Avant toute chose, je vais me présenter. Je m’appelle Audrey, j’ai 38 ans, libertine, et je vais vous narrer comment tout a débuté…
Nous sommes en 2005, j’ai alors 25 ans et je fais la rencontre de Nicolas, 32 ans, qui allait devenir l’homme de ma vie.
Une rencontre fortuite sur son lieu de travail, il travaillait à l’époque dans un magasin de sport. Nicolas était un très bel homme (il l’est toujours d’ailleurs), et a toujours eu un coté charmeur.
Quelques mots échangés, des sourires, et Nicolas me propose un rendez-vous pour aller boire un verre après le travail. Étant à cette période-là de ma vie célibataire, j’accepte aussi tôt l’invitation, et nous nous retrouvons ainsi à 20h en centre-ville pour siroter quelques cocktails tous les deux !
Le soir même, au moment de me raccompagner à la maison, je propose a Nico de venir boire un dernier verre, il accepte, et il n’est plus jamais reparti de chez moi !
Quelques semaines plus tard il abandonnait son petit studio pour venir aménager chez moi… Nous vivons depuis ensemble le parfait amour et sommes parents d’une petite fille de 9 ans.
Le début de notre amourette était tout ce que l’on peut considérer comme "normal", mais un soir alors que nous venions de faire l’amour, nous étions lovés dans les bras l’un de l’autre et nous avons commencé a parler de notre passée, de nos expériences…
J’étais toute fière de raconter a mon bellâtre les folies que j’avais pu faire dans ma jeunesse : faire l’amour dans une voiture, en pleine nuit sur un parking, ou sur une plage, une nuit d’été, ou encore lorsqu’un jour, pour chauffer un mec en boite j’avais roulé une galoche a une de mes amie tout en lui pelotant un sein…
Je pensais que tous ses exploits allaient surprendre mon Nico, et qu’il allait trouver que je suis une sacrée coquine.
Mais lorsqu’il a commencé à son tour à me raconter son passif, je me suis rendue compte que finalement le mien était bien sage en comparaison !
Nico, ayant un peu peur de ma réaction commence par m’avouer à demi-mot son passif de libertin. Mais voyant mon intérêt face à ses récits, il commence à se confier un peu plus.
Je l’assaille de questions, et lui qui était un peu tendu au départ commence a se lâcher et a rentrer dans les détails…
Tout ce qu’il me raconte m’excite énormément, et je commence a mouiller en l’écoutant me raconter ses plans a 3, ses orgies, etc… Et très très discrètement, je commence a me caresser sous les draps alors qu’il est juste à côté de moi.
Finalement, nous avons arrêté de discuter et avons fait l’amour comme jamais !
Le lendemain, au réveil, je repensais a tout cela et je me disais que j’avais peut être gâchée ma jeunesse a ne pas profiter à fond de la vie comme l’avait fait mon homme. Aujourd’hui, je suis casée et il est trop tard pour faire des folies comme il a pu en faire étant plus jeune !
Il dormait encore, alors je me suis levée et suis allée me faire couler un café au lait. Je me suis assise dans le sofa, enroulée dans ma couverture et j’ai bu mon café en réfléchissant a tout cela.
Nico se réveille et me rejoint dans le salon… Il me demande ce que je fais debout, si tôt un dimanche ! Je lui réponds que j’avais du mal a dormir après nos aveux de la veille. Il se sent un peu responsable et commence a se confondre en excuse… Il insiste bien sur le fait que tout cela fait partie de son passé et qu’aujourd’hui il est heureux avec moi et est prêt a vivre une vie "normale" !
Je lui réponds alors que non, le problème ne vient pas de là, mais plutôt du fait que ses récits m’ont fait prendre conscience que je n’ai pas su profiter de ma vie lorsqu’il était temps !
Je vois alors un sourire illuminer son visage et il me répond qu’il n’était jamais trop tard pour faire des folies !
Je lui explique que jamais je n’oserais faire tout cela, même si le simple fait d’y penser m’excite énormément…
Il me propose alors de rediscuter de tout cela et de voir ce qui me tenterais le plus d’essayer…
Je n’ose lui avoir que la plupart des expériences dont il m’a fait part me tentent !
Je lui dis timidement « Je ne sais pas guide moi ! »
Il sourit et me réponds « OK, je vais y réfléchir ! »
Après cette discussion, nous n’avons plus jamais abordé le sujet
L’été arrivant, nous décidons de partir en vacance, et Nico se propose de tout gérer !
Je ne me préoccupe donc de rien et laisse mon homme s’occuper de tout ça pour nous.
Le jour J arrivant, je m’apprête à monter en voiture sans même savoir ou nous allons Je me doute juste que nous allons à la mer car Nico m’a demandé de prévoir maillot, drap de plage et huile solaire dans ma valise !
Ce n’est qu’en rentrant dans la voiture que je découvre notre destination en voyant « Cap d’Agde » programmé sur le GPS.
J’avais trouvé, nous allons bien a la mer Mais étant jeune et candide a l’époque, je ne savais pas que le Cap était réputé comme étant un haut lieu du libertinage en France !
Pour moi c’était juste la mer, les vacances, la plage
Nous voilà donc parti pour près de 3heures de route (nous habitions à l’époque à Valence).
Le trajet se fait dans la joie et la bonne humeur Nous chantions en écoutant la radio, nous discutions de tout et de rien Puis à mi-chemin, alors que nous étions sur la Languedocienne (l’A9), Nico me dit : « Tu te souviens, tu m’avais fait part de ton avis de pimenter un peu ta vie ? »
J’esquisse un sourire et lui réponds « Oui, oui, je me souviens. Je suis rassurée, car comme nous n’en avions plus jamais reparlé, j’ai cru que tu avais oublié !! Mais je dois t’avouer que je suis aussi terrorisée car je ne sais pas ce que tu vas bien pouvoir me demander ! »
Il rigole et me dit « ne t’inquiète pas, je vais te demander de réaliser certaines choses, mais tu restes à tout moment libre d’arrêter l’expérience ou de refuser telle ou telle chose J’adapterais mon rythme au tien Et surtout, si tu ne te sens pas de faire quelque chose, ne le fait pas ! »
Il continue en m’expliquant que même si on ne fait pas quelque chose un jour, on peut le refaire plus tard Et il vaut mieux décliner lorsqu’on ne se le sens pas plutôt que de se forcer et ne pas vivre l’expérience à fond dans de bonnes conditions
Son discours est très rassurant et je comprends bien que rien ne m’est imposé et que je reste libre de tout stopper si je le désire Cela me conforte dans l’idée que je peux accorder ma pleine confiance en Nico
Je dis alors à Nico que je suis prête et lui demande quand commence l’expérience !
Il me dit « Tout de suite !… Tu vous ce camion la bas ?» En me montrant du doigt un camion roulant devant nous a quelques centaines de mètres
Je lui dit « oui », et il continue « Tu sais, la vie de camionneur n’est pas très cool Les pauvres passent parfois une semaine sur les routes, sans voir leur femme ! Ils se retrouvent seul, le soir a dormir dans leur cabine, sur une aire d’autoroute avec pour seule compagnie quelques magazines coquins ! »
Tout en continuant a parler, Nico commence a légèrement accélérer pour se rapprocher lentement, mais surement du dit camion.
Nous sommes désormais a quelques dizaines de mètres de lui, et Nico lâche le pommeau de vitesse qu’il tenait dans sa main droite et vient la poser sur mon sein
Il le masse en continuant à m’expliquer « Tu vois, lui par exemple il est en plaque espagnole Il vient de Malaga, c’est écrit sur la bâche du camion C’est dans le sud de l’Espagne ça Il n’est pas chez lui avant demain soir ! »
Il arrête de masser mon sein et sa main se dirige vers les boutons de mon chemisier Qu’il commence a déboutonner maladroitement en continuant a m’expliquer « Il doit lui tarder de retrouver sa femme Mais je peux te garantir un truc »
Tout en laissant Nico déboutonner mon chemisier, je lui réponds « ah oui ? quoi ? »
Les 3 premiers boutons sont maintenant déboutonnés Il n’en reste qu’un, mais la main de Nico se glisse dans mon chemisier et attrape mon sein
Tout en le massant il continu « Et bien, je peux te garantir que ce soir, lorsqu’il ira se coucher a l’arrière de sa cabine, notre gentil routier ne va pas se palucher en pensant a sa femme qu’il va retrouver le lendemain Ni en feuilletant un Playboy »
Nico écarte mon chemisier, laissant apparaitre mes seins ! (Je ne portais pas de soutifs, car le matin même au moment de s’habiller, Nico m’avait demandé de ne pas en mettre Je n’avais pas compris pourquoi il me demandait ça, mais je m’étais exécuté pour lui faire plaisir ! Je comprenais mieux maintenant ! )
Nico, continue « Ce soir ce routier va se palucher en repensant a ce qu’il a vu dans la Clio du jeune couple de français qui l’a doublé vers 17h39 sur la A9 »
Nico mets le clignotant et s’apprête à doubler le camion
L’ancienne Audrey, aurait pris peur et aurait vite refermé son chemisier Mais j’ai relativisé et me suis dit que de toute façon a part ce camionneur espagnol, qui habitait a des centaines de km de chez nous et qu’on ne recroiserais certainement plus jamais de notre vie, personne d’autre nous verrait !
Alors, accordant mon entière confiance en Nico, je ferme les yeux pour savourer pleinement ce moment, et je le laisse dépasser le camionneur, mon opulente poitrine a l’air, sa main posée sur mon sein gauche
J’étais terrorisée, mais aussi terriblement excitée a l’idée que ce soir un inconnue allait se masturber en repensant a mes seins que je lui aurait exhibé !
Je n’ai pas osé ouvrir les yeux et jeter un il vers sa cabine pour voir s’il nous avait vu ou s’il était concentré sur la route !
J’étais un peu déçu de ne pas avoir eu le courage de regarder Mais je me dis que j’aurais été triste de m’apercevoir qu’il n’avait pas regardé dans notre direction Je me plaisais à m’imaginer qu’il nous matait !
Mais à peine le camion dépassé, Nico c’est rabattu et mes doutes se sont aussi tôt dissipés lorsque le camionneur c’est mis à klaxonner frénétiquement tout en mettant ses warning et nous faisant des appels de phares !
Il n’y avait aucun doute, il avait tout vu, et semblait avoir énormément apprécié Cela m’excitait beaucoup, et je me suis dit que cette première expérience d’exhibition n’allait pas être la dernière.
Je ne saurais expliquer les sentiments que je ressens dans ces moment-là Mais ce n’est pas tant me montrer qui m’excite, mais plutôt de m’imaginer l’excitation que cela procure à mes voyeurs !
J’étais fière d’y être arrivée de ne pas avoir eu peur et d’avoir osée aller jusqu’au bout de l’expérience !
Pour tout avouer, j’avais même envie de recommencer, et je demande a Nico de ralentir un peu pour laisser le camion ne redoubler !
Il s’exécute et le camion nous double en klaxonnant frénétiquement !
Nous le laissons nous devancer un peu, et je demande a Nico de le redoubler
J’avais toujours la poitrine à l’air, Je portais une petite jupe ample Je la relève et après avoir reculé mon sièges, je pose mon pied droit sur le montant de la fenêtre, qui était grande ouverte.
Cuisses écartés, jupe relevée, j’écarte de mes doigts mon string afin de laisser apparaitre ma chatte bien épilée, et je commence à me caresser
Nico accélère et double le camionneur, et ralenti pour rester un peu plus longtemps a la hauteur de sa cabine !
Il me caresse les seins et moi trempée de désir, je me doigtes et stimule mon clito du bout de mes doigts ! Je sentais l’orgasme arriver, mais Nico avait été trop vite et avait doublé le camion avant que je n’ai le temps de prendre mon pied !
Je n’en pouvais plus, je brulais de désir Je voulais remercier mon homme de ces nouvelles expériences qu’il venait de me faire vivre, alors j’ai déboutonné son bermuda et ai sorti sa queue
Je me suis penchée vers lui et ai commencé a le sucer Lui, de son coté, a levé un peu le pied pour ralentir car il avait un eu de mal à ce concentrer sur la route !
Le camionneur qui était derrière nous nous double a nouveau !
J’étais très excitée a l’idée de savoir qu’il allait me voir sucer Nico Et je me suis dit qu’il était peut-être en train de bander en s’imaginant être a sa place !
Mais Nico m’a fait remarquer plus tard qu’en étant au volant de son camion le camionneur ne vois rien lorsqu’il nous double (il faudrait qu’il soit assis côté passager !) Effectivement, je n’y avais pas pensée ! Mais sur le coup, j’étais trop excitée pensant qu’il nous voyait !
Je n’en pouvais plus, je me doigtais en le suçant et je voulais plus !
Je demande alors à Nico de s’arrêter à la prochaine aire de repos !
Je ne lui aurais pas demandé ça si le camion avait été encore derrière nous, de peur que celui-ci ne s’arrête aussi Mais comme il était devant, je ne craignais rien !
Nico me dit OK, et il met le clignotant quelques kilomètres plus tard et s’arrête sur une aire de repos
Je lui dis que j’allais aller aux toilettes et lui demande de me rejoindre quelques minutes plus tard (pour que cela ne fasse pas louche) Mais arrivé dans les toilettes, l’état de celles-ci et l’odeur qui s’en dégageait m’a fait passer l’envie d’aller plus loin J’avais vraiment envie que Nico me prenne mais ce n’était pas possible ! J’ai pourtant fait le tour de l’aire de repos pour voir si je trouvais un coin discret, mais elle était toute petite et pleine de passage !
Il fallait se faire à l’idée que je ne pourrais pas assouvir mes envies bestiales tout de suite !
Mais nous n’étions pas si loin d’arriver, alors nous avons repris la route pressées de rejoindre l’intimité de notre appartement de location !
La suite bientôt