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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 6




La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 6)

Avant de revenir au Château de Maître Sir Evans, un aperçu de l’esclave femelle E46MSE, cadeau du Marquis à Son Ami le Comte.

… Tandis que la soirée se poursuivait dans le plus débridé des libertinages, les trois esclaves vaincus de Maître Sir Evans furent repris en laisse par Walter et entraînés loin de la fête… épuisés et endoloris dans la moindre partie de leur anatomie, ils allaient retourner au château où des nouvelles épreuves les attendaient.

Mais tandis que Le Marquis d’Evans prenait une part active à la fête qui commémorait l’anniversaire de Son cher Ami le Comte, l’esclave femelle E46MSE avait été entraînée par deux servantes loin des bruits et de l’excitation générale.

Une fois à l’écart, elles retirèrent l’épais bouquet de roses qui ornait douloureusement l’anus de 46. Elles l’aidèrent à se redresser et la tenant toujours en laisse, l’emmenèrent par un couloir qui s’éloignait de la salle de bal.

Les deux servantes entraînèrent l’esclave46 le long de tortueux couloirs, puis lui firent descendre un étroit escalier. Là, au bas de cet escalier s’ouvrait une assez vaste salle d’où se dégageait une chaleur moite et parfumée.

L’esclave46 fut entraînée dans une sorte de brume dont émanait le parfum capiteux du jasmin et soudain, tandis que la brume s’estompait, elle découvrit une salle entièrement carrelée, au centre de laquelle se trouvait une sorte de piscine circulaire.

Elle y fut entraînée par les deux femelles qui lui enlevèrent son collier. Epuisée par les épreuves, E46MSE sentait avec bonheur la chaleur de l’eau dans laquelle on l’avait faite entrer et qui lui arrivait un peu au-dessus du genou. elle avait perdu toute notion du temps et de l’espace. la chaleur la soulageait, mais l’enivrait aussi…

Elle se tenait immobile, les bras ballants, ne sachant pas à quoi s’attendre. Elle sentit alors une douce sensation entre ses cuisses… et sur ses épaules. les deux servantes s’étaient munies d’une sorte de brosses en caoutchouc et avaient commencé à l’étriller.

Elles s’appliquaient à frotter la peau, exactement comme lorsqu’on panse une jument après l’effort. les deux femelles au service du Comte s’occupaient avec beaucoup d’attentions d’E46MSE. Elles lui versaient de l’eau chaude sur les cheveux, sur le corps…

Elles épongeaient son corps meurtri, sans se priver de laisser s’égarer leurs mains jusqu’au plus intime de l’esclave. Des doigts fins et attentionnés se glissaient entre ses cuisses… s’y attardaient jusqu’à la faire mouiller abondamment, malgré la fatigue et les douleurs passées.

Les deux servantes l’effleuraient tout en la lavant des pieds à la tête. Elles se comportaient avec dévouement, mais aussi avec une perversité consommée qui faisaient trembler d’un désir jamais totalement assouvi les cuisses et les jambes de l’esclave46. Elle n’était pas seulement "lavée", elle était "récurée" et l’agréable sensation de propreté qui la gagnait se doublait du sentiment d’être fouillée de la plus impudique des façons.

Mais elle savait qu’elle était le cadeau offert par son Maître Le Marquis d’Evans a Son très cher Ami Le Comte et qu’elle devait pendant une semaine entière se plier aux volontés de ce dernier comme elle savait si bien le faire pour toutes les exigences de son Seigneur et Maître habituel.

Après sa toilette, E46MSE sut sortie de la piscine et les deux servantes entreprirent de la sécher et de l’enduire d’un léger voile d’huile parfumée dont les effluves à la fois la réveillaient et faisait monter en elle une sorte de chaleur intérieure.

Elle fut ainsi entièrement couverte d’un fin voile d’huile parfumée, puis un gel frais de la même fragance vint enduire les chairs intérieures de ses orifices. Cette longue toilette l’avait reposée et elle était sûre que les divers produits avaient à la fois un effet revigorant et aphrodisiaque; car elle sentait maintenant comme une chaleur qui envahissait lentement son bas ventre, lui causant comme une sensation intense de besoin d’être prise au plus profond de son intimité…

Un fin collier de chaînettes d’or fut alors fixé à son cou, tandis que des pinces étaient fixées à ses tétons, reliées par une autre chaînette qui descendait ensuite sur son ventre et se terminait par un bijou où pendait une clochette. Ensuite, une fine ceinture de maillons d’or fut fixée à sa taille, à laquelle pendaient sept autres clochettes. A chaque mouvement, on entendait ces clochettes qui tintaient légèrement. il lui était impossible de faire le moindre mouvement sans que les clochettes le signalent…

C’est ainsi qu’elle fut prise en laisse et dut à nouveau suivre les deux servantes qui lui firent cette fois gravir les escaliers dans l’autre sens. gênant au début, le son des clochettes à chacun de ses pas accompagnait maintenant ses mouvements avec un son plutôt agréable.

A nouveau, elle entendait la musique de la salle de bal qui se rapprochait. Deux grandes portes s’ouvrirent et elle

découvrit une scène particulièrement torride.

La fête n’avait plus aucune retenue, les corps nus étaient désormais emmêlés et on ne différenciait les esclaves des Invités qu’aux fraîches traces de flagellation qui ornaient leurs corps offerts à de multiples jeux des plus pervers. Ici, une servante était comme embrochée par Deux Dominants qui la pénétraient l’un par la bouche, l’autre par le cul… Là, un serviteur était allongé sur le sol et les Dames venaient Une à Une faire nettoyer leur sexe par sa bouche, tandis que d’autres s’amusaient de son sexe et de ses couilles bondagées et violacées. En plusieurs points de la pièce, des esclaves étaient fouettés ou pénétrés par divers objets…

E46MSE vit que son vénéré Maître, Le Marquis d’Evans, avait quitté la fête, tandis que Le Comte avait repris place sur son trône et observait son entrée…

Elle fut menée vers le centre de la pièce où un petit piédestal avait été installé et sur lequel on la fit grimper. Malgré l’extrême tension qui régnait dans la pièce, le brouhaha avait baissé d’un cran et nombreux étaient ceux qui l’observaient.

E46MSE fut installée sur le piédestal, à la vue de Tous. On lui fit prendre une pause figée, une jambe droite, l’autre légèrement avancée et ouverte afin d’offrir une parfaite vision de son sexe rose et humide. On lui fit joindre les mains dans le dos et elle sentit le métal de fines menottes se refermer sur ses poignets. Enfin, on lui fit redresser le menton, afin de bien dégager sa poitrine qui saillait… Une servante lui expliqua alors :

— "Tu dois rester immobile désormais. Le Comte veut que tous puissent apprécier ta plastique et l’envier pour tout ce qu’il va pouvoir te faire subir au-cours de la semaine à venir… Nul ne te touchera, tu es exposée, offerte aux regards, mais intouchable sauf par le Maître. Mais tu dois demeurer parfaitement immobile… je vais rester auprès de toi et je guetterai le tintement des clochettes. Si j’en entends une je comptabiliserai et tu seras punie autant de fois que les clochettes auront tinté. C’est là la première de tes servitudes pour combler Le Comte. Chaque jour qui passera, Il enlèvera une clochette de ta ceinture. Lorsque la semaine s’achèvera, si tu as su Le combler, toutes les clochettes auront disparu et tu pourras alors retourner vers ton Maître avec fierté. Si tu les déçois… tu devras en subir les justes conséquences"…

Alors que l’esclave femelle E46MSE demeurait entre les mains expertes et perverses Du Comte, les autres esclaves Du Marquis d’Evans étaient ramenés au château par Walter et deux de Ses hommes à tout faire.

Entravés et poussés sans ménagement à l’arrière d’une camionnette, les trois chiennes E12MSE, E22MSE et E69MSE n’en menaient pas large. Jetés au sol, sous la garde des deux hommes de main dont ils savaient tous le plaisir qu’ils prennent à tourmenter les esclaves, ils étaient ballotés de ci – de là sur le plancher du fourgon. Lorsqu’ils roulaient un peu trop, la rude semelle d’une ranger boueuse venait bloquer leur corps avec rudesse et les repoussait brutalement vers le centre du véhicule.

Ils avaient les poignets liés dans le dos, la corde passant entre leurs fesses, puis faisant un tour autour de leurs couilles, les enserrant pour remonter ensuite et venir s’accrocher à l’anneau de leurs colliers de chiens.

Les cordes avaient été tendues, de telle sorte qu’ils devaient garder le cou incliné pour éviter de trop tendre la corde qui, autrement, devenait peu à peu douloureuse en s’immiscant dans leur raie et en serrant plus encore leurs couilles entravées.

C’est ainsi, secoués, repoussés à coups de pieds avec une dureté souvent appuyée, qu’ils furent ramenés jusqu’au château, l’esprit quelque peu effrayé par leur avenir et le corps meurtri à des degrés divers par les épreuves qu’ils avaient affrontées tout au long de la soirée.

Dans un dernier cahot, le fourgon s’immobilisa après un temps dont ils n’avaient aucune notion. Les portes arrières s’ouvrirent dans un grincement de tôle et c’est encore à coups de pieds qu’ils furent repoussés vers l’extérieur par leurs deux gardiens qui prirent un malin plaisir à voir leurs maladroites tentatives pour trouver un équilibre, avant de chuter à bas du véhicule, dans la terre boueuse du chemin.

Le fourgon était arrêté à une dizaine de mètres de l’arrière du château de Sir Evans. Walter et les gardiens avaient pris en mains leurs cravaches et leur indiquaient la direction des communs, sur l’arrière de la noble bâtisse, où brillait encore une lumière malgré l’heure avancée de cette interminable nuit.

C’est en rampant sur le sol, dans la terre humide et la poussière que les trois esclaves durent avancer vers la porte… Une première tentative pour se redresser un peu ayant été sévèrement stoppée par plusieurs coups de cravache dont le sifflement dans l’air avait définitivement effrayé les trois esclaves craintifs.

Des crachats et des coups de pieds appuyés avaient accompagné la progression servile des trois vers la porte…

Mais tandis que E12MSE et E22MSE rampaient à l’intérieur, un pied vint s’écraser sur les reins de E69MSE, l’écrasant au sol…

— "Toi tu ne vas pas par là", dit la voix grave et froide de Walter

— "Tu as été le plus indigne de ce trio de cloportes, tu vas donc subir les conséquences de ton incompétence et payer le prix de la déception de ton Maître".

Walter obligea E69MSE à se redresser en lui tirant violemment les cheveux et le força à le suivre en le tirant ainsi, la douleur de la pression sur les cheveux s’ajoutant à la gêne douloureuse de la corde qui tailladait ses chairs les plus sensibles et au cuisant souvenir du traitement subi chez Le Comte, qui avait laissé son cul violacé et strié d’estafilades sanguinolentes.

Les deux gardes accompagnait Walter et l’esclave69 qui pensait d’abord être ramené à sa stalle d’esclave dans la grange. Mais ils dépassèrent celle-ci, pour avancer encore dans le parc. Walter tenait fermement les cheveux et obligeait E69MSE à progresser au petit trot rendu difficile par les liens qui lui enserraient les couilles et frottait la peau fine et fragile de la raie de son cul.

Ils arrivèrent devant un bâtiment qui servait d’abri aux gardes. Une dépendance qui servait autrefois d’abri de chasse et avait été aménagée pour l’accueil et le repos des gardes lorsqu’ils n’étaient pas de service au château.

Walter jeta E69MSE sur le sol, au seuil de la petite maison, provoquant un mauvais rire de la part des deux gardes. E69MSE se mit prestement en position d’esclave, le visage cloué au sol, les reins cambrés et la croupe relevée… Il savait que ses épreuves n’avaient même pas commencé.

— "Nous y voilà, commença Walter. Le Noble Seigneur d’Evans ne veut plus entendre parler de toi pendant au moins une semaine. pendant que la femelle E46MSE fait honneur à son dressage d’esclave auprès du Comte, toi tu vas subir le traitement destiné aux chiennes les plus méprisables. pendant cette semaine, tu seras le jouet des gardes. Ils ont tous pouvoirs sur toi, en toutes choses. Tout ce qui leur est demandé, c’est de ne pas mettre ta santé en danger. Hors de cette unique obligation, ils peuvent faire de toi tout ce qu’ils veulent, de traiter comme bon leur semblera, user de toi en pleine propriété. Donnes leur satisfaction et ton Maître envisagera peut-être une révision de ton statut. Mais jusqu’à nouvel ordre tu resteras ici…"

Et, après avoir craché sur le corps nu et sale de l’esclave, Walter s’en alla, abandonnant E69MSE prosterné et entravé, sous le regard goguenard et satisfait des deux gardes.

Les deux hommes fort robustes empoignèrent E69MSE par les bras et le portèrent alors littéralement à l’intérieur de leur abri. L’intérieur était agréablement décoré, fauteuils moelleux, tapis épais, cheminée, les murs étant décorés de trophées de chasse et d’instruments et armes divers. A l’extérieur, on entendait des chiens aboyer à tout va, sans doute excités par le retour de deux de leurs maîtres.

Dans une pièce voisine trônait une épaisse et longue table de bois épais. C’est là que les deux hommes portèrent E69MSE. Ils le posèrent contre la table, la tête et la poitrine sur l’épais plateau de bois, la croupe et les jambes offerts, les pieds touchant à peine le sol. L’un des deux hommes sortit un couteau de l’étui qui pendait à sa ceinture et coupa la corde qui entravait les poignets et les couilles de l’esclave.

Cette "libération" n’eut même pas le temps de soulager E69MSE dont les cuisses furent brutalement écartées libérant ainsi le chemin vers son anus déjà endolori et élargi par le traitement subi chez Le Comte. Sans lui laisser le moindre répit, l’un des deux hommes posa son gland contre sa rondelle et d’un coup sec poussa violemment, s’enfonçant dans son fondement d’un coup sec et profond. L’esclave69 ne put retenir un gémissement qui fut immédiatement ponctué d’une claque sur la nuque …

— "Ta gueule salope ! t’es ici pour être notre pute et notre chienne et on veut pas t’entendre !"

La voix rude et rocailleuse n’admettait aucune réplique, E69MSE se mordit alors les lèvres jusqu’à sentir le goût du sang dans sa bouche, tandis que le garde l’enculait violemment, faisant aller et venir son sexe épais dans son anus en alternant les violents coups de boutoir et des moments plus ralentis à l’occasion desquels il s’appliquait à s’enfoncer au plus profond du cul de l’esclave qui était comme anesthésié par tout ce qu’il avait enduré en si peu d’heures. Le premier homme avait à peine déchargé abondamment sur les fesses de E69MSE que son compagnon prenait déjà le relais et limait méthodiquement l’esclave tandis que le premier venait tapoter la nuque de l’esclave …

— "Mhhh, pas mal, tu seras une bonne petite pute. on va t’en faire voir !" et il partit dans un long rire gras…

Lorsque les deux hommes en eurent terminé, ils firent mettre E69MSE à genoux afin qu’il nettoie leurs sexes avec sa bouche. Si le premier semblait fatigué, cette nouvelle position excité grandement le second qui, pris d’une nouvelle érection imposa une fellation profonde à l’esclave, s’enfonçant entre ses lèvres et dans sa bouche jusqu’à quasiment l’étouffer, avant de décharger à flots épais dans le fond de sa gorge. Enfin soulagé, il passa une corde dans l’anneau du collier de E69MSE et c’est ainsi tenu en laisse que l’esclave fut ramené à l’extérieur.

La nuit avancée était douce, l’extrémité de la corde fut donc attachée au tronc d’un petit arbre qui poussait à deux mètres de la porte afin que l’esclave69 y passe la nuit. Ses gardiens posèrent une gamelle remplie d’eau à côté de lui et il but avidement en lapant cette eau fraîche, profitant de ce court temps de répit. La semaine n’était même pas commencée, on ne reverrait plus E69MSE au château avant plusieurs jours. C’est là bas que la vie continuait pour les autres esclaves de Maître Sir Evans.

Un frêle soleil se levait sur le château de Sir Evans. le chant de quelques oiseaux encore mal réveillés égayant quelque peu le petit matin brumeux. La grande et noble bâtisse semblait encore endormie. Pourtant, dans ses entrailles, tout un petit monde servile et dévoué s’agitait déjà.

Tandis que Le Marquis d’Evans profitait encore de la douce chaleur de son vaste lit à baldaquin, dans la profonde obscurité assurée par d’épais rideaux de velours pourpre, plusieurs esclaves étaient déjà à la tâche.

Dans la cuisine Marie, qui régnait en véritable despote sur ce lieu stratégique du château, avait à Sa disposition deux esclaves mâles entièrement nus qui s’affairaient à pétrir la pâte qui allait donner pain et viennoiseries. E43MSE et E06MSE oeuvraient en silence, les yeux baissés sur leur ouvrage, sous la surveillance d’Une Cuisinière dont ils savaient qu’Elle ne laisserait pas passer le moindre défaut dans leurs préparations.

Elle arpentait la pièce, Son regard acéré posé sans indulgence sur les deux chiens dont Elle avait déjà cravaché les fesses lorsque l’esclave43 avait fait chuter une assiette qui s’était brisée avec fracas sur le sol de dalles en pierre.

Le fautif, d’ailleurs, savait que les traces cinglantes qui marquaient sa croupe n’étaient qu’un "hors d’oeuvre" et qu’il devrait plus tard répondre de sa faute de la plus sévère des façons. Marie n’avait aucune indulgence pour les esclaves maladroits. Elle exigeait de ceux qui servaient sous Son autorité l’application et le dévouement les plus absolus.

Les deux esclaves avaient eu au petit matin droit à une collation de lait et de pain trempé, absorbés dans les gamelles posées à même le sol devant la grande cheminée, assez vaste pour accueillir un agneau entier. Puis ils s’étaient mis au plus vite à l’ouvrage, car leur Maître, Le Marquis d’Evans et Ses Hôtes devraient disposer d’un petit-déjeuner consistant et de qualité lorsqu’Ils descendraient à la salle-à-manger.

Dans la salle-à-manger, justement, c’est sous la surveillance de Walter que trois autres esclaves s’affairaient afin que la salle soit disposée au goût affirmé Du Maître des lieux. La pièce était l’une des plus "intimes" du château. Située au rez-de-chaussée, elle n’avait que deux fenêtres et une cheminée… Le sol de grandes dalles, comme partout ailleurs, était recouvert d’un épais tapis qui ne laissait autour qu’un espace d’un mètre environ. Il supportait une vaste table de bois sombre ciré, décoré d’un chemin de table en dentelle beige portant Le Monogramme de La Noble Famille d’Evans.

Au centre, un imposant chandelier d’argent supportait des bougies également beiges, légèrement parfumées à la cannelle, qui étaient changées tous les jours.

Entre les deux fenêtres, un long buffet servait de plateau sur lequel seraient disposés les divers plats destinés au petit-déjeuner Du Maître et de Ses hôtes. Tandis que le mâle E08MSE frottait le sol, deux femelles, E04MSE et E75MSE usaient de chiffons doux afin de faire disparaître la moindre trace de poussière, contre laquelle il est si difficile de lutter dans les grandes bâtisses anciennes. Tandis que l’une appliquait une fine couche de cire sur le buffet, l’autre femelle avait été distraite un instant de sa tâche pour venir soulager une belle érection matinale du Majordome. Walter avait dégrafé la braguette de son pantalon et claqué des doigts. Immédiatement, la chienne E04MSE avait posé son chiffon pour immédiatement venir à quatre pattes se positionner à genoux et, mains jointes dans le dos, offrir ses lèvres charnues et sa bouche humide…

Les esclaves étaient ainsi dressés, qu’ils savaient par pur réflexe quel type d’attitude et d’actes ils devaient accomplir au moindre geste Du Maître ou de Son entourage.

Walter avait saisi une touffe de cheveux sur la nuque de l’esclave et la maintenait ainsi tandis qu’elle Le suçait. la chienne n’opposait aucune résistance et bien qu’elle eut du mal à trouver de l’air, elle recevait au plus profond de sa gorge la queue dure et tendue qui heurtait avec violence le fond de son palais. Dans un râle, Walter laissa échapper le flot épais de sa jouissance tout en maintenant fermement la tête de E04MSE. Lorsqu’il en eut assez, il la repoussa sans ménagement et tandis qu’elle allait reprendre son travail, il la gratifia d’un coup de pied pour la faire avancer plus vite :

— "Allez chienne ! Et redoubles d’efforts après cette pause que je t’ai accordée !" et il rit…

Pendant ce temps, assez loin de là, l’esclave E46MSE vivait également les premières heures d’un nouveau jour. Déjà, trois grelots avaient disparu de la fine chaîne qui enserrait sa taille, symbolisant chacune le passage d’une nouvelle épreuve imposée par son Maître temporaire, Le Comte, dont elle constituait le cadeau d’anniversaire.

Ce matin, alors qu’elle somnolait sur le sol de sa minuscule cellule, le bruit des gonds rouillés de sa cellule l’avait réveillée. Comme chaque jour depuis que Sir Evans l’avait livrée à Son Ami Le Comte, elle avait immédiatement pris la position apprise au fil de son dressage.

Prosternée, visage au sol, les bras étendus au devant de son corps, les reins cambrés et la croupe relevée… C’est ainsi qu’elle attendait que la servante qui venait la chercher déverrouille la lourde chaîne qui la maintenait au mur nu du lieu où elle était maintenue lorsqu’elle ne servait pas. La servante venue la chercher ne prononçait jamais un mot. elle fixait une courte laisse à son collier de chienne et l’entraînait hors de la cellule pour l’amener là où le Comte voulait l’avoir à Sa disposition, pour une nouvelle étape.

Auparavant, toutefois, elle était menée dans une petite salle de bains où une jeune esclave l’attendait afin de lui f ire sa toilette. Car depuis qu’elle était chez le Comte, E46MSE n’avait plus de gestes autonomes. Même lorsqu’elle n’était pas entravée, elle avait ordre de ne jamais (sauf ordre contraire) se servir de ses mains. Elle devait n’être qu’un objet, sans aucune latitude. Elle était menée partout en laisse, on la lavait, on la nourrissait même comme un bébé : elle se tenait à genoux aux pieds Du Maître qui lui accordait parfois du bout des doigts quelques restes de Son assiette.

Lorsqu’il mangeait à l’extérieur, elle était nourrie à la cuillère, d’une bouillie brunâtre, fade mais nourrissante, découvrant à quel point cette forme d’infantilisation pouvait s’avérer aussi humiliante que l’obligation de laper son repas dans une gamelle, comme l’esclave-chienne qu’elle était chez son Maître vénéré Sir Evans.

Après avoir été lavée, ce fut cette fois dans une vaste pièce nue, où seul un poteau d’acier partait du plancher pour rejoindre le plafond, qu’elle fut menée. On la força à se redresser et son poignet fut fixé au poteau par une menotte dont le deuxième anneau était fixé au poteau. elle dut attendre là de longues minutes, sachant qu’elle devait se montrer de la plus extrême immobilité afin d’éviter le moindre tintement des quatre grelots qui pendaient encore à la chaîne de sa taille.

Enfin, la porte à double-battant s’ouvrit, deux esclaves femelles ouvraient la marche et vinrent s’installer à genoux, à environ deux mètres de E46MSE et du poteau auquel elle était menottée. derrière venait Le Comte installé sur une chaise à porteur soutenue par quatre serviteurs aussi nus que musclés, aux corps huilés, qui ne portaient pour tout vêtement qu’un lourd cadenas fixé à la base de leurs testicules.

Lorsque la chaise Du Comte fut installée face au poteau de l’esclave46, Il frappa dans ses mains et une musique lascive au rythme lancinant s’éleva on ne savait d’où. Le Comte n’eut besoin que d’un geste pour que E46MSE comprenne qu’elle devait danser. Elle commença donc à effectuer quelques mouvements, faisant retentir ses clochettes, jouant même de ce son supplémentaire et faisant rouler ses hanches et saillir sa croupe sous le regard impassible Du Comte et des esclaves mâles et femelles qui le la quittaient pas des yeux.

E46MSE dansait sur la musique venue de nulle part, ondulant son corps et parvenant à prendre les poses les plus suggestives malgré la gène de la menotte qui limitait grandement ses possibilités de déplacement. Mais elle savait que c’était surtout dans sa façon de faire bouger son corps et de s’exposer aussi largement que possible qu’elle mériterait peut-être que Le Comte, s’Il était satisfait, enlève à nouveau un grelot de sa ceinture, réduisant ainsi le temps

qui la séparait de ce qu’elle espérait tant : le moment de retourner au château de son Maître, son seul vrai Maître, Le Marquis d’Evans.

Alors que la chienne 46 dansait, sur un geste du Comte un esclave mâle quitta son immobilisme et se déplaçât vers elle. il commença à danser autour d’elle, en prenant à son tour des poses lascives, mais avec plus de liberté puisqu’il n’était pas menotté. Peu à peu il se rapprochait d’elle, la frôlait… Le serviteur semblait habitué car ses gestes était d’une extrême précision et c’est avec élégance qu’il finit par être collé au corps d’E46MSE.

Leur danse devenait de plus en plus impudique, le serviteur exhibant désormais une érection impressionnante. Il avait saisi entre ses mains le corps de l’esclave et la faisait bouger à son gré, jusqu’à la mettre en position cambrée, le visage face au poteau, le corps à l’équerre avec la croupe parfaitement offerte et accessible. Tout en ondulant, l’esclave mâle vint se positionner derrière E46MSE et son sexe tout aussi huilé que le reste de son corps glissa sans aucune difficulté dans le sexe déjà partiellement lubrifié de l’esclave46… Il commença à la baiser tout en poursuivant son déhanchement… il la baisa ainsi longuement, avant de se retirer mais juste l’espace d’un instant et de l’enculer tout aussi brusquement, ayant préparé la rosette de la jeune femelle en la doigtant tandis qu’il la baisait.

La danse se poursuivit ainsi si longuement que E46MSE avait perdu toute notion du temps. Lorsque, après de longues et profondes pénétrations, le serviteur avait donné quelques signes de fatigue, il avait été remplacé par un autre et ainsi de suite, jusqu’à ce que les quatre serviteurs mâles Du Comte aient épuisé toutes leurs énormes ressources.

Et lorsqu’ils s’étaient retirés, vidés à tous les sens du terme, tandis qu’E46MSE dégoulinait de foutre par ses deux trous les plus intimes, ce sont les deux femelles qui avaient pris le relais… jusqu’à entendre les râles épuisés et désespérés de l’esclave46, qui avait perdu toute notion de l’espace et du temps.

Alors que, tremblante de tous ses membres, elle tenait à peine debout, E46MSE avait enfin été libérée de ses menottes et poussée jusqu’au Comte qui d’un geste sec avait arraché un nouveau grelot avant de la renvoyer en cellule. Epuisée, comme ivre, E46MSE se laissa couler dans le sommeil. Elle s’abandonnait au sommeil où dans ses rêves d’esclave, elle était déjà revenue aux Pieds de son seul Maître, Le Marquis d’Evans…

Dans la salle à manger, les esclaves avaient enfin terminé la mise en place. La femelle E04MSE avait été mise au coin en attendant qu’elle soit utilisée pour faire le service et le mâle avait été renvoyé en cuisine où Marie La Cuisinière ne manquerait pas de lui trouver quelques tâches supplémentaires à effectuer. Quant à l’autre femelle, la jeune E75MSE, Walter avait fixé une laisse à son collier et l’avaient entraînée hors de la pièce. L’heure tournait et venait le moment d’aller réveiller Le Maître avec toute la déférence due à Son rang. Walter avançait d’un bon pas dans les couloirs du château, menant E75MSE qui le suivait à quatre pattes, tenue court en laisse… Elle avançait avec un léger déhanchement qui mettait en valeur sa jeune croupe ferme.

Walter l’entrainait à travers les longs couloirs de La Noble Bâtisse, dont les murs étaient décorés de tapisseries anciennes représentant des scènes inspirées notamment des oeuvres d’Un Autre Marquis bien connu… Le Marquis de Sade. On pouvait y voir diverses scènes inspirées des ouvrages Du Divin Marquis, dont Le Sire d’Evans possédait dans Sa riche bibliothèque quelques éditions de grande valeur. E75MSE suivit docilement Walter dans le grand escalier qui menait vers les étages, là où se trouvait la chambre Du Marquis d’Evans et les chambres d’amis…

Arrivé sur le palier, Walter mena E75MSE jusque devant la lourde porte de chêne et frappa deux coups avant de pousser l’huis et de pénétrer dans la chambre, tandis que E75MSE attendait, à quatre pattes, le visage collé au sol, reins cambrés et la croupe bien relevée, en position d’éternelle offrande. La chambre était toujours plongée dans un pénombre empourprée par les épais rideaux. Walter s’avança et commença à écarter les lourds rideaux de velours, permettant à la douce lumière matinale d’inonder la vaste pièce. Dans Son lit, Maître Sir Evans appréciait cette douce lueur qui annonçait l’heure de Son lever.

— "Monseigneur, je Vous souhaite un bon lever et une délicieuse journée" dit Walter avec déférence.

Sir Evans sourit, cette journée s’annonçait fort agréable…

— "Il fait fort beau Monseigneur… la femelle75 est à Votre disposition s’il Vous agrée", poursuivit Walter

— "Qu’elle entre" répondit Le Marquis d’Evans qui se sentait d’humeur joueuse.

Walter n’eut qu’à claquer une fois des doigts pour qu’E75MSE entre à quatre pattes dans la pièce et vienne se poster sur le côté du lit, à portée de son Maître, reprenant immédiatement sa position d’esclave offerte. Sir Evans avait suivi avec satisfaction l’évolution de la jeune chienne. elle progressait avec élégance, les reins légèrement creusés, les fesses bien hautes, faisant discrètement rouler ses hanches. Sir Evans s’assit sur le bord du lit et posa ses pieds au creux des reins de l’esclave. Un pied vint se poser sur la nuque et l’obligea à abaisser son visage jusqu’au sol, appuyant juste assez pour lui imposer de demeurer ainsi le visage plaqué au sol. De Son autre pied, Le Marquis allait et venait sur les fesses rondes, avant de venir entre les cuisses, les forçant à s’écarter un peu plus, afin de glisser son gros orteil dans les chairs humides de la femelle. Sir Evans sentit avec satisfaction que l’esclave mouillait abondamment… Il appréciait qu’au plus profond de l’humiliation, Ses esclaves ressentent toujours le désir profond de Lui appartenir sans aucune limite. l’appartenance ne devait pas se limiter à la soumission à La Volonté Du Maître, mais être magnifiée par le désir, l’espoir toujours présent d’être utilisé sans réserves.

— "Cette chienne mouille fort bien" constata-t-il satisfait… "Sans doute désire-t-elle que son Maître la possède. J’imagine que ce serait une belle façon d’entamer cette journée" dit Sir Evans tout en s’étirant.

— "Nul doute qu’elle aspire à un tel honneur Monseigneur" approuva Walter, "C’est une bonne petite chienne et même une vraie catin"

Sir Evans se pencha un peu vers E75MSE et lui saisit les cheveux à pleine main :

"Est-ce vrai ? Tu es une catin ?" Il força E75MSE à Le regarder… Dans les yeux de le femelle brillait un désir profond. Ses lèvres étaient humides, sa bouche entr’ouverte. Comme elle tardait, une gifle appuyée vint s’abattre sur sa joue

"J’ai posé une question, chienne !" lança Maitre Sir Evans

La lèvre légèrement tremblante, E75MSE se reprit rapidement :

— "Oui Maître, je suis une catin… je suis Votre esclave, je Vous appartiens corps et âme et Vous disposez de moi comme bon Vous semble… Merci de faire de moi ce que je suis, Maître, une catin docile et prête à tout pour Vous combler"..

Sir Evans relâcha la pression sur les cheveux et caressa sa nuque qui s’était immédiatement inclinée.

— "C’est bien…" Il se saisit de la dragonne et tira sur la laisse, obligeant l’esclave à Le suivre. Il la mena jusqu’à la fenêtre qui s’ouvrait sur le parc du château, offrant une vue magnifique sur la vaste pelouse et la piscine avec au loin, les bois qui couvrent l’immense domaine Du Marquis. Le Maître tira sur la laisse de telle façon que E75MSE fut obligée de se redresser et Il la força à s’installer avec les coudes sur le rebord de la fenêtre, le regard plongé sur cette vue magnifique que les esclaves avaient si rarement l’occasion de contempler, confinés qu’ils étaient aux entrailles du château.

D’une main, Sir Evans écartait les cuisses de son esclave. Ses doigts fouillaient l’intimité humide de la chienne, s’enfonçant entre les chairs fragiles, s’insinuant dans les orifices offerts… Le pouce Du Maître s’était glissé dans l’anus de la femelle, tandis que ses doigts titillaient la chatte humide… Discrètement Walter s’était éclipsé afin d’aller réveiller les hôtes Du Seigneur d’Evans. E75MSE s’offrait docilement à son Maître, son regard s’égarait vers le décor champêtre tandis que Sir Evans poussait maintenant son sexe sur les bords de son sexe et s’y enfonçait aisément, tant elle mouillait de désir et d’excitation mêlés. Sir Evans enfonça Son sexe jusqu’à la garde et commença à baiser l’esclave avec de violents à-coups… Le soleil venait envelopper les deux corps d’une douce lumière et Sir Evans avait saisi les cheveux afin de forcer sa chienne à se cambrer plus encore tandis qu’il la pénétrait et la baisait longuement, profondément… Le Marquis se sentait en parfaite harmonie avec cet environnement créé et composé par Sa Famille au fil des siècles. Ici Il se sentait parfaitement serein, comblé par l’ambiance des lieux et par l’absolue docilité de son esclave.

Il baisait E75MSE comme au premier matin du monde. elle n’était rien d’autre qu’un lien avec le monde idéal que Le Marquis avait su créer autour de Lui, de Sa Personne, de Son Pouvoir. Tout en allant et venant au plus profond de l’intimité de son esclave, Sir Evans avait commencé à lui claquer les fesses. Chaque coup de rein s’accompagnait d’une claque appuyée et la croupe rougissait régulièrement. E75MSE subissait cette fessée avec le silence et la docilité d’une esclave parfaitement dressée. Les seins de la jeune femelle tremblaient doucement, au rythme des coups de boutoir qui secouaient son corps réduit à l’état d’objet promis à combler les moindres désirs de son Maître.

Finalement, Le Maître jouît abondamment tout en appliquant une ultime claque sur la croupe docile. Immédiatement, il força E75MSE à se tourner et à s’agenouiller afin qu’elle offre sa bouche Au Plaisir de son Maître. Elle La reçut jusqu’au fond de sa gorge et avala jusqu’à la dernière goutte, avant de nettoyer soigneusement Le Sexe qui venait de la fouiller et de la posséder. Pour Maître Sir Evans, cette journée débutait décidément fort bien…

Dans la maisonnette des gardes, E69MSE s’affairait dans sa fonction… Enchaîné au pied d’un arbre à proximité du bâtiment, il avait été réveillé comme chaque jour par un seau d’eau jeté sur lui. Détaché, il avait été poussé jusqu’à la maison par les coups de pieds d’un garde. A l’intérieur, les Hommes commençaient à se réveiller et échangeaient des plaisanteries grivoises. L’arrivée de l’esclave puni fut accueillie avec satisfaction. Depuis qu’il leur avait été confié afin de châtier sa lamentable prestation chez Le Comte, ils en avaient fait le jouet de toutes leurs perversions.

A quatre pattes, E69MSE s’avançait vers le coin cuisine afin de préparer la collation de ceux qui le tourmentaient tout au long de la journée. Mais deux jambes nues s’interposèrent brusquement. Immédiatement, l’esclave se prosterna comme il avait appris à le faire. Un pied s’avança et il commença docilement à le lécher… Le pied sentait fort, les ongles étaient sales.. Et E69MSE s’appliquait à lécher avec application, s’attardant entre les orteils, léchant la plante du pied, les côtés, … Celui qui avait bloqué son évolution s’écarta et l’esclave poursuivit son cheminement jusqu’à l’évier. Là il se redressa afin de préparer les bols et ustensiles de ses tourmenteurs. A peine s’était-il redressé, qu’il fut plaqué contre l’évier qu’on lui écarta les cuisses et qu’il sentit un sexe dur et tendu qui poussait contre les bords de son anus, poussait et finissait par s’enfoncer en lui.

Il ne put retenir un cri très bref, mais qui lui valut cependant une claque sur la nuque

— "Ta gueule la chienne !" L’homme qui le sodomisait s’enfonça brutalement encore plus en lui, afin de bien lui faire sentir sa possession… Il l’encula ainsi jusqu’à jouir, puis s’en alla laissant E69MSE avec le fondement douloureux et d’où coulait lentement le jus épais de l’homme. Les gardes commençaient à s’installer autour de la table, E69MSE avait peu de temps pour les servir, S’il trainait, les corrections n’allaient pas tarder à s’abattre et les marques éparses sur son corps montraient jusqu’à quel point elles pouvaient être sévères …

A suivre …

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