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Des vacances … olé olé – Chapitre 6




Suite à mes exploits de la veille, je dors comme une souche jusque 10h, heure à laquelle Ana me réveille sans ménagement. Elle est déjà habillée et maquillée, prête à partir.

Si tu ne veux pas rentrer à pied au camping, il est grand temps de te lever, car moi, je dois y aller.

Ta fille est encore là ?

Non, pourquoi ? Elle est déjà partie pour le collège.

Voilà pourquoi…

Je sors nu comme un ver sur la terrasse et pique une tête dans la piscine en guise de douche matinale. Après deux longueurs, je sors de l’eau et viens l’embrasser.

En effet, il valait mieux qu’elle soit partie sinon elle aurait vu ta grosse bébête et ça l’aurait choquée !

Pauvre Ana, si tu savais !

Bon, sèche-toi maintenant et allons-y.

Après un quart d’heure de route, nous arrivons au camping. Ana gare sa voiture sur son emplacement réservé et se dirige vers le restaurant. Quant à moi, je prends la tangente et vais directement vers le camping.

Tu ne viens pas prendre un café ?

Non, merci. C’est gentil, mais je préfère aller récupérer ma Vespa et aller faire un tour à la côte. Je suis là depuis plusieurs jours et je n’ai même pas encore vu la mer !

D’accord. Alors, bonne journée et … merci pour tout !

En réalité, j’ai remarqué que le scooter de Carmen était garé à sa place habituelle et je ne veux pas risquer de me faire embarquer par elle, car aujourd’hui, c’est avant tout de repos que j’ai besoin !!!

Je descends donc à ma tente et embarque quelques affaires dans un sac pour la journée. Au moment de partir, je constate que la tente voisine, à 10m de la mienne, a été louée. Elle est occupée par une jolie fille noire d’environ le même âge que Carmen. Elle est vêtue d’un short et d’un T-shirt rouges, ce qui met particulièrement ses formes en valeur. De taille moyenne, elle est mince, avec des seins en béton, des hanches bien marquées et un cul comme seules les filles noires peuvent en avoir un ! Ses cheveux noirs sont rassemblés en de multiples fines tresses tirées vers l’arrière. Joli morceau !

Mais j’ai assez donné, il est temps que je passe à autre chose. J’enfourche donc ma Vespa et prends la route, direction la plage. Après une demi-heure de balade, j’arrive sur une longue plage de sable agrémentée de nombreux bars qu’ils appellent chiringuitos ici, et auprès desquels on peut louer des fauteuils de plage à la journée. Exactement ce qu’il me faut ! Aussitôt dit, aussitôt fait et je me retrouve rapidement étendu au bord de l’eau, un cocktail à la main.

Je passe donc ma journée tranquillement à cet endroit en dégustant quelques breuvages meilleurs les uns que les autres. Vers 14h, je me mets à table pour déguster des coquillages et fruits de mer, il paraît que c’est excellent pour la libido !

Je suis étonné de constater que, contrairement à mon camping où ça sent nettement la fin de saison, ici c’est encore fort fréquenté. Il faut dire que la plage, la mer et le soleil sont omniprésents et pas mal de gens en profitent. Dont quelques jolies filles qui n’ont aucun complexe à pratiquer le monokini sur la plage publique. Franco doit se retourner dans sa tombe !

En fin d’après-midi, je récupère ma bécane et remonte vers mes pénates, car je ne tiens pas à me retrouver sur ces petites routes de montagne la nuit venue.

Je m’installe donc au bord de la piscine avec mon bouquin et, vers 21h30, je décide de profiter de la quiétude de l’endroit pour enfin faire ce pour quoi je suis venu ici : me reposer ! Je mets donc au lit et éteins la lumière.

Vers minuit, je suis réveillé par des bruits de pas dans les graviers de l’allée. Qui donc peut bien déambuler à cette heure-ci dans ce camping vide ? Puis je me souviens avoir vu cette fille noire ce matin et en conclus que ce doit être elle. Et en effet, les pas s’approchent et par la même occasion, j’entends des chuchotements. Elle n’est donc pas seule ! Tant mieux pour elle !

Le seul problème pour moi qui voulais profiter de cette nuit pour me reposer, c’est que mes voisins ont décidé de faire la même chose que moi depuis que je suis arrivé ici : baiser ! Et même s’ils font un effort pour rester discrets, les parois d’une tente ne coupent pas beaucoup les sons et je suis bercé durant plus d’une heure par des bruits de succion, des gémissements, des halètements et des cris étouffés. Ils ont l’air de bien prendre leur pied et, du coup, puisque je ne sais pas dormir, je me mets à fantasmer sur cette fille dont le corps m’est apparu bien attirant.

A 22 ans, j’ai évidemment une certaine expérience sexuelle derrière moi, j’ai déjà connu bien des filles de genres différents, mais je n’ai jamais couché avec une Noire ! Et, d’en entendre une s’envoyer en l’air à quelques mètres de moi, me donne tout à coup l’envie de combler cette lacune.

Je ne l’ai pas observée avec beaucoup d’attention ce matin, mais je me souviens quand même qu’elle était plutôt bien roulée, avec une peau très sombre. Et je l’imagine maintenant devant moi, à me faire un striptease incendiaire pour se retrouver complètement à poil, puis à se branler longuement sous mes yeux. Cette idée me donne en quelques instants une trique d’enfer et je ne peux m’empêcher de poser ma main sur mon gourdin brûlant. Immédiatement, je la serre autour de ma hampe dilatée et commence à me masturber.

Je synchronise les mouvements de ma main avec les bruits qui me viennent d’à côté et, chaque fois qu’il y a une envolée dans les gémissements émis par ma voisine, mon poignet s’accélère autour de mon membre. Le couple doit avoir une fameuse résistance, car ça fait un sacré moment qu’ils sont occupés et je finis par me demander si je tiendrai aussi longtemps qu’eux.

Heureusement, j’entends finalement le ton monter et le gémissement de la petite Black se transformer en râle et, au moment exact où elle se laisse aller dans une succession de halètements saccadés, je secoue vigoureusement ma bite et je gicle abondamment dans mon plaisir solitaire.

Apaisé, je m’essuie tant bien que mal avec des mouchoirs en papier et tente en vain de retrouver le sommeil. Sans le savoir, cette petite Noire m’a bien excité et je me demande comment je pourrais faire pour la mettre dans mon lit vu qu’elle semble être accompagnée. J’aurais vraiment aimé être à la place de celui qui vient de la faire grimper ! Tant pis, n’y pensons plus. Et je finis par tomber dans les bras de Morphée.

Vers 10h30, je me réveille et tends l’oreille, mais je n’entends plus aucun bruit à côté. Ils ont fini par s’endormir comme moi. Je me lève et m’installe sur un fauteuil de camping à l’entrée de ma tente avec mon bouquin et un coca, bien décidé à attendre que mes voisins sortent de leur abri pour pouvoir regarder cette fille un peu plus attentivement. Elle m’a tellement excité cette nuit que je fais une vraie fixation sur elle et je veux voir exactement comment elle est.

Et l’occasion va m’en être donnée, car ça se met à bouger dans la tente voisine. La toile s’écarte et ma jolie voisine apparaît, enroulée dans une serviette qu’elle tient d’une main, les cheveux en bataille, le visage un peu bouffi. Dame, après tout ce que j’ai entendu cette nuit, rien d’étonnant. Et pourtant, malgré son air un peu défraîchi, elle me paraît rudement jolie.

Bonjour. Excusez-nous si on a fait un peu de bruit cette nuit, j’espère que ça ne vous a pas dérangé.

Elle s’est adressée à moi en français et donc je lui réponds dans la même langue.

Aucun problème. Je préfère ce genre de bruits à ceux de la ville !

Elle me sourit d’un air entendu puis se retourne pour ramasser ses sandales qui traînent par terre. Pour ce faire, elle se penche en avant et sa serviette remonte le long de ses cuisses, me laissant deviner ses fesses et ce qui se cache entre ! Etait-ce volontaire ou innocent, je n’en sais rien, mais ça a suffi à rallumer en moi le feu qui y couvait.

Et je suis loin d’en avoir terminé avec les surprises. Du coin de l’il, je vois à nouveau la toile de tente s’écarter. Je vais donc faire connaissance de l’heureux bénéficiaire de toutes les effusions de la nuit. Je regarde et je vois sortir … Carmen !!! Elle aussi est enroulée dans une serviette.

Bonjour Loïc, déjà levé ? Tu as bien récupéré de tes aventures avec Ana ?

Ah, parce qu’elle est au courant de ça aussi ! Décidément, je ne m’étonne plus de rien.

Bonjour Carmen. Et toi, bien dormi ? dis-je avec un grand clin d’il.

Je suppose que tu as entendu ! J’avais oublié de te préciser que je suis bi, mais tu l’auras deviné. Et, lorsque j’ai vu Melissa hier soir au restaurant, ça a été comme avec toi, j’ai eu instantanément envie d’elle. Et comme elle n’est pas farouche, ça s’est terminé dans sa tente.

Et tu parles quelle langue avec elle ?

L’italien !

L’italien ???

Oui, la langue des mains ! Mais, non, idiot ! Elle parle espagnol comme toi.

Ah, d’accord. Donc, cette jolie demoiselle s’appelle Melissa ? Enchanté de te connaître, Melissa.

Moi aussi, Loïc. Carmen m’a parlé de toi et il paraît que tu es un sacré bon coup. Parce que, autant te le dire tout de suite, moi aussi je suis bi et si Carmen m’a bien fait jouir cette nuit, je suis ouverte à toute autre proposition.

Et elle ponctue sa phrase en écartant sa serviette un quart de seconde ! Ça a été furtif, mais ça suffit à me faire bander. Heureusement, Carmen veille au grain.

Oh, calmez-vous. On ne va pas tourner autour du pot, on a tous les trois envie de baiser ensemble, alors je propose qu’on se retrouve chez moi cet après-midi. En attendant, promettez-moi de ne pas prendre d’acompte à vous deux !

Je ne m’attendais pas à ce que ça se goupille aussi facilement, mais je ne vais pas me plaindre !

Ça me convient parfaitement. Rendez-vous chez toi à 16h30, on ira avec ma Vespa. Et je te promets de rester sage jusque-là !

Ça me convient aussi. Et, moi aussi, je te promets de ne pas l’allumer d’ici là. Mais ne traîne pas quand tu auras fini ton service.

Aucun danger ! Bon, je vous laisse, car je dois aller bosser.

Melissa se rend au bloc sanitaire pour prendre une douche puis revient après dix minutes portant la même tenue rouge qu’hier. Malgré sa promesse faite à Carmen, je remarque immédiatement qu’elle a fait "l’économie" du soutien-gorge pour maintenir la pression sur moi ! Sa poitrine est étroitement moulée par son T-shirt et j’en profite pour confirmer ma première impression d’hier : cette fille a des seins en béton. Pourtant bien développés, je dirais un 90C, ils ne bougent pratiquement pas lors de ses mouvements et ça me donne évidemment une envie folle de les toucher. Mais, moi aussi j’ai fait une promesse et j’ai bien l’intention de m’y tenir. Ça n’en sera que meilleur le moment venu.

L’équipement standard de nos tentes comportant un matériel de cuisine basique, Melissa nous prépare un café que nous sirotons assis tout en bavardant. J’apprends ainsi qu’elle est d’origine haïtienne, mais que ses grands-parents ont émigré jadis vers la Guadeloupe afin d’échapper à la pauvreté de leur pays. Elle réside pour l’instant à Paris où elle termine des études de droit, mais compte bien retourner dans son île pour exercer son métier. Elle m’explique aussi qu’elle est libre de toute attache sentimentale et qu’elle profite à fond de son séjour en Europe pour s’éclater, car là-bas, elle devra adopter une attitude plus stricte pour ne pas perdre en crédibilité dans son métier.

A mon tour, je lui retrace mon passé récent, mes études, ma deuxième session et mes vacances ici.

Elle a l’air d’être déjà bien au courant de mes exploits sexuels de ces derniers jours et j’en déduis que Carmen est une sacrée bavarde ! D’après ce que Melissa me raconte, ce ne serait pas tout à fait par hasard qu’Ana m’a fait du rentre-dedans l’autre jour. Carmen lui aurait vanté mes performances lors de son service du soir, juste après notre rallye chez elle !

Je ne vais évidemment pas m’en plaindre, mais je garde pour moi l’épisode avec Lola, car je ne tiens pas à ce que sa mère l’apprenne, et surtout pas par moi. Cette petite s’est offerte à moi avec tellement de spontanéité que je ne voudrais pas la mettre dans l’embarras.

Nous décidons de ne pas aller déjeuner au restaurant du camping pour ne pas attirer l’attention et je lui parle de l’endroit où je suis allé hier. Elle me dit que, comme toute habitante des Caraïbes, elle adore le poisson et les fruits de mer. Enfourchant ma Vespa, nous descendons à la côte où nous passons le début d’après-midi après avoir pris un léger repas arrosé d’un petit vin blanc local.

Vers 16h, nous remontons vers le village où se situe l’appartement de Carmen et, sans doute émoustillée à l’idée de ce qui nous attend, Melissa se colle à moi pendant le trajet. Je sens pour la première fois ses fermes nibards s’écraser dans mon dos et, comme Carmen l’autre jour, ses mains qui me pelotent le torse et ses doigts qui me pincent les tétons. Réjouissante perspective !!!

Lorsque nous arrivons à l’immeuble de Carmen, je vois que son scooter est rangé à sa place, ce qui signifie qu’elle est déjà arrivée. Je gare ma Vespa et nous montons rapidement les quelques marches vers l’ascenseur. N’y tenant plus, Melissa plaque ses lèvres contre les miennes et nous échangeons notre premier baiser pendant que l’ascenseur nous mène à l’étage. Arrivés devant la porte, je file un coup de sonnette et j’entends la voix de Carmen.

Entrez, la porte est ouverte.

Nous pénétrons donc dans l’appartement et j’emmène directement Melissa vers la chambre où je devine que se trouve Carmen. Et de fait, la belle Andalouse gît complètement à poil au milieu de son immense lit, bras et jambes écartés, dans un véritable appel au rut.

A la vue de ce spectacle, Melissa se trémousse d’impatience.

Whouaw, quel plumard ! Il doit y avoir moyen d’en faire des choses là-dessus !

Carmen se lève et prend directement Melissa dans ses bras. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la jolie Black se retrouve dans la même tenue qu’elle et je peux enfin admirer son splendide corps. Comme je m’y attendais, ses seins défient les lois de la pesanteur et ne fléchissent pas d’un millimètre, ses tétons érigés me donnent instantanément envie de les sucer et que dire de son cul !

Son dos cambré présente sa croupe comme sur un plateau. Elle a des fesses rondes, charnues, musclées et dures comme de l’acier. Ses hanches larges encadrent une taille fine et un ventre plat qui descend vers son pubis entièrement glabre.

S’embrassant à bouche que veux-tu, les deux somptueuses gonzesses basculent dans le lit et s’enlacent dans un corps à corps brûlant que, pour rien au monde, je ne voudrais interrompre. Au contraire, je pressens que, en me faisant le plus discret possible, j’ai toutes les chances d’assister à une étreinte lesbienne des plus torrides.

Je me débarrasse de mes vêtements et m’assois doucement sur un coin de l’immense pieu, bien décidé à ne pas manquer une miette du spectacle saphique qui se déroule sous mes yeux.

Assises face à face, elles se caressent d’abord mutuellement les seins puis s’allongent côte à côte et laissent leurs mains courir sur le corps de leur partenaire. Melissa est la première à s’occuper du sexe de son amante. Elle effleure le clitoris de Carmen qui réagit en tendant tout son corps vers le haut et en écartant les jambes. Je vois ses petites lèvres brillantes de cyprine s’entrouvrir comme pour implorer Melissa de la pénétrer. Se penchant au-dessus du buste bronzé de l’Andalouse, Melissa gobe ses tétons et glisse deux doigts dans sa chatte qu’elle se met à branler tout doucement à la recherche de son point G.

Carmen se laisse faire passivement pendant un long moment puis, se redressant, elle s’installe en 69 au-dessus de Melissa et lui lèche le clitoris. Elle aspire toute la chatte de la superbe noire dans sa bouche, la relâche, la reprend, introduit sa langue pointue le plus loin possible dans son vagin, arrachant des petits cris de jouissance de la gorge de Melissa. Celle-ci lui rend sa caresse avec sa langue toute rose émergeant de son visage sombre.

Le contraste entre leurs couleurs de peaux rend le tableau encore plus fabuleux et je ne peux pas détacher mes yeux du spectacle extraordinaire qu’elles m’offrent. Entièrement absorbées par leur plaisir, elles semblent m’avoir complètement oublié et se livrent à fond à leur échange lesbien. Caresses, frottements, cunnilingus, masturbations, tout y passe pour mon plus grand plaisir des yeux jusqu’à ce que Carmen, tâtonnant sous son lit, ramène un énorme double dong et un flacon de lubrifiant qu’elle montre à Melissa.

Celle-ci approuve d’un hochement de la tête et se met face à Carmen, les jambes largement ouvertes, le bassin poussé en avant. Empoignant le sex-toy par son centre, Carmen l’enduit de lubrifiant puis écarte les petites lèvres de sa partenaire faisant apparaître l’entrée rose de son fourreau. Elle le lui enfonce dans le ventre jusqu’à ce qu’il vienne buter contre son utérus et commence alors à rentrer et sortir l’engin à un rythme de plus en plus rapide. Melissa, appuyée sur ses coudes, la tête rejetée vers l’arrière, les yeux révulsés, accueille cette vigoureuse pénétration avec un gémissement continu qui se transforme en cri rauque au moment où son orgasme arrive avec la puissance d’un TGV. Agitée par d’énormes secousses, elle jouit pendant de longues minutes, incapable de se calmer.

Carmen en profite pour se mettre en position et s’embroche sur l’autre partie du dong. Empoignant le milieu de l’engin à pleines mains, elle reprend de plus belle son mouvement de va-et-vient, entretenant le plaisir fou de Melissa et faisant monter le sien … et le mien. Car, bien sûr, impossible pour moi de rester insensible à une telle scène et ça fait un moment déjà que je me secoue le bâton. Il faudrait que je passe à l’action si je ne veux pas louper le coche, mais le spectacle de ces deux beautés qui se font du bien est si fascinant que je n’arrive pas à bouger.

Melissa, à bout de souffle, finit par se dégager du dong et, rampant vers le bas, elle pose ses lèvres sur le clito de Carmen et le suce du bout de la langue. Elle se met à genoux, le cul bien levé et attrape à son tour l’extrémité du gode dont elle vient de se retirer. Elle l’enfonce au maximum dans le ventre de Carmen et la branle puissamment.

Et là, plus moyen de résister à l’appel de ce corps sculptural exhibé sous mes yeux. Je m’approche de la magnifique croupe noire de Melissa et, agrippant ses fesses des deux mains, je les écarte pour bien dégager l’entrée de son vagin trempé de cyprine et je m’y précipite. La vue de ma queue claire s’enfonçant dans cette vulve noire m’enivre au plus haut point et je la pilonne avec délice, espérant pouvoir faire durer cet instant le plus longtemps possible.

Pendant que je la bourre comme un fou, Melissa continue à pomper et sucer Carmen qui, à son tour, finit par atteindre le point de non-retour. Elle s’écrase les seins des deux mains et explose en hurlant de plaisir. Melissa lui rend la monnaie de sa pièce et poursuit son mouvement de poignet, arrachant orgasme après orgasme à sa victime … jusqu’à ce qu’elle se sente elle-même à nouveau submergée par le plaisir que je lui procure à grands coups de bite dans le vagin.

La voyant venir au grand galop, je lâche la bride et je gicle en elle à grands jets de foutre brûlant. Elle abandonne le dong qui reste planté dans le ventre de Carmen et provoque son propre orgasme en se frottant frénétiquement le clitoris.

Pas encore satisfait, je continue à la dévaster à la recherche de mon deuxième orgasme. Ma queue entre et sort de son ventre et mon sperme, entraîné par les mouvements, ressort de sa chatte et se répand sur sa vulve et ses cuisses sombres en larges traînées blanchâtres. Je la martèle encore un moment, mais en vain, plus rien ne vient.

Je m’écroule alors sur son dos, entraînant sa propre chute sur Carmen puis nous démêlons la lasagne ainsi formée par nos corps enchevêtrés.

Couchés côte à côte sur le lit, nous digérons longuement notre plaisir sans dire un mot, chacun plongé dans ses propres réflexions. Personnellement, même si j’ai déjà une certaine expérience de la chose, je viens de me gaver de sensations nouvelles.

D’abord, je n’avais jamais fait l’amour avec deux filles en même temps et le numéro lesbien qu’elles m’ont offert en guise d’apéro m’a troublé au plus haut point. Regarder ces deux sublimes femelles enlacées se donner du plaisir, entendre leurs gémissements et tous les bruits scabreux qui accompagnaient leur étreinte, sentir les parfums sensuels de leurs intimités mélangées, voir leurs corps secoués par les ondes voluptueuses des orgasmes et finir par enfiler celle que je ne connaissais pas encore a été pour moi une découverte somptueuse.

Ensuite, je n’avais jamais connu de fille noire non plus et c’est maintenant chose faite. Pas qu’elle fasse mieux l’amour qu’une blanche, mais parce que le fantasme du "autre chose" a enfin été vécu. En effet, empaler Melissa en levrette m’a donné le même plaisir qu’avec Carmen ou une autre, ni plus ni moins. Le vrai plaisir c’est la fille qui le donne, pas sa couleur. Et avec les deux nénettes qui gisent à mes côtés, j’ai été particulièrement gâté. Sauf que …

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