On a continué notre trio infernal, Marie, Noémie et moi-même, Mélanie. Nous nous sommes inscrites aux diverses activités sportives organisées, qui se faisaient la plupart du temps par équipes de 3 afin d’organiser de petits tournois sur une après-midi : beach volley, beach soccer, pétanque, molkky Et au fur et à mesure j’imprimais et reproduisait les répliques de mes comparses. Noémie était venue avec son copain, mais celui-ci préférait passer ses belles journées à geeker, il était d’ailleurs à une soirée gamers lors de la fameuse soirée d’accueil Tant pis pour lui. Nous passions nos soirées entre nanas, nos nuit à 2 sauf le mercredi soir, ou Noémie à découché de chez elle suite à la nocturne à la piscine. Elle s’était invitée, supportant de moins en moins son copain, pour passer une nuit de sexe à 3. J’avais pour l’occasion remis l’ensemble kimono qu’elle m’avait offert, et nous n’avions pas beaucoup dormi lors de cette douce nuit, alternant caresses vaginales, anales, buccales, j’avais pris et été pris, nous avons chacune donné et reçu du plaisir, marquant un peu plus ma féminité, tant j’aimais recevoir leurs phallus de plastique en moi sous leurs coups de reins désordonnés, et la bissexualité de Marie qui s’adonnait de mieux en mieux à l’échange de plaisir avec une fille, sans pour autant me négliger.

Le lendemain, nous sommes parties toutes les 3 à la plage pour la journée, aucune activité n’était prévue l’après-midi. Pour l’occasion, j’achetais un 3ème maillot de bain, fleuri, avec un soutien-gorge type bandeau à coques et un shorty afin de me travestir plus facilement. Sur une base azur, il y avait divers feuillages et fleurs dessinées, dans les tons orange et jaune. J’attachais de nouveau ma perruque, toujours la brune, et je passais le paréo que j’avais acheté en arrivant. Noémie me passa un chapeau, puis je mis mes lunettes de soleil et nous étions prêtes pour cette journée.

Nous trouvons rapidement une place, puis nous nous crémons le corps afin de bronzer. La matinée passa rapidement, nous allons manger au snack, non sans attirer les convoitises. Epuisées par cette aventure (lol) nous retournons pour une séance de crémage puis bronzage, puis une fois le soleil moins brûlant, nous allons nous baigner un peu. Je retourne chercher un ballon et nous nous amusons un moment, comme trois amies le feraient. Nous retournons nous sécher, et au moment où nous rangeons un mec passe nous annoncer une soirée sur une plage un peu plus loin. Sans que j’aie le temps de réagir, Marie et Noémie acceptent et le mec nous donne 3 invitations. Nous retournons rapidement dans nos habitations pour nous préparer, je garde mon maillot de bain et passe une robe fleurie bleu marine et blanc, à manches courtes, m’arrivant à un tiers de cuisses, et laissant mes gambettes nues. Une paire de sandale sans talons, pour être plus à l’aise pour danser, et nous voilà reparties, Noémie se contentant de prévenir son copain pas sms.

Arrivées sur place, on s’ambiance très vite, on nous offre un cocktail de bienvenue, toutes féminines que je suis-je choisis un mojito, mais ils l’ont bien chargé en alcool Du coup, on se désinhibe rapidement, et on se retrouve au milieu de la piste de danse à faire tout et n’importe quoi. Un groupe de mec nous invitent à leur table, et nous offrent de nouveau à boire, j’opte cette fois pour un jägerbomb, pendant qu’on fait connaissance avec eux : Jérome, Paul et Arthur. Nous restons un moment à discuter, puis voyant nos verres vides, j’offre une tournée à la table, optant pour un second jägerbomb. Nous retournons danser, Marie et Noémie se libèrent totalement et dansent très serrées avec Jérome et Arthur, tandis que Paul se rapproche de plus en plus de moi. J’ai envie de résister, mais l’alcool me fait imiter mes copines, je me retrouve donc à me trémousser devant lui. La musique finit par changer, et nous retournons à nos places, celles-ci étant déjà à moitié occupées. On s’assoit donc sur les cuisses de nos partenaires, ceux-ci en profitant pour nous peloter les cuisses.

La soirée avance, les verres s’enchainent à un rythme raisonnable, les corps se rapprochent malgré nous. On s’isole un coup les trois aux toilettes, Marie me dit que ce soir on se fait plaisir. Je ressors la dernière, mais ne retrouve pas les filles. Je sens deux mains sur mon cul, Paul m’a retrouvée lui, et enivrée par l’alcool et ses caresses incessantes, je finis par céder à sa proposition d’aller faire un tour sur la plage, sachant pertinemment à quoi m’attendre. Je passe récupérer mon sac au vestiaire, puis nous sortons de la plage privée.

On marche un moment, s’éloignant de la musique, et, isolés, nous nous asseyons, lui sur une pierre, et moi sur lui. Il reprend ses caresses, se rapproche de moi, m’embrasse et je lui rends son baiser, à l’encontre de mes principes Mais j’apprécie. Il appuie ses caresses, sur mes cuisses, mon corps, mes seins, me fait frissonner, je décide donc d’écouter Marie et de me laisser aller au plaisir. Me dégageant sensuellement de son emprise, je baisse son short en toile, révélant la protubérance dans son caleçon. Je libère son phallus déjà bien bandé, sa taille avoisinant le mien, mais je le prends en main pour le jauger. Puis, m’inspirant des récents traitements infligés par les filles, commence de le branler gentiment. Entendant la respiration de Paul accélérer, je le décalotte, puis vient passer un coup de langue sur son gland, le contact m’électrisant et me faisant frissonner au passage. Je recommence, une fois, deux fois, trois fois Puis prend complétement en bouche ce morceau de chair.

La sensation est différente des plugs de Marie, ici là chose est vivante, palpitante Je continue mes caresses, alternant des succions, lui caressant les testicules, je l’entends chavirer, et me dire que je suce à merveille. Il me dit qu’il va venir, et, dans le feu de l’action, je lui dis que je suis prête à le recevoir. J’accélère mes caresses, sentant qu’il va venir, puis je sens le pénis se contracter, un premier jet chaud au goût âcre arrive, un second, un troisième Je garde un moment en bouche, puis je déglutis, cela ne me choque pas plus que ça, Marie m’ayant déjà fait avaler le mien.

Une fois ses esprits repris, on se regarde longuement, quand je décide de lui avouer ma situation avant de passer à la suite.

— Tu sais, je suis différente des autres

— Comment ça ?

— Bien Je suis un mec, qui aime passer du temps en femme.

— Pas de problèmes, ça ne m’arrête pas, tu te comportes merveilleusement bien. Je veux passer du bon temps avec toi, même si ce n’est que pour un soir, et si tu fais l’amour aussi bien que tu suces, il n’y a pas de problèmes !

— A vrai dire C’est ma première fois avec un homme

— J’irai avec douceur alors.

Son ton me rassurant, je basculais à 4 pattes dans le sable. Il releva ma robe, baissa mon maillot de bain, et je dégageais mon sexe de sa prison. Il entreprit des caresses sur mes fesses, sur mon petit trou sans toutefois y rentrer, et il faisait ça divinement bien. Je sortis du lubrifiant ainsi qu’une capote de mon sac à main, il me badigeonna puis introduit un doigt, un second, puis, me sentant prête, il mit le préservatif, remis du lubrifiant anal dessus, et vint se positionner, me demandant si j’étais toujours d’accord.

— Non. Prends-moi comme si j’étais une femme.

Je lui avais répondu cela de ma voix la plus douce, tout en fouillant dans mon sac pour sortir une serviette de bain que j’étendais, avant de m’allonger sur le dos, profitant du sable encore chaud qui offrait un matelas confortable. Je retirais le shorty de bain, puis j’écartais mes jambes tout en relevant un peu ma robe, lui laissant tout accès à mon intimité. Il se remit à l’orée de mon anus, et s’introduit en moi quand je lui soufflais d’y aller. Lentement, mais sûrement, et surtout délicatement, son bâton de chair s’enfonça en moi. Malgré l’épaisseur du préservatif, je sentais chaque nervure de son membre, je le sentais palpiter au fur et à mesure de sa progression. Arrivé en butée, je sentis sa toison sur mes fesses, et je soupirais de plaisir. Je venais de franchir un nouveau pas dans ma sexualité, j’étais désormais défloré pour de vrai, j’étais désormais femme tout ce que mon physique le permettait. Il prit du recul, puis revint au fond de moi, m’arrachant un nouveau soupir de plaisir, puis je lui tendis les bras et il s’allongea sur moi, m’embrassant à nouveau.

J’en profitais pour l’enlacer de mes jambes, ouvrant un peu plus l’accès à mon fondement, et je sentais encore mieux son gland contre ma prostate. Totalement libérée et excitée, je bandais à n’en plus finir. Paul s’activa en moi comme je lui avais demandé, me prenant comme une femme, comme je prendrais Marie en missionnaire. Marie. Je l’imaginais dans la même position, elle aussi, quelque part sur cette plage. Je râlais de plaisir à chacun des mouvements de mon amant du soir, puis il accéléra et je couinais carrément. Il m’embrassa de nouveau, puis me dit vouloir continuer en levrette. J’acceptais, totalement enivrée par les boissons et la situation, je me remis à 4 pattes et lui tendis mon postérieur, qu’il rejoignît sans se faire prier. Ses mains sur mes hanches, il me prenait comme sa chienne, et, baissant la tête, je voyais un fil de liquide séminal pendre de ma bite. Je le sentis ralentir, m’attraper par la poitrine, puis me relever à genoux contre lui, toujours planté en moi. Il m’embrassa dans le cou, garda un bras sur mon ventre pour me retenir, sa main s’activant sur ma fausse poitrine, sa deuxième s’empara de mon sexe, et le branla, pendant qu’il s’activait de nouveau en moi.

Je couinais de plus en plus sous les assauts de plaisir, son phallus en moi, le mien masturbé dans sa main, puis je me suis contracté et j’envoyais de longs jets de sperme dans le sable devant moi. Dévastée par l’orgasme, je retombais à 4 pattes, tombant même sur mes bras. Il finit ses va-et-vient en moi, se contracta à son tour et je senti le préservatif se remplir. Il retomba sur moi, puis me fit basculer en cuillère pour terminer son câlin.

Il se retira, noua le préservatif, puis se rhabilla. Je remis mon shorty de bain, passant une bande d’adhésif pour maintenir mon pénis, puis je réajustais ma robe. Je pris mon téléphone, et envoyait un message aux filles pour savoir où les retrouver, tandis que nous prenions le chemin du retour. Arrivés vers la plage privée, Noémie m’attendait, et ne sut me saluer autrement qu’en m’embrassant à pleine bouche, sous le regard étonné des gens dehors. Je saluais mon amant d’un soir, le remerciait, puis on se dirigea vers la voiture avec Noémie. Aussi peu en mesure de conduire l’une que l’autre, on s’installa à l’arrière pour se raconter notre soirée. Arthur lui en avait fait voir de toutes les couleurs, mais elle préférait les ébats avec Marie et moi. Je lui racontais ce que j’avais vécu, et excitée par la situation une main se perdit sous sa robe. A la fin de mon récit, elle me tendit son doigt, que je suçais avec plaisir tellement son goût était enivrant. Alors qu’elle vient se coller à moi, je glisse ma main sous sa robe, et constate que la garce n’a pas remis sa culotte.

Je taquine son clitoris, la faisant perdre ses moyens, quand mon portable sonne. Je réponds à Marie, qui vient nous rejoindre. Déçus de ne pouvoir abuser l’un de l’autre avec Noémie, on se remet en ordre et sortons de la voiture. Marie nous raconte à son tour, puis nous remontons à bord pour s’endormir sur le parking.

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