Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe noir Histoires érotiques

Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 8




Lundi 10 juillet. C’est le jour choisi pour nous rendre à Prague, et y séjourner jusqu’au jeudi. Après quoi, vendredi matin retour à la maison, car le départ pour les « grandes vacances » est prévu pour le dimanche 16. Toute la famille, moi y compris, sera du voyage qui nous amènera au bord de la mer Noire, en Bulgarie.

Ce lundi matin donc, nous nous apprêtons à partir, Eva et moi. Le trajet ne fait que 250km, mais sans l’autoroute, à cette époque. Aussi, le départ a lieu vers 10h du matin, pour nous permettre de prendre notre temps. Nous sommes salués par ses parents et sa sur, qui doivent encore travailler jusqu’à vendredi, de 14h à 22h cette fois. Pour la route, Eva a mis une robe sans manches, boutonnée devant, de couleur vert clairet tout aussi mini, dévoilant largement ses jolies jambes.

La petite valise d’Eva ainsi que mon sac, une fois déposés dans le coffre de la voiture, nous démarrons.

« Ma mère nous a préparé quelque chose pour le déjeuner. Je lui ai bien dit qu’elle n’était pas obligée de le faire, mais elle m’a répondu que ça lui faisait plaisir ! Tu commences à connaître ma mère, n’est- ce pas ? » Dit- elle avec un sourire, en déposant un sac sur la banquette arrière.

 « Remarques qu’il fait un temps magnifique et qu’il va certainement faire encore chaud ! Déjeuner sur l’herbe, dans la nature, sera donc très agréable, non ? » Répondis-je.

Le plein du réservoir ayant été fait la veille (précaution utile à cette époque), le voyage s’annonce serein. De fait, alors que nous avions accompli une bonne moitié du trajet, et que midi et quart approchait, il fut décidé de nous arrêter pour déjeuner.

L’occasion se présenta à la sortie d’un village :

« Tiens ! Ici par exemple ! Tu vois ce chemin qui mène au petit bois, là-bas ? On y va ? »

Eva hésite, avant de se raviser :

« Ca semble bienAllons-y donc! »

Le chemin est en terre mais en bon état, et au bout de cent mètres, une petite clairière apparait, pourvue d’une herbe épaisse. Je gare la voiture juste à l’entrée de celle-ci, derrière une sorte de haie, la rendant ainsi invisible de la route.

Le temps est très beau et il commence à faire chaud. Eva prend le sac qui se trouve sur la banquette arrière. En bordure de la clairière, un espace ombragé s’offre à nous. Elle sort du sac une sorte de vieux drap, qu’elle étend sur l’herbe et nous nous asseyons dessus.

« Je suppose que tu as soif, mon chéri ? » dit-elle avec son accent charmant.

Elle sort deux grands gobelets, et, ouvrant une grande thermo, elle les remplit  de thé encore tiède (ici, pas question de boire une goutte d’alcool quand on conduit). Nous buvons lentement. Eva s’est assise sur le drap, les jambes allongées. De ce fait, la minirobe a tendance à remonter, dévoilant la quasi-totalité de ses jambes nues, et laissant même apparaitre la culotte

« Qu’est-ce que tu regardes comme ça ? » me lance Eva, visiblement amusée d’avoir repéré mon manège et donc mes regards fréquents sur ses jambes.

« Tu as de si jolies jambes ! Comment ne pas les admirer ! » Répondis-je franchement, préférant jouer la sincérité.

« Oh ! Merci pour le compliment ! C’est joli de ta part ! C’est pour cela aussi que je préfère porter des minirobes ! et je suis sûre que tu n’as pas vu que mes jambes, hein ? » Conclue-t-elle, un brin coquine.

Je me sens un peu gêné pour répondre. Mais, déjà, elle s’affaire à mettre le couvert pour déjeuner.

Une demi-heure plus tard, le petit, mais délicieux repas froid avalé, Eva range le tout dans le sac. Puis je m’allonge, en partie sur l’herbe et sur le drap :

« On va se reposer un peu, non ? Si on arrive chez ta tante à cinq heures, se sera suffisant ! »

« Cela devrait  aller ! » me répond Eva en s’allongeant à côté de moi.

Puis elle me murmure à l’oreille, reprenant sa conversation :

« Tu as vu ma culotte, n’est-ce pas ? Peut-être que je ne devrais pas porter de robes si courtes même si Jana me dit que cela me va très bien »

Je ne sais pas si elle veut me tester  ou me piéger, mais je décide d’être franc :

« Au contraire, tu es ravissante avec ce genre de robe ! Cela te va très bien, comme le dit aussi ta sur »

« Et je suis encore plus ravissante, si je ne mets pas de culotte avec ce genre de robe, n’est-ce-pas ? Ne dis pas le contraire, tu m’as déjà demandé cela, l’année dernière déjà et encore une fois au jardin »

 Que dire ? Je revois encore Eva, sur le parking du restaurant, marchant avec précaution, étant nue sous sa minirobe

« Tu te vois arriver chez ta tante, sans rien dessous ? »

« Tu aimerais bien que je réalise ce fantasme ! Avoue ! » Nullement choquée par ce genre de demande, Eva s’en moque gentiment, visiblement amusée que je n’ose pas la formuler clairement.

Finalement, je me lance :

« Eh bien, j’aimerais que  tu sois nue sous ta minirobejusqu’à l’arrivée. »

Voilà, c’est dit.et je la vois se relever, et, sans dire un mot, faire glisser sa culotte qui tombe sur ses piedspuis elle déboutonne et enlève sa minirobe pour retirer plus  facilement le soutien-gorge. Et une fois celui-ci retiré, elle se retrouve nue, le temps de remettre sa minirobe.

« Evareste comme çatu es tellement sexy, toute nue.. ! »

« Tu veux que ma tante me voit comme ça ? Non, je plaisantemais je peux rester nue un moment, puisque tu aimes ça ! » Me lance- t-elle, un brin ironique.

Puis elle s’allonge, sur le drap,  en face de moi, m’offrant la vue de son corps nu :

« Autant en profiter pour prendre un peu le soleil ! » dit-elle avec à-plomb.

Et moi, cherchant à connaître ses impressions :

« Qu’est- ce ça te fait d’être toute nue dans la nature ? C’est ta première expérience, non ? »

« Ce n’est pas désagréable.Tant que personne ne viendra ici Je peux même te dire que j’ai un peu peur que  quelqu’un arrive» Tempère-t-elle.

Je tâche de la rassurer comme je peux, puis je m’assois à côté d’elle ; mes mains caressent ses cuisses un peu rondes et satinées, puis son ventre et remontent jusqu’à ses seins.

« J’adore te voir comme çatu es affolante ! »

Puis revenant à ses pieds, je lui écarte les jambes à deux mains, puis me glisse, à plat ventre entre elles :

« Que veux-tu faire ? » demande -t-elle, en relevant la tête.

« D’abord, admirer ton joli petit minou ! » dis-je en déposant des baisers tout autour. Puis j’embrasse fougueusement son sexe, avant de commencer à le lécher.  Eva a un frémissement et écarte un peu plus ses cuisses. Puis j’écarte les lèvres de la chatte, pour poser la pointe de ma langue sur son clitoris, avant de le titiller. Elle ne tarde pas à réagir par des halètements, lents d’abord, puis plus saccadés :

« Tu aimes, n’est-ce pas ? Ca t’excite d’être léchée ainsi ? »

« Mmmm ! OuiOui » parvient-elle à dire.

Son clitoris commence à durcir et à prendre du volume. J’essaie d’en aspirer le bout. Eva semble envahie par une onde de plaisir. Elle gémit d’abord faiblement, puis de plus en plus fort, à mesure que ma langue lui procure une excitation de plus en plus intense :

« Oh oui !Oh oui! Encore ! Encore  ! Ne t’arrête pas ! » propos confus, qui sont pour moi un fol encouragement.

J’essaie de maintenir le rythme, décidé à aller jusqu’au bout, à la faire jouir dans ce coin de nature

Je sens son clitoris dur et volumineux. Elle halète et gémit tout à la fois :

« Oh oui !Oui Ouiiii » Elle glousse, se raiditSa jouissance explose Une mouille abondante dégouline de son sexe, trempant mes lèvres. Je continue à lui titiller le clitoris pour voir sa réaction :

« Mmmm Arrête Bob !  Arrête ! C’était bon.Que c’était bon ! »

« Tu as bien joui, chérie ? Ta chatte est toute trempée Tu mouilles bien ! »

« BobJ’ai joui terriblement ! J’ai eu encore un orgasme.   Déjà, j’adore ce genre de chose ! »

Machinalement Eva passe sa main droite sur son sexe, recueillant de la mouille sur ses doigts.

« Lèches ta mouille, chérie ! C’est bon pour la santé ! » Lui dis-je, en la voyant regarder ses doigts gluants.

« Si tu le dis, c’est que c’est vrai, non ? »  Ironise-t-elle, en portant les doigts à sa bouche pour les sucer.

Et comme cela n’a pas l’air de la déranger, je lui suggère :

« Récupères ce que tu peux avec tes doigts et lèches tout, chérie ! »

Et Eva, toujours allongée, passe ses doigts sur sa chatte, récupérant sa liqueur d’amour, avant de les porter à sa bouche gestes qui ne font qu’aviver mon excitation.

« J’adore te voir faire ça Mais maintenant je voudrais que tu me suces ! Relèves toi et mets- toi à genoux ! » Lui dis-je avec empressement.

« Bob ! Nous ne devons pas perdre trop de temps, tu sais ? »

Mais déjà je suis debout devant elle, et, à son étonnement, je me mets complément nu :

« Comme ça, nous sommes à égalité ! Suce ! » Cela dit sur un ton badin.

Eva a mon sexe déjà décalotté et raide à quelques centimètres de son visage :

« Cette fois, je ne mets pas de capoteet tu me suces jusqu’au bout ! Compris ? »

Je sens Eva un peu ennuyée par ma demande, aussi, je réplique aussitôt :

« Je viens de te faire la même chose et tu as adoré ! Alors, moi aussi, j’adorerais que tu le fasses ! Allons ! »

Eva commence doucement par embrasser mon sexe, puis le lécher sur toute sa longueuravant de se décider à le prendre entre ses lèvres. Au contact de la bouche chaude et humide d’Eva  le bout de mon sexe, connait  une excitation intense. Et comme elle a une hésitation, je pousse mon ventre en avant faisant pénétrer une partie de ma queue dans sa bouche :

« Avales-en un peu plus, chérie ! Et après tu essaies de sucerou alors je fais des va-et-vient dans ta bouche ! »

Eva essaie de faire ce qu’elle peut. Parfois, elle fait coulisser sa bouche autour de ma bite, parfois, c’est moi qui fais des aller retour, en lui tenant plus ou moins sa tête. Le résultat, c’est que sa manière un peu gauche, rend la situation encore plus excitante.

« Mmmm ! Chérie ! C’est bon ce que tu fais. Suce !  Suce ! Ne t’arrête pas ! »

Je regarde Eva, sa bouche un peu déformée par ma queue, essayant de sucer du mieux qu’elle peut. Très vite je sens l’excitation monter :

« Ouiiiii ! Je vais je vais tout lâcher »

Je retire ma queue de la bouche d’Eva, mais je ne peux pas faire plus pour elle. Un jet de foutre gicle, suivi d’un autre puis d’un troisièmeElle n’a pas le temps d’esquiver et reçoit tout en plein visage, sur ses lèvres, sur son nez, sur ses joues. Puis ça commence à dégouliner sur son menton. Eva est un instant sidérée :

« Et bien ! Comment nettoyer ça maintenant ? » Puis me regardant :

« Tu l’as fait exprès, hein ? Tu avais envie que ça se passe comme ça ? Tu fais ce qu’il faut pour que je fasse des expériences ? »

Eva me presse de questions, mais il est clair que c’est juste pour le jeu, ayant senti ce qui allait se passer. Au ton de sa voix, je sens qu’elle n’est pas fâchée, et pas loin, même, d’approuver le « bon tour » que je lui ai joué.

« Restes un moment comme ça, chérie ! C’est fou ce que tu es excitante ! »

Eva est toujours à genoux, et maintenant un filet de foutre coule du menton sur ses seins.

« Le sperme, c’est bon pour la peau ! » dis-je pour justifier ma demande.

« Tu veux que je l’étale sur ma peau, alors ? » Eva s’amuse de mes conseils.

« Hum ! Je préfère que tu goûtes ce que tu peux avant que ça sèche »

« Tu tiens à ce que j’arrive à aimer ça !» Elle a un petit sourire, en disant cela. Elle se remet debout, et récupère avec ses doigts le foutre sur son visage, avant de les sucer, tout en me regardant dans les yeux.

« Bon, maintenant que le reste a séché il faudrait que je me nettoie un peuet sans eau »

« On peut s’arrêter un moment dans une auberge ou un restaurant Tu iras te laver un peu aux toiletteset boire quelque chose par la même occasion. » Suggérai-je.

« Je suis bien obligée ; il n’y a pas d’autres solution. Je ne me vois pas, comme ça, en face de ma tante ! » Soupire Eva.

Elle s’essuie sommairement avec son mouchoir, puis enfile sa minirobe et la boutonne. Après quoi, elle range le drap plié dans le sac et dépose par-dessus sa culotte et son soutien-gorge :

« Tu vois, je le fais quand même ! » dit-elle, avec ironie.

. Puis nous rangeons le tout dans la voiture. Nous regagnons la route, direction Prague, avec l’objectif de repérer un restaurant ou une auberge. Il est déjà 14h20

Un quart d’heure plus tard, en traversant une petite ville, nous voyons un restaurant sur une place. A peine entrée, Eva, nantie de son sac à main, file en direction des toilettes.

« Bob, commandes juste pour toi. Je ne sais pas combien de temps ça va durer ».

Je m’installe à une table près du mur et m’assois sur une banquette. La serveuse semble affairée et je dois patienter près de dix minutes avant de pouvoir commander un café. Et dix autres minutes plus tard, vers 15h, Eva apparait :

« Les toilettes, ça pouvait aller, mais il n’y avait que de l’eau froideenfin, je suis plus présentable ! » Elle me sourit.

«Tiens je prendrais aussi un café ! Et je mangerais bien quelque chosepas toi, chéri ? »

Encore quelques minutes et Eva peut déguster une pâtisserie, en buvant un café. Elle n’a pas fermé le bouton du haut de sa minirobe, si bien que, quand elle se penche vers moi, je peux voir le creux de ses seins, lesquels se balancent doucement au rythme de ses mouvements.

Finalement, il est pratiquement 15h30 quand nous redémarrons :

« Il reste bien cent kilomètres à faire. Nous ne pourrons pas arriver vers cinq heures comme prévu ! ».

« Ne te fais pas du souci pour cela, Bob ! Nous ne sommes pas si pressés me répond-elle- et puis nous avons passé de bons moments, n’est-ce pas ? »

Alors qu’on vient de s’arrêter à un feu rouge à l’entrée d’une zone de travaux, je constate qu’Eva a négligemment dégrafé les boutons de sa minirobe, me laissant voir son sexe et  une partie de ses seins :

« Comme tu le vois, je n’ai rien dessous tu es content j’espère ? »

Et comme le feu rouge s’éternise, elle laisse ma main droite caresser ses cuisses et son sexe.

Feu vert. Je redémarre. La voiture s’engage dans la zone de travaux (environ deux kilomètres). Le moment pour Eva de rajuster sa robe, et de se pencher vers moi. Je sens sa main droite se poser sur ma braguette :

« Tu en as envie ? Tu es excité, on dirait ? »  Comment résister à une telle invite ?

Sitôt sorti de la zone de travaux, j’avise un terrain plat en bordure de la route. Je gare la voiture. Les doigts d’Eva ouvrent la braguette, et je l’aide à sortir mon sexe :

« Avec la main seulement ! » prévient-elle.

Elle saisit un mouchoir en papier et commence à me masturber après avoir enveloppé le bout dans le mouchoir. Au début, elle va lentement, puis accélère. Il ne faut pas beaucoup de temps avant que je jouisse à nouveau. Souriante, elle replie le mouchoir et le jette par la fenêtre.

« Tu as aimé, j’espère ! J’ai voulu te faire plaisir ! » Eva commence à se libérer

Finalement nous entrons dans Prague, et il est un peu plus de 17h30 quand je gare la voiture devant la maison de la tante d’Eva, dans un quartier périphérique de la ville. Celle-ci ne semble pas s’être aperçu que sa nièce ne portait rien sous sa minirobe.

Fin de l’épisode. A suivre.

Related posts

Nuit torride pour Grâce – Chapitre 1

historiesexe

Ma 1ere Fois HOMO – Chapitre 1

historiesexe

Élodie, Coralie et leur maman (suite) – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .