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Service clients – Chapitre 9




Jour 18

Vendredi est un jour où lactivité est souvent un peu plus faible, RTT obligent. Néanmoins je suis au bureau de très bon matin, ayant passé une mauvaise nuit après lexcitation de la veille. Personne nest encore présent et jen profite pour mavancer dans mon travail, notamment finir un rapport qui aurait du être achevé la veille mais dautres occupations men ayant écarté .

Environ 20 minutes avant lheure dembauche des conseillers, je prends une sacoche dans laquelle je glisse la culotte vibrante et me rends dans la salle informatique, où je suis accueilli par le sourd ronronnement des ventilateurs des serveurs et par leurs diodes clignotantes. Quelques minutes plus tard, Gaëlle entre à son tour, après avoir jeté un dernier regard autour delle pour vérifier que personne ne la remarque.

« Bonjour, Maître ! » dit-elle en se dirigeant vers moi, un demi-sourire aux lèvres.

« Bonjour Gaëlle. As-tu bien dormi ? »

« .pas vraiment, Maître. »

« Ca ne métonne pas trop ! Et as-tu annoncé à ton mari que tu serais absente le week-end prochain ? »

« Nnon, pas encore ; je nai pas eu le temps de réfléchir à ce que jallais lui dire. Mais je vais le faire ce week-end, je vous le promets ! » se rattrape-t-elle

« Jespère pour toi. » lui dis-je dune voix chargée de menaces. « En attendant, viens ici et enlève ton chemisier et ta jupe ! ». Elle est vêtue aujourdhui dun chemisier assez ample sans doute pour cacher un peu le bustier et au tissu assez épais, et dune jupe à peine au-dessus du genou, et chaussée de bottes à talons. Malgré ses cheveux détachés et son rouge à lèvre bien rouge, rien de très sexy. Mais je ne pouvais rien lui reprocher car elle avait néanmoins suivi mes instructions à la lettre. De plus, je mapercevais quelle ne portait pas de culotte et quelle avait bien des bas noirs style DimUp- en-dessous de sa jupe. Bref, le respect de la consigne mais pas lesprit de la consigne. Encore une fois, elle flirtait avec mon autorité, la défiait, mais pas ouvertement. En apparence elle sy pliait, mais cherchait à me faire réagir. La complexité et la résistance en apparence passive de cette jeune femme me surprenait et mexcitait encore davantage.

Je fis mine de ne mapercevoir de rien et ne fit aucun commentaire sur sa tenue. Je passe derrière elle et ajuste son bustier en le relaçant une nouvelle fois, mais beaucoup moins que la veille car elle la déjà serré. Je ne parle pas en tirant sur les lacets, et jai quand même le plaisir de lui arracher un petit « han ! » prouvant que je comprime bien sa poitrine et limite sa respiration. Je repasse devant elle et caresse du dos de la main le haut de ses seins, prêts à jaillir de leur écrin, avec un petit sourire.

Puis je sors de ma sacoche la culotte vibrante et lui tends : « Tu as vu comment ça se met, alors à toi de jouer ! ». Je mécarte un peu pour mieux profiter de la manière avec laquelle elle est obligée de mettre de la salive sur ses doigts pour létaler sur la partie proéminente de lobjet, de sécarter les grandes puis les petites lèvres pour se pénétrer peu à peu, en grimaçant un peu car elle est sèche, avant de pouvoir ajuster les sangles autour de sa taille. Elle mobéit sans me regarder, comme si je nexistais pas et quelle était seule dans la pièce. Une fois prête, elle reprend la pose, le regard toujours baissé.

« Cest bien. Rhabille-toi maintenant »

Elle reprend sa jupe pour lenfiler puis son chemisier. Je veille à ce quelle le laisse suffisamment déboutonné pour quon puisse bien voir la naissance de sa poitrine offerte par le bustier.

« Tu peux reprendre le travail. Concentre-toi bien, ce soir tu devras me faire à nouveau un rapport. Et noublie pas : si tu veux assouvir un besoin naturel, tu viens me demander la permission dabord ! Est-ce compris ? »

« Oui, Maître. » Répond-elle dune voix presque absente.

Je regagne mon bureau après lui avoir laissé le temps de revenir elle aussi. Je nactionne pas de suite linterrupteur mais la laisse travailler et se demander quand elle ressentirait les vibrations sur ses parties intimes. En fin de matinée, aux alentours de midi, elle frappe à la porte de mon bureau et referme la porte derrière elle.

« Oui ? »

« Maître, jai besoin de . Daller aux toilettes. Puis-je enlever ma culotte sil vous plaît ? »

« Non. »

« P..pardon ? »

« Non, il ne me plaît pas ! Je nai pas essayé de te déconcentrer ce matin, me semble-t-il ? Alors je pense que tu peux te retenir un peu, au moins jusquà ta pause déjeuner. »

« Mais cest dans plus dune heure ! »

« Et alors ? »

« Mais jai très envie . »

« Dis-donc, on ta appris la politesse ? Je constate quune fois de plus, dès que je relâche un peu la pression, tu te laisses aller à tes mauvaises habitudes : dabord tu thabilles de telle manière quon ne puisse quasiment pas en profiter, maintenant tu oublies à qui tu tadresses et tu ne termines pas tes phrases . La journée nest pas terminée, Gaëlle, pense à ce qui tattend ce soir si tu ne te reprends pas tout de suite ! » je la menace ouvertement et je constate quelle pâlit un peu. Elle a lair moins absente et beaucoup plus concernée, je ne sais pas si cest à cause de sa vessie qui commence à la faire souffrir ou de la crainte de sa punition du soir. Toujours est-il quelle nose plus rétorquer et quelle baisse les yeux.

Je reprends « tu vas retourner à ton poste et tu attendras 13 heures. Puis tu me retrouveras à la salle informatique, toujours sans être passée au toilettes. Me fais-je bien comprendre ? »

« Oui, Maître » souffle-t-elle

« Alors sors dici et reprends ton travail ! »

Une fois repartie et à nouveau en pleine activité professionnelle, je décide quil est temps de graduer son inconfort : jactionne donc linterrupteur. Elle est tellement surprise quelle en hoquète, ce qui lui vaut deux ou trois regards de collègues amusés. Elle essaie de baisser la tête pour que les gens ne saperçoivent pas de ce quelle ressent et de leffort quelle réalise pour se retenir. Je la fais vibrer une longue minute puis jarrête. Je reprends au bout de quelques minutes pour plusieurs dizaines de secondes. Cette fois Gaëlle ne se fait pas remarquer mais je constate quelle se tortille sur son siège, comme lorsquon a très envie de se soulager et quon ne le peut pas.

Durant lheure qui suit, jalterne les moments darrêt et ceux où les vibrations parcourent son vagin et son clitoris, entretenant à la fois une certaine humidité dans ses parois intimes mais surtout une furieuse envie duriner et probablement une forte douleur dans son bas ventre à force de se retenir. A un moment je crois quelle ne vas pas tenir car je la vois se lever à moitié de son siège et fermer les yeux. Je ne veux pas quelle se fasse remarquer en urinant devant tout le monde, je coupe donc immédiatement lappareil. Mais je me doute quelle nest pas passée loin, et peut-être quelle na pu retenir quelques gouttes. Je juge donc plus prudent dinterrompre mes vibrations à distance jusquà la pause.

Je me rends quelques minutes avant elle dans la salle, en ayant pris soin de passer par les toilettes prendre un ustensile, sans me faire remarquer. A 13 heures piles, Gaëlle se faufile dans la salle et se retrouve devant moi « Maître, je vous en supplie, permettez-moi denlever la culotte afin que je puisse aller aux toilettes. Sil vous plaît, Maître ! » mimplore-t-elle. Toute trace de désinvolture ou dabsence a disparu, et je retrouve la jeune femme prête à tout pour que son inconfort cesse.

« Enlève ta jupe et ton chemisier dabord ! »

Elle arrache à moitié les vêtements et les jette sur une table.

« Tu as mis des bottes aujourdhui. Elle sont belles mais mavais-tu demandé la permission dabord ? »

« Non, Maître ! Mais vous ne me laviez pas interdit ! »

« Mauvaise réponse ! Ce nest pas parce que je ne te linterdis pas que cest autorisé ! Lorsque tu hésites sur un ordre à suivre, tu dois me demander confirmation ! As-tu bien compris ? »

« Oui, Maître. Jai compris ! Sil vous plaît . » implore-t-elle dune voix traînante.

« Pour que tu ten souviennes bien, tu vas rester ainsi cinq minutes, jambes bien écartées, mains sur la tête, avant que je ne tautorise à enlever ta culotte ! Plus vite tu auras pris la pose, plus vite ça se terminera ! »

Elle ne réfléchit pas et se met immédiatement en position, écartant bien ses jambes, dont le galbe est mis en valeur par les collants Dim Up et les bottes, et posant ses deux mains sur sa tête, ce qui a pour effet de faire ressortir davantage sa poitrine.

Bien entendu, jenclenche aussitôt la télécommande. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, et sa respiration saccélère. Je la contourne, tel un charognard reniflant sa proie, et je pose une main sur son ventre. Le tissu est bien tendu, et je le caresse dun air distrait. Puis jappuie un peu juste au-dessus de son mont de vénus, ce qui a pour effet de lui provoquer un petit cri « Pitié Maître ! Je ne vais pas pouvoir tenir si vous faites ça ! »

« Oh mais si tu vas tenir, crois-moi ! Parce que si ce nest pas le cas, tu vas devoir passer le reste de laprès-midi avec une odeur de pisse sur toi ! Et je pense que ça risque dincommoder tes collègues et te gêner considérablement, non ? »

Elle ne répond pas et se mord la lèvre encore plus fort. Elle respire difficilement à présent, et se plie un peu en avant pour se retenir. Le phallus fiché en elle continue le massage de ses parois vaginales et la partie plus haute fait vibrer son clitoris, lhumidifiant sérieusement mais la forçant à serrer fortement ses muscles périnéens pour ne pas ouvrir son canal urinaire. Au bout de 3 minutes, je constate quune larme coule le long de sa joue, leffort et la douleur lemportant probablement sur le plaisir.

« Encore 2 minutes » je lencourage et en même temps je caresse ses fesses et leur donne une claque ou deux. Je constate quelle est sur le point de craquer quelques secondes avant la fin. Jarrête donc la télécommande. Elle respire difficilement mais semble soulagée davoir pu se retenir.

« Tu peux enlever la culotte à présent »

Elle commence aussitôt à sexécuter . Je larrête en retenant son bras « Pardon ? Je nai rien entendu ?! »

« Merci, Maître ! » se reprend-elle aussitôt, telle une élève quon aurait prise en faute.

« Ah, je préfère » je la regarde défaire les sangles très rapidement et enlever lappareil en plastique. Je tends la main pour le prendre. Elle me le donne et me demande « Puis-je me rhabiller pour aller aux toilettes, sil vous plaît, Maître ? »

« Attends un instant ! » son visage pâlit. Je prends la culotte et porte la partie interne sous mon nez « Cest bien ce que je pensais : tu tes laissée aller ! Il y a une légère odeur durine sur cette culotte ! »

« Maître, je ne pouvais pas »

« Tais-toi ! As-tu vraiment envie de pisser ? »

« Oh oui, Maître, je nen peux plus ! »

Je sors lustensile que jétais allé chercher dans les toilettes et que javais rangé sous la table, et le pose devant elle. « Hé bien vas-y ! »

Elle pâlit davantage lorsquelle constate quil y a un seau posé au sol. « Vous voulez que je ..ici.là-dedans ? »

« Tu as envie, oui ou non ? Si tu nas pas plus envie que ça, je le range et je te remets la culotte ! »

« Non, non ! » Reprend-elle aussitôt « Je vais le faire ! »

Elle sagenouille devant moi, au-dessus du seau, quelle agrippe de ses mains, pour positionner son sexe bien au-dessus. Je vois que ses larmes coulent maintenant sous lhumiliation, autant que à cause de lenvie qui la taraude. Je décide dajouter encore un niveau « Regarde-moi ! » ses beaux yeux bleus sont embrouillés de larmes. « Comme tu las salie, tu vas la nettoyer ! Sors ta langue et lèche ! » dis-je en lui montrant la culotte. Elle commence à uriner enfin lorsque je la force à sortir sa belle langue rose et je men sers comme dun instrument de nettoyage, en commençant par la partie en contact avec son canal urinaire, puis en terminant par le phallus le plus gros, que je force à pénétrer tout entier dans sa bouche. Pendant ce temps, sa pisse a continué de jaillir de ses entrailles et sest répandue dans le seau, avec les bruits ordinaires que tout le monde connaît mais qui sont amplifiés lorsquils se font dans un seau en plastique. Lodeur âcre bien caractéristique a également envahie la pièce. Au bout de plusieurs longues secondes, les jets se sont espacés pour finalement séteindre. Je retire la culotte de la bouche de Gaëlle et je lui fais subir une nouvelle humiliation : « essuie-toi avec tes doigts et vérifie que ça ne goutte plus. Je ne voudrais pas que tu tâches la moquette ! »

Elle mobéit et laisse sa main souillée dégouliner dans le seau

« Relève-toi. Maintenant, mets tes doigts mouillés dans ta bouche, pour les nettoyer ! »

Elle hésite devant ce nouvel avilissement, mais se rend compte quelle nest plus à une dégradation près, et se met donc à sucer ses doigts pour les nettoyer. Elle en éprouve un léger haut-le cur mais accomplit sa tâche jusquà ce que je lui ordonne darrêter.

« Bon. Maintenant que tu tes soulagée, tu peux remettre ta culotte et te rhabiller. Je ne te conseille pas trop de boire durant ton déjeuner car je nai plus le temps de jouer à ce petit jeu de laprès-midi. Débrouilles-toi donc pour te retenir jusquà ce soir ! Cest clair ? »

« Oui, Maître » me répond-elle la gorge encore serrée par ses larmes.

« Je te laisse le seau et ce désodorisant. Avant de quitter la pièce tu en passeras un coup, puis tu iras vider le seau aux toilettes avant de le ranger sous lévier. Jai pris le couvercle pour quon ne se rende pas compte, si jamais tu croisais quelquun, de ce quil y a à lintérieur. Tu vois, je pense à toi. Alors, quest-ce quon dit ? »

« Merci, Maître » souffle-t-elle

« Bon, hé bien bon appétit et à ce soir ! » et je la plante là, avant même quelle nait terminé de se rhabiller. Je prends une courte pause pour me restaurer et savoure sadiquement les verres deau qui arrosent mes plats. Laprès-midi se déroule sans incident notable, et je dois me forcer à activer de temps à autre la télécommande pour augmenter linconfort de Gaëlle, car je suis plongé dans un dossier complexe qui accapare mes facultés de concentration. En fin daprès-midi, jai pitié delle car je constate quelle se tortille de plus en plus sur son siège et jarrête de lui envoyer des décharges vibrantes. En revanche elle nose pas se présenter à moi pour me supplier de lui permettre daller aux toilettes, sachant probablement que sa démarche serait vaine et lui vaudrait une punition supplémentaire.

Vers 18h00, Karine passe me voir, son manteau sur le dos, avant de partir.

« Dis-donc, tu as vu Gaëlle ? Elle ma impressionné ! Pas une pause cet après-midi, et je suis allé vérifier son travail : elle a bien avancé. Je pense que lundi en fin de matinée elle aura terminé, alors quon avait prévu jusquà lundi soir. » me dit-elle, agréablement surprise.

« Oui, je suis assez content de constater que je ne me suis pas trompé sur elle : elle a du potentiel , même si de temps en temps il lui faut une piqûre de rappel, voire une bonne fessée ! » terminès-je en plaisantant.à moitié

Elle rigole devant ma plaisanterie sans se douter du fond de réalité qui se cache derrière. Je profite de sa présence pour sonder Karine : « Tu as vu : elle a remis son bustier qui te plaisait, peut-être quelle le sait et quelle le fait pour toi ? » je lui lance sur le ton de la boutade

« Tu plaisantes ou quoi ? Elle est mariée et a deux enfants »

« Et alors ? Ce ne serait pas la première femme mariée qui changerait de bord, non ? »

« Non, évidemment. Mais quest-ce qui te fais penser ça ? »

« Oh, rien de concret, mais lorsquelle parle de toi, cest toujours avec une certaine émotion dans la voix, et elle a les yeux qui brillent, bref des petits signes qui ne trompent pas ! »

« Tu crois ? Non, tu me fais marcher ! »

« Non, je suis sérieux, je tassure que tu ne la laisses pas indifférente. Tu ne tes aperçue de rien dans son comportement dernièrement ? »

« Maintenant que tu men parles . » elle se met à réfléchir « ça expliquerait certains événements de ces derniers jours .Ca alors, je ne men serais pas doutée ! Ce ne serait quand même pas elle  ! » elle réfléchit à voix haute et je ne peux mempêcher de sourire sous cape.

« Elle qui quoi ? »

« Non, non, rien . » se reprend-elle

« Comment rien ? Tu en as trop dit. Allez, raconte ! »

« Non, je ne peux pas . Cest très gênant ! »

« Allez, tu peux tout me dire, ne tinquiètes pas jen ai vu dautres ! » Je la cajole de la voix pour quelle me confie ce que je sais déjà.

« Je ne sais même pas si cest bien elle »

« Elle qui quoi ?! »

« Heu . Hé bien.ce matin, en ouvrant mon bureau, jai trouvé une enveloppe sur laquelle il était noté « cadeau ». Jai cru reconnaître lécriture de Gaëlle, car elle est caractéristique avec ses déliés. »

« Et quy avait-il dans lenveloppe ? »

« Hé bien.disons que ce nétait pas le genre de cadeau quon sattend à trouver sur un lieu professionnel »

« Mais quoi ? »

« .une culotte en satin noir ! » lâche-t-elle en rougissant

« Et tu crois que ce serait la culotte de Gaëlle ? Dans ce cas ce serait une manière plutôt directe de te faire comprendre ses envies à ton égard ! »

« Oui, mais je ne suis pas certaine que cest elle, ça pourrait être quelquun dautre, ou une blague ! »

« Et si cétait elle, quest ce que tu ferais ? »

« Je te lai déjà dit : une relation dans le cadre du boulot, cest trop dennuis potentiels ! Sans compter que tu serais au courant ! »

« Elle te plaît ou pas ? »

« Oui, mais ce nest pas la question ! Comme je te lai déjà dit »

Je la coupe « Oui, je sais ! Ecoute, je vais mener mon enquête de mon côté, tu as bien fait de men parler. Et on verra bien ce qui en ressort. Je te tiens au courant et après tu feras ce que tu voudras, daccord ? »

« OK, je te remercie de rester discret sur le sujet ! »

« Bien entendu ! Je tiens trop à toi pour te mettre dans la panade. Depuis le temps quon se connaît, je te dois bien ça ! Au fait, tu es libre le week-end prochain ? »

« Ce week-end ? »

« Non, le suivant. »

« Oui, je nai rien prévu. Pourquoi ? »

« Oh, il se peut que je tinvite samedi soir ou dimanche midi, jai une nouvelle recette à te faire goûter, jaimerais que tu me dises ce que tu en penses » ma proposition navait rien dinhabituel car Karine savait que jaimais tester de nouvelles recettes de cuisine et que je nétais pas manchot dans le domaine. Elle avait déjà servi de « cobaye » pour mes expériences et navait pas vraiment été déçue jusquà présent. Bien entendu ces repas étaient restés sur un plan purement amical.

« Daccord, tu me préciseras lheure ? »

« Cest entendu. Allez, je te souhaite une bonne soirée ! »

« Bonne soirée également. »

Une fois retirée de mon bureau, jattends encore quelques minutes que le plateau finisse de se vider avant de convoquer Gaëlle. Celle-ci ne se fait pas prier et se met presque à courir pour venir se poster devant moi.

« Que puis-je faire pour vous être agréable, Maître ? »

Je constate avec plaisir que Gaëlle est dans de meilleures dispositions et a bien intégré ses leçons. Comme quoi avec quelques rappels à lordre et des besoins pressants non satisfaits on arrive à bien des choses.

« Comment sest passé ton après-midi ? » je lui demande sur un ton tout à fait professionnel

« Bien, Maître. Jai bien avancé dans mon travail, et je nai pas quitté mon poste comme vous me lavez demandé. »

« Je suis content de toi. Plus content que ce matin, en tous cas, où jai pu déplorer le fait que tu navais pas respecté scrupuleusement mes instructions précédentes. Tu sais bien de quoi je parle : ces bottes, bien quélégantes, ne faisaient pas partie de ta tenue vestimentaire, et tu ne men as pas demandé la permission avant. Idem pour ce chemisier à la toile épaisse, fait pour cacher ton bustier, alors que si je te lai offert cest pour que tu sois fière de le montrer. Heureusement, cet après-midi, tu tes bien comportée. As-tu envie daller aux toilettes pour te soulager ? »

« Oh oui, Maître ! » sexclame-t-elle.

« Bon, je tautorise à enlever ta culotte. Ici, bien entendu. Ensuite tu pourras la nettoyer comme il se doit avant de me la remettre. As-tu parlé à ton mari du week-end prochain ? »

Elle commence à soulever sa jupe sans plus de pudeur et à dégrafer sa culotte aussi rapidement que possible, tout en me répondant : « Non, Maître. Je compte le faire ce week-end. Jattends le moment propice. »

« Et que vas-tu lui dire ? »

« Que je dois aller rendre visite à une amie quil déteste, je lui dirai quelle est malade et quelle a besoin de moi. Elle habite à trois cent kilomètres dici, cest suffisamment loin et cest en pleine campagne. Quand me direz-vous où nous nous retrouverons ? »

« Quand je le jugerai utile. »

Ma rebuffade lui a coupé lenvie den savoir plus. Elle finit denlever son harnachement, puis le porte à sa bouche en fronçant un peu le nez, mais sans tergiverser car elle semble désireuse dêtre libérée pour pouvoir vider sa vessie.

« Lundi matin, tu te passeras de ton bustier. Je veux que tu mettes ta veste de tailleur de lautre jour, mais sans soutien-gorge en-dessous. Avec une jupe plus ample que tes jupes courtes, sans culotte non plus. Dorénavant, à chaque fois que tu porteras ce genre de jupe, tu tassiéras en la relevant suffisamment afin que tes fesses soient en contact direct avec le siège. Par ailleurs, Karine nest pas très en forme en ce moment. Je veux donc que tu ailles la voir au moins quatre fois par jour pour lui demander des détails à propos du travail ou discuter avec elle tout simplement. Au moins deux fois lorsquelle est assise, et en posant tes mains sur son bureau. »

« Mais elle va voir que je ne porte pas de soutien-gorge si je fais ça ! »

« Bingo ! Je vois que tu comprends vite ! Au cas où tu ne laurais pas remarqué, Karine aime les femmes. Tu lui remonteras donc le moral en lui faisant ce petit plaisir visuel. »

Elle ne répond pas mais fait une grimace.

« Ce nest pas une demande, cest un ordre ! Me fais-je bien comprendre ? »

« Oui, Maître ! » sempresse-t-elle de me répondre.

« Bon, puisque nous sommes daccord, je técoute à présent. »

« Pardon, Maître ? »

« Hé bien, ton rapport de la journée ? Tu as déjà oublié ? »

« Non, mais je pensais que . »

« Je ne te demande pas de penser mais de parler : tu pourras te soulager lorsque tu auras terminé. Au fait, tu veux un verre deau ? Tu nas pas bu de laprès-midi, ce nest pas bon. »

« Non, merci, Maître ! » répond-elle, déçue de ne pas pouvoir quitter la pièce immédiatement.

« Si, si, il faut boire : cest un ordre ! »

« Sil vous plaît, Maître, pas ça ! »

« Bois ! Et ensuite tu commences » je lui tends un grand verre deau, la bouteille pleine étant posée sur mon bureau.

Elle prend le verre comme sil sagissait dun breuvage infect et lavale dun trait. Dun côté cela lui fait du bien car elle commençait à avoir la gorge sèche. Mais dun autre, elle sait que cela va amplifier son envie duriner, qui devient très pressante. Elle commence toutefois son rapport, en essayant de synthétiser au maximum.

Je reprends son verre et le remplis à nouveau. « Tiens, encore un ! »

« Maître . » implore-t-elle tout en sachant quelle na pas le choix. Elle le prend et lavale également. Elle se dépêche de reprendre son rapport. Je lécoute dune oreille distraite, mais en lui posant une question de temps en temps. Et régulièrement, je lui tends un nouveau verre deau, quelle avale de plus en plus difficilement, réussissant même à en étaler une partie sur son chemisier.

Je la gronde aussitôt « Regarde un peu ce que tu fais ! On dirait une gamine de dix ans ! »

Elle reprend son rapport en essayant de lécourter, je lui tends un dernier verre : la bouteille est vide. Elle le prend dune main tremblante, narrivant plus à rester debout sans se dandiner et se tortiller sur place.

« Bois ! » je lui ordonne dune voix sans appel.

Elle sait que toute supplique serait inutile, elle sefforce donc davaler le dernier verre sans le renverser. Elle me le tend, vide, avant même davaler les dernières gorgées.

« Ca va mieux ? Ta soif est-elle étanchée ? » je lui demande dune voix mielleuse, la forçant à avaler plus vite pour pouvoir me répondre

« Oui, Maître. Merci, Maître ! Puis-je aller aux toilettes sil vous plaît ? » ses yeux brillent à nouveau et commencent à sembuer sous la tension

« Bien sûr.dès que . » A cet instant, la sonnerie de mon téléphone retentit.

« Oui ? » Je décrochai en faisant signe à Gaëlle de se taire et de ne plus bouger.

Une voix dans le combiné, assez autoritaire, se fait entendre : « Ah, je suis content de vous trouver encore là. Jaurais souhaité vous parler quelques minutes avant le week-end, je sais quil est tard . » Cétait mon directeur général. Je ne pouvais évidemment pas me dérober. « Entendu, je serai dans votre bureau dans 5 minutes. » Je raccroche, contrarié.

« Tu ten tires bien ce soir. Tu peux partir. Nous nous verrons lundi matin. »

Gaëlle baisse sa jupe et sort après mavoir gratifié dun « Merci, Maître. Bon week-end. » et dun demi-sourire un peu forcé. Je la vois récupérer ses affaires à la volée et courir vers la sortie, pour enfin se soulager.

Quant à moi, je ramasse mes affaires et me rend chez mon directeur, où nous parlons dun projet qui lui tient à cur pendant une bonne demi-heure avant que je ne puisse me libérer et rentrer chez moi préparer le week-end suivant.

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