Le soir, allongée sur mon lit, je téléphonai à Aurélie pour lui raconter ce qui m’était arrivée dans la journée. Je n’avais rien oublié, pas même l’épisode de ma masturbation dans la salle de bains, ni l’arrivée de Maman et encore moins le doux baiser qu’elle me déposa au coin de ma bouche. Elle riait comme une folle, m’imaginant certainement agressée par Mambo, me disant tout de go que j’étais amoureuse d’elle, que Maman l’était aussi de moi et que bientôt il allait se passer quelque chose entre nous deux.

Je ne pouvais pas lui dire qu’elle était folle, c’était la pure vérité en ce qui concernait l’amour que j’avais pour Maman et pour le reste, j’en crevais d’envie depuis la première fois que je l’avais vue nue, prise par Mambo.

Je lui expliquais aussi que j’avais trouvé toute une panoplie de godemichés chez Monique, ce qui la laissa sans voix.

— Explique moi ce que tu as vu ?

— Toutes sortes de choses, toutes aussi bizarre les unes que les autres. D’ailleurs j’en ai pris un pour m’amuser avec, un hyper gros et je l’ai déjà mis un peu dans mon minou car j’ai encore envie de jouir ce soir. Tu sais, je voulais te dire pour Mambo ! Et bien quand il a essayé de me prendre, il s’est trompé de trou et il a bien failli me sodomiser. C’est fou la douleur que j’ai eue quand il m’a pénétrée. Par contre j’ai vraiment envie d’essayer comme ça, ce doit être terrible d’être collée à lui par les fesses. L’as tu déjà fait toi avec le tien?

— Oh oui ! Plutôt deux fois qu’une. Très souvent et j’adore moi aussi quand il me prend comme ça, mais les premières fois ça fait mal, très mal. Il faut que tu habitues ton anus à recevoir un objet étranger en lui, que tu ailles doucement pour qu’il soit assez ouvert pour recevoir son noud. Ce n’est pas quand il te pénétrera que tu auras les douleurs les plus violentes, mais c’est quand sa boule va se former et qu’il va essayer de se retirer. D’ailleurs tu as dû t’en rendre compte que lorsqu’il est rentré entre tes fesses tu n’as pas eu aussi mal que ça !

— Toi je ne sais pas, mais moi je t’assure que lorsqu’il m’a pénétrée, j’ai eu une douleur atroce. Tu sais, tu sais, je suis encore vierge de ce côté ! J’ai eu la douleur pendant au moins une heure. Tu crois que si j’essaie de forcer mon petit trou avec le jouet, ça va marcher ?

— Bien sur ! C’est ce que j’allais te dire de faire mais pour ça, il te faut le graisser avec une crème si tu as. Tu en as ?

— Quel genre de crème ? Et comment veux-tu que j’en aie !

— Vaseline de préférence si tu as ou tu essaies avec du beurre. Tu te tartines les fesses avec ça et doucement tu essaies de l’enfoncer entre tes reins. Surtout n’aies pas peur d’en mettre. Tu verras au fur et à mesure il rentrera et alors par la suite tu pourras pleinement profiter de ton amant en te faisant saillir entre les fesses. Je suis sure et certaine que tu trouveras ce que je viens de te parler dans la chambre des tes parents ou dans celle de Monique. Ça m’étonnerait qu’ils ne s’en servent pas. Je m’excite toute seule en te racontant ça, j’ai une folle envie de me faire sodomiser maintenant, mais je ne pourrais plus te répondre.

— Tu en as de la chance de l’avoir déjà fait. A moi aussi tu me donnes envie, très envie d’essayer mais tu attendras que j’ai raccroché pour te donner à ton chien. Ok pour aller voir dans la chambre de mes parents quand ils seront au travail.

Quand je me mis à lui expliquer qu’il y avait deux chiens devant la maison de Monique et qu’un avait essayé de me sauter, elle est devenue comme hystérique, me disant que c’était super, et qu’au fur à mesure que les jours passeraient, il y en aurait d’autres et que je devrais faire tout ce qu’elle me dira de faire.

— Je suis d’accord pour faire tout ce que tu m’ordonneras, mais toi, tu viens quand ?

— Je ne viendrais que lundi, cette fin de semaine il y a tes parents et nous ne serons pas tranquilles, tu comprends ?

— Oui je comprends ! il faut mieux que nous soyons bien tranquille. Et qu’est-ce que je dois faire ? Explique ! Excuse moi ! Mais j’essaie de pas trop parler fort pour ne pas que ma mère m’entende. Je suis sure qu’elle ne dort pas et qu’elle va descendre se faire monter par Mambo. Elle avait trop envie de le faire tout à l’heure alors tu penses bien qu’elle ne va pas se gêner, avec le feu que je lui avais mis aux fesses, elle était trop pressée de se coucher ce soir. Dès que mon père a eu fini son repas, j’ai vu son manège d’aguicheuse et comme tous les soirs, il prend un cachet pour dormir, elle va être tranquille pour un moment. Bon continue.

— Demain quand tu retourneras voir la chienne, tu lui enfileras le doigt dans sa vulve pour en imprégner complètement la tienne !

— Je l’ai déjà fait aujourd’hui et tu as vu le résultat ! J’ai failli me faire violer par mon chien et les autres dans la rue.

— – Je sais ! Mais tu dois le faire tous les jours et ce pendant toute la période de ses chaleurs. Tu sais, tu n’as que trois semaines pour profiter au maximum de ce qu’elle peut te donner pour prendre tout le plaisir que tu as envie ? Dans quelques jours tu vas avoir une meute de chiens près de chez toi, alors si j’étais à ta place, je ferais exactement ce que je suis entrain de t’expliquer. .

— D’accord pour ça, d’ailleurs je ne trouve pas ça si « dégueu » de caresser la vulve de la chienne et de me mettre les doigts dans ma chatte ! en plus cette salope aimait bien quand je lui tripotais sa minette. .

— Et tu ne sais pas tout ! Quand elle va être prête pour recevoir les chiens, elle va elle même se mettre en position pour les recevoir. Tu vas le faire hein ?!

— Oui ! je te l’ai promis. Mais pourquoi tu me parles d’autres chiens ? Je viens juste de me donner au mien et toi tu me parles d’autres chiens. Je ne te comprends pas ! Explique ! T’as quand même pas envie que je me fasse prendre par tous les chiens du village, dis moi ? Et pourquoi ne viens-tu pas avec moi, toi qui es si maligne ?

– C’est toi qui m’as avoué que tu avais presque accepté que l’autre chien te monte dessus. C’est vrai ou pas ?

— C’est vrai et je confirme que je suis restée sur ma faim ! Mais de là à me faire sauter par tous ceux qui vont venir rôder vers la maison, il y a quand même un grand fossé que je n’ai pas l’intention de franchir. Tu voudrais que je devienne une pute à chiens ?

– Je te souhaite seulement d’avoir la même chance que j’ai eue, un jour en me promenant dans la campagne. Je te raconte !

« « Je voyais bien que depuis un certain temps mon chien ne s’occupait plus de moi comme il en avait l’habitude et qu’il n’arrêtait pas de gémir devant le portail la truffe en l’air, récupérant certainement toutes les odeurs femelles qui passaient près de lui.

Quand je le promenais, il était impossible à tenir en laisse et un jour à peine je l’ai eu lâché, il est parti comme un fou la truffe collée au sol et quand j’ai pu le récupérer, il était déjà accroché à une femelle. Le coït a bien duré vingt minutes, enfin je ne sais plus. J’ai joui comme ça, seulement en le regardant coller à la chienne, une autre chienne que moi et quand il est ressorti de son ventre, je lui ai avalé sa bite comme une affamée.

Il continuait à m’inonder la bouche pendant que l’autre salope se léchait, ensuite, je me suis bien frottée à elle, je lui ai même enfoncé les doigts dans sa vulve pour me barbouiller la mienne et nous sommes repartis. J’avais aussi frotté ma culotte contre son sexe, car de temps en temps j’en mets une quand même.

En arrivant à la maison, mon chien qui avait repris des forces, s’est littéralement jeté sur moi, faut dire que j’étais prête depuis un bon moment, ma chatte coulait, tant j’avais envie qu’il me prenne comme cette chienne. Cette saillie était d’enfer. Etait ce de l’avoir vue accrochée à cette chienne qui m’avait rendue chaude et réceptive à ce point ? Je n’en sais rien, mais je te jure que je ne me rappelais pas d’avoir joui aussi fort.

Le lendemain, je suis repartie seule avec ma culotte bien collée contre mon sexe, m’étant seulement revêtue d’un imper assez léger , avec rien dessous sauf ma culotte et en marchant dans la campagne, j’avais ouvert en grand mon imper pour que les effluves se dégagent bien .

Dans l’heure qui suivit, un chien est arrivé, je l’ai laissé me suivre de loin et quand j’ai pu m’isoler du chemin avec lui, je me suis mise à quatre pattes, l’imper remonté sur mon dos. Hélas ce n’était qu’un jeune chien et je pense que c’était la première fois qu’il devait essayer de monter une chienne.

Malgré tous les essais qu’il tentait, impossible de me prendre, j’ai tout fait, tout essayé, tu me connais, et bien je n’ai pu seulement que l’allonger sur l’herbe et sortir son sexe pour le prendre dans ma bouche. Sa boule était vraiment très petite.

J’en aurais pleuré ! Alors de retour chez moi, je me suis mise à quatre pattes devant mon amant et l’autre à bien senti qu’un autre chien m’avait serré de trop près et éjaculer sur les fesses. Je ne te dis pas comme il est devenu fou pour reprendre ce qui lui appartenait, pour remarquer son territoire. Je n’avais pas enlevé ma culotte, seulement écartée par en dessous et il m’a quand même prise comme sa chienne. Comme c’était bon de se faire défoncer comme çà, par un vrai mâle.

Je ne voulais pas m’avouer vaincue. Pendant toute la semaine je me suis promenée seule avec la même culotte sur moi habillée pareillement et j’ai quand même trouvé un vrai mâle.

Mon dieu qu’il était moche, mais un vrai mâle, avec un sexe énorme. Je l’ai bien laissé me tourner autour, le laissant frotter sa truffe contre ma culotte qu’il essayait de mordre, tremblante de plaisir de sentir cette gueule collée à mon ventre et je me suis retrouvée au sol, sa langue sur ma chatte. Je ne te dis pas la force qu’un chien habitué à saillir les chiennes peut avoir quand elles sont en chaleur. Les nôtres à côté ce sont des petits rigolos, crois moi.

Il m’a pratiquement retournée avec ses pattes et deux secondes après, j’étais fixé contre son ventre. Combien de fois il m’a faite jouir ? Je ne sais pas, mais entre cette barre que j’avais dans le ventre et l’excitation de me faire posséder par un autre chien que le mien, j’ai bien du jouir quatre ou cinq fois.

Et quand je te disais qu’il était moche, il l’était vraiment mais ça je m’en balançais car avec que ce qu’il m’avait mise dans le ventre, je lui pardonnais volontiers.

Quand il s’est décroché de moi j’ai eu l’impression que tout sortait de mon ventre, ma main n’arrivait pas à faire le tour de sa boule quand je l’ai prise pour vouloir le lécher. J’en mouille encore de penser à lui. Il était vraiment fort

De nouveau debout, je n’arrivais plus à marcher tellement il m’avait faite jouir. J’avais les jambes en coton, comme jamais je n’avais eu. Je ne te parle pas de l’état de mes genoux !

Arrivée chez moi, je me suis jetée dans un bain chaud parfumé pour m’enlever son odeur. Ce sont les aléas, de la campagne mais c’est tellement bon de se faire posséder par des chiens de la campagne qui ne pensent qu’à saillir les chiennes avec beaucoup force et surtout de la fougue.

– Et tu voudrais qu’il m’arrive la même chose qu’à toi ?

– Pourquoi ! Tu ne veux pas ? Tu n’en as pas envie ? Je ne te crois pas ! Pas avec ce que tu m’as racontée sur l’autre chien de la rue. Dis moi la vérité.

— Tu m’as faite jouir en t’écoutant. Tu me rends folle avec toutes ses idées que tu me mets en tête et j’ai envie de toi surtout. Il y a longtemps que je ne t’ai pas vue !

— C’est vrai que j’ai envie de toi moi aussi. Mais on va bientôt se retrouver ma chérie et ça va être ta fête

— Hummmmmmmm ! Et on ne risque rien avec plusieurs chiens ? Enfin avec un autre !

— Mais non ! Pourquoi risquerais tu quelque chose chérie !

— Je ne sais pas moi ! Tu me dis qu’ils traînent de partout, je ne voudrais pas attraper des maladies, tu comprends ? Attends !!!!!!!!!, Je te rappelle après. J’entends ma mère qui descend au garage. Je vais la suivre, je veux voir ce qu’elle va faire. Les somnifères ont du faire effets, mon père doit dormir : elle est tranquille tu comprends ! Je la hais, je sais qu’elle va se faire monter toute la nuit

— Pourquoi tu dis que tu la hais, puisque tu l’aimes ! Raccroche et tu me raconteras ; Ok ! Crois moi, un jour vous irez le voir ensemble.

— Mais t’ es grave toi !! Tu te rends compte de ce que tu dis ! Tu le ferais avec ta mère, toi ?

Je disais quelle était grave, n’osant pas lui avouer que ce fantasme m’avait déjà travaillé l’esprit

— Oui ! bien sur que je le ferais ; me répondit elle. Sans problème et je ne pense pas que ça ne lui en pose à elle non plus.

— Qu’est ce que tu veux encore me faire croire ? Toi avec ta mère !

— Va vite voir ce que fait la tienne. Je te raconterais un jour.

— D’ac ! Peut être à tout à l’heure si tu ne dors pas, sinon à demain. Je suis toute trempée, j’ai envie mais c’est elle qui va en profiter. Bisous à plus.

Je posai mon portable sur le lit, enfilai un tee-shirt et doucement je sortis de ma chambre sans faire de bruit. Elle avait laissé la porte du garage entrebâillée, ce qui lui éviterait de faire du bruit en remontant.

Précautionneusement, je descendis les marches, évitant de faire trop de bruit.

Elle avait enfilé sur elle une salopette dans laquelle elle avait découpé un morceau de tissus partant de dessous les fesses jusqu’à son ventre. Je trouvais cet accoutrement ridicule, mais je pense qu’elle avait du le faire pour une bonne raison. Elle était là face à lui, lui tenant son museau bien appuyé contre son ventre

A chaque mouvement qu’elle faisait, je pouvais voir son sexe luisant de bave et quand elle se retourna pour offrir sa raie culière à Mambo, je pus voir son fessier généreux quelle caressait et écartait de ses deux mains.

Comme l’autre soir, elle lui parlait, le caressait, se mettait à genoux contre ses flancs pour caresser le fourreau qui pendait.

— Alors mon salaud ! Tu voulais baiser ma fille ? Tu voulais baiser Chantal ? Raconte moi ! Elle t’a aguiché, caressé, fait sentir et lécher sa chatte ? Tu n’en as pas assez de moi ? Mets ta langue dans mes poils, lèche. Tu crois qu’elle te donnerait ce que je te donne moi et que je vais te donner ce soir. Et tu vas voir la semaine prochaine ; Je serais seule, je viendrais te voir tous les soirs et même la journée, je vais même prendre deux jours de congés, rien que pour toi .

Chantal m’a dit aussi que les chiens commençaient à rôder autour de la maison, je vais en profiter. T’es pas jaloux, dit ?

Quelle salope, quelle chienne ! Et moi je devenais comme elle. Ce qui était bien dans la peine que j’avais de les voir ensemble, c’était qu’elle se doutait que j’excitais Mambo. J’en étais terriblement heureuse car toute la comédie, les mensonges de tout à l’heure avaient été payant. Je pensais à ce que m’avait dit Aurélie au téléphone concernant Maman et moi : je ferais tout pour qu’un jour elle me surprenne encore avec lui.

Et si je faisais en sorte que ce soit elle qui me fasse grimper par lui ! Cette idée m’était venue quand Aurélie me parlait d’elle et je la trouvais géniale. Mon ventre bouillait en imaginant Maman me présentant le sexe de Mambo devant le mien en fusion.

Mambo, continuait à la lécher, passant de ses fesses largement ouverte à son sexe béant. Maman s’était glissée sous son ventre, titillant avec le bout de sa langue le bout rouge qui pointait

— Toi aussi tu as envie, hein ? Regarde le bel engin qui est en train de grossir. Attends que je te lèche un peu et je me mettrais en position pour que tu me défonces. Ce soir j’en veux encore plus que d’habitude. Je veux que tu me remplisses, cette petite salope m’a excitée comme une folle avec son histoire.

Je compris seulement l’utilité de cet accoutrement qu’elle avait sur elle, quand il plongea avec force dans son ventre. Il ne lui laisserait pas de marque sur son corps et elle n’en aura pas aux genoux non plus. Elle avait pensé à tout ! C’était ça ma mère !

— Non ! Pas par là ! Attends !

Le salaud, il avait essayé de sodomiser maman, comme il avait essayé de le faire avec moi. Contrairement à moi, je pense qu’elle ne devait plus être vierge de ce côté car il ne l’avait pas faite hurler quand il l’avait pénétrée.

Je me trompais sur toute la longueur. C’est surtout cet endroit qu’elle voulait se faire visiter cette nuit. C’est par son anus qu’elle voulait être prise. C’était donc ça qu’elle voulait en plus

Je l’ai vue relever ses fesses pour se retrouver juste à la hauteur du bout rouge qui luisait sous le ventre de Mambo. Elle bougeait ses reins, ondulait sa croupe pour l’exciter, ce qu’elle réussi fort bien car cette fois, il plongea d’un coup entre ses fesses.

Elle râlait de plaisir à se faire défoncer les fesses et à aucun moment je ne l’ai entendu gémir de douleur. Ses joues étaient posées sur la toile qu’elle avait posée sur le sol. Il la besognait à grands coups de reins et le regard que ma mère avait en se faisant sodomiser me prouvait qu’elle prenait beaucoup de plaisir. J’espérais avoir le même quand il me possédera dans la même position.

Je mouillais comme une folle en les regardant unis comme des amants.

Cette fois il s’était arrêté et les yeux de maman s’élargissaient de plus en plus. Je pense que la boule en était la cause. Je me rappelais à quel point elle m’avait dilaté le vagin, alors je l’imaginais dans l’anus de Maman, me demandant comment elle pouvait supporter sa présence dans son conduit anal.

Elle ne fit rien pour le retenir quand il essaya de se retirer d’elle, ce qui eu pour effet d’être bien collée à lui et quand ils se retrouvèrent cul à cul tous les deux, elle se mit à jouir en mettant son point dans sa bouche pour ne pas qu’on l’entende d’en haut. Si elle avait seule, je suis certaine qu’elle aurait hurlé son plaisir, ce que j’aurais fait moi en étant à sa place.

Il tirait, elle se laissait promener sur le sol. Je pouvais voir le lien qui les unissait tous les deux, me demandant encore une fois, comment il pouvait la tirer sans avoir peur de lui arracher l’anus. Je pouvais imaginer la boule dans les fesses de Maman en regardant la forme que son anus avait prise, par la position de force qu’avait prise Mambo essayant de sortir de son fondement

Je me caressais de la voir jouir, m’imaginant à sa place, malgré la douleur que je ressentais pour elle. Mes doigts étaient gluants du jus qui coulait de mon sexe. Je me rendis compte que j’avais envie de me mettre à sa place, m’imaginant accrochée comme elle et je sus à ce moment que la prochaine fois, je me donnerais à lui comme ça. Enfin, j’essayerai ! Espérant que mon anus soit près surtout

Je venais de jouir pour la deuxième fois, les regardant toujours accouplés. Maman, elle pour la troisième ou quatrième fois, quand il se détacha d’elle avec un grand « flop » comme si on venait de déboucher une bouteille de champagne. Elle était toujours dans la même position, les fesses écartées, l’anus ouvert et quand je vis le sexe de Mambo qui pendait sous son ventre, se balançant aux rythmes de sa jouissance, j’eu grande envie de m’allonger sous lui pour l’avaler et boire ce qui hélas se perdait sur le sol. J’étais là, rêvant à cette bite, me demandant toujours et toujours comment on pouvait garder un si gros engin entre ses fesses.

Mon dieu quelle douleur ! Mais comme ça devait être bon !

A croire qu’elle avait lu dans mes pensés, car deux secondes plus tard, elle était couchée sous son ventre , la grosse queue enfournée dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge.

De ma place je pouvais voir sa chatte gluante, son anus laissant échapper le sperme de notre amant commun. Comme j’aurais aimé m’allonger près d’elle, poser ma tête entre ses cuisses musclées, laper tout ce qui sortait de son ventre et de ses reins. Mais ce plaisir n’était réservé qu’à lui pour le moment.

Avec sa grande langue, celle qui m’avait donné tant de plaisir aujourd’hui, il faisait sa toilette pendant qu’elle le pompait, enfonçant la bite de presque vingt centimètres jusqu’au fond de sa gorge. Gorge qu’elle avait profonde, son noud ne pouvant pas entrer dans sa bouche, sinon elle l’aurait certainement avaler tout entier.

Son anus largement ouvert ruisselait de sperme canin quand elle voulut s’asseoir sur la toile. Elle réussit encore à jouir une fois avec la langue qui allait de sa minette à son anus qui se refermait doucement. Je la comprenais et l’enviais en l’imaginant sur mon bouton turgescent mais ne pus jouir de peur qu’elle ne m’entende. Doucement je remontais l’escalier, rejoignant ma chambre. Il fallait que je me caresse, que je jouisse

Allongée sur mon lit, le gland du godemiché niché à l’entrée de mon anus, je pus laisser ma jouissance éclatée, revoyant ma mère accrochée à Mambo. Demain ce serait moi ! Cette fois je le ferais, le visage de Maman radieuse m’avait fait comprendre qu’il fallait tenter l’aventure.

Maman venait de rentrer dans la salle de bains, j’entendais la douche couler ; la pauvre, elle en avait bien besoin. J’avais envie d’aller la retrouver pour la voir nue, sentir l’odeur de Mambo qui devait imprégner son corps, lui laver son sexe avec ma bouche, caresser doucement son anus ouvert avec ma langue. Je savais que je faisais mal, mais je me décidais de la rejoindre dans la salle de bain

Elle ne m’entendit pas ouvrir la porte et je pus voir son corps recouvert de mousse, corps magnifique qu’elle frictionnait avec force, certainement pour enlever tous vestiges de son escapade nocturne. Ses mains frottaient la toison abondante de son sexe, couraient entre ses fesses, frottant plus doucement son anus qu’elle devait avoir encore très endolori. Moi j’étais là, émerveillée par tant de beauté dégagée, une main caressant mes seins durs comme de la pierre, l’autre glissant entre mes lèvres trempées par l’envie.

Comme elle m’observant cet après midi, c’est dans cette même position qu’elle me vit quand elle sortit de la douche. Elle fut tellement étonnée de me voir, qu’elle resta bien dix secondes avant de parler, tant sa surprise fut grande.

— Chantal ! Mais que fais tu là ? Tu ne dormais pas !

J’avais toujours une main posée sur mes seins l’autre sur mon sexe et ça elle ne pouvait pas ne pas les voir. Mes yeux allaient de sa bouche à son sexe humide, ne sachant plus quoi lui répondre et il fallait que j’invente quelque chose, que je me sorte de ce mauvais pas. Vite avant qu’elle ne se ressaisisse et qu’elle m’envoie paître.

— Non je ne dormais pas ! Je bouquinais et j’ai entendu la douche à cette heure. J’ai pensé que tu avais un problème, que tu étais malade. Je ne sais plus excuse moi.

Elle parut septique quant à la réponse que je venais de lui donner, se demandant si je les avais entendu elle et Mambo ou si je me doutais d’où elle venait. Je ne savais plus quoi lui répondre et il fallait que j’invente quelque chose, que je me sorte de ce mauvais pas. Il y avait longtemps que je ne m’étais trouvée aussi gourde face à Maman. D’habitude, j’avais la répartie plus rapide avec elle. Conflit des générations surement ; mais avec ce qui s’était passé hier, je pense que nous allions beaucoup nous rapprocher maintenant : enfin je l’espérais

Elle se décida enfin à me faire un sourire ce qui me mit du baume au cour.

— Bon ! Je te laisse Maman. Bonne nuit !

— Attends ! Dis moi qu’est ce qu’il t’arrive ? je trouve que tu as beaucoup changé depuis une semaine. Il y a longtemps que tu n’as pas été aussi gentille avec moi !

— Je ne sais pas ! Peut être l’âge ou autre chose !

— Que veux tu dire ? Tu vois tu recommences, tu redeviens comme avant me répondit elle en me prenant dans ses bras et me serrant très fort contre sa poitrine.

Comme cet après midi lorsque j’étais allongée contre elle, ma tête posée dans le creux de son épaule, je sentais son cour qui battait la chamade, espérant que ce soit le contact de mon corps contre le sien qui la rendait comme ça. Ses mains me caressaient la nuque, descendaient le long de mon dos, me déclenchant des frissons jusqu’en bas des reins. Elles s’en rendait bien compte mais ne fit rien pour me repousser, bien au contraire. J’étais bien, j’étais heureuse, tellement heureuse que je me mis à pleurer, laissant mes larmes couler le long de sa poitrine

— Tu pleures ! Pourquoi ma chérie ?

Je sentais qu’il y allait se passer quelque chose, il me fallait continuer pendant qu’elle me tenait entre ses bras

— Je suis bien tu sais ! Il y avait si longtemps que j’attendais ce moment, que tu me prennes dans tes bras, que tu me serres contre toi ! Et puis je suis fatiguée, perturbée par ce qui m’est arrivée. Je n’arrête pas de penser au chien dehors, à Mambo, à toi.

— A Moi ! Pourquoi moi ? A Mambo je comprendrais, mais moi qu’est ce que je viens faire la dedans !

Cette fois le rythme de son cour avait doublé de vitesse, je pouvais le sentir taper contre ma poitrine. Elle me serrait de plus en plus fort contre elle, ne voulant pas que je puisse voir ses yeux qui l’auraient sûrement trahie

— Maman, il faut que je t’avoue quelque chose.

– Quoi encore !

Je sentais qu’elle paniquait, s’attendant certainement à ce que je lui dise que je m’étais faite monter réellement par lui ou que j’étais au courant pour elle et lui

— Je t’aime Maman !

— Moi aussi mon bébé je t’aime ! C ’est normal, je suis ta mère, tu es ma fille chérie et j’espère que ce sera toujours comme ça : me répondit elle en me prenant la tête entre ses mains, posant un baiser furtif sur ma bouche.

— Oui bien sur que ce soit normal !

Il fallait que je me jette, tant pis pour les conséquences.

— Mais c’est pire que ça, je suis amoureuse de toi ! Tu comprends ?

Je lui aurais donné un coup de poing en pleine figure, je crois que je ne l’aurais pas autant sonnée. Elle ne disait plus rien, son cour battant de plus en plus la chamade et ses mains tremblaient. J’osais imaginer tout ce qui devait tourner dans sa tête.

— Chantal ! Je suis ta mère, tu te rends compte de ce que tu viens de me dire ? Mon dieu, pourquoi moi, pourquoi toi! Je suis maudite. C’est Aurélie qui t’a rendu comme ça, c’est ça ?

— Non ! Oui ! Avec elle c’est autre chose. Je ne suis pas comme les autres filles Maman, je suis !!!!!!!!!!

Je n’arrivais pas lui avouer que j’étais lesbienne, pourtant je venais de lui avouer que je l’aimais, mais ça je ne pouvais pas

— Tu es quoi ?

— T’as pas compris !!!!!!!!!!!!!!Aurélie, toi.

— Ma pauvre enfant ! Presque tous les enfants sont amoureux de leurs parents. Les filles du père, les garçons de la mère. C’est comme ça.

— Moi c’est pire que ça ! c’est de toi que je suis amoureuse.

Elle tenait toujours ma tête entre ses mains, continuant à me parler, m’expliquer, ses mains courant le long de mon dos. Doucement, elle attira ma bouche contre la sienne mais cette fois, ce ne fut pas pour un furtif baiser. Ses lèvres chaudes collées aux miennes, sa langue s’enroulant autour de la mienne, je me mis à lui posais le mains sur ses fesses pour l’attirer contre moi. C’était bon de sentir son corps chaud contre le mien

Me repoussant, elle me supplia d’arrêter, me disant que ce n’était pas bien, que j’étais sa fille, qu’elle devenait folle, que je la faisais devenir folle.

— Maman !!!!!!!!!!!

— Non ! Je t’en prie. Nous n’avons pas le droit. Pas avec toi

— Pourquoi pas avec moi ? Je t’aime !

— Allez va te coucher ! Me dit elle, m’embrassant tendrement. On en reparlera une autre fois : il se fait tard

Avec regret, je me levais et sortis de la salle de bains, suivie de Maman qui avait enfilé un peignoir. Juste avant de rentrer dans ma chambre, elle m’appela avant de rentrer dans la sienne

— Chantal ! Ton père est absent toute la semaine prochaine, nous ne serons que toutes les deux

Ça je le savais, je l’avais entendu le dire à Mambo

— Merci Maman ! C’est super, trop top. Mais tu te trompes : nous serons trois !

— Comment ça, trois ?

— Mais tu oublies Mambo !

Comme à chaque fois que je lui parlais de lui, elle changeait de comportement. Je la vis frissonner, resserrant contre elle son peignoir qui était ouvert sur ses cuisses magnifiques. Je sentis qu’elle allait me dire quelque chose, mais elle se retint. La prochaine fois peut être !

— Bonne nuit bébé !

— Bonne nuit Maman

Refermant la porte de ma chambre, je me jetais sur le lit, heureuse de ce qui venait de se passer entre elle et moi. Bien plus vite qu’Aurélie l’avait prédit, je venais d’avouer mon amour naissant à ma mère et elle m’avait répondu par un baiser. Pas un baiser comme elle me donnait tous les jours, mais par un vrai baiser d’amour

Je sortis le godemiché caché dans le tiroir de mes sous vêtements et je me mis à quatre pattes. C’était dans cette position que j’avais le plus de plaisir et c’était dans cette position que me montait mon amant.

Les yeux clos, le godemiché titillant mon anus, je me revoyais la bouche collée à celle de Maman, m’imaginant écartelée, défoncée, sodomisée par Mambo. Je remuais les reins, enfonçant doucement le jouet entre mes fesses.

Malgré la douleur occasionnée par l’engin, je sentais monter le plaisir. Je le ressortis, l’enfonça dans mon vagin trempé pour le graisser et après deux trois et viens, je le remis entre mes fesses. Mon anus s’ouvrait de plus en plus facilitant la pénétration du monstre que je tenais dans une main. De l’autre, j’écartais autant que je le pouvais mes globes fessiers permettant au godemiché de glisser inexorablement en moi. Il rentrait, m’écartelait, s’enfonçait. C’était bon, trop bon.

La jouissance fut forte, très forte quand le jouet tout entier s’enfonça, comme aspiré par mes reins. Il était là, niché au font de mes reins, la douleur qu’il m’occasionnait, me fit rappeler à quel point il était gros. Cette fois j’étais prête pour Mambo, enfin je le pensais, même si ça devait être dix fois plus douloureux et l’imaginant collé à mes fesses, je jouis pour la énième fois de la journée, tombant dans un sommeil quasiment comateux.

Mon dieu quelle nuit !

Mon sommeil était peuplé de chiens en pleine érection et ils n’avaient de cesse de me tourner autour que lorsqu’ils avaient pu enfin me monter dessus.

Combien étaient ils ? Je ne sais plus, mais ce matin j’avais le corps endolori, meurtri comme si j’étais passée sous un rouleau compresseur

Combien de fois avais je joui ? Je ne sais pas, je ne sais plus, mais mon ventre était lourd, les lèvres de mon sexe avaient pratiquement doublé de volume. Mon clitoris était si douloureux tant j’avais dû le caresser, qu’il ne supportait même plus le contact de ma petite culotte complètement trempée elle aussi. On aurait dit un chiffon que j’avais entre les cuisses, me demandant pourquoi j’en gardais une pour dormir. A partir d’aujourd’hui, c’était décidé, je n’en mettrais plus

Mes draps étaient eux aussi trempés de sueur et de cyprine là où avaient reposé mes fesses. Je n’osais pas me lever, ni aller dans la salle de bains de peur de me regarder dans la glace. Je devais avoir une vraie tête de névrosée. Le godemiché retrouvé sous les draps, me rappelait que je me l’étais bien enfoncé dans mon petit trou. Les petites traces de sang à peines perceptibles qui le recouvraient me firent comprendre que la pénétration n’avait pas été aussi facile que ça. J’espérais ne pas m’être blessée avec, me rappelant quand même la jouissance que cette pénétration m’avait donnée.

Il fallait que je déjeune, la douche attendrait.

Les cheveux en batailles, la culotte collée à mon sexe et qui me rentrait entre les fesses, je me rendis à la cuisine pour me préparer un bon déjeuner. Assise devant mon bol fumant, je me dis que c’était ici que tout avait commencé. Ici que ma vie d’ ado avait basculée. Regardant la boite de céréales posée sur la table, je me revis allongée sous la table ramassant tout ce qui était tombé sur le par terre, ma chemise de nuit remontée sur mes reins, la langue de Mambo collée contre mon sexe. J’avais l’impression qu’il y avait des mois, mais en réalité il n’ y avait que trois semaines que tout ça c’était passé et à peine deux semaines que j’avais décidé de me donner à lui.

Au juste, il était où celui là !

La main tirant sur cette maudite culotte qui me rentrait toujours dans les fesses, je me dirigeai vers la porte du garage pour lui ouvrir

— Mambo ! Tu es là, Tu veux bien venir vers moi mon amour!

— Il est avec moi chérie! Je suis entrain de préparer une machine à laver. On arrive ! Mais tu peux venir si tu veux

La douche froide !

— Maman !!!!!!! Mais tu n’es pas au travail ?

— Mais c’est samedi ma puce !

Zut de zut ! J’avais complètement oublié que nous étions samedi en plus Aurélie me l’avait dit et elle était déjà avec lui ! Le cour serré par la jalousie, je descendis les rejoindre dans la buanderie.

Maman était accroupie, revêtue comme cette nuit de son peignoir largement ouvert sur ses cuisses, triait le linge. Je pus voir son sexe velu quand elle se releva pour répondre à mon baiser. Mambo était allongé sur le sol tout près d’elle, la regardant faire. C’est vrai qu’elle était entrain de préparer la lessive, mais avant, elle avait surement du lui sauter dessus et se faire monter. Elle en avait profité presque toute la nuit et elle en voulait toujours. Comme j’aurais aimé lui passer ma main sur ses poils pour voir s’ils étaient trempés de la salive de Mambo

— Mon dieu ! Tu as vu la tête que tu as ? Me dit elle en souriant et en répondant au baiser que je lui donnais. Sans parler de ta tenue ! Alors, Comme ça Mambo est ton amour ?

— Euh !!!!!!!!!!!!! je l’appelle toujours comme ça. Pourquoi ! j’ai fait mal, je ne dois pas ?

Comme hier, je fus prise au dépourvu et si je continuais comme ça elle allait vite comprendre ce qui se passait entre lui et moi. Une femme possessive et jalouse ne pouvait pas se tromper

— Bien sur que tu peux ! Tant que ça ne va pas plus loin. Tu as vu le résultat hier ? Deux secondes de plus et tu devenais sa femelle

— Maman ! Réponds moi franchement ! Tu crois que ça se peut un chien et une femme ?

J’avais failli lui dire « comme toi », mais je me reteins à temps. Je venais pour la première fois ce matin la mettre dans l’embarras. Je la fixais, elle me regardait sans baisser les yeux, se demandant ce qu’elle allait me répondre

— Que veux tu que je te réponde ! Oui, non ! Je ne sais pas, tu deviens impossible avec tes questions. Ça te travaille tant que ça

— C’est justement ça qui m’a empêché de dormir! J’ai fait des cauchemars, des rêves tous plus fous les uns des autres et ce matin, regarde dans l’état où je suis. Tu aurais été seule dans ton lit, je serais venue près de toi pour me faire câliner. J’en avais vraiment besoin de toi tu sais.

— Je t’ai dit que nous serions seules la semaine prochaine, tu pourras comme lorsque tu étais enfant, venir te faire câliner tout contre moi

A aucun moment elle ne me parla de ce qui c’était passé cette nuit, mais ses yeux étaient gais et je voyais un sourire complice sur ses lèvres.

— Et toi ! Tu as bien dormi ?

— Comme un bébé !

Tu parles ! Avec ce qu’elle avait prise, avec ce qu’il lui avait mise cette nuit : moi aussi à sa place, j’aurais moi aussi dormi comme un bébé.

Depuis cinq minutes, nous parlions toutes les deux et je n’avais pas remarqué Mambo qui me tournait autour, le nez au vent, captant les arômes qui devaient se dégager de ma culotte. Je ne prêtais pas trop attention à son manège, trop occupée à ce que répondait Maman aux questions que je lui posais. Mais quand il me colla sa gueule contre les fesses, la surprise fut si forte que je devins rouge comme une pivoine, mon cour cognant dans ma poitrine, au risque de la faire exploser. Elle sentait tellement bon pour lui, elle avait tous les parfums de la nuit, n’osant bouger, surprise par autant d’audace et surtout par la réaction de Maman en le regardant faire.

Heureusement que je n’avais pas remise celle d’hier, il m’aurait certainement sauté dessus. Celle là, je l’avais gardée, bien cachée pour ne pas qu’on la trouve. Je la remettrais quand je serais seule avec lui ou quand je retournerais voir « Nalla ».

— Il ne change pas celui là ! Fait le arrêter ce serait mieux

— Pourquoi ! Tu le ferais toi, tu le repousserais si t’étais à ma place ? C’est drôle et excitant la froideur de son museau contre la chaleur de mes fesses. Ça me fait tout chose. Dis moi ! Il ne t’a jamais fait ça à toi ? Avec moi, il n’arrête pas.

Il fallait que je l’agace de bon matin avec toutes mes allusions, un jour elle flanchera, elle se plantera quant à ses réponses et elle devra m’avouer ce qu’elle fait avec lui. Je sentais que ce jour n’était pas loin. Elle se débattait, elle retombait sur ses pieds, mais avec beaucoup moins de nervosité quant à ses réponses.

— Chantal ! S’il te plait !!!!!! ça devient indécent tu ne trouves pas ! A croire que tu en crèves d’envie. C’est ça hein, tu en as envie ?

— Tu veux savoir la vérité ? Et bien depuis hier oui et je ne pense qu’à ça. Je deviens folle tu ne crois pas ?

— Non ma chérie ! Je ne pense pas. C’est normal à ton âge, je pense que je réagirais comme toi et franchement, Je me demande si j’aurais eu la même force que toi pour me défendre si je m’étais trouvée dans ta situation. Mais c’est fini, ils ne sont plus là.

— Merci maman !

A regret je repoussais son museau, ce qu’il fit non sans avoir réussi par deux fois à passer sa langue dessous le tissu.

— Tiens ! ça m’évitera de redescendre et je lui tendis ma culotte que je venais d’enlever pour qu’elle la mette avec le reste du linge sale. Papa n’est pas là ?

Il devait être dans son bureau ou au jardin, ce qui me soulageait le cour de le savoir ici, car je restais persuadée qu’elle se serait donnée à Mambo si elle avait été seule avec lui.

— Non ma chérie ! Il est allé faire son footing, il ne rentrera que vers midi. Et bien ! Elle est dans un état ta culotte, tu as du t’amuser cette nuit ; rajoutât elle dans un éclat de rire

l’allusion qu’elle fit sur mes jeux nocturnes auraient du me faire rire moi aussi et j’aurais du enchaîner, continuer sur sa lancée, mais la jalousie que je ressentis quand elle me répondit ça, me donnât presque la nausée…

— Bon ! Je remonte, je vais finir mon petit déjeuner et prendre une douche, je crois que j’en ai besoin. En plus ça va me rafraichir les idées. Je vous laisse tous les deux, soyez sages. Tu m’appelles s’il essaie de te faire la même chose qu’à moi.

Je me retournais sur mes pas avec un grand rire en voyant la tête de Maman. Un large sourire sur ses lèvres qui appelaient les baisers, elle me répondit :

— Tu es vraiment une obsédée ma pauvre fille. Promis ! Je t’appelle s’il essaie.

— C’est ça ! je te crois.

Je remontais l’escalier en l’entendant rire comme il y a longtemps que je ne l’avais entendue. Tout se précisait : tout devenait de plus en plus beau entre elle et moi. Le final allait être un feu d’artifice.

Je trainais mes pieds jusqu’ au salon, ouvrant les baies pour faire rentrer le soleil. Quand je vis les chiens de la veille, le nez en l’air allant de long en large devant la maison, j’eu l’impression que mes jambes se dérobaient sous moi.

Ils étaient revenus et aujourd’hui ils étaient trois, dont le gros marron qui m’avait faite tomber et faite jouir sur le trottoir. Ne pouvant détacher mon regard de celui qui m’avait tant excitée, le corps tremblant, je cherchais mon souffle essayant de penser à autre chose qu’à l’envie qui commençait à me tarauder le ventre. Cette envie d’aller le voir, de recommencer comme hier mais d’aller jusqu’au bout cette fois. Je me devais de rentrer, la tentation était trop grande en plus Maman était là et j’en serais pour mes frais.

Je voulais qu’elle les voie, qu’elle se rende compte par elle même, lequel avait failli me saillir. J’étais persuadée qu’elle le trouverait beau.

— Maman !!!!!!!! Tu peux venir ? Monte vite

— Pourquoi faire ? Je n’ai pas fini ! C’est urgent ?

— Oui ! monte s’il te plait, après il sera peut être trop tard .

Je l’entendis monter, Mambo la collant aux fesses. Ils ne se quittaient pas tous les deux.

— Où es-tu ?

— Ici dans le salon ! Viens, je vais te faire voir quelque chose : lui dis je en lui tendant la main. Maman, regarde ! Ils sont là, les chiens sont là, devant chez nous.

Elle s’était approchée de moi, tout contre moi, ses mains posées sur mes épaules. Dans sa précipitation pour me rejoindre, elle ne s’était pas rendue compte que son peignoir était ouvert et je pouvais sentir les poils de son sexe contre le haut de mes fesses nues. Faut dire que ce n’était pas mon tee shirt que j’avais sur moi qui pouvait l’empêcher.

Quand elle aperçut enfin les chiens, ses doigts se mirent à me serrer de plus en plus fort et comme lorsque je lui parlais de Mambo, sa respiration s’était intensifiée.

— Maman, je n’en reviens pas ! Tu crois que c’est pour moi qu’ils sont là. Tu crois qu’ils attendent que je sorte pour recommencer? Et aujourd’hui, il y en a un de plus.

— Mais non ma chérie ! ils doivent encore sentir les phéromones de la chienne. Malgré que tu te soies bien lavée, ils ont un odorat terrible. Ils sentent encore, c’est fou. Et celui qui a failli te violer, il est là ?

— Oui ! c’est le marron, celui qui regarde vers nous en ce moment.

— Mon dieu comme il est gros ! Et bien tu as eu de la chance de pouvoir lui échapper. Mais regarde celui qui est jaune, enfin presque jaune, il est encore plus gros. Heureusement que ce n’est pas celui là ! Je n’ose même pas imaginer ce qui te serait arrivée ma chérie

Je sentis son corps s’alourdir contre moi quand elle me parla de lui. Sa voix était devenue plus rauque, plus sensuelle et elle ne fit rien pour se retenir. Son ventre bougeait et son sexe s’appuyait de plus en plus contre mes fesses. Je la sentais frémir, elle en avait envie j’en étais certaine.

— Tu crois qu’il m’aurait fait du mal s’il y était parvenu ?

— Surement ! Tu as vue comme il est gros, bien plus que l’autre, bien plus que Mambo.

A fond dans ses pensées, elle ne se rendit pas compte qu’elle me parlait normalement de moi et du chien, comme si tout cela était normal. Mes fesses en cadence répondaient à son ventre qui bougeait de plus en plus contre mes reins. Je pris ses deux mains pour les poser sur mes seins qu’elle caressa doucement.

— Il est beau tu ne trouves pas ? Lui demandais-je, me retournant, la regardant droit dans les yeux.

— Lequel ?

— Le mien ! Celui qui voulait me monter !

— Oui très beau ! Mais l’autre n’est pas mal non plus, tu ne trouves pas ?

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