Mon Amie : Partie II
Nathalie et Moi
Le lendemain matin vers 08h15, j’ouvris les yeux la première. Enfilant à la hâte mon peignoir assorti à ma nuisette, je me dirigeais vers la cuisine dans le plus grand silence afin de concocter le petit-déjeuner.
Quelques minutes plus tard, j’entendis quelqu’un descendre sans vraiment prêter une attention particulière. Je me suis mise à sursauter lorsque j’ai senti deux mains m’envelopper la taille et qu’un doux baiser fut déposé dans mon cou.
En me retournant, je découvris ma Nathalie, aussi belle que la veille au soir, l’attirant vers moi, je déposais sur ses lèvres un doux et érotique baiser.
Bonjour Nath, lui dis-je d’une voix des plus sensuelles.
Bonjour Jenn, répondit-elle sur le même ton.
J’ai eu énormément de mal à trouver le sommeil hier soir après notre séance canapé, lui dis-je.
Moi aussi Jenn, je pensais à toi, ton corps, tes lèvres. J’en étais folle de ne pas pouvoir te……
Nous fûmes interrompus par Chris qui venait de se lever, suivi de près par Christophe.
Bonjour, les filles, bien dormi.
Bonjour les garçons, oui très bien merci.
Tout ce petit monde se retrouva autour de la table pour partager le petit-déjeuner. L’odeur du café, des viennoiseries chaudes, du pain grillé, du jus d’orange frais mit tout le monde en appétit.
L’échange de nos regards trahissait nos envies et nos pensées, il me fallait trouver une excuse pour que je puisse me retrouver seule avec Nathalie.
Alors, les garçons, que faites-vous ce matin ? dis-je avec malice.
J’aimerais faire connaître ma salle de boxe à Christophe et faire un tour de moto, lança Chris. (Mon homme)
La salle de boxe où s’entraîne mon Chris trois fois par semaine n’est pas ce que je nomme un endroit luxuriant, je dirais même qu’elle est miteuse à mon goût. C’est la vieille salle de boxe par excellence, sombre, avec ses odeurs de transpiration, ses vieux rings, ses vieux punching-balls, bref tout est vieux dedans, des vestiaires aux agréés d’entraînements. L’entraînement y est dur, mais Chris adore cet endroit. Comme il aime le dire, l’entraînement se paie en sueur et dans la difficulté.
C’est une très bonne idée. Qu’en penses-tu Christophe ? demandais-je.
Oui avec plaisir, mais vous les filles ?
Ne t’inquiète pas pour nous, répondit Nathalie.
Si tu veux, Christophe, je te prête ma moto, luis dis-je.
Tout le monde fut d’accord avec le programme du matin. Pour ma part, j’avais un autre programme en tête et apparemment, je n’étais pas la seule.
Dès le petit-déjeuner terminé, les hommes prirent la direction du garage et filèrent en moto pour une sortie entre hommes. Nathalie s’éclipsa pour prendre sa douche et je mis à profit ce laps de temps pour remettre de l’ordre dans la cuisine et préparer une surprise à Nathalie. Une fois tout en place, je pris la direction de notre salle de bain pour une bonne douche.
Après ma douche, vêtue d’un simple leggings et d’un top à fines bretelles, je fis mon apparition. Pour sa part, Nath était habillée d’un short et d’un top moulant dessinant à merveille les courbes de sa poitrine.
Après un furtif baiser, je pris Nathalie par la main et nous nous dirigeâmes vers la pièce située dans le fond du couloir.
Viens ma belle, suis-moi, lui dis-je d’une voix douce et d’un air coquin.
D’accord, ma chérie.
Cette pièce nous sert à Chris et moi d’espace détente, nous l’avons décorée de façon très zen. Au centre de la pièce se dresse une large table de massage, avec un grand miroir à chaque extrémité de la table, ce qui permet au massé et au masseur de se regarder par jeu de miroir interposé. Entre les deux fenêtres, nous avons disposé une commode grise à tiroir, sur laquelle trône une statue en bois représentant un Bouddha. Légèrement excentrée par rapport au miroir, une étagère vient compléter le tout sur laquelle se trouvent mes huiles de massage naturelles et 100% bio. Le tout agrémenté d’une décoration à l’esprit zen, comme des tableaux, des bougies, un large tapis blanc.
J’invite Nathalie à entrer dans la pièce et lui propose un moment détente entre mes mains.
Déshabille-toi, luis dis-je, tout en la regardant d’envie.
Nathalie se mit entièrement nue et prit place sur la table de massage, allongée sur le ventre elle se laissa aller pour mon, notre plus grand plaisir.
Je pris place devant Nathalie de façon à avoir une vue sur son superbe corps et commença mon massage par ses épaules en descendant le long de sa colonne vertébrale, la massant de haut en bas de son dos, en prenant soin d’effleurer juste ce qu’il faut le galbe arrondi de ses seins. Enduisant mes mains d’huile de massage, mes caresses se firent plus fluides et douces.
Nathalie avait les yeux fermés, soupirant légèrement lorsque mes mains atteignirent la cambrure de ses reins.
Tout en tournant autour de la table, je massais langoureusement (en exerçant de légères pressions sur des ponts bien précis) Nathalie afin de la sentir frémir. Je pris place sur la table de massage pour lui prodiguer les mêmes attouchements sur les cuisses.
Hum, c’est divin Jenn.
A genoux entre ses jambes, Nathalie m’offrait son intimité, mon massage devenait petit à petit des caresses douces et sensuelles, je lui massais l’intérieur des cuisses en frôlant juste ce qu’il faut la naissance de ses lèvres vaginales. Je pris l’huile et la versa délicatement sur sa raie, l’huile coula de sa raie jusqu’à son sexe, la faisant frémir.
Je me mis à lui masser sensuellement sa rosette avec mon pouce. Délicatement, sans précipitation, la pression de mon doigt et l’huile firent le travail à merveille.
Observant Nathalie dans le miroir situé devant elle, je remarquais qu’elle se pinçait la lèvre inférieure, les yeux clos, sa respiration changea doucement, son bassin se soulevant légèrement comme si elle voulait prolonger l’étreinte de mon doigt sur son petit trou.
Tu aimes, lui dis-je.
Oh oui, c’est juste incroyablement bon, je … humm.
Je plaçais une serviette roulée sous le ventre de Nath ayant pour effet de surélever son bassin afin que je puisse avoir un meilleur accès à son intimité.
Je repris ma caresse sur son anus, ce dernier devint plus souple et mon pouce le pénétra lentement et inexorablement. Avec mes autres doigts, je commençais à titiller les lèvres vaginales de ma douce complice. Mon autre main venant lui flatter le galbe de ses fesses. Je les malaxais, faisant frémir ma douce amie.
Oh Jenn …… C’est bon… Oui, continue. Humm !!!!!
De mon côté, je ne restais pas insensible, ma poitrine me faisait mal, mes pointes dressées tendant le tissu de mon top. Mon sexe, mon ventre me chauffaient. J’étais en effervescence.
Tendant le bras, j’ouvris ma boîte spéciale où je range mes jouets et me saisis de mes perles anales. Portant à ma bouche la première boule, je l’humidifiais avec soin.
Retirant mon pouce du fondement de ma tendre complice, je plaçais la première perle à l’entrée de son petit trou d’amour. Le mélange de l’huile et de ma salive associée à une légère pression sur la perle fit disparaître cette dernière dans le fondement de Nathalie, l’anus de ma douce venait d’avaler la première perle. La deuxième perle plus grosse disparut à son tour sans problème. Les troisièmes et quatrièmes perles plus grosses encore furent avalées par le fondement de ma coquine.
A chaque intromission, Nathalie tortillait des fesses afin de savourer la lente et douce pénétration de l’objet.
OH !!!!!! Ouiiiii …… vas-y encore une … Hummmm j’adore, me lança-t-elle.
Oh Putain, que c’est bon. Je me sens remplie… Il est exquis ton jouet.
Je sentais Nathalie sur le point de défaillir, afin de l’amener au bord de l’explosion, je décidais de m’amuser avec les perles. Tirant légèrement sur le cordon, son anus s’ouvrit et une perle fut expulsée, tirant encore pour faire ressortir une deuxième, que je réintroduisis de suite avec la perversité de lui en introduire encore plus. Au point que presque le chapelet entier disparut dans son étroit fondement.
Ahhhhh……. C’est bon …… Ouiiiiii……. Continue. Joue avec mon cul, me dit-elle.
Le lâcher-prise est total, sous ses injonctions, je continuais à jouer avec les perles, les sortant soit délicatement ou plus vigoureusement, arrachant des petits cris de plaisir à chaque sortie ou introduction de perles.
Moi-même, j’ai du mal à résister, je suis en transe, mon corps, mes seins, mes reins ; mon sexe, tout est en feu. Je bouillonne d’excitation, mes tétons sont douloureux, mon sexe est ouvert et humide.
Enlevant mon top, je m’enduisis la poitrine d’huile, pétrissant et malaxant mes seins douloureux, resserrant les cuisses de Nathalie, je pris place dessus. M’allongeant sur son dos, je frottais ma poitrine huilée des creux de ses reins jusqu’à ses épaules, laissant traîner la pointe de mes seins sur son corps. J’ondulais avec ferveur sur ce corps doux et soyeux.
Humm, Jen, tu es si sensuelle… Oh oui, j’aime sentir ta frêle poitrine dans mon dos.
Je massais à présent son dos uniquement avec ma poitrine, sans oublier la cambrure de ses reins, ainsi que ses fesses, faisant frémir Nathalie sous chaque caresse. Sa respiration était plus ample synonyme d’un plaisir naissant.
Nathalie se mit sur le dos, m’offrant un accès total à sa généreuse poitrine ainsi qu’à son inimitié la plus stricte. Toujours assise sur ses cuisses, je fis couler un long et fin filet d’huile de massage entre seins, que je pris plaisir à malaxer, triturer, titiller, masser. Nath a une opulente et ferme poitrine, ses larges aréoles brunes sont une invitation à la dégustation. Très sensible des seins, Nath se remis à geindre sous mes caresses, faisant durcir et pointer à l’extrême ses tétons.
Je pris en bouche ses pointes, suçant, mordillant, léchant, pelotant ses seins sans retenue, avec vigueur et finesse, jouant avec le bout de ma langue sur ses tétons durcis par les assauts de ma bouche et de mes mains.
Hummmmm…….. Ouiii… Je deviens ….. me dit-elle.
Oui ma chérie, tu sens que c’est bon… Moi aussi je deviens……
Délaissant sa poitrine, mes mains partirent à la découverte de son corps, me fixant droit dans les yeux remplis de désir et avec la volonté d’aller encore plus loin.
Nath, j’ai envie de me lâcher, d’être celle que je ne suis pas, lui dis-je.
Oui moi aussi, avec toi, je suis prête à être une autre, dit-elle.
Maintenant à genoux entre ses jambes, je partis à l’assaut de son mont de Vénus. Son sexe intégralement épilé est une invitation à l’exploration buccale. Sans détour, je plaquais ma bouche sur son sexe et entrepris de la lécher à en perdre haleine. Nathalie avait la tête en arrière, les yeux fermés, la bouche ouverte, de ses mains, elle me prit la tête et plaqua fortement ma bouche contre son sexe afin que je puisse la sonder en profondeur, ma langue se fraya un chemin et la pénétra.
Ouiiiii….. Salope fais-moi ….. Ahhhhh … jouir avec ta langue.
Arrêttttte pas …… ENCORRRRRRRRE.
Nath était proche de l’orgasme, ne voulant pas la faire partir de suite, je ralentis ma caresse buccale et pris soin de ne lui titiller que le clitoris et ses petites lèvres.
Lâchant son sexe, je me suis approchée d’elle, nos bouches se sont unies, nos langues se sont jointes dans un langoureux baiser. Durant notre baiser, Nathalie se fraya un chemin dans mon leggings, à la découverte de mon sexe trempé de désir. Ses doigts atteignant l’objectif, Nathalie se mit à me caresser le clito et mes lèvres. Une onde de plaisir transperça mon corps de la tête aux pieds.
Prise de frisson et d’une frénésie totale, je laissais Nath s’occuper de moi. A présent, ses doigts fouillaient allégrement ma grotte humide et ouverte. Mon souffle s’amplifiait, ma respiration devint bruyante. Je ne fus pas longue à trouver le plaisir d’être aussi habillement sondée.
Ouiiii ….. Nath … Hummm c’est bon…
Arrivant à me soustraire à regret de son étreinte je repartis à l’assaut de son intimité. Prenant au passage dans ma boîte à jouets, un double dong que je présentais à l’entrée de sa chatte. Regardant mon doux droit dans les yeux, j’écartais ses chairs avec le double dong et pris possession de son sexe. Je la pénétrais lentement et aussi loin que possible.
Nathalie ferma les yeux afin de mieux savourer cette pénétration. Le sexe bien calé au fond de son vagin, j’entrepris de long et lent va-et-vient, faisant quasiment ressortir le faux sexe à chaque fois, pour mieux le réintroduire toujours plus loin, toujours plus fort.
Ouiii… ma belle salope… Baise-moi. Plus vite… Plus fort, me lança-t-elle.
Tu veux que je te baise hein, ma salope, ben tiens, prends ça, lui répondis-je.
Sous ses injonctions, mes va-et-vient se firent plus amples, plus profonds, plus soutenus. Nathalie ne respirait plus. Elle haletait, cherchant son air pour respirer. Ses mains empoignaient la serviette, recouvrant la table de massage, de sa bouche ne sortait que des cris de plaisir.
Ouiiiiii … Jen …… AHHH……. C’est bon……. Je suis ta salope… Oui… encore.
Oui Nath….. Tu es ma bonne salope que j’aime prendre.
L’excitation du moment nous faisait perdre nos repères, nos barrières, comme une frustration qui s’envole. Nous étions toutes les deux à nous donner, à prendre du plaisir sans retenue.
Voyant ma complice de jeu qui s’envole vers l’orgasme, je retirais d’un coup sec de son anus le collier de perles anales, la réaction se fit instantanée, un long cri de jouissance sortit de la bouche de Nathalie, profitant pour la prendre avec l’autre extrémité du double dong. Se retournant pour adopter la position de la levrette, Nath était totalement offerte et ouverte.
A présent en double pénétration par le double dong, je pilonnais à grands coups de sex-toy le sexe et le fondement de mon amie, lui assénant au passage quelques claques sur son fessier.
Ahhhhh… Putain que c’est bon… Oui, fais de moi ta chose. Défonce-moi….. dit-elle.
Nathalie perdait totalement pied, dans l’expression de son plaisir. Accélérant mes mouvements, je saisis les cheveux de Nathalie en le lui tirant vers l’arrière, la forçant ainsi à se cambrer davantage, pour que le ressenti de la double pénétration soit plus intense et profond.
Accélérant mes mouvements de va-et-vient, tout en maintenant dans ma main ses cheveux, je prenais sans retenue les orifices de ma tendre et somptueuse amie. Le faux sexe était luisant de cyprine, son jus d’amour coulait sur ses cuisses, lubrifiant énormément et à outrance le sex-toy.
Lâchant ses cheveux, je pris soin de me placer derrière Nathalie pour la souder vigoureusement jusqu’à l’orgasme, lui infligeant une fessée sur son adorable et magnifique fessier.
Ouiiii….. Ahhhh…… Je jouiiiisss. Ne t’arrête pas … C’est bon. Je viens… JE suis une …
Nathalie fut foudroyée, terrassée, par un orgasme violent. Tout son corps fut secoué par des tremblements et spasmes. Un long râle de plaisir se fit entendre dans la pièce. Retirant le double dong de ses orifices, Nath s’écroula sur la table de massage.
Dans un dernier effort, elle se retourna, m’attira vers elle et m’embrassa avec une passion et une tendresse infinie.
Waouh ….. Merci Jenn, j’ai joui comme une ….. me dit-elle.
Effectivement, ton orgasme fut terrible, lançais-je.
Attends que je reprenne mes esprits, tu ne perds rien pour attendre, dit-elle.
Toujours dans son état de plaisir, Nathalie se rua sur moi et déchira mon leggings. Complètement nue à mon tour, Nathalie découvrit mon corps, ma frêle poitrine dont les tétons pointaient outrageusement, mes fines auréoles, mon abricot luisant de mouille et intégralement épilée, mon petit trou. J’étais à elle.
Mise sur le dos par Nathalie, cette dernière vint s’attaquer à mes seins, jouant avec sa langue sur mes pointes, les mordillant, les léchant, les triturant, alternant avec finesse ses attouchements. Nath observait mes réactions, me mordillant la lèvre inférieure, elle accentua la pression en me pétrissant les seins.
Hum… Nath c’est bon. J’aime ….. Oh Ouiiiii continue.
Etant très excitée, Nathalie ne voulait pas que je parte trop vite, elle ralentit la cadence de sa succion sur mes seins, pour s’attaquer à mon ventre et mon mont de Vénus.
Ses mains parcouraient mon corps, frôlant avec frustration mon clitoris et mes lèvres vaginales. Je voulais être léchée, doigtée, pénétrée, mais apparemment, Nath voulait jouer avec moi comme je venais de le faire auparavant.
Je me mis à frissonner, à onduler telle une petite chatte. Nath mit fin à cette divine et exquise torture en venant m’embrasser langoureusement.
Ma chérie, je veux être toute à toi, lui dis-je.
Tu vas jouir dans un incroyable orgasme, me répondit-elle.
Sans plus attendre, Nathalie prit possession de mon intimité avec sa langue et ses doigts en même temps. S’occupant avec sa bouche et sa langue de mon clitoris déjà bien excité, ma belle du jour me pénétra avec deux doigts. Je lâchais un petit cri de surprise, mais aussi de plaisir sous cette pénétration brutale. Je me suis mise à onduler du bassin pour mieux ressentir et apprécier ses caresses.
Tu es très étroite et toute serrée, dit-elle.
Oui ma belle… Humm… C’est bon, lui dis-je tout en me pinçant la lèvre.
Ma cyprine et sa salive coulaient jusqu’à mon anus, que Nath prit plaisir à me titiller. Ce dernier s’ouvrant facilement, Nathalie glissa un puis deux doigts. J’étais à présent léchée et doigtée dans mes deux orifices. Une sensation de plénitude me prit de la tête aux pieds.
Toute haletante, je bredouillais, je perdais mes mots. Nath enduisit mon corps d’huile de massage en prenant soin de me tartiner le cul et les fesses. Je n’avais plus aucun doute sur ses attentions.
Oh Nath … C’est bon… Oh Ouiiii. Encore.
Nathalie fouilla dans ma boîte à jouets, prit le gode ceinture. Elle s’équipa de l’instrument, me positionna en levrette et sans demi-mesure, Nath me pénétra d’une vigoureuse et énergique poussée. M’arrachant un cri de plaisir, je sentais le sexe en plastique écarter mes chairs et prendre possession de mon vagin ruisselant de désir, je devenais folle. Je n’avais qu’une envie, d’être prise et baisée comme une salope.
Ma chérie … Oh que c’est… bon. Baise-moi, je suis ta … Hummm salope, criais-je.
Positionnant ma tête contre la table, j’offris à Nath la totalité de mon corps et de mon intimité. Chaque coup de reins se faisant plus intense, je me cramponnais tant bien que mal au bord de la table, je sentais ses cuisses contre mes fesses. Le contact de sa peau contre la mienne me fit défaillir. Ses coups de boutoir firent tomber le bol d’huile ainsi que la boîte à jouets.
Ohhhh … Ahhhh….. Ouiiii va-y. Baise-moi. Défonce-moi.
Ma respiration était bruyante, mon souffle court. Je haletais, j’étais ivre du plaisir que je prenais.
Toujours sous ses assauts, ma coquine se saisit du plug anal. Tout en se regardant mutuellement dans le miroir situé en face de moi, Nathalie porta le plug à sa bouche et le fit disparaître entre ses lèvres, puis frotta le plug contre mes fesses et mon petit trou. Ce petit manège dura quelques minutes. Nathalie pointa l’extrémité du plug sur ma rosette trempée de salive, de sueur et d’huile.
Exerçant une ferme pression sur ma rosette, le plug pénétra mon fondement pour mon plus grand bonheur. J’étais enfin prise des deux côtés.
Ouiiiii… Salope… C’est bon. Prends-moi le cul. J’aime quand tu me sodomises.
Sous mes supplications, Nath faisait sortir puis entrer à nouveau le plug dans mes fesses, me faisant hurler de plaisir à chaque pénétration.
J’étais complètement folle d’envie et de désir. Mon corps entier ne voulait que cela, du plaisir et encore du plaisir. Je me sentais prête à partir à tout moment. Ma respiration était saccadée, bruyante, mon corps, ma tête tremblaient de frissons.
Me sentant au bord de l’explosion, Nath se retira de mon vagin et laissa le plug en place dans mes fesses. Elle se défit du gode ceinture et s’empara du double dong et des perles anales.
Nous allons jouir ensemble, nous serons salopes ensemble, dit-elle.
Oui, viens me rejoindre dans l’orgasme.
Visiblement toujours excitée par l’intensité de notre échange et désireuse de donner et prendre du plaisir, Nathalie cala ses fesses contre les miennes en ayant pris soin de se pénétrer la première avec le double dong dans le vagin et les perles anales dans son anus. Elle se saisit de l’autre extrémité du double dong et tout en reculant, elle trouva l’entrée de mon vagin et me pénétra.
Nous étions toutes les deux en double pénétration, et dans un mouvement de va-et-vient, nous commençâmes à nous limer mutuellement. Sensation divine d’être entre femmes et de se lâcher comme jamais.
Nous pouvions scruter les réactions de chacune à travers les deux miroirs. Nous poussions à chaque coup plus fort, plus loin pour que la pénétration soit complète et profonde. Les réactions de nos corps ne se firent pas attendre longtemps.
Jenn….. Ouiiii … Oh putain, c’est bon. Je pars……
Nath… Ouiii … moi aussi, vas-y plus fort.
Jenn. Tu aimes… Ahhhhh que ….. je te prenne comme …..
Ouiiiii Nath… Hummmmmm !!!!!….. Ahhhhhhh.
La pièce fut remplie de cris, de plaintes, de gémissements, du clapotis du faux sexe nous prenant. La cyprine coulait sur nos cuisses. Nous prenions du plaisir ensemble.
Nous nous sommes écroulées lorsqu’un orgasme foudroyant et soudain et venu nous terrasser. Notre désaccouplement fit tomber le double dong sur le sol. Nous avions joui ensemble et en même temps.
Nous avons eu la force de nous mettre côte à côte sur le dos, jambes repliées. Dans un dernier effort, je me suis touchée le clitoris et dans un dernier accès de plaisir, j’ai expulsé un jet de cyprine qui est venu s’étaler sur la table et le sol.
Couverte de sueur, d’huile de massage, les cheveux ébouriffés, la respiration courte, le bol d’huile sur le sol, ma boîte à jouets renversée, mes habits déchirés, la serviette portant les stigmates de l’écoulement de nos sexes était autant de preuves indiscutables du plaisir que nous venions de prendre.
Nous étions toujours dans un état second, toutes ruisselantes du plaisir pris, les perles anales toujours plantées en elle, mon plug toujours dans mes fesses, que nous avons aperçus nos hommes. Ils se tenaient sur le pas de la porte.
A suivre……..