Bonjour à vous tous,
Je suis inscrite depuis pas mal de temps, je viens quelques fois sur le site pour lire des histoires. Puis, de fil et en aiguille, je me décide enfin à laisser un premier écrit.
Je me présente donc. Je me prénomme Nathalie, je suis âgée de 28 ans, en couple depuis quelques années, 1.65, brune, cheveux mi-longs, ma poitrine est ferme, 95C. Mes fesses ne laissent pas indifférents les hommes dans la rue, il n’est pas rare qu’on se retourne sur moi. Je dois dire que j’ai des fesses plutôt cambrées. Mon péché mignon, je dois le dire, est la fellation. Oui, j’aime sucer !
On dit souvent de moi que j’ai une bouche bien dessinée aux lèvres pulpeuses. J’en suis consciente, je pense que c’est vrai, surtout que je prends plaisir à la mettre en valeur avec du crayon pour le contour et de jolies couleurs de rouge à lèvres selon comme je suis habillée.
Je pense être assez mignonne, du charme, sans pour autant me croire belle.
Je travaille dans le milieu hospitalier comme aide-soignante.
Mon mari a 38 ans, très gentil, très occupé par son emploi, il travaille dans un gros groupe dont je ne citerai pas le nom. Il est très gentil, coquin avec moi, mais il a les idées un peu fermées au niveau sexe, et pas du tout l’esprit libertin.
Maintenant que le contexte est posé, je vais vous dire la raison pour laquelle je me suis décidé à vous écrire mes petites anecdotes sexuelles.
Comme vous le savez maintenant, je suis aide-soignante depuis 5 ans dans un hôpital de Périgueux.
Les patients, dans mon service, sont que de passage. Ils ne restent que 2, 3 ou 4 jours en général. J’ai toujours été une femme fidèle, enfin, je le croyais les deux premières années que je me suis mise en couple. (Au bout de deux de fidélité, j’ai eu des écarts, notamment avec ma bouche et mes mains au début).
En tant qu’aide-soignante, je fais des toilettes, quelques soins et un peu de ménage pour aider les femmes de ménage.
Il m’est arrivé, pendant mon travail, de faire de petits écarts pas très méchants, mais c’est quand même des écarts. (Ces premiers écarts sont avec ma bouche et mes mains à l’hôpital)
Je vais donc vous raconter ces « petits écarts » l’évolution, puis plus tard, vous raconter une rencontre que j’ai faite en 2017, d’un homme, qui a changé complètement ma vie au niveau sexe.
Mon mari n’est pas du tout au courant, heureusement !
J’éprouve donc le besoin de raconter mes petites escapades, car, jusqu’à aujourd’hui, je n’en ai parlé à personne, mais j’ai envie de l’extérioriser.
Je précise que mes histoires à venir sont réelles, en aucun cas imaginaires ou fantasmatiques.
Toutes remarques de votre part, critiques ou autre sont les bienvenues.
Je suis en couple depuis 2011. De 2011 à 2013, je n’ai jamais eu le moindre écart, femme modèle, fidèle et sans la moindre idée d’aller voir ailleurs. C’est en l’année 2013 que j’ai commencé à avoir très envie d’infidélité.
Voilà ce qui m’est arrivé. Un jeune homme est arrivé dans mon service pour un problème de digestion. Rien de grave, il est resté 2 jours.
Quand il est arrivé, j’étais de repos. Mais le lendemain, jour de son départ, je travaillais. Il est parti l’après-midi, j’étais de matin.
Je devais donc lui faire une toilette. Quand je suis entré dans la chambre, j’ai été un peu gênée de voir que c’était un jeune de 19 ans. (J’essaie d’éviter les toilettes des jeunes, mes collègues le savent, mais cette fois-ci, je n’ai pas eu le choix)
Toujours un sourire quand je rentre dans la chambre, un bonjour, et je commence à entrer en communication avec lui afin de le mettre à l’aise et lui annoncer que je suis venue pour lui faire sa toilette, car, la faire lui-même serait compliqué du fait qu’il avait des drains et une perfusion.
Bref, je lui lave le dos, le torse, et fallait bien arriver aux parties intimes. Quand j’ai relevé le drap, j’ai été très surprise de voir qu’il avait une petite érection. Le pauvre ! Je comprends très bien, se retrouver dans un lit, avec une femme dà peine 10 ans de plus que lui, à se faire laver le corps.
J’ai fait celle qui n’a rien vu. (Il arrive quelques fois qu’un homme bande légèrement quand je lui fais la toilette) ; il est vrai que je n’étais pas obligée de lui faire sa partie intime, mais dans ma lancée, puis, prise par le jeu, j’ai décidé de lui faire. Je ne sais pas pourquoi, et quelle idée j’ai eue à cet instant, mais ma main dans ce gant est passée sur ses testicules doucement, avec du savon, dont j’ai bien pris soin de ne pas appuyer. Ensuite, j’ai pris son sexe et j’ai fait de lents va-et-vient. Comme une discrète masturbation lente.
Il ne parlait pas, moi non plus d’ailleurs.
J’ai ensuite rincé le gant de toilette avec de l’eau propre, puis suis retournée vers ses testicules, et… Son sexe pour rincer.
Son regard était ailleurs, et moi je ne le regardais pas non plus. Pas un mot entre nous. Sa queue était dure à présent, fine et plutôt longue. Comme il ne bougeait pas, me laissait faire, j’ai activé le mouvement. A un moment donné, j’ai levé les yeux pour le regarder, mais il a les yeux fermés, je crois qu’il savoure la branlette que je suis en train de lui faire.
Ce n’était que motivation pour moi de continuer de le branler. Ce sexe dans ma main gantée, raide, me plaisait bien, mais il ne fallait pas que je réfléchisse de trop, sinon, j’aurai tout stoppé de honte.
Si je n’avais pas eu peur d’être surprise par une entrée soudaine dans la chambre, je l’aurais pris dans ma bouche et je l’aurai bien sucé, lentement. Mais la peur m’en a empêché. En effet, j’ai eu quelques instants l’envie de goûter à ce gland qui me semblait très appétissant.
Le fait d’avoir un gant de toilette n’est pas surprenant du fait que je lui faisais une toilette, et par rapport à ma fonction d’aide-soignante, c’est mon rôle. Il suffisait que je relève rapidement et discrètement le drap si un ou une collègue arrive et le tour était joué.
Je l’ai donc branlé de cette façon, avec un gant. Je pressais légèrement son sexe, mes mouvements se sont accélérés jusqu’à entendre un petit souffle sortir de sa bouche. C’est alors à ce moment-là que j’ai compris que son éjaculation allée arriver, j’ai donc continué sans diminuer le rythme. J’ai senti sa queue se tendre, puis je vois un jet partir vers le haut pour retomber sur son ventre. J’ai donc serré un peu plus fort au niveau de son gland, les autres giclées de sa semence sont restées dans le gant.
Lentement j’ai continué quelques secondes puis je me suis dirigée vers le sac où nous mettons les gants à usage unique utilisés pour mettre le mien.
J’ai pris une petite serviette de toilette, et, revenant vers lui, délicatement j’ai essuyé la première giclée qui est retombée sur son ventre près de son nombril, et j’ai passé un petit coup sur sa queue qui est devenue demi-molle.
Une fois essuyé, mon regard s’est dirigé vers le sien, et je lui ai dit « Je suis désolée, je ne sais pas ce qu’il m’a pris. C’est la première fois que je fais une telle chose ».
Il m’a lancé un petit sourire timide sans me répondre. Je suis donc sortie de la chambre et me suis traitée de tous les noms, en me disant que je n’étais pas cool envers mon mari, et que j’avais perdu la tête !
Je ne l’ai pas revu puisqu’il est parti en début d’après-midi. Je ne cache pas que j’ai fait le maximum pour ne pas avoir à retourner dans sa chambre.
J’ai été perturbé par ce que j’avais fait. Perturbée parce que c’était sur mon lieu de travail, mais aussi perturbée par rapport à mon mari.
C’était la toute première fois que j’avais fait un écart.
Mon premier écart, mais pas le dernier…
Une chose est sûre, si je n’avais pas été dans la peur d’être surprise, il aurait eu une bonne pipe. En le masturbant, j’ai eu l’image dans ma tête de me pencher et le sucer. Mais, il est vrai, à tout moment il pouvait avoir un ou une collègue débarquer, et pas facile de me justifier en me voyant penchée sur le lit du patient avec la queue raide. Donc je ne l’ai pas fait.
Puis je ne sais pas si j’aurai eu le cran de la faire.
Voilà ma première dérive.
Je pense que je vais décevoir plusieurs lecteurs, ce premier récit n’a rien d’extraordinaire, certes, mais je ne raconte que du réel, et donc, cette première fois est réelle comme toutes les autres qui vont suivre au fur et à mesure de leur validation.
Les autres à venir. Je le ferai par ordre, du début à aujourd’hui.
Nathalie.