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Grand frère – Chapitre 1




1)

— Damien ! Tu vas être en retard !

La voix de maman m’arrête en pleine séance matinale. En sueur, je m’interromps et me redresse. Mon réveil indique sept heures vingt, effectivement, je risque d’être en retard D’un il morne, je regarde la bosse dans mon pyjama. Honnêtement, je commence à être vraiment inquiet. Ce n’est pas normal que je bande comme ça !

— Damien ! insiste la voix maternelle.

— Oui, m’man, j’arrive ! réponds-je.

Je me lève et essaie de dissimuler mon érection du mieux possible avant de descendre dans le salon où ma mère, déjà habillée, s’impatiente :

— Ça va ?

Je m’assieds vite en essayant de la rassurer :

— Oui, oui

Mais, elle n’est pas vraiment dupe :

— Tu es sûr ? Tu es tout pâle.

— Je n’ai pas très bien dormi, c’est tout.

— Ça fait plusieurs fois que ça t’arrive Tu as des soucis ? Tu sais que tu peux m’en parler ?

— Je sais oui, merci.

Cela fait quelques années que nous ne vivons que tous les deux. Mes deux surs ne vivent plus ici. Ma sur aînée, Virginie, est étudiante et vit sur le campus avec sa petite amie Lucie, quant à Chloé, mon autre sur, elle passe son année scolaire dans un internat, un choix de sa part. Du coup, maman me surprotège un peu.

J’aimerais tellement lui dire, peut-être qu’elle pourrait m’aider, sauf que je me vois pas vraiment parler de mes problèmes d’érection avec ma mère

— Bon, fit-elle, dépêches-toi si tu veux que je te dépose.

— Merci, ça ira, je prendrais le bus. Il y en a un dans vingt minutes.

— Comme tu veux, fait-elle en m’embrassant. À ce soir !

Resté seul, j’avale un yaourt vite fait et m’habille en quatrième vitesse, tant pis pour la douche, avant d’allumer l’ordi et de me rendre sur mon site porno préféré. Il faut absolument que je me soulage, sinon la journée va être atroce.

Malheureusement, quand l’heure de partir arrive, je dois bien reconnaître que ça n’a rien changé. Certes, j’ai joui, mais le soulagement a été de courte durée. Moins d’une minute plus tard, mon sexe retrouvait toute sa vigueur comme si rien ne s’était passé. Là, c’est inquiétant. Si je compte la séance avortée, je me suis branlé quatre fois en une heure et à peine "vidé", je rebande immédiatement. Ce n’est pas normal. Et, c’est sans compter les six fois d’hier soir, quasiment à la suite. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Il y a encore quelques mois, je me masturbais une fois le soir avant de dormir et terminé. Là, c’est comme si je bandais en permanence sans pouvoir me soulager ! Et, c’est vraiment venu d’un coup !

Troublé, je dois me concentrer pour ne pas me tromper de bus et descendre au bon arrêt.

En arrivant au lycée, je monte directement attendre devant la classe et m’assieds sur le radiateur. Évidemment, il n’y a encore personne Tant mieux, je vais pouvoir réfléchir tranquillement. Mais, réfléchir à quoi au juste ? Marcher ne m’a absolument pas fait débander et d’y penser ne va rien arranger. Je sais bien qu’au vu de la situation, c’est extrêmement gênant, mais je n’ai pas vraiment d’autre solution que d’aller voir un médecin. Cette solution, je la repousse depuis un moment, mais je n’ai pas d’autres choix. Je sors mon téléphone et envoie un bref texto à maman. Bien sûr, je ne lui explique pas le problème, je lui dis simplement que, comme elle l’a remarqué, je dors moins en ce moment et qu’il faudrait peut-être que je consulte J’envoie. Moins de deux minutes plus tard, mon portable vibre :

— Pas de soucis, mon chéri, je te prends un rendez-vous avec Julie et j’annule Leïla.

J’adore ma mère. Elle ne pose aucune question et organise tout sans perdre une seconde.

— Bonjour, Damien, fait alors une voix féminine.

Je lève les yeux et reçoit de plein fouet l’éclat émeraude des plus beaux yeux de la terre.

— Salut, Mélanie. Ça va ?

Elle ébauche un sourire discret et vient s’asseoir à mes côtés. Mélanie est incontestablement une très belle fille. C’est une brune aux longs cheveux et au visage doux.

— Ça va, me réponds-t-elle. Et toi ?

— Bien

— Dernière journée de cours, soupire-t-elle. Ces quinze jours vont vraiment me faire du bien

— À moi aussi.

Elle me sourit. On ne se connaissait pas au début de l’année, mais, comme moi, c’est une excellente élève qui aime venir tôt le matin. Aussi improbable que cela puisse paraître quand on me voie face à une fille, je reconnais qu’avec Mélanie, la discussion se fait facilement. Enfin, c’est elle qui fait tout le boulot, je ne suis pas très doué pour la conversation, ce qui explique aussi ma vie en solitaire. Nous sommes tous les deux en dernière année, mais pas dans la même classeet je le regrette.

Bref, nous parlons en attendant le début des cours. Même si je reconnais que mon regard dévie aussi sur son visage tendre, sur ses lèvres si douceset sur sa poitrine dont je devine les bosses sous son pull blanc. La regarder n’arrange pas mon problème, mais qu’il est dur de ne pas l’imaginer nue. Je tâche de me concentrer sur notre conversation qui passe d’un sujet à l’autre. Malheureusement, la sonnerie retentit, interrompant mon moment préféré. Moins d’une minute plus tard, le grondement des pas des autres élèves s’amplifie avant qu’ils n’arrivent. Une fois les amies de Mélanie arrivées, je redeviens invisible et je reconnais que je ne fais rien pour changer ça.

La journée passe avec une lenteur exaspérante J’essaie de profiter de chaque pause pour aller essayer de me soulager aux toilettes, mais je rebande immédiatement après. C’est d’ailleurs une autre source d’inquiétude. Normalement, j’ai besoin d’une ambiance particulière pour me mettre en conditions et se caresser dans les toilettes du lycée entre deux cours, cerné par les bruits peu ragoutants des chasses d’eau et bruits annexes autour n’est pas vraiment l’ambiance idéale Pourtant, j’y parviens sans trop de mal. Pas très rassurant.

Pendant la pause de midi, je reçois un sms de maman. J’ai rendez-vous à 17h 30. C’est parfait, j’aurais le temps d’un passage éclair à la maison. Je profite du cours de sport de l’après-midi pour essayer de trouver comment exposer la situation à Julie. C’est une amie d’enfance de ma mère, une femme très gentille que je considère comme une tante. C’est elle qui m’a offert mon premier magazine porno à mon dernier anniversaire, c’est d’ailleurs encore un secret. Mais, je pense que se sera quand même plus facile de parler avec elle et lui expliquer mon problème. J’ai une brève pensée pour Leïla, ma prof particulière. Tant pis, cette fois, je ne la verrais pas.

Malheureusement, avant d’aller consulter, il y a encore l’heure de maths. Je déteste cette matière. Madame Alyxia ne peut pas me saquer non plus et s’acharne toujours parce que je ne bosse soi-disant pas. C’est d’ailleurs à cause d’elle que maman a dû me prendre un prof particulier. Honnêtement, sur ce point-là, je ne lui en veut pas puisque grâce à elle, je peux passer trois heures par semaine avec une ravissante étudiante. Aujourd’hui, les choses ne changent pas : Mon 7 sur 20 attire son regard méprisant. Dans la marge, un commentaire : Faites des efforts ! Je l’envoie mentalement se faire foutre et supporte l’ennuyeuse correction du devoir et ses regards lourds de sens quand elle demande à la classe si tout est clair. Elle s’attend sans doute à ce que je pose des questions, mais son cours ne m’intéresse pas. Heureusement, même les pires choses ont une fin. Soulagé d’en avoir fini, je file dès que la sonnerie retentit.

Avec beaucoup d’espoir, je m’installe dans la salle d’attente, constatant avec soulagement qu’elle est vide. Quand arrive 17h 30, la porte du cabinet s’ouvre et Julie vient vers moi avec un large sourire :

— Bonjour Damien, me fait-elle en me faisant la bise.

— Bonjour.

— Tu me suis ?

Julie est une belle femme dans la quarantaine aux longs cheveux bruns. Maman et elle se sont rapprochés, il y a deux ans lors de son surmenage. Elles ont beaucoup discutés et se sont découverts de nombreux points communs avant de devenir de véritables amies. De ce que j’en sais, elle est célibataire.

— Alors ? me demande-t-elle en m’invitant à m’asseoir. Victoria m’a dit que tu ne parvenais plus à dormir

J’hésite à acquiescer, néanmoins gêné de devoir lui expliquer mon problème. Heureusement, elle n’est pas née de la dernière pluie :

— C’est quoi le vrai problème ?

— En fait, je depuis quelques jours, je n’arrête pas de enfin, je me masturbetrop

— Damien, me fait-elle en venant s’asseoir près de moi, la masturbation est naturelle chez les garçons de ton âge. Il n’y a aucune raison de s’alarmer. Se toucher deux ou trois fois par jour n’est pas grave et

— Douze fois, fis-je.

Là, elle s’interrompt, le regard braqué sur moi.

— Aujourd’hui, je l’ai fait douze fois.

— D’accord, là, j’admets que c’est beaucoup. Tu jouis à chaque fois ?

— Oui. C’est grave ?

— Non, matt, ne t’inquiètes pas, c’est inhabituel tout au plus. Mais j’aimerais que tu m’expliques en détails tout ce que tu ressens d’accord ?

Je lui raconte tout : les lieux insolites, les érections qui reviennent dès que je me suis soulagé

Elle me regarde un moment en silence :

— Bon, matt, je suis désolée mais il va falloir que j’en parle à ta mère.

— Donc, c’est grave

— Non, je te l’ai dit. Tu n’as pas à t’inquiéter, je pense savoir ce qui t’arrive et comment le gérer, seulement, je dois prévenir ta mère.

— Attends, le gérer ? Mais, je ne veux pas le gérer ! Je veux que ça disparaisse ! Tu te rends compte à quel point, c’est gênant ?

— Parce que c’est encore récent, mais si j’ai raison, je te promets que bientôt, tu en verras les avantages.

Je soupire, pas du tout convaincu :

— Ok

— Bon, tu rentres et je lui explique, ok ?

— Ouais.

Vingt minutes après, j’arrive à la maison, déçu et complètement abattu. Moi qui espérais tant de ce rendez-vous En plus, la conversation avec maman risque d’être plutôt gênante.

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