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Ma fille Cloé – Chapitre 8




Pendant que nous récupérons, Paul et moi affalés dans un confortable fauteuil, nous regardons avec intérêt les trois femmes se faire du bien. Cloé est une proie idéale pour sa maman et sa complice Lise, les mains agiles ne cessent de la tripoter, ses mamelons sont gonflés et durs comme jamais, sa vulve suinte comme un fruit trop mûr, Cloé ne sait à qui appartiennent les doigts agiles qui la fouillent, elle a l’impression qu’une dizaine de mains sont sur elle. Ses râles puissants resonnent dans la pièce, elle a la bouche grande ouverte, ses yeux sont révulsés, Lise lui fouille fortement la chatte, sans cesse, sa main tourne dans la gaine brûlante. Sa maman ne reste pas inactive, elle pose deux doigts sur la rondelle brune et appuie, comme par enchantement, ils sont avalés par le rectum gourmand, Cloé pousse un long râle rauque et dit d’une voix chevrotante.

Oui oui, encore encore !

Ma femme ne le fait pas dire deux fois, elle ajoute d’autres doigts dans le conduit en tournant doucement, la gaine se dilate lentement, il ne reste que le pouce à l’extérieur, elle tente de distendre le rectum du mieux qu’elle peut. Elle ressort les intrus et joint le pouce aux autres doigts. Elle replace sa main contre l’anus légèrement ouvert, et appuie en faisant des quarts de tour. Lentement, la main s’enfonce, Cloé grogne de plus en plus fort, Lise la fiste comme une diablesse, de la chatte en feu s’écoule un flot ininterrompu de cyprine. Cloé hurle:

Je vais mourir, je vais mourir, faites-moi jouir comme une chienne !

C’est en alternance que les mains la pilonnent, la paroi qui sépare les deux orifices est si mince, que Cloé a l’impression que les mains sont dans le même trou. Elle agite son bassin comme une enragée, donne des coups de reins violents. Paul grogne comme un animal, il se branle comme un dératé en poussant des :

Cassez-lui la chatte et le cul, faites-la gueuler, oh putain, c’est trop bon !

Sa queue est devenue raide comme du bois, il la serre fortement, l’étrangle pour ne pas jouir. Moi, j’écarquille les yeux, et reste bouche bée. Paul a saisi un gode monstrueux et le pose contre son anus, il pousse fortement, mais malheureusement l’anneau refuse de s’ouvrir, l’engin est bien trop gros. Il insiste, mais rien n’y fait. Il me regarde d’un air suppliant, je comprends rapidement ce qu’il attend de moi.

Je m’approche de lui, il me tend l’engin que je saisis puis replie ses jambes sur son ventre. Il offre son anus à l’engin terrible

Je pose le gode contre son anneau, et pousse, Paul grogne :

Oui oui plus fort plus fort !

Je prends l’engin à deux mains et pousse le plus fort que je peux. Paul pousse un cri, l’engin sous ma poussée s’enfonce lentement dans la gaine étroite. Je cesse de pousser que lorsque l’engin frappe avec ses fausses couilles les fesses de Paul. Pendant toute la pénétration, un râle continu sest fait entendre. Les femmes ont cessé de ramoner les orifices brûlants de Cloé pour voir le monstrueux engin distendre le cul de Paul.

Ma femme ne peut s’empêcher de dire :

Oh la vache, qu’est-ce qu’il arrive à prendre dans le cul le cochon !

Lise surenchérit:

Oui, il adore lorsque je le défonce avec un concombre énorme, et il en redemande le salaud !

Cloé sort de son délire et dit :

Ne m’oubliez pas vous deux !

Les femmes reprennent le sévère pilonnage, Cloé reprend ses râles. Paul a la bouche grande ouverte, sa main s’affole sur sa bite, ses coups de poignet sont violents, moi je tente de faire des va-et-vient avec le monstrueux engin, Paul ne cesse de dire :

Oh putain oh putain, que c’est bon !

Il branle sa bite de plus en plus rapidement, il se cabre et gicle puissamment sur son ventre, il continue de se masturber, ses doigts sont couverts de son jus gluant. Il accélère le branlage, pousse un cri d’agonisant en giclant à nouveau. Lentement, je retire l’engin, le trou reste ouvert, je passe ma main sur le trou béant pour tenter d’apaiser la brûlure de l’engin qui l’a défoncé, je ne peux m’empêcher d’y introduire un à un mes doigts. Lorsque j’enfonce ma main jusqu’au poignet dans le trou monstrueux, Paul pousse un râle d’enfer. Il agite sa croupe en serrant les dents.

Il a suffi de quelques va-et-vient pour le faire jouir à nouveau. Cloé se raidit et hurle de jouissance, les deux femmes redoublent les assauts, les mains coulissent comme des pistons bien synchronisés, dans les antes dilatées à l’extrême. Son corps est agité de spasmes, elle a un orgasme continu, enfin les deux amantes retirent les intrus des entrailles de Cloé. Lise propose de faire participer black aux ébats. Ma femme pose la question :

Qui est ce black ?

C’est notre amant ! répond Lise :

tu veux que j’aille le chercher ?

Pourquoi pas, un de plus ou de moins !

Il est dans la voiture, je passe une robe et je reviens !

Quoi, il a passé tout ce temps dans la voiture ?

Sans répondre, Lise enfile sa robe puis disparaît, elle revient peu de temps après avec un chien.

c’est black, notre amant ! dit Lise en souriant.

Un chien, vous faites l’amour avec un chien ? répond ma femme un peu horrifiée.

Ce labrador est un amant merveilleux, croyez-moi !

Paul intervient:

Cette bête est increvable, elle peut vous saillir plusieurs fois de suite, il faut tenter l’expérience !

Moi jamais avec un animal ! rétorque ma femme.

Je passe la première pour vous montrer comment il sait y faire ! dit Lise.

Elle retire sa robe et se met sur les dos, jambes largement ouvertes, Paul branle doucement le chien lorsque la bite rouge de l’animal est appoint, celui-ci habitué à de telles pratiques se place directement entre les cuisses de Lise. Paul guide la bite de black, le chien donne quelques coups de reins rapides et s’enfonce jusqu’aux couilles dans la chatte détrempée. Elle grogne de plaisir, l’animal la prend comme une chienne, il donne de violents coups de reins. Lise geint de bonheur, son amant poilu la rend folle de plaisir. Le chien pousse plusieurs jappements et gicle dans le ventre de sa chienne soumise.

Paul donne quelques claques sur la croupe de l’animal, celui-ci reprend ses va-et-vient, Lise s’accroche à son amant velu et pousse un cri terrible de jouissance. La bite gonflée du chien ne peut sortir du ventre de sa chienne, il reste immobile, Lise agite son bassin, en poussant des râles de satisfaction. Enfin, l’animal peut se retirer, de sa bite s’échappe un liquide transparent comme de l’eau. Lise se redresse et gobe le manche lisse, elle le tète, jusqu’à ce que l’animal gicle dans sa bouche. Elle avale avec gourmandise le nectar un peu visqueux. Ses :

hum hum ! prouvent qu’elle adore le jus qui s’écoule dans sa gorge.

Cloé n’en croit pas ses yeux, elle caresse doucement le dos du chien puis lui passe sa main sous le ventre, elle saisit pas trop rassurée le sexe canin, elle le presse doucement pour en connaître la texture.

Tu crois que si je le suce qu’il ne me mordra ?

Oh que non ! répond Paul.

il adore être sucé !

Mais ma chérie, tu ne vas pas sucer un chien ?

Maman, il faut tester à tout dans la vie, surtout si c’est sexe !

Cloé gobe la bite et la suce avidement, ses mains triturent les couilles poilues l’animal qui halète de plus en plus fort. Elle reçoit dans la bouche ce qu’elle a tant désiré. Elle regarde sa maman, ouvre la bouche pour faire voir ce qu’elle a reçu. Fièrement, elle avale le délicieux nectar.

Regarde maman, je vais me faire prendre par lui, après ce sera ton tour ma petite maman chérie !

Ouh la n’y pense même pas ma chérie ! rétorque sa maman.

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