Le beau serveur

Je m’appelle Juliette, j’ai vingt sept ans, je travaille dans une petite boite ou je gère les approvisionnements, je suis responsable logistique. Je mesure un mètre soixante-neuf, j’ai de belles proportions, beaucoup de mecs, comme de femmes, se retournent sur moi, et j’aime ça.

Je suis en vacances dans une station balnéaire du sud de la France depuis une petite semaine. J’ai bien profité du soleil, avec un corps uniformément bronzé, mais je suis toujours seule, les quelques mecs qui se sont intéressés à moi étaient vraiment des gamins, sans intérêt.

Depuis le début de mon séjour, j’ai repéré un des serveurs du restaurant gastronomique du premier. Beau gosse, grand, athlétique, bien bronzé et toujours souriant. Mais, malgré mes efforts, je n’arrive pas à capter son attention, il me sourit, est toujours très prévenant, mais j’ai l’impression que c’est plus professionnel qu’autre chose. Ce mec retourne tous mes sens, j’ai une énorme envie de le mettre dans mon lit.

C’est mon dernier jour de vacances, la journée s’est bien passée, j’ai décidé de faire un extra aujourd’hui. Je suis dans la salle à manger du restaurant gastronomique de mon hôtel. Je veux en avoir le cur net avec le serveur, c’est aujourd’hui ou jamais. Il fait chaud, je ne porte qu’un débardeur très décolleté et très échancré sur les côtés, laissant mes seins nus pratiquement découverts, et une jupe mauve courte et moulante sur un minuscule string blanc lui aussi. On peut parfaitement voir mes jambes et une bonne partie de mes seins. Je me suis apprêtée, parfumée, faite belle, ce qui fait que je suis arrivée un peu tard au restaurant. Je suis assise à une table, seule, au fond de la salle à côté de la baie vitrée. C’est une table stratégique, car je suis isolée, le serveur ne peut voir que moi quand il vient dans le coin, de plus, je peux voir toute la salle tout en ayant une magnifique vue sur la mer.

Le serveur vient vers moi, je remarque que son regard se dirige très souvent sous la table, en direction de mes cuisses que je garde serrées. Il arrive à ma table en souriant et dépose le menu devant mon assiette, ses yeux passent quelques secondes à admirer ce qu’il peut voir de mes seins, surtout que mes tétons pointent orgueilleusement et tendent le peu de tissu de mon débardeur.

Bonjour mademoiselle, je vous laisse choisir, je reviens dans cinq minutes.

Merci, au fait, comment vous appelez-vous ?

Julien.

Ce n’est pas vrai, moi c’est Juliette, serait-ce un signe ?

Il me sourit, tourne les talons et retourne à ses occupations. Je choisi une entrée légère et un homard à l’américaine. Julien revient.

Vous avez choisi mademoiselle ?

Oui, ce sera une salade de la mer et un homard à l’américaine.

Très bien mademoiselle, vous boirez quelque chose avec ?

J’aimerais, mais je ne peux pas prendre une bouteille pour moi toute seule.

Nous pouvons vous servir du vin au verre, je vous conseille de l’eau pour la salade et un verre de Meursault pour le homard.

Parfait Julien, mais eau plate s’il vous plait.

Très bien mademoiselle.

Il me regarde, ses yeux passent en alternance de mes yeux à mes seins. Je le sens un peu plus fébrile que tout à l’heure. Son sourire est devenu plus malicieux. Il reprend la carte.

Je vous amène la salade tout de suite mademoiselle.

Je le regarde s’éloigner, je vois ses très belles fesses onduler sous son pantalon moulant. Soit il porte un string, soit il n’a rien dessous, aucune trace de slip sous son pantalon. Je suis de plus en plus excitée, ce Julien me plait beaucoup, il faut que j’arrive à le mettre dans mon lit cette nuit. Quelques minutes plus tard, il revient avec mon entrée et une bouteille d’eau. Ses yeux ne quittent pas mes jambes que je maintiens toujours serrées, je ne veux pas passer pour une fille facile. Il dépose l’assiette devant moi, rempli mon verre d’eau. Là, se sont mes seins qui l’intéressent, ses yeux sont rivés dessus.

Bonne appétit mademoiselle.

Merci Julien.

Il me sourit, vérifie que tout est en place sur la table, il manque le pain.

Désolé mademoiselle, je vais en chercher tout de suite.

Il fonce vers la cuisine et revient presque en courant pour déposer une corbeille de pain sur la table.

Encore une fois, désolé mademoiselle, bon appétit.

Après un dernier coup d’il sur mes seins, il tourne les talons. Tout en dégustant ma salade, je remarque qu’il passe plus souvent qu’avant près de moi en regardant dans ma direction. Une fois il s’approche.

Tout va bien mademoiselle ?

C’est parfait, délicieux, mais je préfèrerais que vous m’appeliez Juliette.

Ce n’est pas possible mademoiselle, je dois garder une certaine distance avec mes clients, c’est la politique du restaurant.

Bon, va pour mademoiselle.

Il sourit, les yeux rivés sur mes tétons qui pointent, se retourne et se dirige vers une autre table. Je suis de plus en plus excitée, je sens mon string s’humidifier, il doit avoir une belle auréole. Ce Julien me plait bien, je serais très déçue si rien ne se passait entre nous.

Je finis tranquillement ma salade. Quand j’ai fini, il arrive pour débarrasser mon assiette et nettoyer les miettes de pain. Je me penche un peu sur le côté gauche pour prendre mon téléphone dans mon sac. Ce faisant, je dévoile complètement mon sein gauche en espérant qu’il se régale du spectacle. Il repart vers les cuisines pour revenir deux minutes plus tard avec mon homard et une grande serviette. Il dépose le homard devant moi et déplie la serviette.

Il faut vous la mettre autour du cou, car si vous vous tachez avec la sauce, votre magnifique débardeur est foutu, cette serviette vous protègera.

Il me la tend, son regard fixé sur mon débardeur, mais je décline.

Mettez la moi, vous devez avoir l’habitude.

Il me regarde un peu déstabilisé mais passe derrière moi, fait glisser la serviette sur mon débardeur et la noue derrière. Ses doigts glissent sur la peau de mon cou, et le haut de mes épaules comme une légère caresse. Je constate avec plaisir que ça prend un peu de temps, il fait durer. Ses doigts entrent en contact avec le haut de ma colonne vertébrale qui est une zone très érogène chez moi. Je suis parcouru d’un frisson. Je ne sais s’il l’a ressenti, mais il me regarde différemment en repartant, j’ai l’impression que quelque chose s’est passé. Il revient avec une bouteille de vin ouverte qu’il me présente en me regardant.

Meursault 2005 mademoiselle, je vous sers ?

S’il vous plait.

Il remplit mon verre, me sourit et retourne à son service. Je déguste tranquillement mon homard, je ne suis pas pressée. Je remarque une nouvelle fois qu’il passe de plus en plus souvent pas loin de moi en me regardant et en souriant, je lui rends son sourire. Je relâche la pression sur mes cuisses qui s’ouvrent un peu. Je vois le restaurant se vider doucement. Quand il voit que j’ai fini mon homard, il vient vers moi toujours en regardant mes jambes, mais cette fois, elles sont beaucoup moins serrées, il doit pouvoir apercevoir mon string blanc en haut de mes cuisses.

Je peux débarrasser mademoiselle ?

Oui, bien sûr, mais d’abord, enlevez-moi la serviette s’il vous plait.

Bien sûr mademoiselle.

Il passe derrière moi, une main se glisse sous la serviette et vient caresser mon cou en insistant un peu plus que nécessaire. Je suis de nouveau secouée par un frisson. Il enlève la serviette en passant sa main devant moi, mais elle accroche un peu une bretelle de mon débardeur et dégage une nouvelle fois complètement mon sein gauche. Je ne réagis pas, mais cette fois, je peux constater que la vision de mon sein découvert l’émeut fortement. Il dégage la serviette.

Je suis confus mademoiselle, je vous prie de m’excuser.

C’était si désagréable à voir que ça ?

Il ne dit rien, quand il est de nouveau devant moi, il est rouge écarlate.

Vous prendrez un dessert mademoiselle ?

Non merci, juste un café et la note s’il vous plait.

Très bien mademoiselle.

Il m’amène mon café et la note du repas.

Avez-vous un feutre s’il vous plait ?

Il me regarde étonné par cette demande, mais réagit de manière professionnelle.

Je vous amène ça tout de suite mademoiselle.

Je paye la note en liquide et bois mon café. Il revient avec un feutre, le dépose sur la table, prend l’assiette de la note et l’argent, me sourit.

Vous pouvez garder la monnaie.

Merci beaucoup mademoiselle.

Quand il est assez loin, mon regard fait le tour de la salle, il n’y a plus qu’un couple à l’opposé qui me tourne le dos. Je me soulève légèrement de ma chaise, passe mes mains sous ma jupe et fais glisser mon string jusqu’à mes chevilles. Je l’enlève et remarque qu’une belle auréole le décore à l’emplacement de ma vulve. Je le porte à mon nez, c’est parfait, il dégage une forte odeur de ma sécrétion. Je déchire un bout de la nappe pour écrire « Pouvez-vous me le rapporter chambre 517 ? ». Je pose mon string sur le papier, le feutre dessus et sort rapidement de la salle.

Arrivée dans ma chambre, je prends une douche et me prépare à toutes éventualités en me faisant un lavement. Je m’allonge sur mon lit, nue, et j’attends, je n’ai pas verrouillé la porte. J’attends en jouant sur mon smartphone, mais je commence à désespérer, ça fait plus d’une heure que j’ai quitté la salle, il ne restait plus de client quand je suis sortie, je commence à me dire qu’il ne viendra pas, peut-être est-il homosexuel ?

On frappe à la porte.

Entrez, c’est ouvert.

Mon cur bat la chamade, la porte s’ouvre sur Julien. Il s’est changé, il porte un tee-shirt et un bermuda. Il tient mon string devant son nez en me souriant. Il s’avance lentement vers moi, ses yeux me détaillent de haut en bas et ce qu’il voit à l’air de bien lui plaire. Il s’immobilise à côté de mon lit. Je vois une grosse bosse sous sa ceinture. Je suis dans un état second, je suis nue, allongée sur mon lit, offerte devant lui qui me regarde avec tendresse. Il me tend mon string.

Je crois que vous avez oublié quelque chose au restaurant mademoiselle.

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