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Randonnée sportive – Chapitre 3




La nuit devant la cheminée est une suite ininterrompue de cris et de caresses, de ahanements et de gémissements de plaisirs, il y a des claquements de peaux qui se heurtent, des bruits de sussions, et des moments de silence, de récupération. Pendant que Laurence et Charles, épuisés au sortir d’une baise monumentale se sont endormis, Flo, qui a toujours été une bonne samaritaine,  va rendre un petit service à Louis qu’elle délivre d’une quantité importante de sperme qui dormait dans ses couilles depuis plusieurs jours. Elle s’en étrangle presque. Elle adore sentir sa bouche et sa gorge se remplir au point de déborder, giclée après giclées. Elle n’est pas déçue de voyage. Louis de son côté retient ses gémissements de plaisir pour ne réveiller personne, surtout pas Laurence.

Mais Charles s’est réveillé, il a cherché Flo à côté de lui, pour comprendre dans son demi-sommeil qu’elle était allée voir Louis.

Charles ne reconnait pas sa Flo. Quelque chose s’est passé qui l’a transformée. Mais quelle nuit ! Laurence s’est donnée entièrement, bruyamment, un doux petit con, chaud et trempé, et son corps de reine. Il en a bien profité. Mais quand même, qu’arrive-t-il à Flo ?

Elle lui fait une gâterie en revenant, mais il ne veut pas lui donner à boire, après qu’elle a été soulager Louis. Et il se finit en reprenant Laurence, son petit cul, qui reçoit la dernière dose ; disponible à peine réveillée.

Le jour se lève. Les couples se reforment, mais rapidement Louis renvoie Laurence : « Avec tes airs de fille fidèle et qui exige la réciprocité tu t’es fait baiser par un inconnu toute la nuit devant moi ! Dégage ! ». Louis fait son sac en colère, s’en va en rage, claque la porte.

Laurence implore du regard ses partenaires de la nuit, précise qu’elle a de la nourriture pour elle ; ils  lui font comprendre qu’elle viendra avec eux. Charles a une belle envie de continuer sur la lancée de la nuit. Flo aussi apparemment. Ils prennent le temps de déjeuner, de ranger la cabane, et de déjeuner. Ils partent un peu tard, le ciel est couvert, des nuages montent dans la vallée. Encore une étape écourtée pense Charles, et il le comprend d’autant mieux que le brouillard recommence à monter. La question sera vite de savoir si on s’arrête bientôt ou si continue de marcher à la recherche d’une autre cabane.

Mais le brouillard ne vient pas vraiment, il rôde, et le trio avance. Charles le plus souvent devant, les deux femmes le suivent. Ils parlent peu, essaient de ne pas ralentir la marche vu le temps. Quelques haltes pour boire et pour manger, la marche consomme beaucoup de calories, et d’eau.

Au cours d’une halte Charles, comme Flo s’approche de lui en manifestant par sa démarche exagérément marquée quelque chose comme des intentions très précises,  l’interroge ; après tout, ils partagent tout avec Laurence, alors, à quoi bon garder ses questions :

« Flo ? Je ne te reconnais pas, toi qui étais si réservée prude pudique à l’extrême, tu es sans retenue ! Prête à tout, même en public ! »

« Tu n’aimes pas ? »

« Ce n’est pas ce que je te demande, je ne proteste pas, je suis plein de désir quand je te regarde bouger comme ça mais ça ne te ressemble pas enfin je ne t’avais jamais vue comme ça. Je suis sûr que tu n’as pas mis de culotte ni de soutien gorge tu n’aurais jamais fait ça ! »

« Ça c’est pour faire comme la petite trainée qui nous suit. »

« MERCI Flo ! Je porte une culotte quand tu ne me l’enlèves pas » s’agace Laurence, « je n’avais pas vu que tu étais une pucelle effarouchée ! ».

Et Flo indifférente continue : « Je ne sais pas, quand on a passé 2000 mètres j’ai commencé à me sentir affamée. Et dans le brouillard, je me suis sentie devenir une femelle en chaleur je suis trempée en permanence, disponible, viens me sauter, viens couvrir ta femelle ».

Charles est tenté, mais il veut s’économiser, son sac est lourd, et ils ne sont pas arrivés à l’étape prévue la réponse de Flo quand elle mentionne le brouillard le fait sourire. Les légendes chinoises, la femme renarde : perdu dans le brouillard, l’homme rencontre une femme magnifique, sensuelle et affamée de sexe, qui lui fait découvrir tous les plaisirs, elle le garde parfois Charles raconte. Flo rectifie : « Je suis plutôt une louve affamée viens couvrir ta louve ».

« La femme renarde épuise son amant, le vide de toute son énergie et il dépérit la louve doit faire bien plus encore, nous devons repartir, ce soir je me consacrerai à toi ma louve. »

Flo n’est pas si contente que ça, le montre et ils repartent. Ils montent une pente raide et difficile à travers un pierrier, suivant des cairns éloignés les uns des autres, et Charles avance en restant très concentré, attentifs au chemin qu’il trace pour les deux femmes qui le suivent, soucieux de repérer les cairns qu’il devine parfois avant de les voir.

Sur un plat ils rencontrent un groupe de randonneurs qui font le chemin dans l’autre sens. Deux hommes une femme. Ils ont aperçu  un randonneur isolé qui pourrait bien être Louis. Ils ont aussi aperçu de gros chiens de loin, gris, peut-être des loups, trois ou quatre. L’un des hommes s’avise qu’une femme supplémentaire dans leur groupe rétablirait l’équilibre et demande laquelle viendrait avec eux. Charles se demande à quel point il plaisante et va pour défendre son harem quand la femme de l’autre groupe réagit vivement : « Deux hommes pour moi ce n’est pas de trop un pour me prendre, et je chevauche l’autre ensuite, ou le contraire c’est juste suffisant, allez on s’en va avant de dire des bêtises, bonne fin de journée ! ».

Les deux groupes repartent et s’éloignent sans plus de cérémonie. Les difficultés du chemin exigent  l’attention de tous. Flo et Laurence ne disent rien.

Arrivée en haut, à peine sortie du pierrier  Flo s’arrête, souffle, abaisse son short et urine, elle imite le cri, le hurlement de la louve. Laurence la regarde « Tu vas attirer les loups à laisser des traces comme ça et à hurler comme une femelle en chaleur. »  Le regard sombre de Flo prend une légère nuance ambrée, elle sourit en plissant les yeux.

Charles s’avance vers elle, elle est si clairement en proie à un désir violent ses lèvres sont gonflées, « Laurence, tu peux avancer un peu si tu veux, tu peux aussi rester »

Elle reste, les regarde, Flo qui retire son short et se tourne, s’appuyant des mains contre un rocher, Charles retire son short, abaisse son caleçon Flo écarte les jambes, découvre sa vulve entrouverte, luisante : « Vient, mets là moi tout de suite, couvre ta femelle » elle a une voix rauque, il la prend, elle se soumet, comme une brave femelle sous la saillie, calme en apparence, immobile sous les coups de boutoir, cambrée pour mieux recevoir le membre du mâle qui la couvre, de longs feulements lui échappent quand un coup de rein l’atteint au fond de la matrice ses seins balancent sous sa poitrine presque bruyamment, elle crie, de plus en plus fréquemment à mesure que le mâle pilonne de plus en plus brutalement jusqu’à ce cri qui lui échappe, comme un hurlement, du fond de la gorge. Elle jouit comme une bête.

Ils repartent aussitôt. Le sperme coule le long des cuisses de Flo.

Ils descendent prudemment, remontent vers le pic du Sal, le long d’un ruisseau. Le froid humide du brouillard revient les surprendre le long du ruisseau. Ils font une pause, se couvrent. Laurence s’approche de Charles « Et moi je n’ai droit à rien, la femelle bêta a bien droit à quelque chose de temps en temps non ? »

Elle se colle contre lui, cherche ses mains et les pose sur sa poitrine et sur la ceinture de son short. Charles écrase un sein entre ses doigts, défait les boutons de la ceinture et glisse sa main dans la petite culotte, sur la fente trempée, et entreprend de caresser la fente, le clitoris, de glisser deux doigts dans la chatte de la femelle elle aussi gémit, feule, elle  lance des cris aigus quand elle jouit, elle griffe la main qui lui écrase un sein : « J’aime tellement tes doigts ».

Flo semble jalouse, elle s’éloigne, mais reste à proximité du fait du brouillard, elle recommence à hurler comme une louve, Laurence donne un baiser passionné à Charles pour le remercier et murmure « Garde moi je serai la maîtresse de tes rêves, je sais bien que je te plais je te ferai jouir, je t’exciterai une petite putain de réserve je sais que ça te tente.. Garde-moi ! »

Pendant ce temps le brouillard s’épaissit, Charles ne voit plus Flo, il abandonne Laurence, s’avance dans la direction dans laquelle il a vu Flo, découvre sa silhouette et dans le brouillard il aperçoit un loup qui vient vers Flo, elle semble l’attendre, il vient vers elle sans trop hésiter elle tend sa main qu’il renifle à peine, il s’approche, son museau s’approche de l’entre jambes de Flo qui se laisse respirer Laurence qui s’approche de Charles lui dit que le short est plein de sperme que dans ce moment où il n’y a pas un souffle de vent  un loup doit flairer le con rempli de sperme de Flo à un kilomètre au moins. Flo laisse le loup poser son museau sur son pubis et après le premier coup de langue retire son short, offre son pubis, sa fente, au museau et à la langue du loup. Laurence attrape la main de Charles, s’agrippe à lui « Mais elle ne va pas ? » Flo gémit sous les coups de langue, et retire bientôt sa polaire. Elle est nue, Charles distingue sa fourrure pubienne si sombre ses seins qui semblent plus lourds, elle ouvre les cuisses, tombe à genoux Laurence et Charles suivent la scène, incrédules mais excités par ce qu’ils voient : elle va se donner.

Flo se met à quatre pattes, tourne le dos au loup, lui offre sa croupe, se cambre, le loup la lèche encore et soudain saute sur elle, l’attrape avec ses pattes avant, se colle contre elle, commence à pilonner, à chercher son con avec son membre, Flo gémit par à coups, crie : « Mets-le, METS-LE MOI » et soudain un puissant râle sort de sa gorge, un râle hurlé au moment où le loup la possède, elle sent soudain la bite du loup la pénétrer en force, dilatant les parois du con, repoussant la matrice jusque vers l’estomac : comme s’il avait déplacé le diaphragme de sa pseudo louve sous les poumons, Flo  pousse un râle de rage de plaisir qu’elle renouvelle à chaque coup de rein de la bête. Et encore, et encore, jusqu’au hurlement qui lui échappe quand le loup la colle contre lui, quand le nud du membre pénètre son con, quand enfin elle est sa femelle, pour de bon, femelle saillie, soumise, remplie par ce membre qui n’en finit pas de gonfler, et qui se met à vibrer, a tressaillir sans fin, remplissant le con de sperme la bête ne bouge presque plus, son membre n’en finit pas de frémir et de ce membre jaillit un liquide chaud, comme un geyser inépuisable, qui lui remplit le ventre au point qu’elle se sent presque gonfler. Elle jouit encore, et encore, ses bras s’affaissent, sa poitrine glisse sur l’herbe, elle râle à pleine gorge et semble défaillir quand le loup tombe de son dos, cherche à se retirer, et reste collé à sa femelle, cul à cul, elle en jouit encore, enfin ! Et son cri n’en finit pas.

Charles et Laurence n’en perdaient rien, quand le brouillard soudain plus épais masque la scène, les deux partenaires disparaissent dans le brouillard. Charles et Laurence ne s’avancent pas pour voir de peur de se perdre Charles réalise qu’avec le bruit du ruisseau ils ont un repère, il s’avance, entrainant Laurence, et soudain manque de tomber : ce qu’il voir lui fait oublier de regarder où il met les pieds, il vient d’apercevoir un loup et une louve en train de copuler et le membre du loup sortir du ventre de la femelle, à l’instant où Charles les découvrait  le loup a léché l’arrière train de la femelle et s’est éloigné et la louve est partie dans la même direction.

La plus grande confusion règne dans l’esprit des deux témoins de ces scènes Charles cherche sans vouloir s’enfoncer dans le brouillard. Il appelle, crie, hurle le nom de sa maîtresse dans toutes les directions sans obtenir la moindre réponse. Laurence se joint à lui. Incapables de faire autre chose du fait du brouillard qui stagne sur eux, ils crient. Sans résultat.

Il fait froid, le brouillard s’assombrit, ils montent la tente, s’installent, font à manger, et mangent rapidement car il fait très froid. Ils crient encore, et rien ne leur répond ni surtout personne. Laurence ne serait pas si désolée que ça, mais elle a quand même peur pour Flo, nue dans ce brouillard glacial, et Charles est plein d’angoisse, de remords un peu, elle le lui avait dit : « Si tu la touches je te quitte ! » est-ce qu’elle est partie ? Mais dans ce brouillard, et ces loups, et CE loup qui l’a saillie, à qui elle s’est livrée, offerte, elle qui se disait en chaleur comme une femelle. Ils ont quand même fini par dormir. Puis par se réveiller, sans bien savoir lequel réveillait l’autre.

Charles sent le corps de Laurence contre son ventre, et Laurence sent le membre de Charles dressé entre ses fesses. Il entoure le corps de Laurence de ses bras et elle sent ses mains sur ses seins et ses bras qui la tirent vers lui, elle sent les mouvements des mains de Charles, il abaisse leurs pantalons, il lui retire sa culotte, et glisse sa bite entre ses fesses elle sent la pointe de la bite qui glisse de bas en haut et de haut en bas, elle ne sait par où il va la pénétrer mais tout ce qu’elle veut c’est qu’il la prenne, qu’il enfonce sa queue en elle, elle écarte les fesses, s’ouvre, sa fente, son cul : «  Choisit mais entre, enfonce là ! »

C’est à ce moment qu’elle crie : il la sodomise, il a pris son cul, qu’elle offrait, ouvrait, et la pointe de sa bite est entrée, et il pousse, il la tire contre lui, par les hanches : « Viens », et elle se donne, elle se laisse tirer vers lui, elle l’accompagne, elle pousse sa croupe vers lui, elle s’empale sur sa bite et elle crie quand il force. Il finit par être en elle. Elle ne se donne pas assez pour jouir, il la prend pour trouver un exutoire à sa nervosité et retomber dans son sommeil. Et à peine a-t-il vidé ses couilles qu’ils se rendorment.

Avant d’affronter le jour ils recommencent. C’est Laurence qui entreprend d’exciter Charles, pour qu’il se perde dans ses yeux, pour qu’il la prenne, la fasse sienne. « Prends-moi, comme si tu prenais possession de moi, fais-moi tienne, marque-moi, mords, fais moi crier mais mords moi, marque moi, partout où tu veux, baise-moi, j’ai besoin de tout ça avant d’aller voir ce qui s’est passé. »

De lui-même il aurait fait tout ça ! Il la dénude dans la tente qui commence à se réchauffer au soleil, il met des marques de ses dents sur tout son corps, il utilise tous ses orifices, et elle le finit en le branlant sur ses seins.

Il est dix heures, ils ont plié la tente, et partent à l’exploration des alentours, où ils ne trouvent rien, ni vêtements, ni trace de quoi que ce soit. Il n’y a pas vraiment de ravins ou elle aurait pu disparaître sans laisser de traces dans les environs immédiats. Il n’y a pas de raison de penser qu’elle se soit enfuie seule dans le brouillard.

Dès qu’il y a du réseau Charles appelle des secours, et un peu plus tard l’hélicoptère arrive. Une gendarme  les interroge, de temps en temps son regard se pose et reste sur les traces laissées par Charles, qui ne sont pas discrètes.

« Elle est partie mais nous ne voyons aucune trace, sinon son sac qui est ici, mais sans son duvet, vous pouvez l’expliquer ? »

"Pouvez-vous me dire ce que vous savez d’elle ?"

« Savez-vous ce qu’elle faisait avant de vous avoir rencontré dans le train l’an dernier ? »

« D’où veniez-vous ? Vous y étiez avec un ami ? Pourquoi vous êtes-vous séparés ? Il vous a trompé ? Vous êtes restée avec lui parce que vous ne vouliez pas randonner seule ? »

« Que s’est-il passé lors de la nuit dans cette cabane ? »

 « Donc on peut penser que votre ami Louis est parti seul pour se venger de la nuit que vous lui avez infligée ? »

« Aurait-il pu emporter le duvet de votre amie ? »

« Et les marques que je vois, qui vous les a faites ? Quand ? »

« J’ai la réponse à nos questions aux services de l’état civil :  elle n’existe pas ! Son nom est inconnu de l’Etat Civil »

 « Que s’est-il passé hier après la tombée du brouillard ? Votre amie s’est accouplée à un loup et s’est transformée en louve, c’est bien ça ? »

« Donc une femme dont vous ne savez rien a disparu dans le brouillard en se transformant en louve ? »

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