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Une fille très entreprenante – Chapitre 2




Une fille très entreprenante 2

On dit que la nuit porte conseil, mais c’est faux : je n’ai dormi que très peu, les images de ma fille me suçant la bite revenant sans cesse dans mon esprit. Au matin, je suis dans un sale état, je me sens nauséeux et j’ai l’impression de me détester. Comment ai-je pu laisser la situation dégénérer ainsi ? Je suis le père d’Audrey, et j’aurais du l’arrêter. Mais je ne l’ai pas fait. Parce que ce qu’elle a fait m’a plu. M’a fait plaisir. Je ressens encore sa petite bouche aspirer mon chibre, puis sa gorge avaler mes flots de sperme.

Je cherche à reprendre mes esprits, tentant vainement d’échapper à toutes ces images obsédantes. C’est l’été et ma fille est en vacance, passant le plus clair de son temps chez ses amies ou chez nous. Je ne dois donc pas compter sur le collège et les cours pour échapper à son regard inquisiteur et lubrique.

Je me lève et me dirige vers la salle de bain. La porte de la chambre d’Audrey est fermée, généralement, cela signifie qu’elle dort encore. Tant mieux Je prends une bonne douche pour oublier tous mes soucis, puis décide d’aller prendre un copieux petit-déjeuner, n’ayant pas dîné la veille. Ma femme est là, et en la voyant, je sens un poids dans ma poitrine : une autre femme m’a fait une fellation. Est-ce tromper quelqu’un ? Je l’ignore, mais peu importe la réponse, je ne suis pas dans mon assiette.

Lorsque Audrey se lève, nous faisons mine de rien. Pas une seule fois durant la journée, elle ne cherche à me provoquer. À vrai dire, elle reste cloitrée dans sa chambre. Ressent-elle aussi de la culpabilité, ou de la peur ? Peut-être devrais-je aller voir si elle va bien Mais je n’ose pas : si elle est toujours aussi folle, elle l’interprétera autrement

En début d’après-midi, Liliane prend ses affaires et m’annonce qu’elle va passer quelques temps avec ses amies de son club de photographes. C’est sa passion depuis longtemps, et c’est quelque chose qui m’a toujours fascinée chez elle. Mais aujourd’hui, je lui marmonne un vague "ok" et replonge dans mon journal. J’entends sa voiture quitter l’allée de notre jardin, puis la ruelle. Mon attention se concentre sur les nouvelles actualités de la semaine.

Du bruit provient des escaliers et perturbe ma lecture. Audrey, ma fille de 16 ans, débarque dans le salon. Elle porte une serviette autour de son corps, ainsi qu’une autre plus petite nouée sur ses cheveux. Elle est pleine d’eau : elle sort de la douche, apparemment.

Elle reste debout en face de moi, ne bougeant pas, me fixant de son regard bleu. Je me sens mal à l’aise et lui demande :

— Euh oui, Audrey ?

— Et ben alors ?

— Ben alors quoi ?

— Qu’est-ce que tu attends ?

— Qu’est-ce que j’attends pour quoi ?

Elle fronce les sourcils. Puis a un grand sourire.

— Mais pour ça !

Elle démêle sa serviette et la laisse tomber au sol. Son corps parfait apparait. De gros obus, fiers et pointant vers moi, rebondissent mollement sur sa poitrine. Son ventre et sa ligne mince la rendent encore plus désirable. Ses jambes bien foutues dressent un fessier absolument parfait. Mais surtout, je distingue sa petite chatte, entièrement rasée ce qui est surprenant à son âge. Elle enlève son autre serviette et ses cheveux blonds humides tombent sur ses épaules.

— Audrey, tu es folle !

Je me lève, ramasse la serviette et tente de la passer autour de son corps, pour préserver sa pudeur. Mais elle se débat, et me pousse sur le canapé. Là, elle passe à califourchon sur mes jambes. Je me sens bander rapidement et durement. Elle s’en aperçoit.

— Ne dis pas que je suis folle, papa, il y a quelque chose dans ton pantalon qui dit le contraire.

Je n’arrive pas à le croire : ma fille est sur moi, complètement nue, humide, et me provoquant comme jamais.

— Il m’a semblé qu’hier, ta bite était contente du petit traitement que je lui avais réservé.

— Audrey, arrête ! Tu es ma fille, et c’était un accident !

— Alors tu ne me trouves pas désirable ?

Encore une de ces questions stupides Bien sûr qu’elle est désirable, baisable ! Si je n’étais pas son père, cela fait un moment que je l’aurais sautée Mais c’est ma fille, et elle a seulement 16 ans !

Je tentai un coup de poker :

— Non, Audrey, tu n’es pas désirable.

— Menteur, crachat-elle, furieuse.

Elle se lève et se tourne. Son petit cul parfait me fait face. Je bande encore plus. Elle s’assoit sur ma bosse. Je crois mourir.

— Mon papa chéri, je t’offre ma virginité. Prends-la.

Je me sens fondre littéralement. Je n’oppose plus de résistance. Elle est déjà en train de déboutonner mon pantalon. Elle le baisse, et sort mon chibre de son caleçon.

— Toujours aussi grosse qu’hier ! Tant mieux, je crois que je suis en train de tomber amoureuse de ta bite, papa !

Et elle l’avale sans me demander la permission. Instantanément, je retrouve les sensations de la veille : plaisir, bien-être Putain, ce qu’elle suce bien, ma fille ! Jamais une femme ne m’a aussi bien sucé. Une nouvelle fois, je me laisse faire, je ne peux lutter contre cette petite chose qui veut me pomper la bite. Commet ma fille a-t-elle pu en arriver là ? D’accord, je suis plutôt séduisant, avec une belle musculature et de belle taille, mais j’ai 45 ans et je suis son père !

Assis dans le canapé, je vois le crâne de ma fille faire de longs mouvements de haut en bas pour avaler et recracher mon sexe. Elle se débrouille très bien, et je n’en reviens toujours pas. Mes pensées se modifient également : après tout, une petite pipe n’est pas dangereuse. Qu’est-ce que je risque à laisser ma fille me sucer la bite ? Rien, c’est elle qui m’a forcé ! Et puis, elle me fait un bien fou, cette petite.

Soudain, elle relève la tête, fière de sa petite fellation, puis se redresse. Elle passe une jambe par-dessus les mienne, et s’installe à califourchon sur moi. Elle place sa chatte au dessus de mon sexe. C’est le moment de vérité : que dois-je faire ? L’arrêter ? La laisser faire ? Ces questions trottent dans ma tête et je n’arrive pas à prendre une décision

Audrey la prend pour moi. Elle veut perdre sa virginité, et elle le fait. Elle s’empale doucement sur mon sexe. Je l’entends gémir de douleur. Quant à moi, je perfore son hymen sans le moindre problème : la largeur et la taille de mon sexe suffisent à lui démonter le vagin. Un peu de sang coule sur mon sexe, mais cela ne me percute même pas. La seule chose que je vois, c’est ma fille s’empaler sur mon sexe, son corps près de moi, ses seins bougeant au rythme de sa descente, son visage se crisper quand ma bite écartèle sa paroi vaginale.

Elle est arrivée au bout : elle est assise sur moi, mon sexe en elle. Je n’en reviens pas Malgré la douleur qui anime son visage, elle me regarde dans les yeux, a un bref sourire et me murmure sensuellement :

— Ca y est, papa, tu m’as prise, tu m’as déflorée !

Elle pose ses petites mains sur mon torse musclé et son sourire s’agrandit davantage.

— C’est bon, papa, je te sens bien en moi ! Baisons !

C’est le déclic. Le mal est fait. Je l’attrape par les hanches, et nous commençons à bouger ensemble. Nos premiers gémissements de plaisir résonnent rapidement dans le salon. Sa chatte est serrée, normal, elle est vierge, et cela me rend fou de plaisir. Je ressens de sensations que j’avais plus ressentie avec ma femme depuis longtemps : l’excitation nouvelle, la jeunesse de ma partenaire, la fougue de cette dernière, mon érection digne des plus grands acteurs pornos J’ai l’impression de revivre sexuellement une seconde vie !

Audrey s’agite sur moi et sautille sur mon sexe. Moi, j’emprunte ses mouvements et la perfore sauvagement. Je baise, je baise comme si ce n’est pas ma fille. Ce n’est plus ma fille, mais une femme, avec laquelle je veux passer du bon temps, du très bon temps ! Je ne suis plus moi-même : je la baise avec joie et fougue, lui mange régulièrement ses gros seins, dont les tétons pointent terriblement d’excitation. Ma fille crie, hurle de plaisir, et me demande de la défoncer plus rapidement, plus profondément. Je ne me fais pas prier.

Avec une telle excitation, il ne m’en faut pas beaucoup pour éjaculer. Après quelques minutes de baise, je m’immobilise et la colle contre moi, ses seins pesant contre ma poitrine. J’éjacule avec force, et mon sperme envahit son vagin. Je pousse un cri de jouissance, elle aussi. Elle est à l’orgasme et hurle son bonheur en tremblant comme une feuille.

— Oooohhh ouiiii, crie-t-elle, remplie-moi de ton foutre, papa ! C’est chaud, c’est en moi, c’est si booooooon !

Je me vide par belles quantités. Elle s’effondre sur moi en jouissant, et moi, prend un peu de repos. Ma bite est toujours ancrée dans sa chatte, mais commence légèrement à débander. Audrey se relève et se met debout. Ses jambes tremblotent, un filet de sperme coule le long de ses cuisses. C’est là que je saisis l’horreur de la situation.

— Bordel, Audrey, je n’avais pas de capote !

— Ca va, papa, je prends la pilule depuis un mois !

— Putain, ouf !

— Papa, j’ai adoré, c’était génial !

— Audrey, ma chérie, c’était bon, mais ce qu’on a fait était mal, et ne dois jamais se reproduire !

— Oh non, papa ! Tu m’as fait du bien, et tu dois recommencer.

— Non, Audrey !

Je prends un air sérieux et sévère, mais c’est surtout à moi que j’en veux. D’avoir laissé la situation dégénérée C’est un point de non-retour, j’en ai peur. Elle me le confirme.

— Ah oui, vraiment ? Tu pourras vraiment résister à mon charme quand j’aurais envie de te provoquer ?

Je ne réponds pas, conscient que la réponse à sa question était de l’ordre du négatif. Je dis simplement :

— Je vais prendre une douche.

Je file à l’étage, dans un état certes satisfait sexuellement, mais terriblement nauséeux et honteux. Ce que je viens de faire est immoral, interdit et horrible. Mais quel homme peut résister ? Je dois me ressaisir, car il est peut-être encore possible pour moi de tout arrêter.

Malheureusement, en pleine douche, Audrey me rejoint, nue, évidemment, le sourire aux lèvres. Elle passe sous l’eau et attrape le savon, en prenant soin de se frotter sensuellement les seins, les jambes, les fesses Il en faut peu pour que mon sexe retrouve sa dureté et l’envie Les résolutions que j’ai tentées de prendre en entrant dans la douche s’éteignent instantanément. C’est pire lorsqu’elle commence à laver mon sexe avec le savon en le branlant doucement.

Nous prenons quinze minutes pour nous doucher, minutes durant lesquelles mon sexe pénètre de nouveau sa petite chatte serrée et durant lesquelles Audrey se remet à jouir comme une folle. La seconde baise est aussi intense que la première, et c’est seulement à la fin de celle-ci que je comprends que je ne me débarrasserai pas comme ça de ce nouvel état sexuel envers ma fille !

Il me faut un plan pour sortir de cette situation à double tranchant, et il m’en faut un très vite

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