour rentrer chez elle. Elle sort de la maison de Sébastien, alors que la nuit est déjà tombée, et remonte dans sa voiture. Comme Lola la veille, elle a l’impression que ce qu’elle vient de vivre est irréel. Est-ce un rêve ou un cauchemar ? Mais les pointes de ses seins meurtries par les pinces, ses fesses fouettées, et ses orifices chauffés à blanc par la queue de Sébastien lui confirment qu’elle est sa soumise

De retour dans son appartement, elle passe près d’une heure sous la douche. Avant de se coucher, elle regarde son smartphone : 9 appels en absence, et 5 messages. Tous de Lola. Elle s’inquiète, demande comment ça s’est passé Ignorant les consignes de son Maître, elle répond laconiquement : tout va bien. Tu verras demain soir pour toi, mais je te conseille d’y aller.

Puis elle se couche, et sombre dans un sommeil sans rêves.

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