Tante Mireille
Chapitre 2
Le train sonne son prochain arrêt. Rémy, assis du côté de la vitre, regarde la gare qui ne lui est pas inconnue. Il sort du train, prenant ses bagages au passage.
« Rémy, mon chéri !!!! »
Le jeune homme a tout de suite saisi que ces hurlements qui ne passent pas inaperçus, sont pour lui. Il se retourne et reconnaît, au loin, sur le quai de la gare, sa tante Mireille. Il sapproche et jette, immédiatement, un regard rapide sur sa poitrine. Sa tante est une femme qui se porte bien, mais qui a aussi des formes là où il faut. Et comment ! Habillée dune jupe droite, aux motifs fleuris, lui arrivant à mi-cuisse, épousant son bassin large et ses jambes fortes, mais pleines. Ses escarpins, noirs, en cuir avec de fins talons, lui vont toujours aussi bien. Mireille est une femme forte, mais qui sait shabiller. Le débardeur noir ne laisse rien cacher de son incroyable poitrine et, bien-sûr, Rémy le remarque dès le premier coup dil.
Tous les deux sapprochent lun et lautre, malgré une certaine gêne. Rémy ne peut sempêcher de jeter des regards sur sa poitrine qui se balance au rythme de ses pas.
« Bonjour mon poussin, comment vas-tu ?
Ça va, tatie, et toi ? »
Ils se font la bise. Le jeune neveu ne perd pas loccasion de bien prendre son temps pour senivrer de son parfum de femme mûre.
« Alors, tu vas passer plusieurs mois chez nous, mon chéri ? Ça ne te gêne pas davoir ta tante sur ton dos, tous les jours ?
Non, pas du tout, je suis même content de passer du temps en votre compagnie… !
.. Et dailleurs, je te remercie pour lhospitalité, cest très gentil… !
Oh mais, cest rien, tu sais, tu vas prendre la chambre de Frédéric : elle est spacieuse et tu seras tranquille comme ça ! »
Ils regagnent tous les deux la voiture de Mireille garée sur le parking de la gare. Après avoir posé ses bagages dans le coffre, Rémy sinstalle devant, sur le siège passager. Les yeux braqués sur les cuisses dénudées de sa tante pendant le chemin de la maison, Rémy tente, tant bien que mal, de suivre leur discussion. Discrètement, il lorgne sur son énorme poitrine coupée en deux par la ceinture de sécurité qui disparaît dans le sillon de ses seins. Rémy remarque que les jambes de sa tante sont habillées de nylon. Il en déduit quelle porte un collant chair pour accueillir son cher neveu. Il est vrai que nous sommes en septembre et le froid a gagné le nord de la France plus tôt que les autres années. Sa jupe droite est remontée à la cime de ses cuisses, si bien que la partie opaque du collant commence à voir le jour, ce qui excite encore plus Rémy, qui commence à bander dans son jeans, malgré tous ses efforts pour se retenir. Une seule question lui vient à l’esprit : Quelle culotte porte-t-elle aujourdhui ?
La voiture arrive enfin à destination. La maison est vide. Guy nest pas là. Rémy suit Mireille dans les escaliers pour découvrir sa future chambre. Il mate, sans vergogne, ce cul large qui se balance, marche après marche, juste devant lui. Ce cul quil imagine dans ses rêves depuis tant dannées. La maison a légèrement changé depuis le départ des deux enfants. Une des deux chambres sest transformée en bureau et lautre, en chambre damis dont Rémy se servira pour sa période de logement. Mireille laisse son neveu seul, le temps quil puisse sinstaller.
« Putain ! Je ne peux pas croire que je sois ici, avec elle… !
.. Sa petite jupe, son collant, ses gros seins, je vais devenir dingue !!! »
Voilà déjà un quart dheure quil tourne en rond, essayant de chasser limage des formes de sa tante de sa tête, mais en vain. Mais lorsque cette dernière lappelle pour goûter, il ne peut plus attendre et va devoir retourner en bas, face à ce bourreau peu ordinaire. Il arrive dans la salle à manger. Mireille est assise et regarde la télé les jambes croisées. Du fait de regarder tous ses faits et gestes depuis son arrivée, il remarque quelle a retiré ses talons pour donner place à ses chaussons de maison. Encore une fois, son large cul dans sa position assise fait remonter la jupe et la partie sombre du collant revient narguer le pauvre jeune homme qui ne sait plus comment faire pour calmer les mauvais esprits qui lentourent. Alors, une question taraude lesprit de ladolescent : « Pourquoi porte-t-elle une jupe si courte, au risque quon puisse voir, même à plusieurs reprises, sa petite culotte ? Le fait-elle exprès ? »
Veut-elle volontairement aguicher les hommes qui lentourent, y compris lui, par la même occasion ? Rémy sait que cest faux, que cette femme, qui ne lui est pas inconnue, nest pas une exhibitionniste. Mais son excitation, qui saccroît à une vitesse déroutante depuis son arrivé à la gare, le force à se poser cette question. Mireille avait préparé un cake aux raisins, accompagné par du café pour se réchauffer. Elle lui pose plein de questions, comment vont ses parents, etc ? Son neveu lui répond, tout en essayant de regarder sa poitrine et ses cuisses pendant quelle jette un regard à la télé. La table est ronde et Rémy na pas hésité à prendre la chaise juste à côté delle pour avoir le champ libre de la tête aux pieds. Quest-ce quil ne donnerait pas pour voir sa culotte. Sa nervosité est si grande que sa jambe droite remue, trahissant une envie de pisser. Ne tenant plus, il prend le taureau par les cornes. Cest à lui de forcer le destin et dassouvir son regard de voyeur sur sa parente.
« Dis-moi, tatie, tu naurais pas de leau fraîche, sil te plaît ?
Si, bien-sûr, mon chéri ! »
Rémy reste concentré sur les cuisses de sa tante. Celle-ci, sans savoir pourquoi son neveu lui avait demandé cette requête, décroise les jambes pour pouvoir se lever. La jupe étroite se tendit grâce à léloignement de ses cuisses lune de lautre et la culotte en dentelle noire transparente, fit son apparition sous le collant chair.
Tout ceci fut rapide, mais le cur de Rémy fit un bond lorsquil distingua le sombre fourni des poils de sa tante à travers le tissu de toutes les convoitises. Son corps tout entier tremblait. Pour dautres, ça aurait pu être si peu, alors que pour lui, cétait aussi prestigieux quun césar. Son souffle était comme de petits vertiges parcourant sa tête. Il se revit, lors de la soirée où pour la première fois, il était tombé nez à nez sur lentrejambe de cette femme mature sexy et si bien habillée. Mais le rêve érotique tourna court, car la femme de tous les désirs revint avec une bouteille deau.
« Ton oncle rentre tard ce soir, il doit finir ses papiers. Nous allons manger tous les deux, ça ne te dérange pas ?
Non, bien-sûr que non. !
Demain, nous irons voir ton patron pour signer le contrat dapprentissage !
Jai hâte de commencer à bosser et apprendre ce métier ! »
Rémy est très mal à laise. Cette fois-ci, cest le bouquet. Cette jupe, très joueuse, est remontée jusquau pied du bassin. Malgré ses jambes serrées, la culotte se voit merveilleusement bien. La tête du jeune a viré au rouge. Il a chaud. Oui, terriblement chaud. Il ne peut évidemment plus rien contre son vit qui pointe dans son jeans à tel point quil serait prêt à hurler pour une caresse de vie ou de mort. Sa jupe remontée, telle celle dune salope, alors quelle est si sage, si naïve et ne saperçoit même pas que son si jeune neveu est envahi de désirs envers elle, quil bande atrocement rien que de voir sa petite culotte. Le faire exprès ne serait pas aussi excitant, cest vrai, mais cette femme, qui semble si intentionnée pour son neveu chéri, en a oublié que sa jupe osée pouvait à tout moment lui jouer des tours, ce qui rend la scène encore plus excitante quelle ne le paraît déjà. Sa tante, au bout dun certains temps de silence, commence à sentir un certain mal-être de sa part.
« Et bien, mon poussin, ça ne va pas ?
Euh, euh, si, si, si, je
Tu as lair détouffer, attends, je pose ma main sur ton front ! »
Elle savance donc, le buste en avant et de ce fait, ses cuisses sécartent un peu. Fini les petits regards. Les yeux de Rémy sont ouverts en grand sur le décolleté de cette poitrine imposante. Les lourdes mamelles de Mireille semblent vouloir sortir pour pouvoir sauter au visage du jeune homme. Ce dernier a un effet de recul et là, Mireille sen aperçoit tout de suite.
« Il y a un problème ? Pourquoi recules-tu ?
Euh, non, non, désolé tatie, je suis juste un peu fatigué ! »
Buste baissé, cuisses écartées, jupe serrée remontée au bas du bassin et, bien-sûr, cette culotte qui ne cache rien de cette forêt de poils témoignent de lâge mûr de cette femme qui lenvoie tout bonnement aux pays des merveilles. Rémy se lève dun coup. Il sent que sil reste là devant cette femme, qui dépasse bien plus le grade de « tante » dans son cur, il risque de faire la plus grosse connerie de sa vie et de retourner chez papa maman sans avoir eu le temps de se servir une seule fois, du pétrin de son futur lieu de travail.
« Je vais me reposer un peu tatie, je pense que cest le train qui ma fatigué… !
.. À tout à lheure !
??? Très bien, à tout à lheure ! »
Cest Mireille la plus surprise. La fatigue de Rémy est arrivée si rapidement quelle se demande si ce nest pas à cause delle. Le soir même, il descend à la cuisine rejoindre Mireille pour manger. Curieusement, le silence sinstalle dès que lentrée est servie. Rémy a lhabitude de toujours entendre parler sa tante. Il décide de rompre le silence.
« Tatie, je suis désolé dêtre parti si vite, tout à lheure et je
Pas la peine de texcuser, je sais ce que tu penses !
Pardon… ?? »
Rémy est surpris par ses paroles, se serait-elle aperçue de ses regards incistants sur ses formes aguicheuses ?
« Je suis très envahissante, mes enfants me le disaient toujours ! Cest à moi de mexcuser, tu es à peine arrivé que je te martèle de questions, ne te laissant même pas le temps de tinstaller correctement, je suis désolée ! »
Mireille se lève pour faire cuire la viande. La jupe, envoyée par le diable en personne, lui joue encore des tours. Sa poitrine, même de dos, se voit sur chaque côté. Cest dire lampleur de ses globes laiteux.
« Écoute, je vais essayer de ne pas te gêner pendant ton apprentissage… !
.. Il ne faut pas que joublie que tu es ici pour réussir dans ton métier, mais tu sais »
Mireille semble hésitante et Rémy le sent tout de suite.
« Quy a-t-il, tatie ?
Ben, cest Guy, il travaille beaucoup et rentre tard à la maison et quand il est là, il ne parle pas beaucoup, enfin tu le connais, quoi ! Les enfants ont leur famille et je reste donc, des fois, seule ici. Alors, tu comprends, ta venue ici, me fait aussi le plus grand bien !
.. Mais je ne veux pas tembêter avec mes ennuis ! »
Pris de peine pour sa tante, Rémy se lève de table pour sapprocher delle. Il semble que toute sa mauvaise conscience soit laissée de côté pour remonter le moral de cette merveilleuse et si gentille femme. Se retrouvant derrière elle, il pose ses mains sur chacune de ses épaules.
« Tatie, sache que je suis super content dêtre à tes côtés, tu es une femme merveilleuse, je ne pouvais pas espérer une meilleure tatie que toi !
Oh, mon chéri ! Comme tu es gentil ! Viens que je tembrasse ! »
Mireille se retourne, face à lui et lève ses bras pour les passer derrière sa nuque. Leurs deux corps senlacent et Rémy, dans un geste de compassion, lui passe les mains derrière le dos, comme pour un slow. Elle lembrasse sur la joue, le remerciant. Cest quand il commence à lui frotter le dos, de bas en haut, quil saperçoit de sa posture envers elle. Et que dire du moment où il sent lattache de son soutien-gorge, lui faisant comprendre que cette lingerie est utilisée pour contenir les seins lourds et dominants de sa chère tante. Une poitrine époustouflante qui est, tout simplement, écrasée contre son corps qui, après avoir pris conscience de sa position tout contre elle, commence à bander de nouveau.
Du fait de létroitesse de leurs corps, la bosse, dans son jeans, vient heurter le corps de sa tante par à-coup, au niveau de lentrejambe de Mireille. Celle-ci, trop naïve, nimagine pas que cette bosse puisse être le jeune membre viril de son neveu. Ce dernier commence à prendre peur quelle saperçoive de son état et tente de penser à autre chose en regardant ailleurs. Mais, parfois, ignorer les difficultés nest pas le plus facile à faire. Rémy tombe alors sur une glace, dans la cuisine, qui reflète leurs corps de la tête aux pieds. Et un miroir ne reflète que ce quil voit et, ce quil voit ici, dans la cuisine, cest le corps de dos de sa tante, collé à celui de son neveu et, surtout, la jupe courte et étroite qui est remontée bien haut, laissant à nouveau voir le haut sombre du collant ainsi que la culotte noire en dentelle, ainsi que la raie fessière de cette femme mature, pour couronner le tout. Maudite jupe ! Ya pas à dire, elle lui en veut aujourdhui. Certainement quelle a dû se retrousser à cause du frottement de leur bassin lun contre lautre.
Rémy se demande alors : Sait-elle que sa jupe est remontée à la limite de la morale, voir plus ? Et surtout, sent-elle que son neveu chéri bande comme un fou contre son pubis avec seulement leurs vêtements pour toute séparation ?
« Bon, je vais me coucher, tatie. Si tu vois tonton, passe-lui le bonsoir !
Très bien, mon chéri, bonne nuit, bisous ! »
Ils sembrassent et Rémy se retourne, essayant de cacher cette érection humiliante, selon lui. Deux heures plus tard, des voix le réveillent. Il comprend que son oncle est rentré et quil parle avec sa femme. Guy a une voix imposante. Il ne gueule pas, mais on sent quil ne vaut mieux pas se frotter à lui. Dailleurs, Rémy na jamais été très proche de lui. Il a toujours était plus proche de Mireille et même encore plus, depuis sa découverte lors du réveillon de noël. Il entend, par la suite, quelquun monter les escaliers. Cest sa tante dont il reconnait la voix lorsquelle demande à son mari de baisser le volume de la télé qui est trop fort. Elle entre dans la salle de bain du premier étage. Celle-ci se trouve juste en face de la chambre de Rémy. La porte de sa chambre est légèrement entrouverte. Il se lève pour la fermer, car la lumière du hall éclaire la pièce et lempêche de dormir. Mais au moment où il arrive à la porte, Rémy reste scotché et ne bouge plus. Juste en face de lui, sa tante se change. Elle navait pas pris le soin de fermer la porte, pensant que Rémy dormait sans doute. À bas les petites vues de tout à lheure. La jupe au sol avec le débardeur, Mireille est seulement habillée de son collant chaire emprisonnant sa culotte noire en dentelle, qui ne lui arrivait pas plus haut quà la moitié de la fesse. Ainsi, la toison pubienne, dépassant par le haut, est écrasée par le collant. Son soutien-gorge noir en dentelle, lui aussi, laissait clairement apparaître, au travers, les larges aréoles ainsi que les tétons gros comme des noisettes. La densité de ses seins est telle quun bourrelet sest formé au dessus des balconnets du soutif : hallucinant. Ses pantoufles gardées aux pieds ajoutent un côté érotique à cette vue paradisiaque. Dans un geste brusque, son pied heurte la porte et Mireille, elle-même, entend quelque chose. Ni une ni deux, Rémy se couche dans son lit sans plus bouger, imitant la respiration dune personne endormie. Il entend la porte souvrir et quelquun sapprocher de lui. Puis, après un moment de silence, sa tante sort de la chambre et ferme très doucement la porte. Après trois minutes, Rémy ne peut plus se retenir et plonge sa main dans son caleçon.
« Oh tatie, tatie, tatie, comme tu es belle, mmmm ! »
À suivre.