J’ai ouvert un il vers 7 h du matin, le soleil se levant tôt en été, un fin rayon de lumière passait entre les rideaux. Les deux nanas dormaient paisiblement, à se demander si ce qui s’était passé la veille n’était pas un rêve. Mais j’avais encore en tête toutes les images de notre débauche qui étaient là pour me rappeler que nous avions baisé comme des dépravés. Et surtout, une des deux nanas n’était autre que mon ex-belle-sur…! Je l’avais tringlée, enculée, je lui avais pissé et chié dessus ; et elle et sa copine batave avaient fait de même, sans la moindre retenue. On avait atterri dans la salle de bain dégoulinant de foutre, d’urine et de merde mais heureux de nos exploits, aussi naturellement que si on venait de gagner un match de badminton…
À ce stade de mes réflexions, j’ai senti Belinda bouger, enlever la couverture et faire un mouvement pour sortir du lit. Je l’ai arrêtée, lui demandant où elle allait, en lui caressant les fesses. "Pipi !" m’a-t-elle répondu. Ce à quoi j’ai répliqué par un doux "Humm, dommage de gaspiller…". "Non, le matin, c’est trop chargé. Ce sera pour plus tard…!" Content de cette promesse, je l’ai laissée quitter la chaleur du lit. Quasi au même moment, j’ai senti les mains de sa collègue Aanja se poser sur ma peau. Elle a embrassé mes épaules et a glissé une main entre mes fesses, vers ma rondelle, qu’elle a commencé à titiller. Il ne m’en fallait pas plus pour que ma bite reprenne vie et, d’une main, j’ai essayé d’écarter mes fesses pour l’aider dans sa tâche matinale. Elle m’a pénétré d’un doigt et approché sa bouche de mon oreille "Viens d’abord m’embrasser…". Elle a retiré son doigt et j’ai pu me retourner. Elle montrait un sourire encore fatigué mais elle a pris mon visage à deux mains pour m’embrasser langoureusement, profondément, comme si elle allait me quitter pour toujours.
Après quelques minutes, une de ses mains est descendue pour caresser mon entrejambe. Je répondais avec fougue à ses lèvres, pendant que ses doigts s’activaient sur mes couilles, quand Belinda est revenue. Elle s’est glissée dans le lit, murmurant d’une voix un peu pâteuse "Peux pas vous suivre, trop crevée… faites sans moi…". J’ai voulu suivre ses conseils mais Aanja en avait décidé autrement "Excuse-moi mais pipi aussi, je reviens vite…". Je suis donc resté couché, dos contre dos avec Belinda, le service trois-pièce dans les starting-blocks dans l’attente du retour de la jeune pisseuse. Cependant, elle tardait un peu et il me semblait que la peau de Belinda était étrangement froide. Je me suis retourné pour la prendre dans mes bras et la réchauffer, elle semblait s’être endormie. J’ai murmuré à son oreille "Tu as pris froid dans les WC, laisse-moi te réchauffer en attendant qu’Aanja revienne." Elle a semblé sortir de ses songes pour me répondre "Elle ne reviendra pas de suite… elle est partie au sauna avec Belinda…!" Avec Belinda ?! Mais cette voix… comment… et là j’ai enfin compris, la femme qui était couchée nue à côté de moi dans le lit, c’était…!
— Ottavia, nom de Dieu, qu’est-ce que tu fous là !??
Elle s’est retournée et m’a regardé de ses grands yeux.
— Chuuuut, ne crie pas, je vais t’expliquer…
J’ai tenté de me reculer un peu, la moutarde commençait à me monter au nez.
— Vous avez tout manigancé, vous avez joué avec mes pieds, bande de salopes…
— Salopes oui ! Mais pas tellement avec tes pieds… si ? Calme-toi et laisse-moi parler…
— Bon, OK, mais fais vite et sois convaincante.
— Ben voilà…, commença-t-elle, j’avais besoin de toi pour baiser, j’avais besoin de tes perversions, j’avais besoin de ta bite et de ton cul, j’avais besoin de toutes ces saloperies qu’on faisait avant…!!!
— Et tu pouvais pas juste le demander, ME le demander ? Tu devais tout faire dans mon dos, bien sûr !
— Écoute, tu n’aurais pas accepté. Je t’ai laissé tomber pour mon boulot, j’ai épousé un autre mec, tu aurais refusé rien que pour le plaisir de refuser. Il fallait que je trouve un truc, une mise en scène…
— Ben justement, tu as épousé un businessman bien sous tout rapport, avec du flouze et un carnet d’adresses gros comme une bible… Il ne baise pas, il ne t’encule pas, il te pisse pas dessus…?
— Si… enfin… il trempe son biscuit dans ma chatte 5 minutes tous les samedis matin…
— Et puis…?
— Ben et puis, c’est fini…!
— J’admets que ce n’est pas à ta hauteur, tu mérites mieux ! Mais tu le mérites aussi ton chemin de croix. Fallait rester avec moi et tu aurais pris ton pied, maintenant c’est un peu tard…
— Non, écoute, toi aussi tu as besoin de moi ! Ma sur m’a un peu raconté, tu étais autant en manque hier soir que moi maintenant. Glisse deux doigts dans ma chatte si tu me crois pas…
J’ai fait ce qu’elle m’avait demandé et découvert, ce qui ne me surprenait guère, qu’elle était effectivement trempée…
— Oui bon, c’est vrai, on a tringlé comme des malades, mais voilà c’était hier mais je crois qu’elles seraient partantes pour un deuxième round, non ?
— Sans doute, mais elles sont parties au sauna et elles vont faire des courses après, et en attendant, c’est moi qui suis à poil dans le lit. On a deux ou trois heures devant nous, pour faire toutes nos saloperies comme avant. Et ici je suis tranquille, incognito, chez ma sur…
— Et ton mec, il en dit quoi ?
Une fois par mois il retourne chez sa mère, à Zürich, pour lui tenir compagnie… Il rentre demain matin, pour filer tout droit à son bureau ! Nous avons le temps !!!
— Ma belle salope, tu as pensé à tout, non ?!
J’avais maintenant trois doigts dans sa foune, toujours parfaitement rasée, et elle commençait à gémir. Elle est descendue vers mes couilles et est passée vers mon arrière-cour pour caresser mon anus.
— Alors, tu veux bien ? Et on pourra remettre ça tous les mois… Un week-end de pure débauche…? Comme avant, je t’encule, tu m’encules, on se pisse dessus, tu mets des dessous sexy et je chie sur ta grosse queue…
J’ai poussé un gémissement, son doigt venait de rentrer dans mon fion, elle savait toujours y faire… Elle devait s’entraîner en solo car je la voyais mal pistonner le cul de son Suisse de mari !
— Tu as gagné mais…
— Quoi mais… ???
— Après, on continue avec ta sur et Aanja… après ce qu’elles ont fait, ce serait dommage de les garder à l’écart, non ?
— Donc tu veux que je baise avec ma propre sur, c’est ça ?!
— Tu n’avais pas imaginé cette éventualité…? Deux surs aussi lubriques que vous deux…ça doit faire un beau spectacle non ? Pardon, un pètestacle…
— C’était même prévu, gros pervers ! Elles ont prévu un barbecue dans le jardin et après, baise à tous les étages !
Elle avait maintenant deux doigts dans mon fondement et son autre main jouait avec mes boules, déjà bien gonflées. J’ai voulu prendre ses gros nibards pour jouer avec ses tétons mais elle m’a repoussé !
— Non, attends, faisons ça dans les règles ! Descends un peu, tu mérites bien une petite récompense…
Je me suis exécuté de bonne grâce, je savais ce qu’elle avait en tête comme friandise. Et de fait, elle s’est mise tête-bêche au-dessus de moi et a collé son cul sur mon visage. J’ai pris cette offrande en ajustant bien ses fesses, son anus sur mon nez et sa chatte sur ma bouche. Le tout était de ne pas suffoquer !
J’ai léché sa chatte comme un malade, j’ai planté mon nez dans son fion comme si j’essayais de le pénétrer. Jamais je n’avais imaginé que nous referions cela un jour alors, comme un dément, j’agrippais ses fesses, je tirais son cul vers mon visage, je tentais de lécher tour à tour son con et sa rondelle pendant qu’elle semblait me chevaucher comme une walkyrie que j’imaginais en train de tirer sur ses tétons, de caresser ses loches, de se préparer à me jouir dessus ! Mais elle s’est penchée en avant, vers ma bite, pour la prendre en bouche et me pomper avec passion. Cela m’a permis de mieux ajuster mes coups de langue gourmands. Je fouillais sa rondelle, je tentais d’immiscer ma langue dans son oignon, je lapais sa chatte qui débordait de cyprine directement dans ma bouche. On gémissait tous les deux, le plaisir montant sans retenue, puis elle s’est mise à crier, son visage au-dessus de ma queue qu’elle branlait comme une folle furieuse. J’aurais voulu pisser dans sa bouche grande ouverte, qu’elle pisse sur mon visage, tant nous étions déchaînés, comme entraînés dans notre débauche.
Elle poussa finalement un long cri et jouit dans ma bouche alors que j’arrosais ses nichons d’une bonne dose de foutre bien chaud. Il ne lui fallut pas trente secondes pour se retourner et me présenter ses beaux seins maculés de ma crème.
— Lèche-moi ! Lèche tout ton foutre ! Fais reluire mes loches !
J’ai pris ses deux ballons à pleine main et j’ai plongé mon visage entre. J’ai barbouillé mon visage avec ma semence, j’ai léché mon foutre, aspirant, avalant ; puis, elle a pris mon visage et m’a embrassé à pleine bouche pour partager mon sperme. Ensuite, elle s’est relevée, avec son regard pervers que je connaissais si bien…
— Viens, on va continuer nos cochonneries dans la salle de bain…