Je méditais sur ma situation totalement improbable. Isabelle m’avait enfermé dans ma niche ayant besoin de se reposer après sa nuit et sa matinée particulièrement employées. Je n’étais libéré ni de ma cage ni du verrou de mon cul, à grand regret. J’avais du renfiler le masque de cuir qu’elle avait serré au maximum me comprimant à nouveau, fermant le collier à sa base par un cadenas, plus symbolique qu’autre chose. Les oreillères étaient amovibles, permettant d’obstruer à volonté mon audition. Isabelle s’approchant de mon oreille m’appris que je la porterai pendant les deux prochains mois, qu’elle ne voulait pas voir ma tête, et que j’étais bien plus sexy ainsi. Impossible de ma raser, j’aurais juste droit de me brosser les dents de temps à autres, quand elle y penserait. Rester dans le noir et comprimé ainsi me semblait une torture délirante. Je savais Isabelle peu persévérante, aussi je me dis que cela ne durerait au pire que quelques jours. D’un autre côté ce qu’elle m’avait montré de sa personnalité semblait montrer le contraire. Elle enferma ma taille dans un corset pour homme et eut beaucoup de mal à trouver la bonne position pour me serrer, jusqu’à ce que je me mettre à 4 pattes et qu’elle appuie avec son pied sur mes reins. La sensation était angoissante, j’avais du mal à respirer, la cagoule n’aidant pas, et la tension était déjà douloureuse. Isabelle était satisfaite du résultat, tandis que je me sentais totalement me rigidifier. Grimper dans le placard fut difficile, m’allongeant sur le ventre, elle attacha les deux coudes l’un à l’autre dans le dos, ainsi que les poignets. Mes jambes repliées furent reliées à la cagoule, tirant ma tête en arrière dans une tension douloureuse. Je ne pouvais bouger d’un millimètre. Mes jambes relevées et écartées laissaient mon sexe encagé reposer sur le sol du placard. Isabelle prit une fine cordelette, entrepris de saucissonner mes couilles douloureuses, très serrées, les séparant en deux boules tendues qu’elle tira très fort en les attachants à un crochet de chaque côté du placard. Je gémissais de souffrance, et le moindre mouvement était une brûlure dans mes couilles. Mais pourquoi était-elle si dure avec moi ? Parce qu’elle voulait me casser me rappela notre conversation.

Isabelle sembla satisfaite, avant de réaliser qu’elle avait oublié de me bâillonner. Elle choisit un bâillon en forme de sexe, et rempli ma bouche avec. La sensation était horrible, j’étais envahi et avais le sentiment de pouvoir vomir à chaque instant. Elle l’attacha très serré, provoquant une tension supplémentaire dans ma mâchoire. Avant de me remettre les protections pour les oreilles, Isabelle me souhaita une bonne nuit avant de me laisser dans le noir et le silence absolus, me disant que ce n’était que le début de l’après-midi et que ce ne serait pas possible de tenir jusqu’au lendemain matin, je n’en pouvais déjà plus. Je ne me doutais pas que cette première nuit, serait, et de loin, la plus confortable et agréable de toutes, et qu’Isabelle n’allait faire que monter en gamme dans son sadisme envers moi. Pas une seconde je me demanderais si elle m’aimait, là n’était plus la question, je ne penserai plus qu’à lui obéir et lui appartenir en tout et pour tout.

Je ne réalisais pas que les deux mois étaient passés, cela faisait très longtemps que j’avais perdu conscience du temps et de bien d’autres choses, mon esprit grillé par des souffrances et des contraintes sans cesse répétées et renouvelées. Mes nuits étaient sans doute les moments les plus difficiles de la journée. Toujours ligoté dans des positions douloureuses qui étiraient mes membres, j’étais maintenant capable de tenir indéfiniment les bras retournés dans le dos et les mains en position de prière, mais dès la seconde nuit Isabelle introduisit les tortures électriques pour être certaine que je ne puisse raisonnablement me reposer. Ma cage a été enlevée afin de permettre de mettre des électrodes que ce soit sur le prépuce ou dans le méat, de façon profonde. Isabelle a acquit une véritable machine professionnelle capable de stimuler en 6 endroits différents avec des programmes et des intensités variables. Entre mes tétons, mes couilles, mon sexe ou mon cul, les souffrances sont toujours à la limite du supportable. Dans mon cul, les plugs sont de plus en plus imposants, et les décharges électriques provoquent une contraction du rectum, j’ai le sentiment de me faire pistonner par une très puissante fuck machine. Après des heures quotidiennes de ce traitement, mon rectum est totalement distendu, achevé par les trois lavements de 3 litres que je prends au réveil. Sur une suggestion du blog, Isabelle a pris l’habitude de m’insérer les électrodes des couilles directement à l’intérieur en m’y enfonçant des aiguilles. La simple pénétration est atroce, mais quand le courant se met à circuler de façon alternative, je ne suis plus qu’un hurlement en continu. Quant à mes tétons j’ai le sentiment qu’ils sont broyés plusieurs fois par minutes et quand l’électricité cesse, c’est pour qu’ils soient placés sous vide pour les gonfler au maximum et les dilater, tant Isabelle me souhaite avec des tétons de femelle.

Au matin, je suis détaché et libéré de ces contraintes. Le plus souvent ce n’est pas Isabelle qui s’en occupe, je ne sais combien d’hommes elle a ainsi utilisé, mais par pur sadisme, elle m’enlève mes protections d’oreilles pour que je puisse entendre comment elle les remercie. J’ai peine à croire que ses orgasmes ne sont pas surjoués tant ils sont puissants et violents, et les promesses qu’elle me fait tout en criant son plaisir illustrent son sadisme qui me semble sans fin. Et terrifiant. Car elle met systématiquement en pratique tout ce qu’elle dit, comme si elle s’en faisait un devoir. Une fois détaché, je suis mis dans le grand bac à douche où je subis les trois lavements successifs. Je serais bien incapable de les retenir si mon cul n’était alors pas bouché avec une canule gonflante qui bloc le retour de l’eau, provoquant des crampes sans fin. Pourtant je ne mange pas tellement et il y a bien peu à évacuer, mais c’est une habitude, une règle que je me dois de suivre. Je suis nettoyé au jet d’eau froide, assez désagréable sur la cagoule, à sécher tout seul à l’air libre, le plus souvent en grelotant. Enfin arrive ma gamelle, je meurs de faim tout le temps et je n’hésite plus à me jeter sur cette gamelle, qui est plutôt bonne. Isabelle me sert dans une grande gamelle des céréales aux fruits. Elle y ajoute des gélules de vitamine mais aussi des gélules d’hormones féminines achetés sur le Net. Elle s’est renseignée sur les doses, et échange avec un médecin soumis qui lui indique ce qu’elle doit acheter, sachant qu’elle exige un traitement qui soit le plus fort et efficace possible, sans être trop dangereux. Moi je n’en sais rien, et je suis heureux de cette pitance, même si tout est arrosé de son urine du matin. Ou parce que, ainsi je sens qu’elle est impliquée et que cela est important pour elle. Et qu’elle puisse renouveler cela chaque jour me stupéfie quand je sais comme elle déteste la répétition. J’ai le droit de boire deux fois dans la journée, un biberon qui m’est donné, toujours son urine, je n’ai rien bu d’autre. En fait si, à un moment où je pouvais l’entendre, elle m’a susurré que préparer son urine la fatiguait, qu’elle préférait pisser directement dans la bouche d’un des deux soumis qu’elle utilisait et que c’était l’urine du soumis que je buvais ! J’étais bien trop faible pour exprimer un quelconque abattement supplémentaire, mais pourtant mon esprit s’enfonça encore plus dans le noir et le néant.

Le reste de la journée était consacré à des séances, avec différents jeux dont j’ai oublié la plupart, commentées et discutées sur le blog, faisant intervenir d’autres soumis souvent. Je compris l’usage des deux fuck machines, la plus puissante pour me défoncer le cul pendant des heures avec des plugs de taille croissante (terminant avec 10 centimètres de diamètre, je pu effectivement constater que prendre le plug métallique 24/7 de la plus grande taille était non seulement possible, mais à ce stade, souhaitable). La plus petite des deux machines étaient alors positionnée face à ma cagoule, mon bâillon enlevé et j’étais entraîné pendant le même temps à des gorges profondes où je cru mourir les premières fois. Le mouvement était lent, mais très profond, près de 15 centimètres de débattement, venant remplir toute ma gorge, avant de se retirer et me permettre de respirer. Quelques jours suffirent pour que je m’habitue et que je sois capable de recevoir n’importe quelle bite au fond de la gorge.

Isabelle avait commencé par cela, et vouait, pour une raison que je n’ai jamais connue, un véritable culte à la torture de mes couilles. Qu’elles n’aient pas éclaté sous la pression des étaux qu’elle serrait de façon démesurée était surprenant, ou simplement en marchant dessus avec ses pieds chaussés ou nus. La découverte des aiguilles, puis de l’électricité à l’intérieur des couilles la ravissait et elle m’avoua dans un orgasme que si elle ne me les coupait pas, c’était pour me faire souffrir indéfiniment avec. J’avais l’impression de porter entre mes cuisses une source de souffrance ininterrompue qui jamais ne se tarissait.

Ces deux mois ne provoquent en moi que crise de panique et fébrilité. Rien que d’y penser et je tremble de tout mon corps. Isabelle pour sa part vécu cette période plus comme une contrainte nécessaire, même si elle y prit beaucoup de plaisirs, mais surtout découvrit énormément de choses et d’émotions sur elle et son pouvoir sur les autres. Elle n’était certes pas dupe de la soumission’ des hommes qu’elle utilisait, qui étaient surtout motivés par sa beauté, son corps et les faveurs qu’elle leur accordait. C’était quelque chose de particulièrement pervers de les voir torturer son ancien Maître, et de les récompenser en se faisant baiser sauvagement alors qu’il souffrait terriblement à côté, ignorant le plus souvent le plaisir qu’elle prenait et donnait. Isabelle était terriblement excitée dès qu’elle m’entendait gémir dans le bâillon, un puissant aphrodisiaque dont elle ne se passait plus. Mais son plus grand plaisir était le blog, qui devenait très fréquenté, elle avait même du ouvrir une section forum et organisait deux fois par semaines des chats. Si les soumis furent les premiers à les fréquenter, les couples gynarchiques se firent plus nombreux, certaines Maîtresses fascinées et intéressées par les traitements qu’elle infligeait et curieuse du résultat et du dressage qui s’en suivrait. Il n’y avait finalement pas tant de candidatures, les tourments subis effrayaient la plupart des candidats. Des Maîtres se positionnaient en vain vis-à-vis d’elle, tellement remplis de leur arrogance et ne comprenant pas que plus jamais elle ne s’abandonnerait, ni même traiterait un homme sur un pied d’égalité. Et au fond, si sa rage et sa violence se calmaient progressivement, elle en oubliait parfois le point de départ, son désir de me posséder était grandissant et son affection tout autant. J’étais rentré dans un profond syndrome de Stockholm et était en pleine dévotion, Isabelle s’était fortement attachée et prenait toutes mes souffrances comme des demandes de pardon de ma part. Finalement ces deux mois lui permirent de me pardonner, mais n’entamèrent en rien son désir de me dresser, de me posséder au plus profond de moi-même. Elle était heureuse que cela se termine, estimant être allée aussi loin que possible et qu’il était bien plus intéressant à la fois d’exprimer cette domination sous l’angle mental, mais aussi de m’utiliser. Enfin elle avait besoin de moi pour parfaire l’ensemble de ses projets de prise de contrôle.

Un matin, après la douche glacée nettoyante habituelle, je sentis Isabelle contre moi, me mettant à trembler violemment, de désir, d’envie de me jeter à ses pieds, de crainte aussi. Elle enferma mon sexe dans la cage de chasteté, il ne la remplissait plus, sans doute le froid mais aussi le traitement subi avec les hormones. Cela faisait longtemps que je ne me souvenais plus d’avoir eu une érection. Les pointes de discipline furent vissées à fond, me blessant à nouveau. Sa main tâtonna à l’arrière de ma cagoule, un clic, elle enleva le cadenas et défit les lacets qui la maintenait compressé contre mon visage depuis si longtemps. J’en aurais joui sur moi si cela avait été possible, la délivrance était absolument extraordinaire. Je retrouvais la douceur de l’air sur ma peau, le fait de pouvoir ouvrir librement la bouche, plisser mes joues. Je gardais les yeux fermés, à la fois par peur de la lumière, mais aussi terrorisé de les ouvrir et de faire une erreur. Je tremblais d’émotion. Je ne portais plus que ma cage et le plus gros des plugs métalliques. Isabelle me prenant par la main, d’un ton autoritaire, m’enjoint de la suivre à la salle du bain du bas. Je la suis maladroitement, d’abord par manque d’exercice, mais aussi gêné par l’engin qui m’écarte le fondement. Elle entreprend de me raser entièrement le visage et le crâne, me redonnant à peu près une allure humaine, passant de la mousse et une lame que tout soit net. Je ne bouge pas, je ne cille pas, je suis aux anges. Je me sens propre comme jamais. Elle m’indique s’absenter quelques instants, je dois me laver les dents méticuleusement, prendre le temps de me regarder et l’attendre à genoux, les jambes en équerre, le regard baissé. La vision que j’ai de moi est étrange. Déjà voir alors que je suis depuis deux mois dans le noir complet. Je cille des yeux, l’impression de voir un inconnu, d’autant que je ne me regarde jamais dans une glace. Je m’attendais à me voir largement amaigri, il n’en est rien, mes formes se sont plutôt arrondies, mes muscles ont fondu, je suis mou de partout. C’est étrange, j’aimais mon corps, mais là la douceur de la chair m’excite. Isabelle m’a largement rasé les sourcils également, rendant mon visage plus doux, plus jeune aussi. Je me sens un peu honteux à la vue de mon poitrail. J’ai de vrais seins comme un routier bien gras, cela fait négliger. Les tétons sont très formés, c’est joli et je découvre un élastique à leur base qui a du m’être posé pour les stimuler. Ils sont très sensibles et me provoquent du plaisir, même si ce plaisir ne se retrouve pas dans mon sexe qui reste inerte. Je me lave les dents avec un grand bonheur, sentant une immense fatigue en moi, et un amour démesuré pour Isabelle qui me fait battre le cur. Je me jette à genoux sur le carrelage et j’attends son retour. Il se passe plusieurs heures avant que la porte ne s’ouvre et que ses chaussures entrent dans mon champ de vision. Elle m’attrape par le cou et me dirige dans notre chambre sans un mot, j’ai le regard figé sur ses talons aiguilles qui claquent sur le parquet, je n’en mène pas large.

« Bien, maintenant je vais t’expliquer quel va être ta vie, et aussi quelle est la mienne, bien entendu. Tu m’as ouvert sur moi-même et je suis heureuse, tellement plus heureuse ainsi. J’ai beaucoup de projets pour toi qui vont te plaire, j’en suis certaine, mais aussi des règles que tu devras suivre en toutes circonstances. Tu as une idée de ce que je suis capable de te faire subir, et je peux t’assurer que je ne suis pas allée au bout. Je voulais te briser, c’est fait, maintenant je vais te modeler.

Avant de t’énoncer tes règles de vie, et commencer ton dressage très précis, je vais prendre le temps de t’expliquer ce qui va arriver dans les semaines et les mois qui viennent. Quand je parle de dressage c’est vraiment de cela dont il s’agit. Je sais que tu seras toujours parfaitement obéissant maintenant, le simple souvenir d’une nuit dans ton placard doit suffire à te motiver. Le dressage c’est un comportement irréprochable, immédiat, précis et parfait à chaque instant de ta journée. Si tu oublies une miette ce sera 100 coups de canne sur tes fesses, 3 secondes de trop pour obéir et c’est 30 coups de cravache sur tes couilles, un verre pas assez ou trop rempli un lavement de 5 litres dans ton ventre. Je pense que tu vois le tableau mais nous aurons le temps d’y revenir. Je te veux plus que parfait, sachant que tu seras puni pour tout ce qui peut me déplaire, même si tu n’en as pas reçu l’instruction précise. C’est à toi de deviner ce qui me plaît ou pas et faire en sorte que tout soit parfait. Même si ce n’est pas de ta faute. Par exemple, si le chauffage est en panne, tu passeras 48h avec des électrodes dans tes couilles. Tout en devant continuer à faire un travail impeccable.

Pour commencer par le plus simple, tu ne possèdes plus rien, ou presque. Comme nos comptes étaient liés, cela a été très facile de vendre tes différents portefeuilles d’action, transférer tous les montants sur mes comptes et les fermer sans qu’aucune alerte chez tes banquiers ne remontent. Il ne te reste plus qu’un seul compte vide mais ouvert dont j’ai besoin pour les dernières transactions à faire : ton parc immobilier. Tout a été vendu, y compris cette maison, sauf que tu me l’as vendue à moi ! Bien entendu je vais la payer avec ton argent et je récupèrerais le montant de la vente ensuite. Nous irons demain à la mairie pour que tu fasses une procuration à mon notaire, et tout sera réglé. Je pourrais fermer ton dernier compte. A mon âge je me retrouve avec plusieurs millions en banque, une grande maison au cur de Paris, je n’ai pas besoin de plus. J’ai donné ma démission et je vais jouir de la vie et de mon argent que j’ai bien mérité. Toi tu n’as plus rien, même plus d’abonnement téléphonique, de compte mail ou facebook, toutes tes traces ont été effacées. J’imagine mal comme tu dois être soulagé, tu n’as plus que moi à avoir dans la tête, tout le reste cest moi qui gère. Le jour où je serais fatiguée de toi, à toi de faire en sorte que cela n’arrive pas, tu te retrouveras sdf au mieux. Tu rêvais de devenir dépendant, tu l’es plus que tu ne pourras jamais l’être.

Donc tu n’es plus rien socialement. Maintenant physiquement, tu as pu voir que ton corps avait évolué, et il va continuer. Si tes neurones sont encore un peu connectés, tu te souviens que je voulais faire de toi ma femelle ? C’est en cours, tu prends des hormones depuis deux mois, et depuis un mois tu as noté sans doute les piqures que tu reçois. C’est un traitement permanent qui va te faire perdre tous tes poils, et toute ta virilité. Dans 1 an je pense que nous irons en Belgique pour te faire opérer et enlever ce que tu as entre les jambes. Je vais perdre un précieux jouet, mais je me dis qu’esthétiquement cela vaut la peine. J’hésite encore je dois te dire entre te faire faire un sexe féminin, ou rien du tout, juste un trou pour pisser, ce serait sans doute plus approprié. D’ici là pour que tu sois belle, tu te feras épiler au laser de la tête aux pieds, seuls tes cils ont le droit de survivre. Pour les sourcils, un trait de mascara te sera autorisé. Comme je te l’avais promis nous allons voir le même chirurgien qui m’a fait mon augmentation mammaire. J’espère qu’il pourra te mettre une poitrine E ou même F, tant tu as pris de la graisse à cet endroit-là. Pour les autres opérations, nous irons en Belgique : enlèvement de la glotte, affinage du nez, étirement des yeux. J’hésite encore pour la mâchoire, c’est une opération assez lourde et en fait j’aime bien l’idée que tu sois femelle, ni homme mais ni femme non plus. C’est fou tous les contacts qu’internet permet aujourd’hui et tout cela semble tellement naturel. Dans 18 mois tout au plus tu seras conforme à mon désir et à ma vision. Tu sauras parfaitement te maquiller, serrer ton corset et mettre en valeur ta magnifique poitrine, lisser tes bas et surtout marcher en permanence sur des talons de 15 centimètres. Tu te souviens comme tu aimais cela chez moi ? Chez toi ce sera plus facile parce que tu as des pieds certes petits pour un homme mais plus grands que les miens, mais plus difficile avec le pieu enfoncé dans ton cul en permanence. J’ai trop hâte de te voir ainsi et te sortir en soirée. J’ai longtemps réfléchi aux marques que je voulais que tu portes, et finalement je me contenterai d’une ou plusieurs marques au fer rouge, bien visible, des cicatrices creusées à l’acide qui seront très visibles, mais rien de plus, je crois que tu sens tellement en toi ta dépendance et ta dévotion que cela est inutile d’en faire plus. Mais qui sait ? Sur tes tétons de gros anneaux c’est certain, dès que l’opération est terminée, qu’ils soient toujours très visibles et proéminents. Tu es maintenant experte en gorge profonde et tu seras une invitée de choix pour les glory holes en tout genre ou les wc vivants, maintenant que tu as absorbé tellement d’urine différente. Je suis certaine que tu ne connais plus d’autres goûts liquides.

Maintenant passons à des choses plus concrètes et immédiates, tes règles de vie, qui sans doute s’étofferont un peu au fur et à mesure du temps. Tu vas voir que là aussi j’ai suivi avec attention toutes tes envies, toutes tes déclarations pour t’offrir la vie que tu rêvais et qui finalement va me combler. Nous nous sommes bien trouvés.

1. Pour commencer et finalement tout résumer, tu me dois une obéissance absolue, immédiate et permanente. Chaque expression de ma part est un ordre que tu dois exécuter immédiatement, quelles que soient les circonstances.

2. Je veux ressentir de ta part une totale dévotion, un amour immodéré, un désir de me combler, comme tu l’as si bien écrit dans tes messages avant de me rencontrer. A voir tes yeux et ton attitude je suis certain que cela te sera vraiment très facile.

3. Tu n’as aucun droit de lever le regard sur moi, sauf lorsque je dors et que tu peux alors me contempler à genoux pendant la nuit. Ce sera le seul moment où tu pourras te remplir de moi, sinon tes yeux seront rivés sur mes pieds en toutes circonstances.

4. Tu n’as pas le droit de parler sans que ce soit un ordre de le faire, en aucune circonstance. Ton attitude humble et soumise doit transparaître en public comme en privé, que chacun comprenne sans un seul mot ce que tu es, c’est-à-dire mon animal de compagnie et mon serviteur.

5. A chaque instant tu n’es rempli que de moi, de ce que tu peux faire pour me rendre la vie parfaite comme je le mérite. Tu seras très durement châtié chaque fois que je trouverais quelque chose qui me déplaît, que cela réponde à un ordre ou pas : à toi de veiller à ce que tout soit parfait et me convienne.

6. Tu m’obéis à moi comme à mes invités, tu es né et fait pour servir, tu le sais bien maintenant.

7. Tu es en charge de toute la maison. Je ne veux pas te voir trimer la journée, aussi toutes tes tâches doivent s’exécuter la nuit quand je dors, sans bruit bien entendu. Tu prépares les repas, fais le ménage, te fais belle en faisant tes trois lavements quotidiens et en vérifiant que ta peau est parfaitement lisse et huilée, refaisant ton maquillage, repassage chaque jour, toutes mes affaires sont systématiquement propres et bien rangées dans le dressing. Etc. Je ne vais pas te détailler toutes les tâches, à toi de savoir quoi faire. Et que je ne trouve pas de la poussière sur un placard. Une fois tout cela fait, tu as le droit de te mettre à genoux à mes pieds et me regarder dormir jusqu’à mon réveil. Tu ne dors pas la nuit, mais uniquement la journée quand tu as des périodes tranquilles ou que je suis occupée. Tu en profites pour prendre des forces.

8. Le matin quand je me réveille, tu me présentes ta gamelle avec tes céréales, tes vitamines et tes gélules d’hormones pour recevoir mon champagne du matin. Tu la mangeras pendant que je mange le petit-déjeuner que tu m’auras préparé en étant allé dans la meilleure boulangerie de Paris me prendre du pain. Tu as une gamelle d’eau dans la pièce d’eau du bas, avec celle du chat, tu peux boire quand tu veux. Si tu as besoin de te soulager, tu dois te débrouiller pour le faire dans le jardin ou la cour, les wc ne sont pas pour toi.

9. Chaque matin tu me présentes la canne pour recevoir tes 50 coups du matin, augmentés des 50 de la veille si j’ai eu la flemme de le faire avant de me coucher. Tu dois me remercier avec véhémence et ne pas bouger, sinon tu en reçois 10 fois plus.

Cela te donne une idée de ta vie, faite d’obéissance, de servitude, de dévotion. Tu n’as plus rien à penser que moi et mon plaisir. Je ne veux plus entendre le son de ta voix, ce que tu penses et peux dire m’indiffère comme tu ne peux l’imaginer. Je t’ai longuement admiré pour me rendre compte à quel point tu es fake et tu vas passer le reste de ta vie à le payer. Quand tu ne sais pas quoi faire, tu es à genoux et tu attends, tu peux aussi me baiser les pieds en signe de dévotion si cela ne me dérange pas. Voilà, très bien ma chienne, c’est exactement comme cela.

Pour fêter le premier jour de ta nouvelle vie, va me prendre la badine, j’ai envie de marquer ton corps comme tu l’avais fait il y a longtemps pour moi. Tu te souviens ? Oui je suis certaine que tu te souviens… »

C’était il y a 18 mois et Isabelle a tenu tous ses engagements. Il est 3 heures du matin et je me regarde dans la glace, qui me renvoie une image que je trouve infiniment troublante. Mon corps est un mélange unique d’homme et de femme, ni homme ni femme. Mes formes sont douces, arrondies, tendres. Ma poitrine est vraiment très imposante, les auréoles bien marquées par un tatouage approprié, les tétons très turgescents à force d’être sucé, pincé et maintenant percés de deux anneaux épais et lourds que je sens en permanence. Ma taille est serrée en permanence dans un corset ou un autre, ainsi bien marquée sur des hanches qui se sont épaissies avec les hormones. Mon visage s’est bien affiné et j’ai pris l’habitude de me maquiller de façon assez marquées, faisant ressortir le côté glabre et brillant de mon crâne qui exprime, sans doute le plus, mon aspect d’esclave. Je suis bien plus grande avec mes chaussures à talon, avec lesquelles je ne fais plus qu’une, à force je ne pourrais plus marcher autrement, mes tendons s’étant raccourcis. Enfin mon entrejambe ne manque de me fasciner. Parfaitement lisse, le travail est fantastique, les cicatrices invisibles, je ressemble à ces statues asexuées, mon urètre ramenée en arrière pour être masquée et émerger à proximité directe de mon anus. Je n’ai même plus de souvenir du plaisir de bander, mais je prends quand même du plaisir par ma prostate et par l’utilisation de ma chatte qui nécessite néanmoins des diamètres hors normes pour être bien stimulée. Ma vie est réglée complètement par ma Maîtresse, je ne pense plus, je n’agis plus spontanément, je suis piloté comme une poupée. Maîtresse accueille une jeune femme homosexuelle avec laquelle elle vit. Mademoiselle Sophie voue une haine immodérée aux hommes et ne manque pas d’être plus cruelle avec moi ce qui amuse beaucoup ma Maîtresse. Mais je souffre surtout d’angoisse qu’elle décide de se débarrasser de moi, je ne pourrais pas survivre sans elle, ne pas la voir même quelques heures est une souffrance pour moi, d’autant que je n’ai plus l’autorisation de la regarder dormir depuis que Sophie est là. Je ne sais plus ce que je suis, mais je n’ai plus de question à me poser, je ne contrôle en rien ma destinée.

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