Marie allait pour la première fois partir en vacances en groupe organisé, cette jeune étudiante blonde aux yeux bleus, aux courbes attrayante venait tout juste de terminer le lycée que déjà elle partait dans le sud-ouest, pour un séjour sportif de environ un mois. Dans le train qui l’emmenait vers le lieu où elle et ces trente "compagnons" allait planter leur tente Marie se sentie seul mais après une demie-heure de trajet une autre fille vint lui parler. Lucie,brune aux yeux vert, vêtu d’une robe multicolore parla sans sarrêter durant près d’une heure jusquau déjeuner. Nous étions en train de manger, moi et ma nouvelle amie lorsque un garçon un peu plus âgée s’approcha:
-Tu t’appelle Marie ?
— Oui, pourquoi ?
— Moi c’est Eric, l’un des organisateurs du voyage voudrait te parler. Tu viens ?
— Je… d’accord j’arrive.
Eric fit avancer Marie à travers le wagon et lui dit de tourner à gauche lors d’un embranchement, elle ouvrit la porte devant elle et se retrouva dans les toilettes du train.
— Tu a dû te tromper.
— Oh non je voulais juste marrêter au toilettes pour me passer un coup d’eau sur le visage.
— Ah d’accord.
Sans que rien ne le prédise une secousse fit trembler le wagon, Marie tomba et instinctivement s’accrocha à Eric, celui-ci surpris tomba avec elle et se retrouva le visage dans ces seins. Eric l’aida à se relever et une fois debout, la plaqua contre le mur.
— Qu’est-ce que tu fait, Eric lâche moi tu me fait mal.
— TAIS TOI ! Maintenant tu es mon esclave et tu me dois obéissance, tu ne discuteras jamais mes ordres et tu ne diras jamais rien aux surveillants. C’est compris?
— T’est malade !
Gifle! Des pas retentisse dans le couloir surement un organisateur. Eric pose sa main sur la bouche de Marie.
— Est-ce que tout va bien?
-Oui
-Hmm!
-Tant mieux j’ai cru entendre des cris.
Les pas repartirent.
-Marie ne dit rien à personnes sinon je distribuerai ces photos à tout le monde, tes parents compris.
D’un coup Eric déshabilla Marie qui se retrouva en sous-vêtement. Eric sortit alors son portable et pris plusieurs photos de Marie.
-Alors tu vas obéir ou pas?
-Je…
-Je ne supporte pas les hésitations!
Eric se rapprocha, et commença a caresser les seins de Marie, celle-ci n’osait rien dire de peur de se faire ridiculiser par tout le monde. Le jeune homme arrachât le soutien-gorge et commença a lécher les seins de Marie. Une des mains de Eric vint alors s’infiltrer dans sa culotte où il commença a caresser le vagin de la jeune fille. Marie bien que choquer commençait à apprécier les aller et venu des doigts et de la langue d’Eric. Ces doigts trouvère le clitoris de l’étudiante qu’il frotta de plus en plus rapidement jusquà ce que Marie mouille, ce qui ne tarda guère. Alors Eric s’éloigna.
-On dirai que tu aime sa. Tu as un copain?
— Non
-Vierge?
-Je… oui
-Totalement?
-Oui
-Hmm bien… A la fin de la semaine tu ne le seras plus, plus du tout. Mais on va commençait doucement.
Il sortit alors son pénis, déjà a moitié dur et droit.
-Suce!
Hésitante Marie sagenouilla mais n’osa pas toucher le pénis d’Eric, qui impatient de prendre du plaisir lui frotta le visage avec son gland. Et d’un coup lui fourra sa queue dans la bouche ce qui ut pour effet de faire glapir Marie.
Tu vas me sucer oui ou non?
Marie débuta la fellation d’une façon qui ne plut certainement pas à son maitre puisque celui-ci lui cria d’aller plus vite. Marie effrayer suça Eric avec une telle fougue qu’il ne tarda pas à se vider, au moment crucial il prit la tête de Marie et fit pénétrer sa queue jusqu’au bout ce qui fit glapir la jeune fille qui ne put faire autrement que d’avaler la semonce de son tortionnaire. Une fois son sexe propre Eric fit relever Marie.
-Enlève ta culotte.
De peur d’être puni elle enleva sa culotte en un instant ce qui permit à Eric de voir sa petite toison trempé de mouille.
-Je veux que tu te rase et que désormais tu ne porte plus de culotte, tu te soumettra à chacun de mes désirs quel quil soit. Et tu te présentera à moi dès que je t’appellerai. D’accord?
-Oui
-Bien, maintenant retourne a ton wagon.
Sur ces derniers mots Eric claqua violemment les fesses de Marie qui laissa échapper un petit cri puis sortit, rester seul elle se rhabilla et retourna s’asseoir encore choquer de ce qui venait de se passer.
