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Le sperme de mon frère – Chapitre 2




Les personnages :

Le frère : 20 ans, 1m80, 90 kilos, 21 centimètres, brun.

La sur : 19 ans, 1m65, 64 kilos, 90C, blonde.

Candie : 18 ans, 1m70, 56 kilos, 100C, brune.

************

Après ce premier rapport sexuel, mon frère et moi avons continué notre relation incestueuse. Il ne s’agissait pas vraiment d’amour, mais plus de désir. Nous nous considérions comme des partenaires sexuels heureux, et non comme un couple. Nous n’agissions pas comme tel, surtout à l’extérieur. Malgré tout, je soupçonnais nos voisins de connaître la nature immorale de nos rapports, mais je ne m’en souciais guère. Le plaisir que je prenais avec lui chaque nuit compensait largement nos inquiétudes. Nos parents eux-mêmes ne se doutèrent jamais de rien. Evidemment, quels parents pourraient imaginer cela ?

6 mois plus tard, nous apprenions la visite prochaine de Candie, notre benjamine. En dépit de notre faible différence d’âge, nous ne connaissions pas vraiment notre sur, elle qui avait suivi ses études en Angleterre depuis l’âge de 14 ans. Elle revenait rarement en France, et ses rares escales ne duraient jamais longtemps. Il me semblait évident que désormais, elle n’était plus l’adolescente naïve avec qui j’avais grandi. Elle venait d’avoir 18 ans, était diplômée et parlait l’anglais à la perfection. Aucun homme ne partageait sa vie, et je soupçonnais même qu’elle soit encore vierge. Mais après tout, ce n’était pas mes affaires. Nous prîmes toutefois conscience que nos rapports sexuels allaient devoir se raréfier tout au long de cette semaine de collocation en trio. Nous ne tenions pas à nous faire surprendre par notre propre sur en plein acte sexuel !

****

Lorsque Candie s’installa dans notre appartement, je suis restée bouche bée devant la magnifique femme qu’elle était devenue. Ma sur étant la plus jeune, elle avait toujours été idolâtrée par notre famille qui la voyait comme l’enfant le plus intelligent, le plus gentil et le plus beau. Sur ce dernier point, elle n’avait en l’occurrence pas usurpé son titre. J’osais le dire : c’était un canon ! Ses longs cheveux bruns tombaient sur son opulente poitrine qu’un débardeur blanc très décolleté mettait parfaitement en valeur. Ses lèvres étaient pulpeuses, et son nez aussi fin que celui de Cléopâtre. Elle l’avait hérité de notre mère. Connaissant mon frère, elle ne devait pas le laisser indifférent. Nos retrouvailles furent célébrées par un long câlin, au cours duquel je le surpris à peloter les fesses rebondies de Candie !

Le soir venu, je prêtais ma chambre à Candie et allais m’installer dans celle de mon frère. Ce que notre sur prit pour un sacrifice était en réalité pour nous une véritable habitude, du fait de nos rapports sexuels. Nous dormions presque chaque nuit dans le lit de l’autre. Ne pouvant nous résoudre à faire quoi que ce soit, nous en profitions pour parler. Mon frère m’avoua, sans surprise, que le charme de notre sur l’avait bouleversé, et qu’il n’avait pu s’empêcher de reluquer sa poitrine. Je lui demandais donc en riant s’il la trouvait plus belle que la mienne, ce à quoi il répondit en embrassant mes seins à travers le tissu de mon soutien-gorge. Ma peau frissonna d’excitation, ce qu’il remarqua en souriant. Il continua de baiser ma poitrine pendant de longues minutes, avant de s’endormir profondément.

Le lendemain matin, un entretien d’embauche m’obligeait à me lever de bonne heure et à abandonner mes colocataires le temps d’une matinée. Malgré les aveux de mon frère, je n’envisageais aucunement qu’il puisse se passer quelque chose entre lui et Candie… Et pourtant !

Mon rendez-vous prit fin plus tôt que prévu, me permettant de regagner rapidement l’appartement. Arrivée devant la porte d’entrée, j’entendis plusieurs rires, dont celui si reconnaissable de ma sur. J’entrais pour en connaître l’origine et tombais nez à nez avec mon frère, assis torse nu sur le canapé. Candie, simplement vêtue d’une culotte et d’une brassière de sport fluorescente, était à califourchon sur lui ! Nul doute qu’avec la poitrine de notre cadette à quelques centimètres de son visage, il devait être comblé ! Je devinais qu’avant mon arrivée, il devait être en train de la lui caresser. A ma vue, ils se relevèrent sans dire un mot, tels des enfants surpris en pleine bêtise. Je ne savais pas trop comment réagir face à cette situation, puisque je savais au fond de moi qu’elle allait avoir lieu. Mon frère et moi avions ouvert les portes de l’inceste, je ne pouvais lui reprocher de vouloir en profiter. Mais qu’en était-il de notre sur ? Qu’éprouvait-elle ?

Je ne pus lui poser la question puisqu’elle partit se réfugier dans ma chambre, honteuse.

Lui eut le courage de m’expliquer ce qu’il s’était passé. Plus tôt dans la matinée, elle était venue s’asseoir à côté de lui sur le canapé. C’est en la découvrant aussi peu vêtue qu’il s’était mis à la désirer. Sans vraiment s’en rendre compte, il lui caressait les cheveux, puis la nuque et enfin les épaules. Elle avait répondu positivement à ses avances en s’emparant de sa main droite et en la plaçant à l’intérieur de sa brassière. Le massage mammaire de mon frère avait duré une bonne dizaine de minutes avant qu’ils ne s’autorisent à lui enlever son t-shirt, et elle à lui grimper dessus. Si je ne les avais pas interrompus, ils seraient probablement passés à l’acte. A l’entendre, il le souhaitait encore. Que pouvais-je répondre à ça ? C’était exactement notre histoire, à quelques semaines d’intervalle ! Moi, que l’inceste comblait de bonheur depuis des semaines, me sentais soudain honteuse d’avoir interrompu ce moment. Candie méritait de vivre ce que j’avais vécu !

Au dîner, nous eûmes tous trois une discussion à propos de l’inceste. Ma sur, si intelligente, comprit bien vite où je voulais en venir et je crois même qu’elle devina dans le même temps les relations intimes que j’entretenais avec notre frère. Au fur et à mesure de la conversation, elle se montra de plus en plus curieuse, à la limite de l’impolitesse. De toute évidence, elle était tout aussi nymphomane que moi. Nos échanges devinrent de plus en plus pervers, preuve de notre excitation à tous. D’un commun accord avec mon frère, je les autorisais à avoir un rapport sexuel dès ce soir. Ma sur me remercia grandement, m’embrassant même sur la bouche à l’occasion. J’aurais tant souhaité les accompagner dans ma chambre lorsqu’ils s’y précipitèrent, mais je savais que je devais leur laisser cette première nuit. Le plan à trois viendrait plus tard.

La nuit fut profondément agitée. J’entendais à travers les murs les cris perçants de ma petite sur nue, chevauchant avec entrain la grosse queue fraternelle. La boîte de préservatifs étant restée dans le placard de la salle de bain, j’en conclus qu’ils n’en utilisaient pas. Qu’importe, le plaisir n’en serait que décuplé ! Mon frère clamait quant à lui les pires atrocités, traitant Candie de tous les noms possibles et imaginables. Je ne l’avais plus entendu gémir ainsi depuis des semaines, il devait vraiment prendre son pied ! Je pouvais entendre leurs chairs claquer l’une contre l’autre, ses testicules frappant les lèvres de son vagin avec vigueur ! Vers le milieu de leur coït, je l’entendis le supplier de l’enculer. Leurs gémissements respectifs reprenant, j’en conclus qu’il s’était exécuté. Rien que d’imaginer son gland pénétrant le trou serré de Candie me faisait mouiller. Je n’aurais été guère étonnée de voir les voisins débarquer pour tapage nocturne !

Terriblement excitée, je me décidais à aller les espionner. Ils avaient laissé la porte entrouverte. J’arrivais au moment précis où mon frère se retira de son anus et arrosa brutalement son dos si lisse de sa semence si blanche. Il jouit une quantité phénoménale de sperme. On aurait dit un animal marquant son territoire. Mais c’était le cas, notre sur était son territoire, sa proie, sa cible. Il l’avait épuisée, elle était en sueur. Elle resta plusieurs minutes sans bouger, le temps de récupérer assez de force pour se relever, j’imagine. Elle et mon frère s’embrassèrent alors langoureusement, chose que nous ne faisions que rarement. Je craignais que Candie ne soit tombée amoureuse de lui, ce qui aurait considérablement compliqué notre relation. Mais après tout, n’étais-je pas moi-même, au fond de moi, folle amoureuse de mon frère ?

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