Donc nous en restâmes là ce soir et le lendemain matin après l’avoir quitté pour le boulot, je rencontrais F dans la résidence.
— Bonjour lui dis-je, alors pas trop fâché de l’attitude de Sylvie hier ? Dis-je en rigolant.
— Salut dit-il, j’espère qu’elle ne l’a pas trop mal pris ?
— Mais non, au contraire elle est toute confuse !
— Je comprends pas dit-il, ça partait bien, elle a accepté le baiser et elle m’a laissé retirer mon short, elle a pris ma queue, elle m’a branlé, j’ai voulu la ré-embrasser et elle a hurlé ! J’ai rien compris !
— Ah bon elle a réagi comme ça, c’est pas ce qu’elle m’a dit, enfin bon elle va se racheter appelez la et passez la voir, il y aura sûrement une bonne surprise pour vous !
Je n’en dis pas plus et partit au boulot.
A 10heures Sylvie m’appelle :
— Tu sais pas F m’a appelée et il vient me voir dans cinq minutes. Qu’est-ce que je fais ? Je le reçois ou pas et comment ?
— Tu te mets à l’aise comme l’autre fois et tu le reçois très gentiment. Tu te laisses faire et tu le suces pour te racheter. Il sera aux anges sa femme doit même pas lui en faire et il nous fera toujours des prix pour la viande et peut être même plus alors fais en le maximum ma chérie !
Elle raccrocha ! Je me demandais ce qu’elle avait pu comprendre et ce qu’elle ferait mais bon ! On verra, j’ai confiance en elle !
Le soir je rentrais et trouvais Sylvie heureuse de me retrouver, joyeuse, espiègle. Je me dis que la visite de F lui avait convenu et j’attendais pour savoir ce qui s’était passé.
Quand je lui demandais comment s’était passée la journée elle dit ;
— Pas mal, pas mal ! Et rien de plus. Alors j’insistais
— Et F il est venu ?
— Oui !
— Et alors ?
— Ben….. Bon je vais tout te raconter.
Comme tu m’avais dit de faire, j’ai remis les vêtements de l’autre fois mais bien fermés pour pas l’exciter, je savais pas ce que j’allais faire. J’avais rien mis en dessous, on sait jamais.
Il a sonné, j’ai ouvert et on est resté tous bêtes l’un et l’autre ! Enfin je lui dis d’entrer et lui fit la bise, il avait le souffle court, il était fébrile mais correct alors je m’excusais pour hier, il s’excusa aussi et je linvitais à prendre un verre pour nous réconcilier.
Il prit un whisky et moi aussi, un tout petit !
Je m’assis devant lui et nous discutâmes de la vie. J’étais bien, peut-être la boisson ?
J’ai eu envie de l’exciter à nouveau. Alors doucement j’ai écarté les cuisses je voulais lui remontrer ma chatte !
Ça n’a pas tardé, dès qu’il a vu il s’est agité et me dit :
— C’est bien pour moi ce que tu fais ?
— Oui, regarde ! Et je me levais et allais vers lui en ouvrant mon corsage. Quand je suis arrivée devant lui, je lui offris mes seins nus. En se levant il prit un sein dans chaque main et les caressa. Je sentais ses doigts me triturer et ça m’excita, je collais ma bouche sur la sienne et introduisit ma langue non sans un frisson ! J’avais un drôle de sentiment : dégoût et excitation de faire quelque chose de mal et même… sale !
Me caressant la figure, il me dit :
— Tu es belle Sylvie, montre-moi plus et il ôta mon chemisier et descendit ma jupe me mettant toute nue devant lui. Il s’écarta pour me regarder.
J’eus un frisson de dégoût de présenter mon corps nu à cet homme laid.
Sa main descendit sur mon sexe et je sentis ses gros doigts rêches écarter mes lèvres.
Il se laissa tomber à genoux devant moi et m’écartant les cuisses se mit à me lécher. Il a une longue langue dis donc et je sentis des vibrations de plaisir dans mon sexe comme jamais je n’ai ressenti, c’était extraordinaire ! J’ai joui instantanément en tremblant et frissonnant de plaisir à la fois.
Il fallait que je lui rende ce plaisir ! Je le relevais et il m’introduisit un doigt. Je me dégageais et mis la main dans son short en lui prenant sa bite molle et la décalottant c’était très humide, beurk ! De la pisse sûrement ?
Il me dit
— Oui, branle, vite !
Elle grossit lentement dans ma main, je branlais fort et vite.
Il me tordit un sein violemment, je criais de douleur et plus j’avais mal plus je secouais sa queue fortement.
Il aimait ça !
Moi, son mari j’écoutais son récit en silence et je voyais qu’elle revivait ces instants en les relatant ! Alors je lui dis :
— Dis donc ça a eu l’air de te plaire ! Elle est comment sa queue ? Comme sa langue ?!!!
— Ca t’intéresse ? Cochon ! Eh bien elle est assez longue et pas trop grosse mais un peu moins longue que celle de Marc. Dit-elle en rigolant ! Attends je continue :
Il me dit
— Tu suces ?
J’ai hésité mais pour aller plus vite pour m’en débarrasser et lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné, décidée à le satisfaire, je descendis à ses genoux et dégrafais son short, il n’avait pas de slip ! Il avait une odeur très forte mais je me forçais à rester.
Toujours en le branlant j’ai réussi à lécher sa bite (pour lui nettoyer !) malgré des haut-le-cur.
Il dit :
— Mets ton doigt dans mon cul, vite !
Je mis mon index à l’entrée de son anus, j’avais jamais fait ça !
— Vas-y vite, cria-t-il
J’entrais mon doigt, c’est chaud et serré je sentais ses palpitations c’est très spécial mais pas déplaisant.
— Oui, oui, vas-y !
Alors je l’ai enculé avec ce doigt, j’ai trouvé ça drôle !
A chaque coup de langue il se contractait. Je me demandais si ça lui faisait mal mais en fait non, c’était de plaisir de sentir ma langue sur sa tige ! J’insistais avec ma langue, n’osant pas emboucher la queue du vieux, lui léchant les couilles aussi. Je faisais mon doigt aller et venir dans son cul !
Ça dura un moment mais cette bite devant ma bouche ! J’ai eu envie de sucer !
Enfin j’embouchais sa queue et très rapidement il me prit la tête à deux mains et s’enfonça de tout son long dans ma gorge. Je suffoquais, surprise j’essayais de me dégager mais il me tenait tellement bien la tête que je nai pas pu.
J’ai senti sa bite tressauter dans ma gorge et le sperme est sorti.
J’ai avalé ce que je pouvais, il y en avait un de ces paquets, j’étouffais mais il ne me lâchait pas alors je me suis démerdée pour tout avaler quand même !
Enfin il m’a lâché la tête et retiré sa queue, j’ai pu respirer mais j’en avais encore dans la bouche et j’ai trouvé un drôle de goût, ce nétait pas désagréable du tout et j’ai avalé lentement en dégustant !
Le goût était bon, amer et parfumé.
Il a bien vu ce que je faisais et il m’a caressé le visage. Je le laissais faire, il était si heureux !
— Tu es formidable Sylvie, tu aimes ça ? Tu sais c’est la première fois…
J’ai pas répondu, un peu étourdie !
— Bon, il faut que j’y aille dit-il en se rhabillant.
Il me donna un baiser furtif et sorti l’air épanoui !
