Nous sommes en Janvier 2015, la journée a été pluvieuse comme souvent à Brest. Je viens de finir les cours, il est 18h00.
Je vais rentrer dans mon studio pour une soirée que je pense consacrer à mes devoirs. Etudiant en BTS, je suis en pleine période dexamens et à la vue de mes récents résultats, il faut que je me mette sérieusement au travail.
Il est 18h30 lorsque j’arrive à l’appartement, j’ai loupé de peu le premier bus et ai dû attendre le suivant 15 minutes. Je commence par une douche et allume comme d’habitude mon ordinateur. Je mets en route un peu de musique et décide de consulter mes mails.
A part quelques publicités, un message de mes parents me rappelant de travailler et de ne pas trop sortir, j’ai un message de Claire.
Claire est ma meilleure amie, nous habitons la même commune, nous avons passé une grande partie de notre scolarité dans les mêmes classes et depuis l’année dernière, elle étudie à Rennes. Nous avons pris l’habitude de nous laisser des messages pour garder le contact en plus des nombreux SMS que nous échangeons. Elle m’annonce que le week-end prochain elle reste sur Rennes pour faire la fête avec des amis. Elle me demande si j’ai prévu de rentrer chez mes parents ou si je reste à Brest. Mes plans pour ce week-end ne sont pas encore arrêtés, mes parents sont en vacances en Corse et si je rentre je serai seul à la maison.
Je lui envoie ma réponse :
"Coucou,
Rien de prévu ce week-end, je vais sans doute rester sur Brest pour travailler.
Vu que tu ne rentres pas, je n’aurais pas grand-chose à faire chez mes parents.
Donc je vais faire l’étudiant studieux et réviser mes cours en vue des contrôles de la semaine prochaine.
Bises bonne fin de semaine"
Je finis de consulter les mails et je vais me préparer à manger, je m’installe, mon assiette de pâtes, un coca et j’étale mes cours sur la table basse, l’ordi à côté de moi et je commence distraitement à manger en me concentrant sur ce qui est une torture pour moi, mon cours d’économie.
Un SMS de Claire :
[SMS, Claire]
< Dispo tu te connectes sur Skype ?
> Je bosse merde
J’allume Skype et la vois apparaître dans la fenêtre, égale à elle-même, un t-shirt blanc largement échancré par laquelle on aperçoit la bretelle de son soutien-gorge. Elle arbore ce magnifique sourire qui fait craquer tous les mecs.
"Alors ça bosse dur ?"
"J’essaye"
"Et toi ? Les cours à la fac ?"
"Ça se passe"
"Bon alors tu restes à Brest ce week-end ?"
"Oui pas mal de taf, ne faut pas que je me loupe sur mes prochaines interros sinon mes parents vont me tomber dessus"
"Tu ne veux pas me rejoindre à Rennes, j’ai une grosse fête samedi soir"
"Non j’aimerais bien mais je ne dois pas me louper"
"Allez te fait pas prier."
"Bon écoute je vois comment j’ai avancé sur mes révisions cette semaine et je te redis jeudi soir."
"OK super, bon je te laisse bosser bisous Chris"
"Bisous Claire a plus"
Je passe la soirée ainsi que les suivantes à réviser, je suis content de moi, j’ai avancé et le jeudi soir avec l’aide d’une amie de classe, je suis enfin venu à bout de l’économie, ma bête noire. Après cette semaine de révisions intensives, je veux me vider la tête, j’envoie un SMS à Claire.
"Cc, OK pour ce week-end, je te rejoins à Rennes"
"Super j’ai hâte"
"Tu arrives quand ?"
"Samedi en fin de matinée ou début d’après-midi, je vois pour le train"
La journée de vendredi se termine, un copain de classe me propose de m’emmener à Rennes vu qu’il rentre au Mans en voiture, on partagera l’essence. Trop cool, j’annonce mon arrivée vendredi soir à Claire et lui demande de me retrouver près du stade de Rennes vers 21h00.
Voilà presque un mois que je n’ai pas vu Claire et l’idée de la rejoindre et de passer une soirée tous les deux avant la fête de samedi me rend fou d’impatience. Un passage rapide à mon appart et je jette dans un sac à dos mes affaires pour le week-end. La route est agréable, et après 2h00, nous arrivons à Rennes, comme convenu Claire m’attend sur le parking, je sors de la voiture et me jette dans ses bras. On bavarde quelques minutes avec Ludovic et il nous quitte pour continuer sa route jusqu’au Mans. Je grimpe dans la voiture de Claire et nous filons chez elle. Un apéro suivi d’une pizza et nous nous racontons les ragots des uns et des autres. C’est à ce moment que je reçois un SMS de Ludovic.
"Ton sac est resté dans la voiture, je te le ramène dimanche en passant te prendre".
Merde toutes mes affaires pour le week-end sont dedans.
Pas de fringues, pas de quoi me laver.
Claire se marre, "tu n’en loupe pas une toi"
"Ouais bon ça va tu ne vas pas en rajouter"
Pour cette nuit pas de soucis je vais te passer un short et un t-shirt, on verra le reste demain. Il faut préciser que, comme moi, Claire habite un studio et nous allons partager le lit, même si ce n’est pas la première fois, par respect, nous dormons vêtus un minimum. Nous finissons notre soirée il est bientôt 2h, nous décidons de nous coucher et Claire sort de son armoire un short gris accompagné d’un débardeur avec de petits curs roses. C’est en explosant de rire que je me glisse sous la couette.
"Au moins ça change de ton survêt et tu auras moins chaud"
"Bon ça va tu as fini de te foutre de moi"
"Mais non et puis c’est un pyjama comme un autre."
"Oui sauf que le short me rentre dans les fesses’"
"Désolée de ne pas avoir de short de mec pour toi"
C’est sur ces mots que nous explosons de rire et décidons denfin dormir.
Il est plus de midi lorsque nous émergeons, je décide de préparer le petit-déjeuner et de le servir au lit à Claire. Je m’affaire dans la kitchenette et elle ne cesse de me faire des remarques sur le mini short que je porte. Après le petit-déjeuner, nous décidons d’aller faire un tour dans le centre de Rennes. Alors que j’attrape mon tas de vêtements pour m’habiller, Claire me fait remarquer que je n’ai pas de caleçon propre. Eh oui hier soir je n’ai pas pensé à laver celui que je portais.
— Attends, tu vas trouver de quoi te laver et te brosser les dents j’ai une brosse neuve dans le tiroir, je vais te passer une culotte et on va allez t’acheter des caleçons après.
Il faut dire que je ne suis pas du genre athlétique, 1m69, 49 kilos je suis le gringalet de service. Claire est une jeune femme avec des formes superbes, 1m72, 63 kilos, elle a sur moi une emprise naturelle qui depuis toujours fait que je lui refuse peu de chose. Je file me débarbouiller, et Claire entre dans la salle d’eau en me tendant une culotte en tulle rose pâle avec un liseré en dentelle blanc avec le nud assorti dans une main et un string bleu ciel en tulle également dans l’autre.
"String ou culotte ?" suivi d’un rire
"Va pour la culotte".
"Tu aurais dû tenter le string"
Je la repousse, m’enferme et m’habille. La culotte est échancrée et remonte haut sur les hanches, je peine à caser mes bijoux à l’intérieur. La sensation est étrange, moi qui ne porte que des boxers, je sens les élastiques de la culotte sur mes fesses. Je laisse la place à Claire et je profite pour regarder le résultat. Il va falloir que je ne me penche pas trop car si mon t-shirt remonte, on aperçoit la bordure en dentelle de la culotte.
Nous filons vers un centre commercial, je retire un peu de liquide en prévision de la soirée et nous filons dans la grande surface. On fait le tour du rayon dessous masculins, ma marque habituelle est chère et Claire se fout de moi lorsque je veux prendre les premiers prix. « C’est moche, tu ne vas pas mettre ces horreurs » bref rien ne va. Elle finit par me diriger vers le rayon féminin et comme à mon habitude, je la laisse prendre les commandes et décider, elle me fait acheter un lot de shortys en coton composé d’un shorty rose et d’un autre jaune pâle. Je finis par prendre le nécessaire de toilette et nous passons à la caisse. Après un tour de la galerie marchande, nous rentrons pour nous préparer. Je dis à Claire qu’elle abuse de m’avoir fait acheter des shortys.
"Tu verras c’est mieux que tes boxers noirs ou gris habituels"
"Enfin comme d’hab. Tu t’en fous de ce que je dis on en fait qu’a ta tête"
"Eh oui mais avoue que tu aimes te laisser faire"
Je proteste, mais vraiment pour la forme. Le temps que Claire se prépare, j’en profite pour nous servir un kir. Elle sort enfin de la salle de bain, superbe comme toujours, une petite robe noire à paillettes, un collant fin noir et des talons aiguille qui me semblent faire 12 centimètres au moins.
"Tu vas te préparer ?"
"Mdr je n’ai que ça tu sais bien"
"Ah oui mais là ça craint tu ne vas pas sortir comme ça"
"Tu veux quoi que je sorte à poil ?"
"Je peux te passer un jean un peu mieux pour ce soir et un t-shirt aussi".
"Tu rigoles ou quoi ?"
Elle se met à fouiller dans son armoire en me disant « je ne sors pas si tu restes comme ça, on va faire la fête et là tu portes des fringues moches. »
Merci sympa.
"Non mais des fringues qui ne font pas fête"
Elle me présente un pantalon imitant le cuir, bleu électrique et un t-shirt blanc avec un imprimé représentant un coucher de soleil avec des paillettes. Je lui dis que ça fait trop fille. Elle me demande de l’essayer et de voir le résultat. Je l’écoute et file enfiler sa tenue. Le pantalon est moulant, il brille, je passe le t-shirt qui est largement échancré, soit quand je couvre mes épaules, il laisse voir mon torse ou mon dos soit si je couvre mon torse, j’ai une épaule dénudée. Quand je sors de la salle de bain, Claire me trouve top, parfait pour la soirée. Elle me fait ôter mes chaussettes pour enfiler des mi-bas et ses converses basses blanches. Je me regarde dans la glace, le t-shirt qui est assez court, le pantalon taille basse, je suis scotché. Pas si mal en fait, style androgyne qui ne me déplaît pas. Pour finaliser le look, elle me propose une pointe de maquillage. Je laisse Claire finir ce qu’elle a décidé.
C’est ainsi vêtu que nous quittons l’appartement et prenons la route pour sortir de Rennes. 20 minutes de voitures et nous arrivons dans un gîte qui accueille la fête du soir. Sur le parking, une vingtaine de voitures, il semble que nous soyons les derniers.
Claire me précède et commence à faire la bise à tout le monde, je la suis intimidé par tout ce monde que je ne connais pas. Une jeune femme interpelle alors Claire.
"Toujours à te faire désirer, tu arrives encore la dernière."
"Nous avons eu un problème de tenue pour Chris, il a fallu lui trouver une tenue pour la soirée".
La jeune femme qui se prénomme Julie me regarde alors de la tête aux pieds. Bon choix, il est tout mignon.
Lors de notre tour, j’ai compris pourquoi Claire voulait que je me change, en effet toutes les personnes présentes portent des tenues de sortie, j’aurais fait tache avec mon jean et mon t-shirt de surf. Mais voilà la tenue que je porte est on ne peut plus féminine et pas mal d’invités m’ont regardé en souriant.
Julie nous conduit au buffet pour prendre un verre, le temps de me retourner et Claire est partie à l’autre bout de la pièce discuter avec ses amis.
Seule, je me fraye un chemin dans un coin de la pièce pour boire tranquillement, Julie me rejoint et nous commençons à discuter. L’ambiance générale me fait me détendre et je me mélange au reste du groupe petit à petit. Bien sûr on m’interroge beaucoup sur Claire, sur moi, j’apprends que plus de la moitié des invités est homo ce qui explique, le peu de cas fait sur ma tenue.
Nous quittons cette soirée vers 5h00, j’ai passé une super soirée oubliant totalement le côté efféminé que j’ai dégagé dans ma tenue et avec le maquillage. Rentré, Claire m’aide à me démaquiller en me félicitant et en m’indiquant le succès que j’avais eu auprès de certains et certaines lors de la soirée. Nous plaisantons sur le sujet le temps de se déshabiller et de nous coucher. J’ai remis la tenue de la veille au soir en omettant de retirer la petite culotte que je porte. Si Claire s’endort immédiatement, j’ai du mal à trouver le sommeil, c’est vers 8h que tombant de fatigue je m’endors profondément. Il est 17h quand la sonnette de l’appart me réveil. C’est Ludovic qui vient d’arriver, Claire réveillée a répondu à son SMS et lui a donné son adresse. Je sors de sous la couette et me retrouve nez à nez avec Ludovic qui me découvre dans mon pyjama short.
Sourire de sa part, le temps que je réagisse il éclate de rire accompagné par Claire.
"Bon OK ça va vu que j’ai oublié mon sac dans ta caisse ben voilà".
Claire nous prépare un café et j’en profite pour aller m’habiller dans la salle de bain, j’aperçois les shortys achetés la veille avec Claire qui séchaient, je les attrape et les glisses dans mon sac. Je me lave, et replonge dans mon sac pour prendre une tenue de rechange. Je prends un t-shirt, un caleçon et regarde le shorty jaune pâle sur le dessus de mon sac. Je l’attrape, l’enfile, passe un jean et un t-shirt. Pendant ce temps, Claire boit le café avec Ludovic qui la questionne sur notre soirée de la veille. Elle en profite pour lui montrer quelques photos. A ma sortie, je bois mon café et nous quittons Claire pour rentrer sur Brest.
— Alors tu as passé une bonne soirée on dirait.
— Oui super soirée, bonne ambiance, on s’est bien éclatés.
— En plus tu portais une jolie tenue, Claire m’a fait voir des photos.
— Arrête, juste un délire pour la soirée, Claire a profité que je n’ai rien à mettre pour rigoler.
— Ça n’a pas eu l’air de te déranger en tout cas.
— Tu sais c’est juste des fringues
— Les fringues OK mais vachement féminin et le maquillage qui allait avec.
— C’est bon on ne va pas en parler tout le trajet.
— Tu étais ultra-sexy en tout cas.
— C’est bon t’as fini
— Oui OK.
— Ça te dirait de manger un truc en arrivant ? Pizza, Mac, Kebab ?
— Un Mac ça ira très bien mais on passe au drive et on mange chez moi.
— Super.
Nous rejoignons mon appart et avalons notre Mac devant la télé, Ludovic ne cesse de me regarder.
— T’as un problème ?
— Non je ne cesse de revoir les photos de toi dans ta tenue dhier, je t’ai trouvé supersexy avec ce maquillage et ce pantalon qui te faisait un super cul.
— Oh ça va doucement.
Je le réprimande même si je me sens flatté par ce compliment et en rougis.
— Tu vois que tu aimes qu’on te le dise tu as rougi.
— Je…
— Chut ne rajoute rien, il suffit de te regarder
— De quoi ?
Ludovic s’approche alors de moi et pose ses lèvres sur les miennes, je reste sans bouger il me prend par la nuque, pose de nouveau ses lèvres sur les miennes et m’embrasse, je sens sa langue venir contre mes lèvres, elles s’ouvrent naturellement et nos langues se mélangent, il m’embrasse et j’aime ce baiser, je ferme les yeux. Je ne veux pas que ce baiser s’arrête. Il se sépare de moi, me regarde dans les yeux avec un grand sourire. Je le lui retourne ce sourire souhaitant de nouveau sentir ses lèvres contre les miennes.
— Tu permets, je vais prendre un truc dans la voiture et je reviens.
— Tu vas prendre quoi ?
— Je reviens ne bouge pas.
Ludovic revient avec un sac qu’il me tend, je l’ouvre et regarde à l’intérieur, je vois le pantalon et le t-shirt que je portais lors de la soirée ainsi qu’un soutien-gorge jaune pale. Je regarde Ludovic surpris.
— Quand j’ai vu les photos, Et dis à Claire que je te trouvais sexy comme ça, elle m’a donné les affaires pour que je te les donne, elle savait que tu étais troublé par ta soirée, et j’en ai profité car tu es superbe en fille.
Je deviens tout rouge et ne sait quoi répondre, je regarde Ludovic qui me sourit se penche vers moi, m’embrasse.
— Je voudrais que tu passes la tenue de Claire stp.
Je le regarde, regarde le sac, je sors un par un les vêtements.
— Ludovic, je ne sais pas, je…
— Enfile la maintenant tu verras tu seras mieux.
Comme avec Claire, je laisse Ludovic prendre le dessus sur moi. Je me lève pour me diriger vers la salle de bain.
— Non ici devant moi.
Je stoppe, me retourne et comme un zombi commence à enlever mon t-shirt, puis mon jean.
— Jolie petite culotte que tu portes chérie. Elle sera parfaite avec ton soutien-gorge.
Je regarde alors le soutien-gorge, il est assorti à mon shorty.
— Vas-y, enfile-le.
Je glisse mes bras dans les bretelles et me tords pour essayer de l’attacher dans le dos, Ludovic se lève et me l’attache. Je ressens la pression sur mon torse, je continue à m’habiller, le t-shirt, le pantalon, je me regarde dans le miroir accroché à ma porte de salle d’eau. Le pantalon moule mes fesses, le t-shirt à paillette dénude mon épaule gauche. Je me tourne vers Ludovic, je suis gênée, il me sourit, s’approche me prend par la main et m’embrasse, sa main se glisse dans mon dos sous mon t-shirt remonte vers le soutien-gorge. Je frissonne, je ferme les yeux, mon sexe enfle et se retrouve à l’étroit dans le pantalon, cela n’échappe pas à Ludovic qui descend sa main sur mes fesses. Je laisse à Ludovic l’initiative, il me dirige vers mon lit et m’y allonge, il vient contre moi, m’embrasse plus tendrement encore en caressant mes jambes, mon sexe, je gémis de plaisir sous ses caresses. Il prend ma main pour la poser sur son pantalon, je sens son sexe tendu, il me fait le presser, le caresser. Il se lève, je le regarde ôter ses vêtements et revenir s’allonger près de moi.
IL est nu je le regarde, il m’embrasse, me guide pour reprendre mes caresses sur son sexe. Cette fois c’est son sexe que je caresse directement, tandis qu’il me caresse les fesses, il me demande de dégrafer mon pantalon et glisse sa main dans ma culotte, caressant tantôt mon sexe, mes fesses, tantôt mon torse ou mon dos.
— J’ai envie que tu me suces ma douce.
Je le regarde dans les yeux puis son sexe, relève la tête, il la presse vers son entrejambe et comme toujours je me laisse faire. Son sexe est proche de ma bouche.
— Ouvre la bouche ma chérie
J’ouvre la bouche et il appuie sur ma tête jusqu’à ce que son sexe entre dans ma bouche, ma langue entre naturellement en contact avec lui et je commence à le lécher. Je sens monter en moi une pulsion, je revois les images de film porno, je tente maladroitement de reproduire ce que j’ai vu.
Je commence à prendre du plaisir à le sucer, sentir son sexe palpiter dans ma bouche, durcir en elle.
Ses caresses deviennent plus précises, caresse mon anus qui palpite. J’ai envie de lui, mon corps le réclame.
— Baise-moi Ludovic
— Tu es sûr ?
— J’en ai envie
Il me met sur le dos, enlève mon pantalon et mon shorty, pose mes jambes sur ses épaules, crache sur mon anus, quand son sexe se présente et entre en moi, je sens la douleur du gland qui me pénètre, il stoppe alors me regarde dans les yeux et se penche pour m’embrasser, son sexe entre alors plus loin en moi, je gémis quand je me sens entièrement pris.
— Tu es trop bonne ma chérie, j’adore ton petit cul.
Il commence son va-et-vient en moi et je gémis de plus en plus fort, j’aime le sentir en moi. J’explose quand il jouit en moi, il s’affale sur moi, m’embrasse.
— Tu es vraiment bonne, je reviendrai demain soir, j’espère que tu seras aussi sexy. Après une rapide douche ; il s’habille se penche sur moi, m’embrasse, a demain soir ma belle.
Je reste dans mon lit un moment et commence à réagir quand je sens le sperme de Ludovic couler. Je file sous la douche et me masturbe en repensant à Ludovic, à son sexe. Remis de mes émotions, j’envoie un SMS à Claire.
[SMS, Claire]
>Salut, dispo ? Besoin de te tel"
C’est elle qui mappelle immédiatement.
— Ça va Chris ?
— Oui enfin je suis en colère après toi
— Pourquoi ?
— Tu te fous de moi, Le sac que tu as donné à Ludo, tu pensais à quoi ?
— A toi ma chérie
— Ma chérie arrête ça
— Pourquoi tu es fâchée ?
— Tu m’as piégé
— Il s’est passé quoi ?
…..
— Alors dis-moi ?
— Il m’a donné le sac
— Tu as fait quoi ?
— J’ai tout enfilé à sa demande
— Ah bon comme ça il sort le sac et tu enfiles ce qu’il y avait dedans ?
— Non avant il m’a embrassé
— Et tu t’es laissé faire
— Oui
— Tu as aimé ça
— Oui
— Cool
— Il s’est passé quoi ensuite ?
— On a fait l’amour
— Oh ma chérie c’est top
Je me mis à pleurer, je venais d’avouer à ma meilleure amie que je venais de faire l’amour avec un mec, ce qui me faisait pleurer c’est que j’avais aimé ça.
— Ecoute je peux venir te voir je n’ai pas de cours important avant jeudi
— Oui je veux bien j’ai un contrôle demain matin ensuite pas de cours.
— Je peux être là demain en début d’après-midi OK
— OK
A suivre si vous aimez
