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mes 40 ans inoubliables – Chapitre 2




J’accepta le cadeau d’Abou et lui dit que c’était avec plaisir, qu’il pouvait continuer. Il me sourit, et me demanda si je souhaitais vraiment être détendu en sortant d’ici, je répondis par un oui sec, il me demanda alors de lui faire confiance. Je ne sais pas encore aujourd’hui pourquoi, mais je lui ai directement répondu qu’il n’y avait pas de problème.

Je vis alors Abou retirer sa blouse, il était torse nu, son corps était une merveille, son torse et ses bras était musclé, on voyait chaque muscle bien dessiner. Il était sportif, c’était sur, et il était loin des hommes que j’ai connue et surtout son corps ne ressemblait en rien a celui de mon mari, tout les opposaient même.

Abou repris de l’huile sur ses mains et recommença a masser ma nuque, mais d’une façon bien plus sensuel que la première fois, mon corps se relâchait totalement, puis il caressait mes joues, mon cou, puis mes hanches. Soudain, il fit tomber sur le sol la serviette qui recouvrait ma poitrine. Ses mains commencèrent a contourner ma poitrine, c’était agréable et je ferma les yeux. Il soupesait mes seins, les faisait rouler, ce massage commençait plus a ressembler a des caresses, ses mains étaient douce, un vraie régale. Il collait mes seins ensembles, les malaxait délicatement, il versa de l’huile dessus et insista de plus en plus. Ce qui devait arriver arriva, mes tetons commençaient à réagir et a durcir sous ces caresses. Je mouvrais entièrement à cette vague de plaisir qui menvahissait chaque seconde un peu plus. Il les a soupesés, caressés, puis en a pincé les bouts bien durs. Il a continué à me titiller les bouts de seins quil pinçait maintenant entre ses doigts, puis il descendait sur mon ventre pour le masser. Mon corps commençait a trembler. Il était collé a ma tète, et je pouvais sentir son sexe qui avait l’air d’une taille assez incroyable, lorsqu’il se penchait au dessus de moi pour me masser le ventre, je pouvais voir son torse muscler, je sentais l’odeur de son corps qui enivrait tout mes sens.

Il passa a coté de moi, et massait de sa main droite mes seins a tour de rôle et de sa main gauche mon ventre. Il me dit que j’avais une poitrine magnifique, que je devais rendre mon mari très heureux avec des joujou pareil. Son langage avait changer et devenait un peu plus cru. Sa main gauche retira alors la serviette qui recouvrait mon sexe. Il reversa de l’huile sur ses mains et commença a me masser ma jambes droite, il remontait délicatement ses mains et commença a masser l’intérieur de la cuisse. Il écarta légèrement ma jambe, j’étais comme hypnotiser et me laissa faire. Il observa mon sexe et son petit ticket de métro, il devait savoir dans quel état j’étais car il me souri. Ses caresses m’avait fait mouiller. Sa main gauche passa sur mon sexe, le frôla. La il me fit remarquer que j’appréciais ses massages, il me demanda mon prénom que je lui donnais sans hésiter.

Sa main droite s’occupait a nouveau de mon sein, et sa main gauche glissait entre mes cuisses, ses doigts ont effleuré ma toison. Ma fente humide la encouragé à se montrer plus entreprenant. Il a compris que je me trouvais à un point de non retour. Abou fit glisser un doigt sur ma raie. Ses mains descendirent vers mon intimité, puis dune main, il a tiré la peau de mon pubis. Il a décapuchonné mon clitoris. Je nai pu empêcher un orgasme de venir. J’étais totalement abandonnée a cette inconnue, moi qui n’avait jamais tromper mon mari. Ses doigts jouaient avec mon clitoris, puis il introduit un doigt dans ma fente, j’écarta encore un peu plus les jambes pour faciliter laccès à mon jardin secret. Ses doigts fouillait mon entre jambe, je sentais son doigt bientôt rejoins par un autre au fond de moi. Il m’a fait redescendre de mon nuage de sensations, avec des mouvements plus légers et étalés dans le temps. Il me maintenait ainsi dans un état partagé entre lexcitation et la jouissance, faisant de ma chatte une source de plaisir et de frustration.

Je ne me reconnaissais pas moi même, mais que m’arrive t il, m’offrir comme ca, si mon mari savait quel cadeau il m’avait fait. Abou alla se mettre au bout de la table de massage, il attrapa mes hanches et me fit glisser au bord de la table. Il prit le flacon d’huile prêt de lui, passa mes jambes sur ses épaules et glissa sa tète entre mes cuisses, il fit couler de l’huile sur mon sexe déjà très humide, puis me pénétra a nouveau de ses doigts. Il allait et venait dans mon sexe, je fermais les yeux, me mordait les lèvres et jouait avec mes gros seins dont les bouts étaient prêt a exploser. Le coquin na pas mis longtemps à trouver mon bouton damour et sest appliqué à faire tournoyer sa langue dessus avec une agilité et une maitrise rares. Je donnais ma fente et ses fruits sans retenue et je lincitais à continuer ce traitement o combien délicieux « vas y pousse ta langue au fond de ma chatte. Donne-moi du plaisir». Ces mots ont eu un effet immédiat sur mon partenaire qui a poussé sa langue entre mes lèvres pour laper lintérieur de mes chairs. Je ne mis pas longtemps a jouir une nouvelle fois. Il se releva et viens a mes cotes, il se pencha sur ma poitrine et prit mes bouts en bouche, les lécha, les mordilla. Cette homme m’excitait comme aucun homme ne l’avait a ce jour. Il me regarda tout en jouant avec mes tetons, son regard était lubrique. Il me dit alors :"Nicole, tu es trop bonne, je suis sur que tu es une vraie salope". Ses paroles m’excitèrent encore plus, lui qui avait été si galant au départ, Il a défait dun coup ses boutons de braguette et son pantalon tomba au sol, il ne portait aucun sous vêtement. Sa queue était d’une taille impressionnante, comme quoi la taille du sexe des africains n’est pas qu’une légende, elle était encore à moitie molle, humm jadore ! Je me suis empressée de prendre cette tige en bouche pour la faire grossir entre mes lèvres. Jai porté son gland jusqu à ma bouche et je lai léché doucement avant de lengloutir. Abou na pas été bien long à réagir à mes caresses buccales. Bandée au maximum, Il a bougé entre mes lèvres, il me baisait la bouche. Jai abondamment salivé sur sa hampe et jai titillé son frein de ma langue experte. Ca bite était un véritable outil de plaisir, tout en suçant, je me disais que le calibre de cette queue allait faire des merveilles entre mes cuisses. Je pétrissais les belles couilles et jimaginais déjà ce foutre qui, bientôt, viendrait recouvrir mon visage. Abou appréciait cette fellation que je lui faisait. Son sexe avait atteint sa taille maximum, son sexe était très long et très gros, a cote mon mari aurait eu honte.

Abou retourna au bout de la table, sa verge en béton se baladait sur ma raie qui ne demandais qu’a être pénétrée. Il me tenait puissamment par les hanches et poussait avec force en moi, je sentais ce bout de chair énorme en moi, son bas ventre claquait violemment sur mes fesses, au bout d’un instant mon corps fut pris par une décharge électrique et je jouissais a nouveau. Jamais un homme ne m’avait faire jouir autant et surtout 3 fois de suite. Au bout de 10 minutes de va et viens, Il sest vidé dans mes entrailles. Il sest écroulé en sueur sur moi.

Abou m’a lever, m’as prise dans ses bras et nous nous sommes embrassé, je me suis rhabillé, toute confuse, et je suis partie.

Sur le chemin du retour , je n’arrêtais de m’en vouloir d’avoir tromper mon mari, mais j’étais aussi terriblement comblé par cet homme et vraiment détendu. J’en ai rêver toute la nuit et impatiente de mon dernier rendez vous qui avait lieu 2 jours plus tard.

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