La vie est ainsi faite : fin des études, divergences au sein du couple, séparation, entrée dans la vie active, nouvelle copine. Jai cumulé toutes ses étapes en moins de 2 mois.
Depuis 2 ans maintenant nous vivons ensemble désormais avec Anne-Sophie et tout se passe pour le mieux. Je me suis très bien intégré à son cercle damies en appréciant tout particulièrement 3 dentre elles dont Caroline et Lucie.
Il sagit de 2 copines dAnne-So du théâtre et quelle connaît depuis 10 ans maintenant.
Pour faire les présentations, Lucie est une grande brune aux cheveux longs très souvent attachées et très fine de taille. A ceci sajoute de très jolies jambes et surtout un visage angélique.
Caroline, quant à elle, est une petite brune avec des reflets roux et des petites tâches de rousseur. De très jolis yeux verts et un visage certes moins doux que celui de Lucie mais qui a du charme néanmoins.
Bref, elles sont très jolies toutes les deux et font tourner les têtes des garçons.
Elles ont pris lexcellente habitude de passer régulièrement à la maison pour nous voir et passer des soirées sympas ensemble.
De par notre entrée dans la vie active, Anne-So a arrêté le théâtre au grand dam de ces 2 copines. Ce qui ne lempêche pas de les aider à répéter en cas de besoin. Et cest là que lhistoire débute.
20h. Je rentre crevé de mon boulot après une journée infernale. Une seule envie : retrouver ma chérie et faire une petite soirée peinarde. Jouvre la porte et personne dans lappart. Mince, cest vrai quAnne-So est partie ce matin pour Lyon afin de faire un audit qui doit finir tard ce soir. Jai totalement oublié malgré son rappel ce matin.
Bon, bah on va faire simple : yaourts, fruits et voilà pour le repas pris devant le pc ou sur le canapé selon lenvie. Je minstalle et mange tranquillement en me calmant progressivement de ma journée.
A peine ai-je eu le temps de débarrasser que la sonnette retentit. Grognements de ma part, car je nattends personne. Jouvre et Caro et Lucie se détache sur le pas de la porte.
Je les fais entrer en leur disant quAnne-So nest pas là ce soir. Elles mexpliquent que ce nest pas de chance car elles voulaient répéter la pièce dont elles donnent la Première dans 10 jours. Je les invite à entrer boire une bière dans le salon quelles acceptent bien volontiers.
On discute de choses et dautres en prenant des nouvelles Puis Caro sexclame dun coup :
« Mais, Lyat, tu pourrais nous aider je suis sûr pour nous faire répéter. On a justement des scènes nous deux avec un jeune homme qui est lamoureux de Lucie dans la pièce. Ça te dirait ? »
Jémets un « bof » peu perceptible mais significatif quant à ma motivation, mais bonne pâte je me laisse faire quand elles me font leur plus beau sourire.
-Bon tiens, voilà le texte. Je te laisse le lire un peu pour que tu ten imprègnes et nous commençons. Tu as le rôle de Paul. Moi de Julie et Caro celui dIsabelle. »
Je lis rapidement et je comprends quil sagit dune dispute entre les 3 personnages avec comme élément perturbateur central le personnage de Caro.
Nous commençons et devons nous y reprendre à plusieurs fois pour que puisse correspondre à ce quelles auront comme répondant sur scène. Elles mexpliquent également que je nai pas le texte correspondant à la fin de la scène car il sagit dun dialogue entre elles.
Jarrive à rentrer un peu dans le rôle et à leur donner correctement la réplique et au deux tiers de la scène, mon personnage ne dit plus rien assistant à un déchaînement verbal furieux entre Julie et Isabelle. Lucie sarrête quand je les laisse à la conclusion en me disant que je dois rester prêt delles pour le jeu dacteur et la mise en place. Soit, jacquiesce.
La scène reprend au début de la dispute et repart de plus belle dans la montée en puissance de la colère et des insultes entre les deux personnages. Jai la tête vaguement ailleurs quand je comprends quil est question de mon personnage. Jai à peine tendu loreille quelle sapproche de moi très rapidement et pose sa main sur mon pantalon a hauteur de la braguette en regardant Lucie dans les yeux. Je suis plus que surpris par ce geste mais je nai pas le temps de réagir que Lucie se déplace vers Caro tout en continuant la dispute et le texte. Elle arrive juste en face delle avec toujours sa main bien placée sur mon anatomie que Caro de sa main droite saisie la courte jupe de Lucie à hauteur dentrejambe.
Jhallucine totalement mais je nen ai pas le temps car la main droite de Caro glisse et sagite sous la jupe de Lucie ! Je dois avoir les yeux exorbités quand elle ferme les yeux et semble gémir de plaisir. Ma réaction physique au niveau de mon pantalon doit être perceptible car dun coup Caro sactive un peu par-dessus mon pantalon.
Je pense immédiatement à mon Anne-So et à la situation qui dérape ici Je commence à essayer de me dégager comme je peux mais alors Caro me fusille du regard en me disant dun ton assez lourd :
« Bah dis donc Dés. Quand Anne-Sophie est là, tu ne te gènes pas pour nous reluquer moi et Lucie. Tu crois quon ne la pas vu ? Et puis vu la situation, si tu nes pas coopératif, on pourrait raconter des choses à Anne-So » en laissant la phrase en suspens avec un petit sourire.
Un peu dépité, mais malgré content de la situation, jacquiesce.
Caro se rapproche en délaissant Lucie, déboutonne mon jean et le retire en même temps que mon boxer en se mettant sur les genoux.
Mon sexe plus que tendu lui saute au visage. Elle le reprend en main et commence une douce masturbation en plongeant ses magnifiques yeux verts dans les miens.
Lucie se rapproche également et membrasse avec fougue. Une main de Caro retourne sous sa jupe et lui retire son string noir puis de nouveau investi son entrejambe avec des mouvements un peu plus énergiques que ceux auxquels jai droit. Tout en membrassant, elle gémit ce qui mexcite encore plus si cela était possible.
Je sens la langue de Caro qui parcourt mon sexe délicieusement, alternativement par de grands et petits coups, puis elle me prend en bouche.
Se faire embrasser et sucer en même temps était un de mes grands trips, et javoue que cest vraiment excellent.
Je ne pense plus quau plaisir quelles me donnent Je pars doucement dans un épanouissement, dans une dimension de bien-être Délicieux.
Dans un éclair de lucidité, mes mains commencent à déshabiller Lucie, retirant son petit top noir, son soutif, me laissant ainsi découvrir une petite mais très jolie et ferme poitrine. Décidant que le fait quelle garde sa jupe était plus excitant, ma main alla rejoindre celle de Caro et Lucie eut droit à un ballet à 2 mains, allant sur son pubis, ses lèvres qui shumidifiaient, son clitoris et là par contre un petit soubresaut indiquant tout le bien quon pouvait lui procurer.
Pendant ce temps, Caro continuait de me sucer en démontrant un savoir-faire et un goût que je nimaginais pas.
Le téléphone sonne et se met automatiquement en mode filtrage
« Coucou mon Chéri. Tu dois être sorti faire des petites courses. Je suis à la gare et jarrive dans 5 ou 10 minutes. Au final jai pu finaliser les derniers éléments plus rapidement que prévu. A tout de suite. »
Caro redouble deffort puis dun coup arrête.
« Lucie, tu pourrais maider à le finir. Je suis sûr que ce coquin aimerait beaucoup. Nest-ce pas ? » avec un grand sourire.
Perso, jen peux plus tellement que cest bon. Lucie saccroupit et ainsi débute ma première double fellation. Déjà que cétait plus quagréable, mais là, carrément jattends une extase jamais ressentie. Je me sens partir.
Les deux coquines sembrassent en mettant mon sexe entre leurs bouches, me sucent, me lèchent, membouchent, tout en me caressant. Dans un flot de plaisir, je jouis en hurlant dans la bouche de Caro qui tente de tout garder pour elle. Lucie la regarde, puis une fois ma jouissance achevée, lembrasse pour partager et avaler mon sperme.
Tout en se rhabillant, Lucie :
« Bon pour le coup on est dans le timing, Anne-Sophie ne devrait pas tarder. Tu pourrais nous ouvrir une bière sil te plaît, histoire de ne pas se faire griller au moment de la bise. Ça ferait mauvais genre tu ne penses pas ?
-Je te propose quon repasse la prochaine soirée où tu es tout seul, et ce coup là, ce sera pour nous. Ça te va ?
Jai juste le temps dacquiescer que jentends la porte souvrir. Caro prend dans son jean son paquet de chewing-gum, en prend un puis en donne un à Lucie.
Moins une pensai-je dans mon fort intérieur. La soirée continue dans la joie et la bonne humeur. Je repense à ce qua dit Caro et jimagine par moment la prochaine soirée.
A plusieurs reprises, Ann-So ma reproché dêtre dans mes rêves et de ne pas assez moccuper de nos invitées. Ce à quoi ces petites fourbes ont approuvé en ajoutant que le Maître de maison nétait pas assez attentif à leurs désirs et souhaits tout en riant aux éclats.