L’histoire se passe toujours dans le sud, treize ans plis tard, en deux mille onze. Estelle, vingt neuf ans, est devenue une très belle femme, très sexy. Elle a choisi la villa des ses parents pour fêter ses cinq ans de mariage. En effet, elle est mariée avec Georges, trente deux ans, jeune cadre en informatique. Georges n’est pas un foudre de guerre au lit, aussi, Estelle, avec son accord, assouvit ses appétits extra-conjugal. Du reste, elle entretient toujours une torride relation avec sa prof de gym, la seule qui la calme sexuellement.
Les mêmes invités sont là, à part le père qui a préféré quitter le domicile conjugal…Sylvie, la mère d’Estelle, cinquante trois ans maintenant, qui entretient toujours une relation lesbienne avec sa soeur., cinquante cinq ans. Il y a aussi Raoul et Fernand, les frères jumeaux, âgés aujourd’hui, de cinquante neuf ans.
Estelle descend de la chambre vers vingt et une heure, avec son mari, juste au moment ou la sono entame une série de slows. Elle est ravissant en robe noire, et petit haut à lacets, qui ne cache pas grand chose de sa magnifique poitrine.
Elle croise le regard de ses oncles. En les voyants, le passé resurgit dans sa tête.
Elle est ramenée treize ans en arrière, la nuit de ses 16 ans, ou ses oncles s’étaient amusés avec elle. Elle se revoit assise, jambes écartées, entièrement offerte. Il lui semble sentir les mains de Raoul sur ses jeunes seins, ou encore son corps d’adolescente tournoyer sur les doigts de Fernand qui lui fouillait la chatte, jusqu’à l’orgasme. elle entend ses propres cris de plaisir sortir de sa bouche "oh oui..oh oui…" elle entend aussi leurs rires moqueurs quand elle a remis sa nuisette pour s’enfuir dans sa chambre, rouge de honte.
De penser à ça, lui procure une agréable chaleur au creux de son ventre.
Raoul et Fernand aussi se remémore cette chaude soirée anniversaire. A voir le sourire radieux de leur nièce, ils comprennent qu’elle ne leur en veut pas. Raoul l’invite à danser, pendant que Georges va s’asseoir et pianote sur son portable.
Raoul prend Estelle par la taille qui de suite enroule ses bras autour de son cou.
-Alors ma chérie, dit-il, je te sens épanouie, ton mari a bien de la chance.
-Bof, répond-elle, ce n’est pas l’étalon que j’espérais, il est toujours scotché devant son ordinateur, mais bon.
Raoul devine la femme insatisfaite au lit, sent son corps de braise entre ses bras.
la fête se termine vers minuit. Il est prévu que les frangins dorment sur le canapé.
Vers deux heures du matin, Estelle a une petite soif. Elle enfile sa courte nuisette, et descend à la cuisine. Elle aperçoit de la lumière provenant du salon. Elle voit Fernand allongé sur le canapé, pendant que Raoul, assis sur le bord, finit de quitter son caleçon. Ils sont complètement nus.
-On trinque pas ce soir, demande Estelle.
Les deux frères, surpris, essaient de cacher leur nudité. Estelle ne se démonte pas. Elle s’approche, enjambe Raoul, et se place face à lui. Elle fait passer sa nuisette par dessus sa tête. Les seins de la jeune femme jaillissent à son visage.
-mais…que t’arrive-t-il, bégaie Raoul…tu es folle..
-J’ai envie de faire des bêtises cette nuit…rappelles toi l’année de mes seize ans comme tu les avais caressé pendant que ton frère me doigtait. Tu as peur aujourd’hui…pourtant tu bandes salaud.
Estelle se soulève, glisse ses mains entre ses cuisses, écarte sa chatte pleine de mouille. Elle se cambre et s’empale sur la bite décalottée de Raoul.
-Hum…enfin…treize ans, soupire-t-elle…treize ans que je rêve de ce moment…j’ai besoin d’un bon coup de queue là…Fernand…viens que je te taille une pipe…
Fernand ne se fait pas prier. Il bondit et place sa bite en érection devant les lèvres de sa nièce. Elle l’aspire de sa bouche pulpeuse.
-Hum…c’est bon, glousse-t-elle..
Soudain les coups de reins s’accélèrent sur la bite de Raoul, tout comme la pipe s’accélère sur celle de Fernand. Ca sent l’orage.
-Hou…hou..bafouille-t-elle…bande d’enfoirés…vous me faites jouir…oui..oui…
L’orgasme est terrible. le sperme s’écoule des orifices, mélangé de mouille et de salive. C’est ensemble que le trio hurle sa jouissance.
Soudain, Raoul, toujours encastré dans le trou de sa nièce, bascule sur le dos, et l’entraine avec lui, croupe cambrée, mettant de ce fait en évidence l’autre trou….plus petit. Fernand n’en demandait pas tant. Il s’avance, place sa bite en érection, le gland décalotté contre la rosette d’Estelle. sans brutalité, il l’a pénètre.
-Oh..oh…mais non Fernand…tu es fou..
-Que t’arrive-t-il, sourit Raoul..
-C’est ton frère, ce vicieux…il m’encule…vous êtes des enfoirés tout les deux…un qui me bourre la chatte, un qui me bourre le cul…exactement ce que vous avez fait à ma mère il y quinze ans…tant pis…faites moi jouir comme vous l’avait faites jouir…faites moi hurler de plaisir, comme vous l’avait faites hurler…
-C’est vrai que tu es bonne, râle Fernand, une vraie pute…comme ta mère.
Le deuxième orgasme est terrible. Les deux oncles ont du mal à contenir l’euphorie de leur nièce.
C’est avec regrets qu’elle se sépare de ses oncles, elle a encore envie.
Quand Estelle regagne enfin sa chambre, elle est attirée par des rires et des petit cris. Elle pousse la porte et découvre un spectacle hallucinant. Sur le lit, installé à quatre pattes, son mari, complètement nu, se fait chahuter par par Sylvie et Nadine.
-Aie..aie..aie…arrêtez, se plaint-il.
Sylvie maîtrise Georges en faisant rouler ses testicules entre ses doigts, pendant que Nadine joue avec son zob entièrement décalotté.
-Alors mon chou, sourit Sylvie, tu aimes te faire gratter les boules, hein? Ma fille te les gratte pas comme ça…
-Il aime surtout se faire traire, poursuit Nadine..regarde comme il bande ce salaud..
-Ha…ha..salope…lâchez moi…vous me faites jouir…hiii..hiii…
-Vas-y, insiste Nadine, vides toi les couilles…voilà…comme ça polisson…après, tu vas bien nous bouffer la chatte, à moi et à ta belle mère, d’accord…
Sans bruit, Estelle referme la porte et descend au salon rejoindre ses oncles.
-Feriez-vous une petite place à une épouse délaissée, demande-t-elle en ôtant sa nuisette.
-Mais bien sûr, acceptent les deux frères en soulevant le drap.
-Je vous avertis…j’ai pas sommeil.
-Justement…ça tombe bien, nous non plus.
-Et vous avez envie de mettre vôtre bite au chaud…c’est ça…
Estelle va gémir de plaisir en sentant les mains vicieuses de ses oncles la caresser dans tous les coins, quand leur bite va pénétrer ses orifices, bouche comprise. Finalement, son anniversaire de mariage aura été réussi.