Lui
Cet après midi avait vraiment été l’un de nos meilleurs moment, bien que nos parties de jambes en l’air sont toujours super, je crois que le fait de l’avoir entendu se caresser seule et après de l’avoir attaché et de savoir que je pouvais faire ce que je voulais de son corps m’avait excité a un point que je n’aurai jamais imaginé et ce qui me réjouissait le plus c’est que ce n’était pas encore fini. Pour nos 2 ans un collègue à moi nous a prêté sa maison secondaire à la campagne, nous allions passés quatre jours coupés du monde pour ne s’occuper que de nous…
C’est donc à 20h que nous avons décollés de l’appart pour notre petit séjour, nous sommes arrivés sous les coups de 22h et nous étions un peu claqué de ce trajet plus la journée de travail avant et de notre baise entre les deux. Nous sommes donc partie en exploration des pièces de la maison pour pouvoir enfin posé nos petites valises dans une des 3 chambres de la maison, mon ami m’avait dit de prendre celle avec le lit en baldaquin, et je compris pourquoi car il y avait un grand dressing avec des portes miroirs et sur les murs de grand miroir dont un au dessus de la tête de lit et quand je me suis allongé sur le lit, il y avait un miroir au plafond ! Je n’en croyais pas mes yeux, j’imaginais déjà pouvoir nous regarder faisant l’amour, sa m’excite tellement que j’avais un érection qui se former déjà dans mon jeans. Je demandais donc à ma chérie de venir voir ça et tout comme moi elle fut bouche bée en voyant les miroirs, et quand elle s’allongea à côté de moi et vit celui du plafond je l’a vit légèrement blêmir.
— Tu sais, je ne sais pas si je vais pouvoir… Il y a tellement de miroirs…
Elle était un peu complexé par ses rondeurs, rondeurs que moi j’adorais par dessus tout. Alors juste avant de l’embrasser je lui ai dis "Tu es magnifique" et je posais légèrement mon corps sur elle, je voulais qu’elle sente l’effet d’imaginer lui faire l’amour ici, et j’en avais envie, j’avais envie de la voir gémir sous tous les angles, j’avais envie de me voir entré et sortir d’elle, j’avais envie qu’elle se voit jouir. Je lui enleva sa robe, se qui fit qu’elle se retrouva en sous vêtement, très sexy, je fis glisser une main le plus délicatement de ces lèvres, à son cou en passant par ses seins et pincer délicatement ces tétons a travers son soutient gorge et je descendis jusqu’au nombril je la sentais frissonner sous mes doigts délicats et arriva jusqu’à sa culotte je caressais doucement ses lèvres à travers se sous vêtement très fin et lui demanda d’ouvrir les yeux pour se regarder. Ce qu’elle fit, pour moi. Et en passant ma main dans sa culotte pour titiller l’objet de mes désirs je lui murmura : Tu es magnifique, j’ai envie de toi bébé, toi et personne d’autre.
Elle me sourit dans le miroir et moi j’étais heureux, heureux de lui dire que c’était elle et personne d’autre alors je lui enleva sa culotte et son soutient gorge, je remis ma main sur son sexe pour faire glisser entre mes doigts sont clito et suça ses tétons. Elle commençait à gémir alors je fis glisser un doigt puis deux dans son vagin puis elle ferma les yeux et fit elle même bouger le bassin, elle était près de la jouissance, alors je lui demanda d’ouvrir les yeux pour se voir jouir, je l’embrassa, elle me regarda et regarda le miroir, ce que je fis aussi, je sentis son bassin ralentir légèrement, écarquiller les yeux puis elle redoubla d’intensité mis ses mains au dessus de sa tête, cambra son corps et se mit à mouillé abondamment elle poussa plusieurs cris tout en continuant à se fixer dans le miroir puis se mis à trembler et s’écroula sur le lit et ferma les yeux.
Sa faisait à peine une demi heure qu’on était arrivé, j’avais déjà une érection phénoménale dans le pantalon et j’avais la main recouverte du fruit de sa jouissance. C’était un bon anniversaire en perspective. Elle rouvrit les yeux en reprenant doucement son souffle je lui demanda comment c’était et elle me répondit : Super, et les miroirs sa va, c’est pas si terrible que ça… Mais j’ai envie de te voir à l’oeuvre maintenant…
Sur ce elle sortit mon sexe de mon pantalon qui commençait à me faire mal d’être enfermé, et en moins de deux elle l’avait en bouche, elle me branlait tout en me suçant, parfois même elle me prenait entièrement la bite de la gorge en l’aspirant ce qui me faisait vibrer de plaisir, elle alternait les coups de langue, de main et de bouche puis me pris en bouche pour me finir puis d’un coup s’arrêta, je sentis en moi, enfin surtout dans ma bite une terrible frustration et lui demande : Mais qu’est-ce tu fais ?
C’est avec un sourire en coin qu’elle me répondit : Tu crois que c’est aussi facile ?
Je repensais à ce matin et j’avais envie d’elle plus que jamais, j’avais envie de la baiser, de la faire jouir jusqu’à ce qu’elle n’en peuvent plus, j’avais envie de lui donner une leçon de plaisir qui ferait que plus jamais elle ne se toucherait car elle n’en aurait pas besoin, au fond de moi j’avais la terrible impression qu’elle s’était donné se plaisir car je n’avais pas été assez présent pour elle ces dernières semaines, et j’avais bien envie de me rattrapé.
Alors je me mis assis, en voyant mon regard elle recula et descendit du lit en me disant avec un petit sourire : Alors que vas-tu me faire maintenant ?
Je la plaqua contre l’une des vitres du dressing et je lui murmure : C’est simple, je vais te prendre pendant que tu vas te regarder jouir dans ce miroir.
Je la retourna et la pris sauvagement, je pris sa cuisse droite dans ma main que je fis lever le plus haut possible pour pouvoir bien la prendre en profondeur pendant que mon autre main lui caresser le clito. Elle était si belle, elle se regardait gémir dans le miroir je voyais son regard traverser son corps, j’aimais qu’elle se regarde pendant que je la prenais, j’aimais qu’elle voit ma bite entrer et sortir d’elle, qu’elle voit même quand je suis derrière elle le plaisir sur mon visage en plus de mes gémissements. Je n’étais pas loin de jouir mais j’ai réussis à articuler : Regarde comme tu es belle, regarde toi.
Mes doigts sur son clito se sont fait très rapide, elle gémissait et hurlait, je sentais sa mouille sur mes cuisses, et c’était moi qui lui procurer se plaisir, j’étais si fière d’être avec elle, si fière de la faire jouir et dans un râle j’éjaculai en elle en plusieurs coup de rein jouissif, pendant qu’elle aussi criait sa jouissance c’était tellement bon, tellement fort, on se laissa glisser doucement sur le sol, puis on s’embrassa et on se mit au lit. Elle se blottit contre moi et à peine deux secondes plus tard nous étions tout deux endormis, exténuer et heureux.
