Je lui dis que je prendrais volontiers un jus de fruit, et il commanda pour lui un kir. Le serveur pris notre commande en nous apportant nos verres et dès quil fut repartit Fabrice me demanda mes impressions sur mon premier jour de travail. Je lui dis que javais noté pas mal de petites choses qui pouvaient déjà améliorer et lambiance et le travail dans le service et quand il me demanda lesquelles je les lui donnais, il apprécia et me dit queffectivement mes idées étaient bonnes et quil me donnait carte blanche pour les appliquer, puis il me demanda « et en dehors du travail, est-ce que vous pratiqué une activité ? Avez-vous une ou des passions ? Une petite amie ? »

Je souris car il amenait la conversation sur le terrain que je voulais sans savoir comment jallais y arriver, je lui répondis que jaimais beaucoup la lecture, que javais fait du sport mais que je ne pratiquais plus et que je navais pas de petite amie attitrée, mais que jaimais par-dessus tout mentourer damis, de tous âges et même, de préférence, plus âgés que moi car ils mapportaient beaucoup plus au niveau social, et je continuais en lui disant que jaimais me faire de nouveaux amis et que les vacances étaient propice à de nouvelles rencontres qui pouvaient se transformer en amitié durable.

Jarrivais là où je voulais en arriver, je lui dis que, pour exemple, javais rencontré deux ans avant plusieurs personnes alors que jétais en vacances dans une colonie sur la côte bretonne où jétais aide-moniteur, et que jen avais gardé de formidables souvenirs et des amis, même si deux personnes sans que lon sache pourquoi navaient plus donné signe de vie alors quon leurs avait donné nos coordonnées juste avant leur départ. En racontant ça, jobservais Fabrice et je le vis prendre un air absent comme si il partait dans ses pensées.

Au bout de quelques minutes, il sortit de ses pensées et me dit « mon épouse et moi sommes pareils nous aimons nous entourer damis que nous sélectionnons et votre éducation et votre savoir vivre me laisse penser que vous ne lui déplairiez pas ». Je lui demandais si je pouvais lui poser une question moi aussi, il me regarda, sourit et dit « bien sur, je ne suis pas flic excusez moi de toutes ces questions indiscrètes, ma comme je vous lai dit jaime bien connaître mes collaborateurs, allez-y posez vos questions », je lui demandais si lui et sa femme avaient des passions aussi, il sourit et me dit « et bien nous aimons nous aussi nous entourez de nos amis et passer de bonnes soirées, voir des we ensemble à discuter et à nous amusez, ce qui est bizarre, cest ce que vous avez dit tout à lheure, il nous est arrivé pratiquement la même chose que vous il y a deux ans, nous étions en vacances chez un de mes cousin à St Lunaire, je ne sais pas si vous connaissez, cest sur la côte nord de la Bretagne et nous y avons rencontré plusieurs personnes, jen ai gardé des souvenirs inoubliables, beaucoup de joies et de plaisirs divers, malheureusement, mon épouse a égaré les coordonnées des personnes que nous avions rencontrés et nous ne les avons jamais revu, pourtant quelque part, et sans rentrer plus loin dans les détails, ces personnes ont beaucoup fait pour nous, il y avait dailleurs un jeune homme un peu plus jeune que vous qui était plein de vie et dont la compagnie était très agréable, nous pensons à eux de temps en temps, et cest avec nostalgie que je vous en parle, car quelque part nous aurions aimé continuer à les voir, car ils ont fait beaucoup pour nous et je ne le cache pas, ils ont sauvé notre couple qui battait de laile à lépoque.

A ce moment là, je compris que Fabrice ne mavait pas reconnu mais quÉlisabeth et lui, nous regrettaient. Je me tournais vers lui, dans ce mouvement, ma cuisse vint se coller à la sienne et je lui dis « et Élisabeth pense la même chose ? », Fabrice sursauta, décolla sa cuisse de la mienne et répondit « je ne me rappel pas avoir prononcé le prénom de mon épouse, comment le connaissez vous ? » je recollais ma cuisse contre la sienne en appuyant un peu plus le contact et je lui dis « parce que je suis le jeune homme dans la bouche duquel tu tes vidé pour la première fois, je suis celui dont tu as arrosé tout le corps de ton sperme et celui qui ta fouillé lanus pour la première fois » et je finis ma phrase en posant ma main sur lénorme bosse qui était entrain de naître dans le pantalon de Fabrice, je rajoutais « hum, toujours aussi gros, jai envie de la revoir et même de la sucer jusquà ce que tu me remplisses la bouche de ton sperme chaud ».

Dès que javais posé ma main sur son pantalon, Fabrice avait écarté les jambes pour me laisser faire, sous ma caresse insistante, il me dit « putain, tu sais toujours aussi bien y faire, arrêtes ou je vais jouir », voyant le serveur venir vers nous, je retirais ma main, reprenais une position plus normale mais jappuyais ma cuisse contre celle de Fabrice, qui ce coup-ci, ne lenleva pas, le serveur déposa devant nous les plats que nous avions commandé, Fabrice me regarda et dit, « je suis tellement content que le hasard nous ai permis de nous retrouver, pourquoi ne me las-tu pas fait comprendre tout de suite ? »

Je lui répondis que voyant quil ne mavait pas montré quil me reconnaissait jattendais ce genre doccasion pour voir si cétait exprès ou involontaire, il posa ses couverts, posa sa main sur ma cuisse en disant « dès que jen ai loccasion, je vais me faire pardonner et te montrer que je nai pas fait exprès » et dans un doux et lent mouvement il commença à masser la bosse qui déformait mon pantalon, je lui dis « arrêtes sil te plaît, cest très agréable, mais je veux plus que ça », il repris ses couverts et nous recommençâmes à manger, il me demanda des nouvelles de Martine, dAnnick et Nathalie, je lui en donnait en lui disant que nous avions été déçu de ne pas avoir de leurs nouvelles, il me répondit « attends quÉlisabeth soit au courant et tu vas voir, nous allons nous faire pardonner, tu peux en être sur et le leurs dire » puis il sarrêta de manger et dit « tu fais quelque chose ce soir ? » je lui répondis que je navais rien de prévu, il repris alors « je viens davoir une idée, cet après-midi, je vais temmener voir les deux dépôts que nous avons en région parisienne et comme ça ira assez vite, on peut aller à la maison et faire la surprise à Élisabeth et je veux surtout voir si elle va te reconnaître ». Cet idée me plaisait bien, et tout en posant, à nouveau ma main sur son entrejambe et en massant sa queue qui navait pas diminuer de volume, je lui dis « ben je veux bien, mais en allant voir les dépôts, on pourra peut-être faire une petite halte, je ne pourrais pas tenir jusquà ce soir sans la voir, et la caresser » et je prenais carrément sa queue dans ma main pour la masser, il gémit et dit « promis, avec ce que tu es entrain de me faire tu me rappelles tellement de choses et notamment la douceur de ta bouche mavalant que moi non plus je ne tiendrais pas jusquà ce soir sans y avoir de nouveau goûté ».

Une fois notre repas finit et les envies cachées dans nos pantalons respectifs, calmées, nous prîmes le chemin du bureau. Nous nous arrêtâmes dans mon service et Fabrice dit à Jacqueline quil memmenait visiter les deux dépôts parisiens et que nous ne reviendrions certainement pas, Jacqueline fit la moue mais Fabrice était son supérieur et elle navait rien à dire. Puis Fabrice me dit « suivez-moi dans mon bureau, un coup de fil à passer puis nous irons chercher ma voiture ».

Nos rentrâmes dans son bureau, il ferma la porte et alla sasseoir dans son fauteuil pour téléphoner à Élisabeth, puis alors quelle décrochait chez elle, il mit le haut-parleur, et commença à parler, « bonjour ma chérie, tu vas bien, figures toi que nous avons un jeune collaborateur qui est arrivé depuis hier dans la Sté et que je voulais te demander si je pouvais linviter ce soir, il est avec moi, dans mon bureau et jai mis le haut-parleur» après un blanc, Élisabeth répondit « bonjour chéri, ça va, ben écoute si ça te dit de linviter, il ny a pas de problème, je nai jamais vu aucun de tes collaborateurs, donc si tu invites celui-ci, cest quil doit être bien » Fabrice lui répondit « oh oui, tu verras bien sous tous rapports, je suis sur quil te plaira » et il me regarda en souriant et en levant le pouce, je lui souris et bougeais dans mon fauteuil car dentendre la voix dÉlisabeth me faisait à nouveau bander en me rappelant tout ce que nous avions fait ensemble.

Élisabeth rajouta « vous serez là vers quelle heure que je me prépare et que je prépare le repas ? » Fabrice lui dit « en fin daprès-midi, nous allons visiter les dépôts parisiens et nous rentrons mais avec la circulation, je ne sais pas trop vers quelle heure, en tout cas pas avant 17h ou 18h », Élisabeth repris, « ok, tout sera prêt, peux-tu couper le haut-parleur, jai quelque chose à te dire et à te demander », Fabrice me fit un clin dil et après quelques secondes dit « cest fait chérie », alors Élisabeth lui dit « espèce de salope, tu me mets devant le fait accompli, tu sera puni pour ça et je te préviens que si il est à mon goût, je ferais tout pour quil me baise avant la fin de la soirée, maintenant je vais poser des questions et tu y réponds cest compris ? » Fabrice était devenu tout rouge et moi je commençais à me dire que la soirée allait être très chaude à nen pas douter, puis Élisabeth repris la parole « apparemment il est jeune, moins de 25 ans ? » Fabrice « oui chérie », Élisabeth « wow, pas mal pour une fois que cest mon esclave qui chasse, il est mignon ? » Fabrice « ben oui je pense que ça te plaira », Élisabeth « en tout cas sois sur dune chose cest que dès quil sera parti tu prends une fessée pour avoir pris une initiative sans me demander mon accord avant » Fabrice « bien chérie, ce sera comme tu voudras, à ce soir » et il raccrocha.

Cette conversation mavait fait bander, rien que dentendre la voix d Élisabeth, déjà mais ce quelle avait dit et promis à Fabrice mavait excité, il me regarda et me dit « il y a deux ans, grâce à vous, notre couple a été sauvé, et nos vrais natures sont sortis, Élisabeth est une dominatrice et je suis un soumis, depuis notre vie a changé, notre couple est plus soudé que jamais et je sais quà partir de ce soir ce sera encore mieux » je me levais et fis le tour du bureau, je vis tout de suite quil bandait, je caressais sa queue par-dessus son pantalon et lui dit « et bien cest super, on va voir si tu es très obéissant, avant de partir, tu vas aller ôter ton slip, je te veux nu sous ton pantalon et dépêche-toi parce que je suis pressé de revoir Élisabeth, autant que je létais de savoir si tu te rappelais de moi, mais pour ça tu verras tout à lheure, aller files au toilettes et enlèves moi ça rapidement pendant ce temps, je téléphonerais chez moi pour prévenir que je ne rentrerais pas ». Ma mère impressionnée par cette invitation ne pu sempêcher de me dire « tiens-toi bien ».

Fabrice se leva, sa veste cachait son érection, et je me dis que dans quelques minutes elle serait visible de tout le monde, cela augmenta mon excitation, lorsquil revint, je vis immédiatement la bosse qui déformait très nettement son pantalon, et je lui dis « bien, comme ça cest mieux, tu seras plus à laise et jaime bien te voir en forme, tu nas pas changé, elle parait toujours aussi grosse, allons-y, parce que maintenant je suis pressé de la voir et de la caresser ». Nous sortîmes du bureau et je le laissais passer devant moi, il marchait les mains devant lui et avait fermé sa veste pour essayer de cacher la bosse qui me faisait envie, arrivés au garage, il déverrouilla la portière, et je lui dis « ben tu vas peut-être mouvrir la porte, ça serait bien », revenant sur ses pas il mouvrit la portière et alors quil allait la refermer une fois que je fus assis, je lui dis « attends, approches toi », il regarda autour de lui et dit « euh, pas ici quand même il y a des caméras » je le regardais en prenant un air sévère et répétais « approches et dépêche-toi » il sapprocha, je posais ma main sur la bosse qui déformait son pantalon et commençais à la caresser, sa queue était bien dure et aussi grosse que dans mes souvenirs, je la massais quelques minutes puis lui dis « allez viens tasseoir, vite » il referma ma portière, fit le tour de la voiture et vint sinstaller derrière le volant, alors quil mettait la clef et allait démarrer, je lui dis « attends, sors là maintenant, je veux la voir » il me regarda et dit « pas ici, sil te plaît, on pourrait nous voir », je posais ma main sur sa cuisse et le pinçais fortement, il gémit et commença à ouvrir sa braguette, il eu un peu de mal à sortir lobjet de mon envie, mais y réussit, satisfait, je la pris en main et lui dis « cest bien démarre maintenant on y va ». Nous prîmes la rampe de sortie, lui tenant son volant et moi lui massant la queue en me remémorant tout ce que je lui avais déjà fait et ce que jallais lui refaire.

Lorsque nous franchîmes la porte et nous retrouvâmes dans la rue, il hésita, je serrais un peu plus fort sa bite et lui dis « avances et dépêche-toi » il savança dans la circulation et je rajoutais « prends la file de droite » tout en continuant à le caresser, il me dit « pourquoi, celle de gauche roule mieux », je serrais à nouveau et lui dis « parce quà droite tu longes le couloir à bus et ce sera plus drôle » il ne compris que quand un bus passa sur notre droite et sarrêta à notre hauteur, une femme qui regardait par la fenêtre ouvrit de grands yeux puis sourit en voyant lengin que je tenais à pleine main, elle leva sa main à hauteur de la vitre puis leva son pouce en me faisant un signe de tête, Fabrice comprenant enfin me dit « arrêtes on va se faire arrêter par les flics » je lui répondis « regarde la femme dans le bus, ce nst pas elle qui va les prévenir, elle a lair dapprécier le spectacle » se penchant en avant Fabrice pu voir la femme qui avait toujours le pouce levé et quand elle le vit elle passa sa langue sur ses lèvres avec des yeux pleins de gourmandise.

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