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Ce coquin de propriétaire ! – Chapitre 20




Au petit matin, Loïc encore à moitié endormi chercha de sa main droite le corps d’Hector et fut surpris de ne pas le trouver. Il était seul dans le lit.

Il soupira, regarda le réveil et vit qu’il n’était pas encore 4 h 00 du matin.

— Hector ?

Demanda-t-il à tout hasard. Aucune réponse, mais en prêtant un peu l’oreille, il put entendre l’eau de la douche. Il se leva et se dirigea vers la salle de bain.

Hector était effectivement là, il se savonnait sous une eau fumante. Loïc regarda le vieil homme bedonnant et ne le trouva pas vraiment beau. Pourtant, il n’avait qu’une envie, le rejoindre et se blottir contre lui, il voulait sentir l’étreinte de ses grosses paluches sur lui, il avait envie aussi de ce sexe Il voulait s’agenouillait devant son amant et prendre sa bite dans sa bouche. Elle était grosse et il se demandait comment il avait pu prendre plaisir à la recevoir dans son cul Pourtant, il avait pris un réel plaisir.

Il se remémorait cette nuit et n’avait aucune honte de ce qu’il avait fait Ou plutôt ce qu’Hector lui avait fait. Il n’y a pas si longtemps, c’est à peine s’il laissait Chloé lui mettre un doit dans l’anus et voilà qu’il avait laissé Marc y glissait son engin et il avait apprécié Ensuite, ce fut le tour d’Hector et ce fut encore mieux non seulement, il avait aimé, mais il avait envie de le refaire Il voulait être la chose de cet Hector, il voulait qu’il le prenne, qu’il l’embrasse Il voulait se blottir contre lui, le sucer et faire tout ce qu’il lui demanderait

Jamais il n’avait ressenti de si forte sensation avec Chloé

Hector en sortant de la cabine de douche vit Loïc planté sur le pas-de-porte.

— Eh bien ma belle, déjà réveillée ?

— Tu n’étais pas là et je me demandais ce que tu faisais.

— Eh bien, tu vois, j’ai pris ma douche.

— J’ai envie de toi !

Loïc n’aurait jamais cru sortir ce style de phrase à un homme et pourtant, il avait vraiment envie de sentir à nouveau le sexe d’Hector dans son cul.

— Désolé, je n’ai pas le temps. Le temps de m’habiller et je file.

— Ah !

Loïc était déçu et bien qu’il était curieux de savoir où son amant allait et pourquoi cela était-il si urgent, il ne dit rien de plus que cette douce interjection.

— Je rentrerai tard ce soir, ne m’attends pas, couche toi.

Puis voyant l’air surpris et lisant la déception dans les yeux de sa femelle, il ajouta.

— Couche-toi nu, je viendrais te rejoindre et j’aurais certainement envie de t’enculer.

Il tapa sur les fesses nues de Loïc et éclata de rire.

Loïc attendit qu’Hector soit parti pour se recoucher, mais il n’arriva pas à s’endormir Finalement, il décida de se branler en pensant à son amant.

Pendant ce temps

Ma main tâtait le drap, mais ne rencontra aucun obstacle. J’ouvrais les yeux, j’étais seule dans mon lit.

— Marc ?

Il était à peine six heures du matin, pourquoi s’est-il levé si tôt ?

Je me lève et me dirige vers la salle de bain. Je déambule dans ma tenue de nuit, c’est-à-dire nue. Je ne trouve pas Marc. Où peut-il bien être.

J’ouvre la porte d’entrée, enfin étant à l’intérieur de la maison, elle me permet plutôt de sortir. Je suis toujours nue, mais je m’avance sans gêne sur le perron.

Pourquoi devrais-je prendre des précautions, pourquoi devrais-je avoir peur d’être nue et surtout d’être vue ? Nous sommes au milieu de rien et personne ne peut me voir.

La Voiture est toujours là, il n’est donc pas parti.

Mais où est-il ?

Soudain, j’entends une porte qui s’ouvre. Cela vient de l’intérieur. Je rentre et je vois Marc, nu lui aussi refermer une porte que je n’avais jusque-là pas remarqué.

— Où étais-tu ?

— En bas, je préparé quelques truc et je mis un peu de chauffage.

— En bas ?

Il ne répondit pas à ma question.

— Bon, tout est prêt, nous avons un peu d’avance, viens !

Il prit ma main et me tira vers la chambre.

— Met toi en position pour une levrette !

M’ordonna-t-il en me montrant le lit.

— Aie !

Il s’était positionné derrière moi, son bâton de maréchal au garde-à-vous et sans ménagement me sodomisa. Il fit quelques aller-retour, mais sans jouir.

— Bon va prendre une douche, lave-toi bien pour que je te fasse ensuite un petit lavement.

Son introduction était courte mais profonde et douloureuse, une telle « mise en bouche » si je peux utiliser cet expression finalement impropre, car il s’agissait surtout « d’une prise au cul », laissait présager une journée loin d’un roman à l’eau de rose j’aurais d’ailleurs préféré qu’il commence par la feuille de cette dite rose ou l’utilisation d’un lubrifiant plus efficace que n’aurait été cette eau dite de rose.

Cependant, je me levais et me dirigeais vers la salle de bain pour prendre ma douche.

Alors que je sortais de la cabine, il arriva, une poire à la main.

— C’est l’heure du clystère !

Il me fit signe de retourner dans la cabine.

— Penche-toi en avant en écartant bien les jambes et en me présentant ton anus !

Sans dire un mot, je fis ce qu’il me demandait.

Il remplit une bassine d’eau chaude, pompa avec sa poire un peu d’eau et positionna la canule dans mon anus. Un jet chaud pénétra mon rectum. Il refit la même manuvre à chaque fois pour bien me nettoyer.

— Ton fondement est tout propre maintenant et bon à être rempli !

Il me fit sortir de la douche et essuya mon corps avec une grande serviette.

— Viens !

Marc me fit m’asseoir nue dans le canapé.

— Tu attends là sans bouger et sans parler.

Il me laissa ensuite seule dans la pièce et disparu dans sa chambre pour en revenir bien plus tard.

Il était maintenant habillé d’un pantalon de toile beige clair et d’une chemisette blanche. Il mit ses espadrilles et sorti sans me dire un mot et sans même un regard en ma direction.

Peu après j’ai entendu le bruit d’une voiture, puis une portière qui claque. Je n’ai pas osé me lever pour aller voir à la fenêtre.

Il est ensuite apparu en compagnie d’un homme plus vieux, plus grand et plus gros que lui.

— Voici la fameuse Chloé.

— Superbe, elle est superbe !

— Et toute propre et prête pour toi !

— J’espère qu’elle est aussi bonne que la petite tapette avec qui elle partage sa vie !

— Tu jugeras de toi-même !

Je les regardais sans vraiment comprendre Et pourquoi cet inconnu parlait-il de Loïc et surtout de cette manière ?

— Je te présente Hector, dis-lui bonjour !

— Bonjour Monsieur !

— Humm, bien, bien Tu l’as bien éduqué !

— Elle n’est pas encore parfaite, mais il apprend vite.

— Bon! La route a été longue, j’ai soif !

— Va nous chercher à boire !

Sans même leur demander ce qu’ils voulaient, je me levais et me dirigeais vers la cuisine.

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