Bonjour à vous ; voici la deuxième histoire que je vais vous confesser.
En 2002, je sortais avec une copine que nous appellerons « minette ». Nous étions un couple très coquin ; nous adorions faire ça dans les bois, la voiture ou ailleurs. Ma belle était très chaude ; j’adorais lui brouter son minou (pour son goût divin) ; j’adorais l’honorer toute vêtue de lycra. Elle avait toujours une photo de nous sur elle pour me garder partout avec elle, même au boulot.
Un jour, elle montre cette photo à un de ses collègues qui est homo. Il me trouve très mignon… En rigolant de la chose, elle m’en informe le soir ; je prends ça à la rigolade. Un autre soir, elle m’informe que nous allons manger chez des amis à elle ; nous ferons les présentations sur place, à Vincennes : cela ne me dérangeait pas car j’apprécie tous ses amis.
Arrivés chez ses amis, je constate qu’ils sont très précieux ; mais je suis plus occupé à admirer leur appartement, qu’ils ont refait eux-mêmes (un chef-d’uvre). Ce sont deux beaux mecs très sympas ; ils nous mettent à l’aise et nous installent confortablement pour prendre l’apéro. Après cette étape, ma minette est toute excitée Du coup, cela me chauffe et je le lui fais savoir… Ces deux messieurs partent dans la cuisine ; nous en profitons pour nous embrasser fougueusement et nous prodiguer des caresses indiscrètes. Quand on les entend revenir, on se redresse en finissant notre long baiser.
Une fois redressés et "déboîtés", quelle nest pas ma surprise (cela n’a pas l’air de déranger ma minette) : nous voilà tous deux face à leurs belles queues bien raides au niveau de nos bouches ! Ma minette ne se fait pas prier pour prendre un pieu en bouche ; quant à moi, je me dégonfle… Cela ne gêne ma minette qui en profite pour se déshabiller et se rendre ainsi plus disponible pour ces deux messieurs. Une fois nue, les deux messieurs soccupent d’elle pendant quelle me déshabille. Rapidement, elle se retrouve allongée sur le tapis épais avec un dard dans le minou, l’autre dans la bouche, et elle me branle en même temps… Bientôt, l’homme qui est en elle se met à me sucer ; et là, j’aime beaucoup !!! Je suis en train de me lâcher…
Quelques instants plus tard, ce même homme me donne sa queue à sucer, queue sur laquelle je me jette car elle a le goût de ma minette ; je perds le contrôle quand mon amie est vient me sucer tout en me collant un, puis deux, puis trois doigts dans le fondement : je suis aux anges ! Les deux hommes la pénètrent chacun leur tour, et je m’occupe de leur nettoyer le sexe quand ils sortent de mon amie. Rapidement, mon petit trou est prêt pour la venue de nos nouveaux amis… L’homme que suçait mon amie vient se positionner à l’entrée de mon intimité ; il me pénètre tout en délicatesse : pas une douleur, que du plaisir. Rapidement, les deux hommes se relaient pour me saillir plusieurs fois chacun ; je prends vraiment mon pied… Je deviens leur femelle d’un soir, et c’est vraiment bon !
Ma belle veille à nous sucer ; elle me traite de tous les noms et cela m’excite encore plus. Puis, d’un commun accord (entre eux), ils changent de position. Je me retrouve à quatre pattes avec un membre dans les fesses et l’autre dans la bouche, le mien étant bichonné par mon amie. Ils doivent jouir quatre ou cinq fois chacun en moi ; j’adore cette sensation d’être la femelle de ces homos en présence de ma minette. Avaler leur sperme, et surtout sentir cette liqueur qui s’accumule dans mes fesses me rend chienne en chaleur. Malgré des débuts timides de ma part, je regrette qu’ils ne soient pas plus à me saillir ce soir-là. Notre partouze dure de 21h à 2h du matin ; c’est la fatigue qui prend le dessus. Nous rentrons dans notre banlieue, épuisés ; moi, je sens la liqueur couler. Ma minette est fière de sa chienne.
Je reste malgré tout un hétéro convaincu !
En espérant que cette histoire vous ait plu