Après une longue journée de travail, Jean-Luc était pressé de rentrer chez lui. Il se demandait encore comment il avait pu réussir ce tour de force. Bon, OK il y avait eu le décès de sa femme dont il se serait bien passé et la frayeur qu’il a eu quand Sharon a perdu son fils dans le bus mais quand même. Il a toujours rêvé de devenir un mâle dominant exerçant son autorité sur une jeune fille soumise. Avant, avec sa défunte femme, les rapports étaient égalitaires avec peut-être une légère supériorité pour madame. Il fondait de grands espoirs en Sharon. Il comptait bien mettre à profit sa méconnaissance des « rapports humains » et en profiter pleinement. Malheureusement, un imprévu professionnel est survenu, ce qui l’a obligé à rester plus longtemps le soir.
De son côté, Sharon était à la fois nerveuse et curieuse de ce que monsieur avait prévu. Sa seule hantise : « Vais-je avoir mal ? ». Quand monsieur est arrivé, Sharon venait de donner le bain à Oscar et s’apprêtait à le coucher. Sharon ayant gardé le diner de son patron au chaud, il le dégusta pendant ce temps-là et une fois rassasié, il souhaita bonne nuit à son fils avant de se tourner vers Sharon et lui dire « Quand vous aurez terminé, vous me rejoindrez dans mon bureau ».
Une heure plus tard, Sharon se retrouvait devant la porte fermée du bureau de monsieur. Elle se demandait si elle devait y aller. Etant donné ce qui l’attendait derrière, elle restait indécise. Oui, elle avait fait une bêtise en oubliant Oscar dans sa poussette dans le bus. Oui elle voulait se racheter mais elle voulait rester vierge. Qu’allait-il se passer si elle poussait cette porte ? Elle n’en savait rien mais c’est après avoir pris une bonne bouffée qu’elle posa la main sur la poignée et ouvrit la porte. Elle retrouva alors un Jean-Luc avec un large sourire derrière son bureau. C’est timidement qu’elle s’est assise en face de lui.
— Bien . Tu es donc venu ? lui dit-il avec un large sourire
— Oui Monsieur répondit elle un peu surprise par son tutoiement.
— Viens plutôt me rejoindre. Ce sera plus facile si tu t’assois sur mes genoux
— Oui Monsieur, j’arrive. dit-elle alors avant d’obéir.
— Voilà ! C’est mieux comme ça. Je suppose que tu n’es pas très à l’aise. Nous allons donc commencer ton initiation doucement : Je vais d’abord te toucher les seins.
D’une main, Jean-Luc défaisait un à un les boutons du chemisier de son employé qui n’osait pas bouger. Une fois retiré, de son autre main dans le dos de la jeune fille, il dégrafa le soutien-gorge, fit sensuellement retirer les bretelles et laissa tomber par terre cette pièce de lingerie. Sharon était là, seins nus, devant son patron qui regardait ces deux mamelles avec un regard gourmand. Par reflexe elle voulut les cacher mais en regardant le visage de son patron qui commençait à faire la gueule, elle a retiré son bras.
— Eh bien ! Tu as des seins superbes. Lui dit-il les ayant déjà vus grâce à ses caméras.
— Merci monsieur.
— Tu as une jolie poitrine, vraiment. Tu devrais en montrer un peu plus au quotidien en défaisant un ou deux boutons sur tes chemisiers par exemple. Lui dit-il en commençant doucement ses caresses.
Sharon était tiraillée entre l’envie de se rhabiller en lui disant « Maintenant c’est fini vous en avez assez profité » et son envie d’en savoir plus sur le sexe. De savoir jusqu’où il allait aller et surtout de savoir ce que ça faisait. D’un côté, elle avait honte de se faire tripoter de la sorte par cet homme mais d’un autre ça l’excitait. Elle ne savait pas pourquoi. Jean-Luc était ravi. Ça faisait plusieurs semaines que Sharon utilisait la crème de jour qu’il lui avait donné, la même qu’utilisait sa femme. Grace au principe actif provoquant des montés de lait contenu dans cette crème, les seins de la jeune fille avaient grossi. Ils étaient plus ronds. Sharon était assise sur le genou gauche de son patron. Jean-Luc faisait vagabonder sa main droite, d’un sein à l’autre, les palpait, . Avec sa main gauche, il la maintenait fermement assise. Puis, il s’arrêta un instant pour la faire s’assoir face à lui, toujours sur ses genoux, une jambe de chaque côté. Sharon se pencha en arrière, prit alors appuis sur le bureau derrière elle pendant que les grosses mains musclées de son patron continuaient leur massage en insistant de plus en plus sur les tétons.
— Il n’y a pas à dire, tu es vraiment belle. Dit-il en commençant à jouer avec les tétons
— Merci monsieur. Répondit-elle en faisant la grimace.
— Et tes seins . Mon dieu. Je ne m’en lasserai jamais. C’est ton futur mari qui va avoir de la chance. Continua-t-il en tirant encore plus sur les bouts
— Je ne sais pas. C’est . AïE !
— Qu’y a-t-il ? Je t’ai fait mal ?
— Non ce n’est pas vous. Depuis quelques semaines, j’ai l’impression que mes seins ont grossi.
— Ah bon ?
— Oui et depuis quelques jours, j’ai mal aux . Comment on dit « Tits » ?
— Les tétons ?
— Oui c’est ça, les tétons.
— Attend un peu des seins plus gros, des tétons douloureux, . Tu permets que je tente quelque chose ? dit-il en retirant ses mains avant d’y retourner pour pincer un des mamelons.
— Oui mais .. Mais c’est quoi qui coule ? s’exclama-t-elle en voyant quelques gouttes blanches couler.
— Du lait. Tu fais des montées de lait.
— Mais comment c’est possible ? Il faut avoir un bébé pour ça normalement.
— Ou alors tu as subit une modification hormonale.
— Et comment ça a pu arriver ?
— J’ai ma petite idée. Soit c’est dû au fait que tu es la seule femme à t’occuper d’Oscar. Ça te donne quelque part l’impression d’être maman et, du coup ça a provoqué quelque chose chez toi sans que tu t’en rendes compte. Soit . C’est de ma faute.
— De votre faute ? Comment ça ?
— Vois-tu, Quand Cécile a commencé à utiliser la crème que je t’ai donné, elle aussi a eu des montés de lait et les mamelons douloureux. J’ai interrogé le fabricant qui nous a informés qu’environ sept pourcent des femmes avaient eu la même réaction, durant leurs tests. J’ai naïvement pensé que tu n’en ferais pas parti. Je me suis manifestement trompé. Raconta-t-il avec un air faussement coupable sachant pertinemment que c’était le but recherché.
— Et vous avez trouvé une solution ? Demanda-t-elle inquiète.
— Oui. Au départ Cécile avait arrêté de prendre cette crème. Et puis finalement elle a repris car cette sensation de plénitude qu’elle ressentait lui manquait. En plus son boulot la stressait terriblement. C’est pour ça qu’elle a repris car elle avait des vertus apaisantes et déstressantes.
— En fait c’est une drogue ?
— Absolument pas. Regarde mieux, ici on peut lire « agréé par le ministère de la santé ». En plus il y a la liste des composants et les coordonnées du fabricant. Si c’était une drogue, elle ne serait pas en vente et aussi accessible. Non c’est une crème de jour avec des propriétés relaxantes tout ce qu’il y a de plus légale.
— Et donc ? La solution que vous avez trouvée ?
— Vois-tu, j’adore les produits laitiers. Lui dit-il avec un large sourire et en rapprochant son visage de celui de son employé.
— Vous voulez dire que
— Oui je lui tétais les seins. Et si tu veux, je peux en faire de même pour toi. Ça soulageait la douleur des mamelons en libérant la pression selon Cécile. Elle aimait ça et Elle avait l’impression que j’étais comme son gros bébé. En plus ça l’a préparé pour Oscar qui a pris le relai ensuite. Alors ? Tu veux essayer ?
Sous couvert de vouloir la soulager et la préparer pour les enfants qu’elle aurait plus tard, Jean-Luc comptait bien retrouver les petits plaisirs qu’il avait perdu au décès de sa femme. Sharon se retrouvait donc avec son patron lui tétant les seins, l’un après l’autre, et il disait vrai. Après une petite douleur au début elle sentait que ça la soulageait. Quand Jean-Luc s’arrêta, il s’essuya la bouche. Puis il saisit la nuque de Sharon d’une main pour rapprocher son visage du sien. Une fois leur deux visages à quelques centimètres l’un de l’autre, Jean-Luc lâcha un « Tu me plais vraiment » avant de l’embrasser goulument. D’abord surprise, Sharon se laissa faire. C’était la première fois qu’on l’embrassait de la sorte. La présence de la langue de son patron dans sa bouche l’embarrassait mais elle ne protesta pas et ne ressentait pas l’envie de le faire. Après ce fougueux baiser, Jean-Luc voulu passer à l’étape suivante, vu qu’elle ne semblait pas contre.
— Bien ! Je constate que ça à l’air de te plaire ? Dit-il en restant à quelques centimètres de Sharon
— C’est que
— Ne me ment pas. Si ça t’avait vraiment déplu, tu m’aurais dit « non », n’est-ce pas ? Tu as envie d’en savoir plus sur le sexe, hein ? D’expérimenter de nouvelles choses ? Demanda-t-il avec un sourire satisfait et en lui caressant les cuisses.
— Bah . Euh .
— Bon passons aux choses sérieuses. Dit-il en la soulevant pour la faire s’assoir sur son bureau puis en glissant ses mains sous la jupe de la jeune fille.
— Mais que faites-vous ? S’exclama-t-elle en sentant les mains de son patron s’immiscer plus loin sous sa jupe.
— Je retire ta culotte. Ça va gêner pour la suite.
— Mais vous m’aviez promis que je resterai vierge et .
— Mais j’ai bien l’intention de tenir ma promesse. Tu ne devines pas ce que j’ai l’intention de faire ? Tu l’as pourtant déjà vu sur les films que tu as regardé en cachette, là derrière.
— Vous voulez me lécher ? Vous voulez me faire un cumulus ?
— Tu as deviné. En fait le mot exacte c’est cunnilingus. Un cumulus c’est un nuage. Tu verras, ça se passera bien.
— Je ne sais pas .. ça ne risque pas de .
— Ne t’en fais pas, tu garderas ta vertu pour ton future mari. J’ai de l’expérience et je sais comment faire.
Jean-Luc se mit alors à genou devant son employé et plongea la tête sous la jupe. Sharon était assise sur le bureau de son patron, penchée en arrière et les mains en appuis derrière elle. Son corps était parcouru par des sensations nouvelles. Sous les coups de langues de son patron, Sharon commençait à soupirer de plus en plus. Elle appréciait ce que son patron lui faisait et semblait peu à peu entrée dans une sorte de transe. Alors qu’il lui faisait son affaire, Jean-Luc la maintenait d’une main et de l’autre il continuait à lui caresser les seins. Sentant qu’elle approchait de la jouissance, il accéléra alors la cadence jusqu’à l’entendre jouir pour la première fois.
Sharon venait d’avoir son premier orgasme et elle était encore sous le choc de cette sensation. Jean-Luc sorti alors de l’entrecuisse de la demoiselle et il était content. Il n’avait qu’une hâte : Qu’elle lui rende la pareille.
— Alors ? Apparemment ça t’a plu ?
— C’était fort comme sensation. C’est toujours comme ça le sexe ? dit-elle en reprenant progressivement son souffle
— Non, parfois c’est encore meilleur mais pour ça il faut . Je pense que tu as compris ?
— Oui j’ai compris.
— Tu vois, je t’initie au plaisir charnel tout en te préservant.
— Merci monsieur
— Ravi que ça te plaise. Tu sais le sexe c’est surtout un moment de partage. On donne pour recevoir.
— Que voulez-vous dire ?
— Eh bien, je m’étais dit que, après avoir pris du plaisir, tu serais peut-être d’accord pour m’en donner. Lui dit-il en se rasseyant sur son fauteuil et en commençant à défaire son pantalon.
— Je ne sais pas . Que voulez-vous ?
— Réfléchi un peu. Je sais que tu es intelligente alors souviens toi des films que tu as vu dans la petite pièce à côté. Lui dit-il en sortant sa queue à l’air libre.
— Une fellation ? C’est ce que vous voulez ?
— Je savais que tu allais trouver. Je remarque que tu ne décroches pas ton regard de mon pénis. Tu as remarqué comme il se dresse bien ? il pointe en ta direction.
— Je ne sais pas, j’ai un peu peur.
— Tu ne vas pas jouer l’ingrate quand même ? Pas après le plaisir que tu as pris ?
— Ce n’est pas ça. Il s’agit quand même de mettre ce qui vous sert à faire pipi dans ma bouche.
— Je te signale que c’est ce que je viens de te faire et je n’ai pas fait autant de manière. Je sais qu’aux USA les français passent pour des gros dégueulasses mais moi je me lave. Et puis, si c’est pour le gout que tu t’inquiètes, j’ai ça. Lui dit-il en sortant une petite bouteille de son tiroir.
— Qu’est-ce que c’est ?
— Une lotion parfumée. Je dois te dire qu’au début Cécile n’aimait pas ça non plus. Tout comme toi, elle avait une appréhension pour le gout. Au début elle faisait le minimum syndical mais plus tard on a compris qu’on pouvait faire ça avec du miel, de la confiture et quand on a découvert ce type de lotion, elle a changé d’avis. Tiens sent. Demanda-t-il à Sharon en lui tendant la bouteille décapsulée.
— Ça sent la fraise.
— A partir du moment où on a commencé à utiliser ce genre de produit elle a commencé à aimer. Elle disait qu’elle avait l’impression d’avoir un gros bonbon dans la bouche. Tu veux essayer ?
— Madame était gentille avec moi. Elle a toujours été de bon conseil pour moi .. Je veux bien essayer, je lui fais confiance.
— Parfait. Viens descend du bureau et mets-toi à genou devant moi entre mes jambes . Voilà comme ça. Tiens prend la lotion. Tu t’en mets un peu sur les doigts et tu l’étales sur toute la surface . Voilà, comme ça . C’est la première fois que tu touches un sexe d’homme ? Lui demanda-t-il en constatant qu’elle lui obéissait au doigt et à l’il.
— Oui, c’est la première fois.
— Alors verdict ?
— C’est chaud et doux.
— Je pense que ça suffit là. Tu vas pouvoir commencer . Voilà, prend le bout entre tes lèvres comme ça, et tu descends. C’est bien . Euh par contre, fais attention avec tes dents je les ai senti et c’est désagréable.
— Pardon. Répondit-elle en se relevant.
— Aller va-z-y, recommence Voila tu prends en bouche et tu descends. Tu remontes et tu redescends Voilà c’est bien. Tu peux aussi lécher tout le long et aussi titiller le bout avec ta langue .. Voilà comme ça tu te débrouille très bien.
Enfin ! Jean-Luc avait enfin sa queue dans la bouche de sa jeune fille au pair. Depuis le temps qu’il attendait ça Il espérait bien, sous couvert de lui enseigner certaines choses, pouvoir prendre du plaisir avec elle, retrouver un semblant de vie sexuelle et pourquoi pas la convaincre de s’offrir à lui. Qui sait ? Peut-être allait-elle changer d’avis ? Jean-Luc savourait son plaisir. Sharon y allait doucement et il aimait ça. Elle était un peu maladroite dans ses gestes mais comme c’était sa première fois, il se disait qu’elle allait avoir tout le temps pour s’exercer. Jean-Luc était là, les yeux fermés, la bouche à demi ouverte et la tête un peu en arrière à ronronner comme un gros chat. Sa main gauche posée sur l’épaule de Sharon pour la maintenir et la droite à lui caresser les cheveux.
— Ah, Mon dieu ! Sharon, tu me fais un bien fou . Mmmmh, c’est fou ce que ça m’avait manqué .. Ah ! je sens que ça vient. Je vais jouir. Attend laisse toi faire pour la fin. Laisse-moi diriger. Lui dit-il en lui empoignant la tête de ses deux mains pour donner la cadence.
— ..
— Oui ça vient, ça vient, Aaah ! Oui, c’est bon !
— Beurk ! fit alors Sharon en recrachant par terre un liquide blanc et visqueux, ne s’attendant pas forcement à ce qu’elle venait de vivre.
— Qu’y a-t-il ? Un problème ? demanda-t-il surpris de la réaction de sa partenaire.
— Oui, il y a un problème. Vous venez de me faire pipi dans la bouche. Lui répondit-elle en colère.
— Mais non ce n’est pas ça. Ce n’est pas de l’urine. C’est du sperme.
— Du sperme ?
— Tu ne sais vraiment pas ce que c’est ? On ne t’apprend rien sur ce sujet chez toi ?
— Non, Chez moi les filles n’ont pas à savoir ce genre de choses. Elles apprennent par l’expérience avec leur mari.
— OK, mais tu en as pourtant déjà vu dans mes films. Le sperme c’est Disons pour simplifier que c’est la petite graine du papa.
— Et vous avez voulu faire quoi au juste ?
— Rien de particulier en fait. Quand un homme jouis, qu’il a un orgasme, il éjacule son sperme. C’est un fait biologique et incontrôlable.
— Ah D’accord.
— C’est vrai que j’aurais dû te prévenir. J’espère que je ne t’ai pas trop choqué ?
— Non maintenant je comprends mieux mais, du coup, si l’homme éjacule dans la bouche, que doit faire la femme ?
— Ça dépend. Certaines l’avalent, beaucoup le recrache malheureusement, d’autre s’amuse à se l’étaler sur le visage ou les seins. C’est soit disant bon pour la peau, il parait. Je ne t’oblige à rien, tu fais ce que tu veux . Sauf le recracher par terre comme tu viens de le faire. D’ailleurs tu vas me nettoyer ça s’il te plait.
— Oui monsieur.
— Bon, bah c’était malgré tout très bon. Tu étais toutefois un peu maladroite mais je ne doute pas que tu vas t’améliorer pour nos prochaines séances.
— Vous voulez recommencer ?
— Oui bien sûr. Tu sais, vu la description que tu m’en as fait, je doute que ton future mari s’attarde sur ton plaisir par contre, il risque fort de te demander des fellations.
— Et vous me ferez aussi du bien ?
— Bien sûr sauf si tu me dis non.
Après cette séance, Jean-Luc est allé dans sa chambre et Sharon dans la sienne après avoir nettoyé. Jean-Luc s’est endormi, ravi de sa petite séance de ce soir. Il s’est imaginé dans son lit avec Sharon qui s’offrait à lui et il se voyait en train de la prendre dans toutes les positions possibles. Par contre, pour Sharon, c’était autre chose. Elle venait à peine de réaliser ce qu’elle avait vécu. Oui, elle avait aimé l’orgasme qu’elle avait eu. Malheureusement, avec la règle du donnant-donnant que son patron avait évoqué, elle savait qu’elle allait devoir de nouveau le sucer pour en avoir un autre. Pour les montées de lait, soit elle laissait son patron se désaltérer sur ses mamelles soit elle arrêtait la crème de jour. Elle était loin d’imaginer que son boulot en France allait prendre une telle tournure.