Ouf ! c’était dur ! s’exclame Sophie dans les vestiaires collectifs.

Je lui lance un sourire compatissant, je suis aussi fatigué. On a passé la demi-heure à s’entraîner juste tous les deux. Je pensais me jeter sur elle dès le début, mais finalement, on n’a fait que danser.

J’ai utilisé tout mon talent de danseur pour l’éblouir, et j’ai pris beaucoup de plaisir à lui enseigner mes talents. A la fin, elle a même réussi sa figure.

Et j’en ai profité bien sûr, pour la reluquer, sous excuse de suivre et d’analyser ses mouvements. De la peloter aussi, sous couvert de corriger sa posture.

Je la sentais rougir à chaque fois, mais je lui répondais par un sourire, puis prenait un air sérieux.

C’est la première fois que je donne un cours. J’espère que tu es indulgente.

Je lui jette un regard et m’extasie devant son corps luisant. La sueur plaque ses vêtements déjà sexy sur son corps et la sueur met en avant les contours de ses seins. Je me délecte de les voir se soulever à chaque inspiration de Sophie.

Tu ne serais pas en train de regarder mes seins par hasard ? me lance-t-elle, soudain joueuse.

Si, bien sûr, ils sont magnifiques, je peux pas m’en empêcher. Et je regarde si tu craches bien tes poumons.

Elle ne s’attendait pas à autant d’honnêteté de ma part et rougit de plus belle. Elle pose une main sur sa poitrine pour contrôler sa respiration et je la vois s’enfoncer dans ses courbes voluptueuses. Ça a vraiment l’air doux …

Durant la séance, ma passion pour la danse a presque éclipsé mon envie de la baiser, même si j’ai parfois dû cacher mon érection quand elle se penchait et que j’avais une vue plongeante sur ses fesses ou son décolleté. Mais maintenant, je bous de désir pour elle.

On devrait refaire ça à l’occasion, je déclare, en enlevant innocemment mon tee-shirt.

Sophie s’apprête à répondre et se tourne donc vers moi. Elle se fige en me voyant torse nu, les muscles contractés par l’effort et mis en valeur par ma sueur. Je jubile en la voyant, la bouche ouverte.

A ce que je vois, je ne suis pas le seul à mater ah ah !

Elle est maintenant rouge comme une pivoine et détourne le regard. Mais elle ne peut s’empêcher de jeter un coup d’il ou deux.

Je suis désolé ! C’est juste que … T’es vachement musclé et sec en fait. Ça se voit pas trop vu que tu as toujours des vêtements amples.

Je lui sors mon regard le plus chaud et mon plus grand sourire.

Comment ça ? Tu ne m’as jamais vu dans les vestiaires ? Je pensais que tu l’aurais remarqué depuis le temps.

Eh bien … On se change rarement ensemble …

Elle a raison, je m’en rends compte maintenant. Pourtant, je me souviens qu’au début, je n’hésitais pas à la mater quand elle avait le dos tourné.

Je m’approche d’elle et prends sa main pour la poser sur mon torse. Elle tressaille à mon contact.

Qu’est-ce que tu fais ?? demande-t-elle, étonnée.

Vas-y regarde, ce n’est pas une honte. Et quitte à regarder, profites-en et touche.

Ma voix est une promesse de luxure, et je joue une pointe d’arrogance pour lui montrer ma confiance.

Elle lève timidement les yeux et s’attarde sur mes yeux avant de redescendre pour observer mon corps. Elle semble débloquer et rougir encore plus quand son regard descend sur ma bosse.

Ehh … tu es vraiment très belle aussi.

Oh …

C’est bon, je m’approche d’elle et prends son visage dans une main pour l’embrasser. Elle se laisse faire.

Autrefois, jamais je n’aurais osé faire ça. Ça me paraissait impossible et j’aurais eu trop peur d’un refus. Mais tout est une question de confiance en soi. Maintenant, j’assume mes désirs et ne m’offusque pas quand je reçois un refus.

Le désir brûlant que je retenais lâche alors qu’elle me rend mon baiser et je me colle contre elle. Je sens son corps chaud vibrer contre le mien. Mes mains descendent sur la peau nue de ses jambes pour les caresser. J’en saisis une et la lève pour me faufiler entre ses cuisses. Elle comprend et place sa jambe contre ma hanche.

Je sens maintenant mon entrejambe dur contre la sienne.

Je lui susurre à l’oreille en jouant avec la peau de son cou.

Hmmm, depuis le temps que j’ai envie de faire ça.

Ohh tu le fais si bien … mhhh tu me rends folle.

Tant mieux. J’ai envie de toi Sophie. Maintenant et tout de suite.

Mes mains se baladent et tandis que l’une se pose sur ses fesses, l’autre remonte pour empoigner un sein. Il est comme je l’espérais : volumineux et doux. Je sens Sophie gémir sous mes assauts. Elle semble encore hésiter. Je sens qu’elle aime ça, mais sa pudeur la retient.

Hmmm non pas ici … Ohhhh.

Je viens de poser ma main sur son entrejambe, elle pose sa main sur la mienne comme pour m’en empêcher, mais ne le fait finalement pas, terrassée par mes caresses.

Oh si ! c’est si excitant… et personne ne viendra nous déranger. Il ne reste que nous et Marie va rester dans ses appartements encore longtemps avant de fermer la salle.

Je sais que Marie me regarde depuis sa chambre, l’il sur sa caméra et la main dans le minou. J’essaie vainement de trouver sa caméra, mais abandonne rapidement, trop concentré sur le corps et les lèvres de Sophie.

Mh tu es si belle, si douce, si enivrante … je veux te goûter !

Je baisse la tête pour la poser dans ses seins et les embrasser au travers du tee-shirt.

Puis je la soulève pour l’asseoir sur une des tables murales qui servent à poser les sacs. J’ai maintenant la tête au niveau de son mini-short. Je lui jette un regard pour savoir si elle s’est décidée, et ce que j’y vois me rassure.

Si elle avait été réticente, j’aurais arrêté aussitôt, mais son regard brûle d’envie et c’est elle qui prend ma tête entre ses mains pour la plaquer entre ses cuisses.

Je prends une grande inspiration pour sentir l’odeur de son excitation, puis j’attrape son short pour le descendre à ses chevilles.

J’adore ta culotte !

Elle est grise, en coton doux et une petite tâche d’excitation grossit dessus. Je continue à plaquer mon visage dessus et à la caresser du bout du nez. Elle attrape mes cheveux en gémissant.

En…

Quoi ?

Enlève-la !!

Je m’exécute et la culotte rejoint le short au bas des chevilles. Au contraire de Marie, le sexe de Sophie n’est pas vraiment rasé, et roux.

Hmm elle est à croquer.

Sophie semble avoir un éclair de lucidité. Elle se redresse et m’écarte.

Tu as de quoi de te protéger ? Et du lubrifiant ?

Je ne mets jamais de préservatif avec Marie, mais j’ai fait des tests pour voir si j’avais des IST. Pourtant, j’ai prévu le coup et je sors un préservatif de mon sac.

Oh, tu as tout prévu…

Oui, ça fait longtemps que j’ai envie de te faire l’amour. Mais c’est aussi une question de prudence. Toujours avoir de quoi se protéger… au cas où.

Et le lubrifiant ?

Je lui jette un regard pervers.

Pourquoi faire ? C’est moi qui vais te lubrifier.

Je me jette sur sa chatte et mets en application ce que Marie m’a appris. Je lèche, suce, embrasse son clitoris. Je ne lésine pas sur la salive, mais rapidement, je sens le goût de son excitation sur la langue, ses gémissements de plaisir. Apparemment, elle ne s’attendait pas à ça.

Ohhh oui, c’est si bon !!! Pourquoi tous les mecs ne font pas comme toi ?

Je me redresse pour l’embrasser, lui partageant le goût de sa propre mouille.

Parce qu’ils ne pensent qu’à eux.

Je retourne aussitôt à sa chatte et entreprends de la faire jouir. Pour cela, je n’hésite pas à ajouter un doigt ou deux pour lui masser les parois. Elle ne tient pas longtemps et pousse un long râle en plaquant ma tête sur sa chatte. Je bois son orgasme avec délectation.

Le temps qu’elle se remette, je m’écarte. Mon érection gonfle mon short ample. Malgré les brumes de l’orgasme qui voilent son regard, elle le voit aussi. Alors, elle se laisse lentement glisser de son perchoir pour finir à genoux devant moi.

A ton tour de me lubrifier …

Elle ne se fait pas prier et les mouvements ralentis par les endorphines, elle attrape l’élastique de mon short

Eh ben … pourquoi tu caches un morceau de bois dans ton caleçon ? demande-t-elle ironiquement en posant son visage sur la bosse.

Je ne réponds rien et la laisse faire, me contentant de jouer avec sa chevelure rousse. Les yeux fermés, je la sens saisir mon boxer et le descendre doucement, jusqu’à faire jaillir mon sexe devant elle.

Elle l’embrasse d’abord timidement, puis joue avec les boules. Elle n’est pas aussi douée que Marie, mais je ne m’en étonne pas. Elle n’a pas son expérience.

Alors tu aimes ? me demande-t-elle en jouant avec ma verge.

Ouais trop …

Je fais pas ça souvent, mais on me suce jamais, et tu m’as fait jouir comme jamais.

Elle me lance un sourire adorable. Et me reprend en bouche en y mettant tout son cur.

C’est marrant, pourquoi tu te rases ? me demande-t-elle encore cette fois en me caressant les cuisses et les boules.

J’aime bien, ça fait plus propre, et c’est mieux pour les compétitions. Mais au début, ça grattait.

Elle me suce encore un peu puis se redresse pour m’embrasser. Je la laisse faire et elle me pousse en arrière pour que je m’allonge sur le banc. Elle me couvre de baisers et je la sens tâtonner pour placer mon sexe entre ses cuisses. Ses seins pendent devant moi et je les attrape à pleine main.

Je soupire d’extase quand je me sens doucement entrer en elle. Mais elle ne va pas assez vite. Elle se contente de tourner sur ma verge, savourant ce corps en elle.

Je la laisse encore un instant puis je me redresse et la retourne pour l’allonger sur le banc.

Oh qu’est-ce que tu fais ?

J’aime prendre les devants. Et tu me connais, je suis plutôt un homme d’action.

Elle semble apprécier mon initiative et écarte les jambes pour que je puisse retourner en elle. Je jette un regard à son corps. J’aime ses formes, je préfère ça aux filles trop maigres.

Je prends ses jambes et les placent contre mes hanches. Puis après être entré doucement, je commence à la pilonner.

Vu ses gémissements à peine retenus, elle apprécie. Je ne saurais comment l’exprimer, mais ça change de le faire avec une fille de mon âge. Peut-être parce que je peux prendre les devants. Je me rends compte que j’ai sans doute plus d’expérience que la plupart de mes potes.

Sophie se cambre en jouissant une nouvelle fois. Je me repose un peu en m’allongeant sur elle, la tête dans ses seins, comme ça, je ne jouirais pas trop vite. C’est Marie qui m’a appris ça, et en plus, ça permet d’alterner sexe et douceur.

Ça va, tu t’en remets ?

Ouah ! j’ai jamais été aussi bien baisée. T’es vraiment un dieu du sexe.

Je lui lance un sourire, si elle savait que c’est sa prof qui m’a tout appris… elle me considérerait sûrement comme un pervers.

Et c’est pas fini…

Je me redresse et l’emmène avec moi. Puis je la retourne pour la prendre en levrette. Ses fesses blanches et rebondies me donnent envie de les claquer, de les mordre, de les caresser… et j’aimerais aussi la prendre par-derrière, mais je ne le ferais pas. Elle ne voudra sûrement pas. Le problème des jeunes générations.

Ouais !! Prends-moi par derrière j’adore ça.

Je ne me fais pas prier et saisis ses hanches pour la retenir malgré mes coups de boutoirs. On grogne ensemble, moi d’effort et elle de plaisir. Elle finit par crier quand je finis enfin par jouir en elle… dans le préservatif.

On s’allonge alors par terre l’un contre l’autre, repus.

Trois orgasmes … jamais un garçon ne m’a fait autant jouir. T’es un super bon coup Dan.

On recommence quand tu veux Sophie.

Elle se redresse soudain et regarde sa montre

Merde !! Je suis en retard ! faut que j’y aille !

Elle s’empresse de s’habiller, tellement vite que j’ai à peine eu le temps d’enlever le préservatif pour le nouer et le jeter qu’elle est déjà prête. Elle m’embrasse à pleine bouche.

On s’appelle, d’acc ?

Avant que je ne dise un mot, elle s’élance vers la sortie pour rentrer chez elle à toute vitesse.

Eh ben ! une vraie furie. C’est marrant, elle était toute timide au début, mais en fait, ce nest pas une bonne sur. Heureusement qu’elle ne m’a pas demandé qu’on sorte ensemble, c’était ma plus grande peur.

Je ne me rhabille pas, mais entame une danse de la victoire. Elle a dit qu’on se reverrait ! Sans doute pour baiser chez elle … j’adore ce genre de relation sans prise de tête, juste du sexe.

Je sors du vestiaire, nu comme un ver, et me dirige vers l’étage. En entrant dans la chambre de Marie, je la vois sur son lit, nue comme moi, se maltraitant la chatte avec un gode et le clito avec sa main.

Tu en as mis du temps ! soupire-t-elle en me voyant.

Sophie m’a surpris, je pensais qu’elle était une sainte-ni-touche.

C’est pas non plus la reine des cochonnes. Je vous ai bien maté et elle manque d’expérience.

Je souris en m’agenouillant devant elle. Elle retire son gode et laisse ma langue prendre le relais.

C’est une experte qui parle… mais ouais, elle nest pas aussi perverse que toi c’est sûr.

Tais-toi chéri, et prends-moi fort !

Je me redresse et m’enfonce en elle, sans préservatif cette fois. Je préfère, je n’aime pas trop le latex. Elle jouit une fois puis termine en me léchant pour recevoir le sperme qui me reste.

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