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Violette : de vierge à salope, mon apprentissage – Chapitre 6




La veille de notre traditionnel cours, je reçus un message de mon maître. Il ne m’avait en effet pas trop contactée cette semaine et je commençais presque à m’impatienter.

Tu viendras chez moi cette fois, voici mon adresse… suivi d’une adresse que je savais être en centre-ville, près d’endroits où j’aimais bien sortir avec mes amies : cela m’excitait et me faisait un peu peur, car je me demandais s’il m’avait observée sans que je le sache…

Mais le lendemain, j’allais bien sûr, obéissante, sonner après la fin de mes cours au lycée chez lui.

"Enfin, me dis-je. Il connaissait tellement plus de moi que ce que j’avais réussi péniblement à dénicher sur lui…

La porte de son appartement au troisième étage s’ouvrit sur lui, dans une tenue noire simple, mais qui lui allait très bien. Oui, je me surprenais moi-même à fantasmer sur mon maître, même s’il m’excitait, je savais qu’il pouvait révéler notre petit arrangement et ruiner ma réputation sur un simple coup de tête, ce qui naturellement, m’effrayait.

Il me fit entrer, me caressant le bas du dos au passage, je pouvais presque le sentir sourire d’un air carnassier. J’avais en effet mis une tenue de yoga, crop top moulant et legging de sport noir.

" Va t’asseoir sur le canapé, j’arrive."

En effet, un immense canapé trônait dans ce qui devait être le salon, assez large pièce principale et lumineuse avec ses grandes baies vitrées.

Mon maître alla tirer les rideaux, au moins sur certaines des grandes ouvertures, car j’imagine qu’il ne voulait pas qu’on puisse voir ce qu’il allait me faire. J’eus des frissons le long de la colonne vertébrale, j’avais de plus en plus de désir dans ce genre de situations, car je pouvais maintenant imaginer ce que me réservait la suite.

J’entendis alors sonner. Mon maître ne sembla pas étonné puisqu’il dit en se tournant vers moi : "Ha, pile à l’heure…"

Qui était-ce, voilà la question qui occupait mon esprit.

J’étais peut-être plus excitée encore… Allait-on être rejoint par un ou une camarade de jeu ?

En effet, à peine deux minutes plus tard, la porte d’entrée s’ouvrit sur une des plus belles femmes que j’avais jamais vues.

Mon maître s’approcha d’elle et je les vis s’embrasser avec passion, je n’existais en fait plus, mais étais moi-même absorbée par la beauté de celle qui venait participer à notre après-midi de débauche.

Ils se séparèrent finalement, me laissant déjà bouillonnante, je voulais moi aussi être touchée et embrassée…

Je te présente Violette, dit finalement mon maître, prenant son amie par la main et l’amenant près du canapé, où elle s’assit à côté de moi.

Elle est encore vierge, mais je pense que le bon moment est proche… Non Violette, rassure-toi, ce ne sera pas cet après-midi – il avait dû voir mon air inquiet -, mais tu sembles prête. Et je voulais te garder pour moi seul pour cette étape, haha…

Les longs cheveux roux de celle qui étaient assise à côté de moi attiraient mon regard, de même que ses yeux verts vifs en forme d’amande – elle ressemblait à une sorte de renard ou de panthère rousse perverse, elle avait un air presque gourmand en me regardant -, mais ses seins assez imposants ne me laissaient pas le choix que d’y jeter un regard.

Elle me gifla violemment.

Tu aurais pu apprendre à ton élève les bonnes manières…

Elle me regardait d’un air intrigué, mais un peu déçu.

Fais d’elle ce que tu veux, c’est pour ça que je t’ai invitée… Je veux qu’elle apprenne à obéir aux autres, s’il restait encore une once de rébellion en elle.

Elle sourit, d’un air que je connaissais chez mon maître.

Apporte la boisson.

Mon maître se frappa le front d’une main, geste que je ne lui avais encore jamais vu faire. "Suis-je bête, j’ai failli oublier… Cela rajoutera du piquant, bien sûr…" Il sourit alors d’un air pervers en allant dans ce qui devait être la cuisine.

Il revient quelques instants plus tard avec une sorte de tasse épaisse en grès.

Je vis un liquide un peu foncé, comme une sorte de thé ou d’infusion assez rouge.

C’est une décoction de gingembre principalement, avec quelques autres épices. C’est censé être aphrodisiaque…, dit la femme en souriant.

Elle me força à tout boire, surveillant bien que je n’en gâche pas une goutte, me tenant l’arrière de la tête.

Mon maître observait la scène en souriant.

Finalement, elle commença à me pincer les tétons, l’un après l’autre.

Je hurlais presque, d’une part j’étais surprise, mais j’avais également déjà l’impression d’être excitée.

La boisson va agir rapidement, ne t’en fais pas…

Elle caressait et malaxait mes seins, je sentais de la mouille couler lentement sur mon string.

Je gémissais un peu, je ne savais pas si j’y étais autorisée…

Elle me prit le menton presque méchamment et me força à la regarder. « Tu es une bonne chienne hein ? dis-le. »

Ou- oui… elle me faisait un peu peur, mais m’excitait beaucoup.

Elle me prit la gorge et serra suffisamment pour me faire chercher ma respiration. « Oui, maîtresse. »

Oui, maîtresse, répétais-je rapidement.

Amène-moi les menottes que j’aime bien, mon cher…

Mon maître partit en quête de l’objet demandé pendant que ma tortionnaire me caressait l’entrejambe avec une main, l’autre me pinçant un téton. Elle m’arrachait déjà des gémissements et je me sentais mouiller, comment était-ce possible ? Puis je me rappelais la boisson qui m’avait parue forte… Je n’arrivais plus à penser, car la main de ma nouvelle maîtresse titillait admirablement mon clitoris. Elle m’embrassait pour me faire taire, je me rendis compte que je m’étais aventurée moi même à lui caresser la poitrine et les hanches sans m’en rendre réellement compte. Mon maître revint et son amie lui dit en souriant « Regarde comme cette boisson fonctionne… Elle est brûlante… »

Il lui passa les menottes sans rien dire, mais en souriant, elle me dit de me lever et me tourner dos à elle, je mis les mains dans le dos par réflexe et elle m’attacha les mains dans le dos en les menottant. Elle me caressa ensuite le bas du dos et les fesses, passant par derrière sa main sur mes lèves qui frémirent à ce contact.

Elle est à point. Emmène-la dans la chambre.

Mon maître me prit doucement par le bras, il semblait attentionné face à son amie presque agressive. Il me guida jusqu’à une chambre assez sombre dans laquelle trônait un lit en bois à baldaquin.

Je voyais pour la première fois la chambre de cet homme qui connaissait tant de moi, alors que l’inverse était totalement faux.

Il me fit monter sur le lit, me tenant toujours le bras, mais plus fermement cette fois.

J’étais tournée dos à la porte, fesses tendues vers le bord du lit, à genoux.

Je gardais ma position, pendant que mon maître, qui m’avait lâchée, m’enlevait mon legging et mon string qui lui était déjà collant de mouille.

Je n’avais même pas honte d’être ainsi offerte à ces inconnus, j’attendais juste qu’ils se servent de moi pour leur plaisir et pour le mien également…

Mon maître appela son amie, dont j’entendis bientôt les pas.

Je les sentais tous les deux derrière moi, je n’en pouvais plus.

Je vous en supplie, baisez-moi…

Le feu en moi semblait augmenter de minute en minute… C’était trop… Je gémissais et me tortillais.

Je les entendis rire, ils disaient que j’étais bien impatiente pour une chienne. J’avais certainement oublié qui commandait, ils devraient me priver d’orgasme pour mon insolence…

Je sentis deux doigts s’insérer dans mon vagin trempé, lentement pour me branler délicatement, je gémissais le moins possible, mais c’était plus fort que moi.

Je sentis deux autres doigts s’insérer cette fois dans mon anus, les quatre en rythme, allant et venant dans mes deux orifices.

On me fit me baisser et me tourner sur le côté, mon maître vint alors mettre son pénis devant ma bouche pendant que je voyais que c’était son amie qui s’occupait de mon vagin et mon cul avec ses doigts.

Je commençais à sucer sa queue déjà large et gonflée, pendant qu’il serrait ma gorge et m’obligeait à lever mon cul vers ma tortionnaire.

Elle retira finalement ses doigts, mais je n’avais pas vu le gode-ceinture dont elle s’était affublée et qu’elle avait apparemment l’intention de rentrer dans mes orifices.

Je la sentis forcer mon cul, son engin artificiel était gros et avec ma bouche déjà occupée, j’avais du mal à me détendre autant.

Elle caressa mon clitoris, ce qui finalement fit ouvrir mon cul de plus en plus, lui permettant de me pénétrer entièrement.

Je la sentis alors agripper mes hanches, ses ongles me lacéraient la peau, et commencer ses va-et-vient puissants. Je ne pouvais pas hurler, toujours obligée de sucer mon maître, mais on entendait mes gémissements étouffés, mais sonores.

Elle semblait apprécier car elle me claquait alors les fesses, pendant que mon maître semblait sur le point de jouir et me tirait les cheveux de plus en plus violemment.

J’allais avoir un orgasme dévastateur, je le sentais, car tous mes membres et l’intérieur de mon corps semblait en feu. Mon sang était de la lave en fusion, comme mélangé par la pénétration violente dont mon anus était victime.

Je sentais mon vagin dégouliner, pendant que mon maître éjacula finalement sur mon visage, me permettant alors de crier mon plaisir et après quelques minutes de possession, ma maîtresse en eut assez. Elle me finit en me titillant le clitoris, je jouis si fort que je vécus comme une éruption intérieure…

Je restais prostrée sur le lit de longues minutes, j’entendais mon maître et sa compagne parler, mais je n’écoutais plus.

Je me sentais pleine, fatiguée de ses assauts.

Normalement, me dis-je, je reverrai cette femme dans ce genre de cadre sexuel, je n’ai en fait pas à m’inquiéter de ce qui s’est passé…

Ils me détachèrent et décidèrent que nous irions prendre un bain à trois dans l’immense baignoire, où je pus alors enfin admirer le corps sculptural de celle qui venait de me pénétrer.

Je finis l’après-midi en lui faisant mon premier cunnilingus, dont elle me dit en riant qu’il allait falloir en améliorer la technique, tout cela sous les yeux ravis de mon maître.

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