Je passai une nuit difficile à revivre ce qui s’était déroulé en soirée, et surtout à essayer de me projeter dans le futur. Avec cette question : maman avait-elle été malheureuse ? Papa la dominait, la battait, et pourtant j’avais gardé l’image d’un couple uni, un père solide, une mère épanouie. Peut-être appréciait-elle de vivre sous la coupe de son mari, de lui être soumise jusqu’à accepter de souffrir pour lui.
Restait à savoir si j’en étais capable. Je ressemblais à ma mère physiquement, cela ne voulait pas dire que je supporterais de vivre sous le joug, d’être battue sans raison hormis le plaisir paternel, d’être sodomisée aussi. J’avais vu la gigantesque verge de papa, j’étais sûre qu’elle me déchirerait tellement elle était épaisse. Jamais je n’avais autorisé un de mes petits amis à pénétrer cet orifice ; je trouvais cet acte bestial, contre nature, dégradant et sûrement douloureux, aussi.
Seulement, voilà. Je ne pensais pas que papa accepterait que je me pointe nue dans la cuisine, puis que je lui refuse mon petit cul. Son deal, c’était tout ou rien. Accepter tout me faisait peur, et n’accepter rien me semblait inconcevable. Il avait besoin de moi pour combler son vide affectif. J’étais assez honnête pour reconnaître que de mon côté j’avais besoin de lui. Ce même si cela revenait à briser les tabous qui entouraient l’inceste, et me donner à celui qui m’avait donné la vie.
Mais ce n’était pas évident de changer aussi abruptement, de passer d’ado libérée à compagne docile. Je tournais et retournais le problème sans trouver la réponse.
Papa m’avait dit que je pouvais me caresser et jouir toute la nuit. Allongée dans le noir, je passai la main sous mon short de pyjama, glissai deux doigts sur ma fente. Mes lèvres intimes étaient humides, je plongeai les premières phalanges dans mon vagin trempé. Pas de doute, mes cogitations m’avaient profondément troublée et excitée. Pourtant je stoppai net mes attouchements.que je trouvais soudain sans saveur tant j’étais indécise. J’ai glissé lentement dans le sommeil, sans m’en rendre compte.
Le radio-réveil s’est déclenché à 7 heures ;c’était vendredi matin, et comme toutes les journées de travail je devais être au magasin à 9 heures. Je me ruai sous la douche pour éviter de penser à papa qui m’attendait dans la cuisine. C’est en sortant de la salle d’eau que j’ai pris ma décision. Au lieu d’aller m’habiller dans ma chambre, j’ai pris le couloir, une serviette de bain nouée sur mes seins. Je me suis arrêtée quand j’ai vu mon père assis à table, une tasse de café à la main. Ses yeux gris me fixaient, plissée et durs. Sans rien dire, j’ai tiré sur les pans de la serviette qui est tombée sur le carrelage. J’étais nue.
J’avais dit « nue et à quatre pattes ». Tu es trop conne pour comprendre un ordre simple ?
Pardon.
Je me laissai glisser au sol, les oreilles brûlantes de honte. J’avais oublié ce détail, en effet, et il me le rappelait d’une manière cruelle.
Passe sous la table et viens me sucer, idiote. Tous les matins tu devras commencer par ça, avant ton petit-déjeuner.
Ah ! Bon, d’accord.
Fais-moi le plaisir de m’appeler Monsieur quand tu t’adresses à moi. Sauf si je t’y autorise, plus de tutoiement ni de papa, compris ?
Il va falloir que je le vouvoie ? Merde alors. Jamais je vais y arriver, moi. Et l’appeler monsieur ? Je vais certainement oublier deux fois sur troisJ’espère que ce n’est pas trop grave dans son baromètre des punitions.
Je t’ai posé une question. Tu es sourde en plus d’être débile ?
Euh Non, non Monsieur. C’est juste que je ne m’y attendais pas. Je dois vous vouvoyer et vous appeler Monsieur.
Pour éviter de m’enfoncer plus, je passai sous la table et m’agenouillai entre les jambes écartées de mon père. Il portait un short de sport lâche que j’empoignai sur les côtés ; il souleva ses fesses pour faciliter ma tâche et je fis glisser le sous-vêtement jusqu’à pouvoir l’enlever complètement. Je me retrouvai devant sa verge à moitié bandée, reposant sur de lourds testicules velus.
Suce-moi bien, et n’oublie pas de lécher mes couilles, aussi.
Bon, d’accord ; mais comment je fais pour ouvrir la bouche suffisamment pour avaler ce satané gland ? Il commence à prendre des proportions inquiétantes rien qu’après quelques caresses sur la bite ! De ma courte vie je n’ai jamais sucé un engin pareil. Soyons honnête, je n’ai pas sucé grand-chose, à part des glaces eskimos.
Deux minutes plus tard, papa avait empoigné ma chevelure sur la nuque et forcé ma luette. J’avais réussi à déglutir et la bite s’était enfoncée. Le nez dans les poils pubiens, je gargouillais affreusement, étouffée, à deux doigts de vomir. D’ailleurs, quand il me lâcha enfin, je m’écroulai en toussant et bavant des flots de salive.
Voilà comment je veux que tu me suces. À fond ! Tu apprendras rapidement à le faire sans aide, crois-moi. Allez, recommence !
Les yeux larmoyants, je guidai à nouveau la bite entre mes lèvres, engloutissant le gland pour le pomper aussi fort que je pouvais. Je cognais contre ma luette à chaque fois, résistant de mon mieux à l’envie de régurgiter. Bon, j’avais l’estomac vide, c’était déjà ça ! Impossible d’avaler plus, malgré les directives de papa. Il s’énerva soudain et saisit à nouveau ma nuque pour me tirer à lui. Je déglutis et le gland s’enfonça, bloquant ma respiration. Je paniquai mais réussis à ne pas mordre la lourde colonne de chair.
Libérée, je vomis un mélange de salive et de bile sur le carrelage, puis, de moi-même, je recommençai à pomper l’énorme bite luisante. Papa n’attendit pas et força à nouveau ma gorge, imposant sa bite de plus en plus loin. Heureusement, il éjacula assez rapidement, sa queue tressauta et cracha de longues rasades de sperme sur ma langue. Je résistai à la tentation de reculer et restai stoïque, bouche béante, pendant qu’il la remplissait de semence.
Objectivement, le goût n’était pas terrible, mais pas épouvantable non plus. Je déglutis néanmoins difficilement, en plusieurs fois, car ma bouche était bien pleine. Je me dégageai et me relevai après avoir aidé papa à remettre son short, puis j’allai chercher de quoi nettoyer mon vomi. Après quoi seulement je m’installai à table, tête baissée, en face de papa.
J’ai conscience que je vous ai pas bien satisfait, Monsieur. J’espère que vous m’apprendrez à vous sucer comme vous aimez.
Ta mère n’était pas plus douée, au début. Je l’ai éduquée à coups de ceinturon et elle a vite fait des progrès. Fin de l’histoire. Tu veux du jus d’orange ?
S’il te plaît. Oups, pardon Monsieur. Oui, s’il vous plaît.
Je savais que rien ne serait facile à partir de maintenant, mais je craignais surtout la sodomie promise. J’osai aborder le sujet, tête toujours baissée, les oreilles et la nuque brûlantes.
Monsieur, je sais bien que vous allez me sodomiser, mais j’ai peur d’avoir trop mal.
Bien sûr que tu auras mal. Et alors ?
Je ne sais pas ; vous ferez attention ? Ce sera la première fois. Monsieur.
Je m’en doute un peu. Et non, je ne serai pas tendre. Ce soir, je te défoncerai le cul, puis tu me suceras jusqu’à ce que je bande à nouveau, et je recommencerai à te le démolir. Et quand tu seras complètement cassée, tu me demanderas de t’enculer encore. Pour me faire plaisir ; pour montrer que tu es une grosse salope prête à tout pour son mâle.
Ah Euh, d’accord ; je comprends, Monsieur.
Je comprends surtout que je vais charger grave, qu’il va être sans pitié avec moi. Il me l’a bien annoncé hier soir, mais j’espérais quand même avoir droit à un traitement de faveur. Mais non, il veut me soumettre, me briser et faire de moi sa nouvelle vide-couilles attitrée. Je n’ai pas l’impression que j’aie mon mot à dire. Si je réfléchissais à ce qui m’attend, je partirais en courant.
Je hochai la tête et filai me préparer, je devais être à l’heure au travail, car le patron était très rigoureux. Une demi-heure plus tard, comme je m’apprêtais sortir de la maison, papa m’appela. Il était dans son fauteuil de séjour à lire la presse locale.
Alicia, quand tu reviendras du travail, tu te déshabilleras sur le perron. Je veux qu’à partir d’aujourd’hui tu entres nue dans la maison. Compris ?
Nue ? Euh bien, oui. Oui Monsieur.