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Inceste et zoophilie à la ferme – Chapitre 7




INCESTE ET ZOOPHILIE A LA FERME 7

Tout jeune, je passais une bonne partie de mes vacances dans la ferme de mon oncle avec mes cousines.

Cest là que jai connu mes premiers mais oh combien délicieux et mouvementés émois sexuel avec Sonia et Isabelle ainsi quavec ma tante.

Cela fait deux ans que je nai pas remis les pieds dans ce paysage qui me rappelle dexcellents souvenirs sexuels.

Je sais par un cousin rencontré lors dun mariage il y a quelques mois que les cousines sont très courtisées par les garçons du village et même par les pères des mêmes garçons.

Selon ce quil ma raconté, la plus jeunes des filles Sonia est particulièrement active sexuellement, la beauté de ses trésors et la douceur de son entrecuisses ne sont plus un secret pour certains mâles du village

Cest avec une certaine appréhension que je décide de revenir en ce lieu, bien des choses se bousculent dans ma tête quand je pousse le portillon de la ferme.

Cest Sonia ma préférée qui maccueille en se jetant dans mes bras et en membrassant à pleine bouche elle me serre fortement contre elle.

Je sens avec plaisir les pointes de ses seins qui roulent contre ma poitrine, cela me ramène deux ans en arrière quand nous nous aimions dans le foin de la grange ou dans les cultures de mais.

Quand jembrasse ma tante, elle me regarde lil vif, elle aussi cela doit lui rappeler certains souvenirs incestueux, quand tous étaient partis aux champs pour travailler, et que nous nous retrouvions pour nous caresser ainsi que pour faire des parties de jambes en lair dans sa chambre.

Sonia maide à porter mes bagages dans ma chambre, une fois à lintérieur de la pièce, elle me saute au cou et plaque ses lèvres sur les miennes, nos langues sactivent, nos mains caressent nos corps nous nous découvrons comme si cétait la première fois.

Nous entendons sa mère qui lappelle, sûrement un peu jalouse car sachant très bien ce que nous faisons, en me quittant elle me dit de la rejoindre après le dîner dans la grange quand tous seront couchés.

Jattends ce moment avec impatience, pressé de retrouver celle qui a fait si souvent battre mon cur, je pars même un peu en avance, pour ce rendez-vous avec ma cousine qui devrait je le pense être assez chaud

Jouvre la porte qui grince un peu et avance lentement dans la pénombre, une main me touche, je sursaute, cest Sonia nous nous embrassons, nos bouches se soudent, nos langues sentremêlent comme au bon vieux temps. Nous nous enlaçons en nous laissant tomber à terre serrés lun contre lautre, Sonia enserre mon corps avec ses cuisses pour rouler dans la paille.

Nos vêtements sont très rapidement ôtés, nos mains impatientes partent à la rencontre des courbes et des parties sensibles de nos corps.

Je sens ma cousine qui est prise de tremblement tant ce moment de retrouvailles est intense, nos bouches sunissent en un profond et langoureux baiser pendant quune de mes mains sinsère lentement dans la fourche de ses cuisses pour sinfiltrer dans sa petite culotte.

Mon doigt suit la fente légèrement humide à la rencontre de son intimité et de son petit bouton.

Mon index plonge dans les chairs de la belle qui pousse un petit cri de plaisir en saccrochant à mon cou et à mes lèvres, elle mencourage à la prendre, elle veut dit-elle me sentir dans son ventre.

Après sêtre caressés longuement, nos corps en sueur se collent lun à lautre pour sunir : mon sexe me fait mal tant il est excité.

Sonia cuisses grandes ouvertes, minvite à la pénétrer, je positionne ma queue à lentrée de sa grotte, je pousse légèrement, mon gland sinsère entre ses lèvres humides pour linvestir bien à fond.

Sous mes coups de boutoir la petite femelle gémit et gesticule en tous sens, et me demande de bien lui pilonner son minou.

Après lavoir possédé un long moment, je la fais mettre à quatre pattes, la prenant aux hanches, jécarte ses fesses avec mes mains et lui enfile un doigt dans son petit trou que je fais coulisser.

La fille couine en cambrant bien son postérieur, la sentant prête, jécarte bien ses fesses, et la pénètre lentement avec mon sexe, la belle crie en remuant son petit cul et en mencourageant à aller plus en elle.

Après plusieurs allers retour assez vigoureux, jexplose dans son conduit anal qui a dû en voir passer ces dernières années, car il nest pas très serré.

Nous restons un long moment ainsi emmanchés à savourer ce moment délicieux de nos retrouvailles.

Sonia me prenant par la main m’entraine en riant vers le fond de létable en me disant quelle veut me faire voir quelque chose.

Nous arrivons vers un box ou est attaché un petit cheval qui henni en nous voyant arriver.

Je regarde ma cousine dun il interrogateur.

Tu vas voir me dit-elle en passant sa main sous le ventre de lanimal pour saisir un sexe qui est déjà assez imposant.

Elle se positionne sous le ventre du petit cheval, le caresse au début avec ses mains et le prend très vite dans sa bouche pour le sucer, par instant, elle passe sa langue sur le bout de ce pénis.

Au bout dun moment elle se positionne sous lanimal à quatre pattes, le derrière levé et me demande de lui mettre le sexe de la bête dans sa moule.

Jhésite, mais sous le ton ferme de la cousine, jempoigne la longue tige pour la faire pénétrer dans la vulve de la petite.

A mon grand étonnement cette bite de près de trente centimètre mais qui nest pas très grosse pénètre lentement en se faisant un passage dans le ventre de la femelle qui me demande avec fermeté de la faire aller plus profond.

Sentant la chaleur et la moiteur du vagin, le petit mâle se met à bouger et à se raidir, cest bon me dit Sonia, quest ce quil me met, je le sens bien, il me remplit bien la foufoune.

Au bout dun moment et après quelques va-et-vient elle se désunit et sadressant à moi, me dit de lui enfiler entre les fesses.

La fille en transe est visiblement très excitée, elle se cambre un peu plus, avec ses mains elle écarte ses fesses, je saisis la queue bien raide de lanimal et la présente à lentrée du rectum dilaté de la demoiselle qui vient delle-même sempaler dune bonne longueur sur cette belle tige rosée.

Je suis assez surpris de la facilité avec laquelle elle sest empalée sur ce pieu assez raide.

Après quelques allers retours elle se désaccouple pour de nouveau le prendre en bouche, cest alors que je vois un liquide qui coule de la bouche de la petite cochonne.

Elle me regarde en souriant en passant sa langue sur ses lèvres empreintes de cette substance blanchâtre.

Si je mattendais à voir ma cousine préférée sucer et prendre le pénis dun petit cheval dans son intimité, quelle cochonne pensais-je.

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