Cette histoire s’est passée il y a quelques années déjà…

Nous descendions vers le nord de l’Espagne, en voiture et nous en profitions pour visiter quelques villes sur la route.

J’avais 20ans et je n’étais pas moche à regarder… mon copain et moi étions ensemble depuis moins d’un an et nous en étions encore au stade où l’on aime s’envoyer en l’air à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, période bénie de tous les amoureux, car nous n’avions pas encore l’envie ou la nécessité d’être raisonnable à ce niveau-là.

J’avais 20ans et j’étais assez gourmande…et moins prude que mon copain, pour qui j’étais la toute première malgré ses 25ans… à l’époque, il ne me résistait pas encore et je savais (je sais toujours) comment le rendre fou.

Aussi, alors que nous arrivions non loin d’une sortie d’autoroute, dans un coin semble-t-il, entouré de champs et de bois, je lui demandai de prendre cette sortie. Ne pouvant lui donner un motif valable (je souhaitais garder la surprise jusqu’à ce que nous ayions trouvé un coin tranquille), il refusa de sortir, prétextant que nous prendrions du retard.

Soit. Je le laissai continuer à rouler un peu, puis, alors que braillait à la radio un rock endiablé, je laissai ma main, mon "innocente" main, s’aventurer vers sa cuisse et posai ma tête sur son épaule. Ni une ni deux, il me fait un peu de place. Il faut dire qu’il roulait souvent ainsi, lui, concentré sur la route, et moi, dans ses bras. Jusqu’à présent, en tout bien tout honneur… mais il faut croire que les choses finissent toujours par changer…

Une fois installée contre lui, j’ai levé la tête et lui ai lancé un regard gourmand et coquin, qu’il ne put ignorer, me demandant pourquoi je le dévisageais ainsi. "Rien, rien", lui dis-je… ce faisant, je laissai ma main remonter doucement pour le caresser à travers son jean.

— "Diiiis, qu’est-ce que tu fais?"

— "Je m’occupe… c’est interdit?"

Petit à petit, je le sentis grossir sous ma main et il fut rapidement à l’étroit. Aussi, j’ouvris tant bien que mal sa ceinture, déboutonnai son pantalon et sorti la bête! Fort heureusement, l’autoroute était peu fréquentée à cette heure-là.

— "Dis! Tu n’as pas honte?"

— "Honte de quoi mon Amour? D’aimer les bonnes choses? Ca non alors!"

Il était déjà bien excité, bien dur, et j’aurais pu m’empaler dessus sur le champ si je l’avais pu ou voulu. Mais je n’avais pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin. Aussi, profitant de sa surprise, je baissai la tête et commençai à le lécher, de haut en bas, de bas en haut, m’attardant sur le gland, en faisant le tour avec ma langue, tout doucement… avec gourmandise… puis, je commençai à le suçoter, le titiller du bout des dents, gentiment. Je le prenais dans ma bouche, laissais mes lèvres s’attarder sur le bout, puis je recommençais, ma langue en faisant le tour, le suçotant avec mes lèvres, l’aspirant avec gourmandise.

Son membre était gonflé à souhait, palpitant, rouge et prêt à être avalé et sucé jusqu’à plus soif…et mon homme, forcé de rester concentré sur la route, n’en pouvais plus de ne pouvoir que me regarder sans pour autant voir quoi que ce soit.

D’un coup, je m’arrêtai pour relever la tête et le regarder droit dans les yeux en me léchant les lèvres. Je vis qu’il n’en pouvait plus, mais je ne pu résister à l’envie de jouer encore un peu. Je voulais l’achever lentement, le faire tenir autant que possible!

Aussi soudainement que je m’étais arrêtée, je baissai la tête et l’avalai d’un coup, pour le loger au fond de ma gorge, mes lèvres se resserrant sur sa verge épaisse et raide, je remontais doucement, tout en laissant ma langue courir un peu le long de ce membre excitant, je resserrais mes lèvres à hauteur du gland, le pressant doucement dans ma bouche, et je l’avalais à nouveau jusqu’au bout. Je continuai ainsi doucement pendant un certain temps…

Quand je sentis que vraiment, il était à bout, qu’il n’en pouvait plus, j’accélérai la cadence et accentuai la pression de mes lèvres sur son membre gonflé. De temps en temps, je laissais ma langue s’enrouler autour de son gland, puis je redescendais, le prenant dans ma gorge aussi loin que je le pouvais. Sa main avait quitté mon épaule pour se poser sur ma tête. Il me faisait ainsi encore plus ressentir son excitation et je l’encourageai à me montrer quel rythme il souhaitait me voir adopter.

La pression qu’il imposait sur ma tête, me forçant à ralentir un peu, ne fit que m’exciter d’avantage et je continuai à le sucer ainsi avec gourmandise, mes lèvres et ma langue montant et descendant sur ce pieu, alors que je rêvais qu’il me le mette au fond de mon ventre, pour me prendre profondément et sauvagement.

Tout à coup, la pression se fit plus intense et j’accélérai la cadence, jusqu’à ce qu’il sorte enfin de cette autoroute, n’en pouvant plus et ne parvenant plus à se concentrer suffisamment sur la route. Il s’arrêta dans le premier sous-bois rencontré.

Je lui demandai de sortir de la voiture, et alors qu’il en faisait le tour, je m’agenouillai devant lui et le repris dans ma bouche, guidant ses mains vers ma tête, afin qu’il me montre ce qu’il voulait vraiment.

Ainsi, il fini par littéralement me baiser la bouche, mes lèvres continuant à faire pression sur sa verge et son gland, ma langue voyageant encore de temps à autre sur ce membre palpitant. Il allait et venait dans ma bouche comme il m’aurait prise si je l’avais laissé faire. Je le laissai faire, excitée par son envie, par cette queue qui allait et venait dans ma bouche, au fond de ma gorge. Pas une seconde, je ne l’ai quitté des yeux, je voulais qu’il me regarde, qu’il voie comme il m’excitait, je voulais voir son excitation et l’exciter encore plus! Alors il me dit, "je n’en peux plus, je vais venir" et, en quelques coups bien forts et bien profonds, il répandit sa semence au fond de ma gorge, dans un râle de plaisir.

Coquine, je lui suçai jusqu’à la dernière goutte de sperme sur sa verge, non sans laisser ma langue s’attarder un peu, puis le laissai se rhabiller.

Nous sommes ensuite remontés dans la voiture et nous sommes repartis, mais sans prendre l’autoroute cette fois…

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