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flirt détudiant – Chapitre 1




J’étais étudiant en médecine en première année.

Il y a trente ans, j’avais 18 ans.

En ce temps là, pour les filles, c’était beaucoup plus facile dans un sens.

Il n’y avait pas le sida, mais la pilule avait mauvaise presse.

Avec les filles, le flirt poussé ne posait aucun problème.

Inutile de vouloir les baiser, elle voulait garder leur virginité !

Je me souviens d’une histoire torride avec l’une d’entr’elles.

Je révisais mes cours, nous étions en mai, à la veille de la session d’examens, la température était caniculaire.

J’étais habillé avec un pantalon de pyjama, torse nu.

Un pantalon de pyjama comme j’aime, en tissu fluide cotonneux sans slip.

Vers onze heures arrive Nadine, ma voisine de kot pour un problème dans le cours de chimie.

Elle est aussi habillée décontractée.

Une jupe ample, un débardeur moulant, les seins libres sexy comme j’aime.

En un mot bandante.

Notre histoire, si on peut dire a commencé il y a un mois, lors d’une soirée où nous nous sommes embrassés pour la première fois,

soudés l’un à l’autre lors d’un slow, où elle écrasait littéralement ma verge sur son ventre.

Il n’y eut pas de suite.

Je suis à ma table de travail.

Elle est derrière moi, un peu appuyée sur moi.

Je sens ses seins qui s’écrasent sur mon dos nu.

elle sent bon diorissimo au muguet.

L’émoi est là.

L’explication donnée, elle me revaudra cela dit-elle.

Je me lève, elle constate mon émoi.

Elle me donne un bisou, elle prend carrément en main ma verge au travers du tissu fluide, qu’elle manipule avec art.

Je bande à fond.

Elle la frotte avec ardeur, la malaxe, la palpe et très vite j’éjacule abondamment.

Elle s’échappe vite, me disant reste dans ton jus cochon.

C’était jouissif.

La même année, je révisais mes examens pour la seconde session avec Nadine, une amie de toujours aussi en seconde session.

Nous étions aussi habillé léger.

Moi en short avec un boxer, elle en short aussi avec un chemisette ample.

Elle était mon idéal de fille.

Pas farouche, joueuse, l’amie idéale.

Je fantasmais sur elle.

Nous avions un bateau gonflable et nous avons décidé d’aller faire pour nous détendre du bateau sur la Meuse.

Comme toujours, dans le bateau, dispute.

Je tombe sur elle, je la coince,je lui donne des bisous et là elle m’embrasse sur la bouche.

Je suis fou. Je lui rends son baiser.

Elle est toujours coincée sous moi.

Nous sommes au milieu de la Meuse.

Je commence à réagir.

Elle doit le sentir.

Elle joue du bassin.

Je suis énorme, je pointe sur elle.

Elle en veut.

Elle ouvre mon short et glisse sa main sur mon boxer.

Elle me prend en main, me caresse.

De mon côté, je m’empare de ses seins.

Je les sens fermes, pas trop gros.

Je défais quelques boutons du chemisier pour les avoir bien en mains.

C’est jouissif les premiers pas avec une nouvelle conquête.

Elle aime.

De son côté, son chipotage me mène vite à l’éjaculation au travers de mon boxer.

Il y a une grosse tache.

Elle entre sa main et recueille de mon jus.

Elle le porte à son nez, l’hume, elle le goûte.

Elle le trouve un peu salé.

Je quitte ses seins, j’empoigne son entre-jambes.

Elle tend son bassin.

Le tissu est agréable.

J’ouvre le bouton.

Surprise, pas de slip.

Je glisse ma main.

Je découvre la fille pour la première fois

Mon index recherche tout.

Je perçois, pilosité et grandes et petites lèvres.

Elle se redresse, elle tire vers le bas le vêtement.

Elle me montre tout d’elle.

Nous sommes seuls.

Le monde, c’est nous.

Des mains, des yeux, du nez, je découvre !

Nadine me guide dans la recherche de son plaisir.

C’est ainsi que de la langue, guidé, j’ai goûté à son jus de femme, j’ai stimulé son clitoris sorti de sa gaine, je l’ai excité jusqu’au point de non retour.

J’étais à nouveau tendu à l’extrême.

Voilà qu’elle me retire mon boxer, et qu’elle me prend en bouche.

Elle donne des bisous sur le gland, elle embouche un peu, elle apprivoise.

Chez moi, beaucoup d’effets.

Mon cérébral exulte.

Je suis proche de la jouissance.

Je lui dis.

Elle prend en main.

Ca vient.

Des jets explosent hors de sa main.

C’est blanc.

Avec sa langue, elle en récupère.

C’était sublime, même si pas de baise.

Ces premières expériences sexuelles sont toujours à mon esprit actuellement et souvent leur évocation dans mon esprit me permettent d’atteindre des orgasmes explosifs quand je fais l’amour à mon épouse.

Souvenirs délicieux.

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