L’eau coulait sur mon corps, tandis que je réfléchissais a ce qu’il venait de se passer. J’ai carrément baisé (plus que faire l’amour, car ici, il n’y avait que sexe au programme) deux amies que je connaissais depuis quelques années. Pas comme la sexy cindy. Mais le problème, c’est le retour a la réalité. Je me souviens du visage horrifié et gêné de cindy, alors comment réagiront deux de mes amies, en se rendant compte de ce qu’on a fait? Personnellement, je m’en foutais, pour moi cétait juste du sexe, pas comme si nous étions infidèle a nos couples. Mais il fallait que je fasse attention a mon don, pour ne pas perdre toutes mes amies juste pour un plan sexe: le monde regorge de jeunes filles inconnues. Après cette bonne douche, je descendis voir si elles sétaient réveillées. Je ne vis aucune trace d’elles, et un peu déçu, je retournais dans ma cuisine. La surprise, se tenait Anne, toujours nue, en train de grignoter des biscuits.
-Mimi est déjà partie, toute gênée la pauvre, m’expliqua-t-elle d’un air détaché.
-Et toi, tu ne t’es pas enfui?
-Pourquoi m’en irais-je? J’ai pris un pied d’enfer tout a l’heure, maintenant j’ai faim.
Je fus abasourdi, moi qui croyait que:
-ça ne t’a pas dérangé un plan a trois avec moi et mimi?
-C’est vrai que j’ai été surprise que ça dégénéré mais bon, c’est fait alors autant en garder bon souvenirs, et toi, tu fais super bien l’amour. Je peux emprunter la douche?
Un peu surpris par cet aveux, je lui indiquais le chemin d’un air absent. En passant, elle glissa sa main sur mon sexe et me murmura a l’oreille:
-je laisse la porte ouverte, puisqu’il n’y a que nous deux.
Je mis quelques secondes a comprendre et je courus la rejoindra sous la douche, ou nous fîmes a nouveau l’amour.
Me voila dans mon salon, rêveur. Anne était partie depuis 30 minutes, me laissant a mes pensées. Elle avait spécifié qu’on ne formerait pas un couple mais des sexfriends. Ça m’allait, surtout que je n’aurais pas a lensorceler a chaque fois. Je fus pris d’envie de sortir, de prendre l’air, pour penser tranquillement. IL y avait une rue piétonne sur le coté. Je sortis de chez moi et partis me balader, faisant des arrêts dans mes magasins préférés, m’acheter un truc a manger. Soudain, je croisais deux jeunes filles qui retinrent mon attention. Deux petites asiatiques, comme je fantasme. Elles étaient petites, les cheveux noirs, habillés léger (il faisait chaud) Une idée me traversa l’esprit, osée mais excitante. La chaleur envahit mon entrejambe et je suivis ces deux filles. Elles sarrêtèrent devant une boutique de vêtement et je m’approchais l’air de rien. Au moment ou je faillis les toucher, elles changèrent de direction. Je poursuivis ma filature et je pus leurs toucher les fesses quand elles se penchaient sur un étal. L’effet fut saisissant, elles se retournèrent d’un blog et quand elles me virent, elles se jetèrent sur moi et me firent la bise.
Nous continuâmes a marcher comme si nous nous connaissions depuis longtemps, j’appris qu’elles s’appelaient Ling, une vietnamienne avec les yeux bleues et une poitrine plutôt alléchante, et Van, aussi vietnamienne, qui avait les yeux marrons, des petits seins, et un joli cul.
nous allâmes aux parcs, ou je les emmenais dans un coin discret. La discutions dévia sur leurs goûts, et je leurs demandais en rigolant quels étaient leurs goûts d’homme. Elles me répondirent qu’elles étaient encore vierge mais qu’elles voulaient le faire avec un homme blanc et Ling se jeta sur moi pour m’embrasser, sa main sur mon jean , je durcis vite, et agrippait son petit cul, pour lui serrer fort. Van vint auprès de son ami, déboutonna mon jean, et sortis ma queue, qu’elle lécha timidement. Jétais aux ange. Je leurs dis qu’on allait le faire vite fait et quaprès, on irait le faire chez moi.
Pour deux vierges, elles ne furent pas gênée et acceptèrent. Je retournais Ling, glissant ma verge humide de la salive de van et la glissa sous sa jupe. Ling retira précipitamment sa culotte et se pencha, m’offrant son sexe. Je mis mon gland devant son trou et lenfonçait doucement. Elle gémis sur le coups et je sentis l’hymen me bloquer. Je pris ses seins dans mes mains et d’un gros coups, défonçait son hymen et entrant entièrement en elle. Elle cria de douleur mais je n’en avais cure et je la pénétrais en serrant ses seins, je sentais a quel point elle était serrée et cela me faisait un bien fou. Elle avait les même petits cris que dans les film porno asiatique et plus je la besognais, plus elle hurlais et arquait son corps. Elle ne mit pas longtemps a se serrer d’avantage et je la sentis jouir.
Je me retournais en sortant mon sexe et fis face a van. Elle ne savait comment réagir donc je l’allongea sur le sol, arrachant a moitié sa culotte, et pénétra un doigts dans sa chatte poilue. elle gémis aussi et mouilla assez abondamment, je pris ma verge et m’allongeait sur elle, en évitant quand même de lécraser, puis je menfonçais en elle, déchirant son hymen de la même manière. Et je parti en force, la prenant comme son amie, mes couilles battant contre ses cuisses, la petite van criant de douleur et de plaisir. Elle jouit aussi vite que son amie mais je continuais jusquà sentir la sauce monter et jéjaculais profondément en elle, soupirant d’aise avec elle.
Je me relevait en reboutonnant mon jean, et leurs fis signe de me suivre, pour aller prendre du plaisir chez moi.