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Apprentissage d'une femme inexpérimentée – Chapitre 1




Partie 1 – Douces lèvres sans expérience…

Quand je l’ai rencontrée, c’est à peine si elle connaissait autre chose que le missionnaire, et sa vie passée était restée tout ce qu’il y a de plus basique sur le plan sexuel. Je l’avais rencontrée sur un site de dating en ligne, et j’avais pu en apprendre un peu plus sur sa vie passée lors de nos échanges écrits puis de nos premiers rendez vous. Avant moi, elle avait passé dix ans avec le même mec, et n’avait pas eu d’autres partenaires. Il apparaissait clairement que ce gars n’était pas particulièrement porté sur les choses du sexe. Elle manquait elle même beaucoup de confiance en elle, et probablement estimait-elle qu’exprimer trop ouvertement ses envies et ses désirs entacherait sa réputation de femme honnête. Pour autant, et comme je le verrai plus tard, ses désirs n’étaient pas absents, ils n’avaient été que différés par le contexte.

Après plusieurs semaines d’échanges au téléphone et au mail, puis quelques restaurants et sorties, nous nous étions naturellement retrouvés dans un lit pour notre premier rapport sexuel. A ce moment, je m’étais interrogé sur la viabilité de notre relation, car elle ne voulait pas que la lumière soit allumée, et ne semblait pas particulièrement à l’aise au premier abord. Clairement, elle n’était pas experte ni même à l’aise au lit. Après l’avoir déshabillée, j’avais entrepris de caresser son corps pour mieux le découvrir. Ses fesses étaient un peu plates à mon goût, mais sa poitrine, bien que légèrement tombante, était particulièrement volumineuse, avec des mamelons parfaitement dessinés et des tétons tendus par le désir. Je découvrirai par la suite qu’elle aimait particulièrement qu’on lui pince les tétons, avec une intensité que beaucoup d’autres n’auraient pas supportée, et qu’il était possible de l’amener au bord de l’orgasme rien qu’avec ce geste.

Mais pour cette première fois, je me contentais de la caresser légèrement sur tout le corps, insistant sur les seins, effleurant parfois son sexe. Elle respirait de plus en plus fort, et entreprit de me toucher maladroitement. Au bout d’un moment, je descendis vers son sexe, embrassant son ventre puis son pubis, mais elle me retint avant que j’ai pu atteindre mon but pour le lécher.  Je compris à cet instant qu’elle n’avait jamais auparavant expérimenté le cunnilingus, et que c’était trop pour une première fois. Je remontais donc pour ne pas la brusquer, et après l’avoir longuement caressée, je la pénétrais simplement, elle sous moi, la besognant jusqu’à ce que, rapidement, son corps se tende , sous l’effet d’un intense orgasme. Je sentais son souffle court et les parois de son sexe palpiter contre le mien, toujours fiché jusqu’à la garde dans son intimité.

Après l’avoir laissée reprendre son souffle quelques instants, je repris mes va et vient, de plus en plus rapidement, lui arrachant des gémissements continus. Puis je la retournai sur le ventre, dépassant une légère réticence de sa part, pour continuer à la prendre par derrière, avec un rythme lent et des pénétrations profondes. Son dos était couvert de sueur, et je verrai par la suite que le plaisir et l’envie, au delà de lubrifier abondamment son sexe, rendait son corps intégralement moite de désir. J’accélérai progressivement le mouvement, et elle eut un second orgasme avant que je ne me retire pour jouir moi même et éjaculer abondamment sur ses fesses. J’avais délibérément choisi de jouir sur elle car je devinais qu’elle n’avait jamais été en contact avec du sperme auparavant, et il était crucial pour moi que cette situation évolue si nous devions envisager de rester ensemble.

Lors de nos rapport ultérieurs, j’eus assez rapidement l’occasion de dépasser ses réticences et de descendre lécher son sexe, les lèvres gonflées et le clitoris en tension. Elle se rendit compte à quelle point cette pratique pouvait lui donner d’intenses sensations et n’eut à ce sujet plus aucune prévention. A peu près au même moment, elle me prodigua ses premières fellations, avec une maladresse touchante et une volonté de bien faire qui compensait son inexpérience. J’avais compris que son ancien partenaire ne goutait pas particulièrement cette caresse, et qu’elle n’avait donc pas eu l’occasion de pratiquer. Soucieuse de me donner le maximum de plaisir, elle était ouverte au conseils et ne souhaitait rien d’autre qu’apprendre. Il n’était pas à ce stade question de jouir dans sa bouche, mais je lui expliquais au passage qu’il était pour moi important de me laisser aller dans la bouche de ma partenaire, car, dans le cas contraire, j’avais l’impression qu’un dégoût était présent, et qu’alors mon plaisir ne pouvait être complet. Malgré tout, je l’assurais qu’elle était pleinement libre de ne pas le faire si elle n’en avait pas envie.

Elle était maintenant tout à fait à l’aise avec la fellation, et quasiment tous nos rapports commençait avec ma bite bien calée au fond de sa bouche. La progression avait été fabuleuse depuis ses premières pipes maladroites, et il était évident que chaque conseil, chaque remarque, avait été mémorisée et prise en compte. Au début, elle s’aidait de ses mains, et utilisait surtout sa langue pour caresser mon gland. Maintenant elle était capable d’absorber une bonne partie de mon sexe dans sa bouche, et d’alterner entre succion et léchage du gland. En très peu de temps, elle devint redoutablement efficace, rassurée par mes conseils et par mon appréciation évidente de la qualité de sa prestation.

Un soir, elle me pompait vigoureusement après avoir elle même joui violemment. Notre rapport avait commencé par un soixante neuf, où elle m’avait voluptueusement sucé pendant que je léchais son sexe avec délectation. Au bout d’un bon moment, je l’avais retournée sur le lit pour la prendre en levrette, commençant doucement pour accélérer et finir par lui pistonner le sexe à grande vitesse. Son plaisir s’était déclenché dans de grands cris, et je l’avais laissée palpitante sous moi, toujours fiché dans son sexe. Au bout d’un moment, elle s’était retournée et avait pris mon sexe dans sa bouche pour continuer sa fellation initiale. Dans le même temps, elle me malaxait doucement les couilles, si bien que je dû assez rapidement la prévenir que j’allais jouir à mon tour.

Contrairement à d’habitude, elle continua le mouvement et conserva mon sexe dans sa bouche, me masturbant en même temps de sa main droite. En quelques secondes, je poussais un cri et mon sperme jaillit dans sa bouche de velours. J’eus l’impression d’expulser des litres de semence au fond de sa gorge. Je pouvais voir ses sourcils froncés mais à aucun moment elle ne sortit mon sexe palpitant. Après une dizaine de spasmes, mon éjaculation se termina et elle conserva mon sexe en bouche jusqu’à ce qu’il retrouve sa taille au repos. Puis elle se leva et je compris qu’elle était aller cracher mon sperme dans le lavabo, sperme qu’elle avait bizarrement gardé dans sa bouche 5 ou 10 bonnes minutes après mon éjaculation, plutôt que l’avaler en quelques secondes.

Lors de tous nos rapports qui suivirent, je me retirais systématiquement avant l’orgasme pour venir jouir dans sa bouche. Nous plaisantions souvent de sa réticence à avaler mon sperme, et du fait qu’elle le gardait finalement bien plus longtemps en bouche que si elle l’avait avalé directement. Régulièrement malgré tout, elle avalait mon sperme, soit parce que la situation ne lui permettait pas de le recracher discrètement, soit parce que je restais à dessein très longtemps avec ma bite dans sa bouche et qu’elle finissait par avaler pour ne pas s’étrangler. A quelques reprises, par jeu, je lui pinçais le nez pour qu’elle ne puisse plus respirer et soit donc contrainte d’avaler mon sperme pour inspirer par la bouche.

A plusieurs occasions, lorsque je conduisais la voiture sur le chemin des vacances, elle avait sorti mon sexe puis s’était penchée pour le sucer doucement. Contraint de conserver un minimum de concentration sur la route, mon orgasme venait très lentement, et elle me caressait longuement de sa langue, frottant le gland sur ses lèvres, gobant la tige au fond de sa gorge. Au bout d’un long moment exquis, j’expulsais violemment plusieurs jets de foutre dans sa bouche humide, tandis qu’elle continuait à me lécher consciencieusement le gland, aucune goutte ne s’échappant de ses lèvres hermétiquement jointes autour de ma queue. Au bout d’un moment, elle se redressait, refermait mon pantalon, et, sans lavabo pour recracher, elle avalait bruyamment mon sperme, ce qui était pour moi un plaisir supplémentaire, et nous en plaisantions sans retenue.

Lorsqu’elle me suçait, elle s’était habituée à ce que je lui tienne la tête pour lui donner le rythme. Je posais mes deux mains de part et d’autre de sa tête pour la tenir, ou, parfois, j’attrapais ses longs cheveux d’une main pour diriger ses mouvements. Au fil du temps, j’en étais arrivé à littéralement lui baiser la bouche, en faisant des va et vient entre ses lèvres comme j’aurais pu le faire avec son sexe. Je tenais fermement sa tête ou ses cheveux réunis, et ma queue s’enfonçait de plus en plus profondément dans sa gorge, lui donnant de temps en temps des hauts le cur. Elle n’était pas particulièrement à l’aise avec les gorges profondes, mais volontaire, et je pouvais régulièrement lui enfoncer mon sexe dans la bouche jusqu’à la garde, mon pubis contre ses lèvres et mes couilles contre son menton. Ses yeux pleuraient légèrement, et elle avait du mal à respirer. Je voyais ses narines palpiter, et son corps se couvrait généralement d’une fine pellicule de sueur.

A quelques occasions, j’avais ainsi joui directement au fond de sa gorge, son visage écrasé contre mon ventre, tenant fermement sa tête pendant les spasmes qui faisaient jaillir ma semence dans son sophage. Évidemment, dans ces cas là, la question d’avaler ou pas ne se posait pas. Une fois, elle manqua même s’étouffer sous la puissance et l’abondance des jets, et une partie de mon sperme déborda par son nez, ce qui nous fit beaucoup rire. Après chaque orgasme, je restais un long moment fiché dans sa bouche jusqu’à la garde, puis je retirais mon sexe de la cavité accueillante, rouge et suintant, et après avoir repris son souffle, elle me nettoyait le gland de sa langue tout en me caressant doucement les testicules.

— A suivre si ça vous plait —

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