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Le mari de Céline – Chapitre 4




Les clés

Comment en suis-je arrivé à accepter de recevoir des coups de cravache de ma femme, sans me rebeller ? Lidée fait doucement son chemin tandis que je suis écroulé au pied du lit, après quelle mait infligé deux séries de 10 coups dune violence que je nimaginais pas chez elle, me brisant en mille morceaux, mais me laissant avec une queue en érection impossible à cause de la cage, dévoilant à ma femme que cela devait me plaire. Céline avait jouis avec les derniers coups, donnés alors plus maladroitement, et sétait endormie sur le lit épuisée. Ce que je réalise me déstabilise. Ce qui me plaît, et je dois lavouer dans lensemble des frustrations quelle me fait vivre, cest de sentir son désir, cest quainsi elle soccupe de moi, que je lui suis utile et agréable. Tout venant delle est pour moi un cadeau, et si elle a envie de me punir, alors jen suis heureux cest qualors je ne lui suis pas indifférent, ce qui serait la pire des choses. Dautant que Céline est une femme adorable et tellement agréable. Je laime à la folie et si elle veut cela, je suis tellement heureux de lui donner. Rempli damour et deuphorie, je me redresse pour lui embrasser les pieds avec ferveur. Je menhardis et je les lui suce, provoquant quelques frissons chez elle dans un demi-sommeil. Cest si bon ces petits doigts dans ma bouche que je suce comme une sucette. Je vois ses jambes sécarter, cest le signal, je remonte et allongé entre ses jambes je la lèche tout doucement, mennivrant de son goût et son odeur. Je sens mon sexe gonfler inutilement, la cage projetée en avant, la sensation est très bizarre.

Quand elle a jouit à nouveau je viens poser ma tête sur son sein, têtant doucement son téton.

— Je suis tout à toi mon Amour. Tu peux faire tout ce que tu veux, et je suis heureux de porter cette cage si cela te fait plaisir.

— Cest bien ma petite chose, te voici raisonnable, mais oui tu vas faire tout ce que je veux, tu sais bien que cest pour cela que tu es ici, et jadore faire de toi mon toutou obéissant, que je punis quand il ne se comporte pas bien. Tu verras les marques sur ton corps quand tu seras tout épilé ce sera magnifique, ma signature.

— Oui mon Amour, je ferais cela pour toi, tu peux tout me demander, je taime tant. Jai tellement envie de toi.

— Tu vois même si je cédais par faiblesse, nous ne pourrions pas, seule Isabelle peut te libérer. Jadore trop.

Elle rit, membrasse, me caresse les couilles, les serre doucement pour sentir mes gémissement dans sa bouche, prend un peu de recul, les serre encore plus fort, son regard planté dans le mien, cherchant mon abandon que je lui offre, les larmes aux yeux, me recroquevillant sous la douleur.

— Le dîner est prêt ? Jai faim ! Elle est déjà passée à autre chose, alors que je reprends mon souffle péniblement.

Je fais le service quand enfin je trouve le temps de lui poser la question sur la photo des 4 clés quelle ma montrée.

— Les clés de la chasteté dIsabelle. Tu sais elle men a parlé le premier soir où nous avons flirtées toutes les deux. Elle mavait dit que tu étais un petit soumis et que tu prenais visiblement plaisir à vivre dans la frustration, et elle avait raison.

— Aux Maldives tu veux dire ?

— Mais oui nous avons eu toute la nuit pour échanger, même si nous avons fait bien dautres choses, puis après à Paris. Dès cette nuit-là elle ma convaincue que tu devrais porter une cage de chasteté et cest elle qui ma donné lendroit où te la commander sur mesure, et elle aussi qui ma recommandé de la prendre un peu petite, que cela te plairait encore plus.

— Cela ne me plaît pas du tout, surtout maintenant que je sais que cest elle qui a eu lidée.

— Oh mais tu serais jaloux mon petit mari ?

— Non bien sûr, mais cest très différent si cela vient de toi que si cela vient de quelquun dautre.

— Mais cela vient de moi, sinon tu laurais eue tout de suite en rentrant ta cage de chasteté, ne te trompe pas, tu mappartiens et je décide de tout. Son ton était très péremptoire, je ne manquais pas de cogiter quand même.

— Bon je te raconte alors lhistoire des clés ? Alors la première cest celle de son cousin. Ils étaient tous les deux petits, et il lui a juré dêtre amoureux et de naimer jamais personne dautre. Elle lui a dit quil était trop insignifiant pour quelle sintéresse à lui et le béta a dit que cela ne changerait rien et quil lui prouverait quil ny aurait quelle dans sa vie. Il y a donc quinze ans, il avait lui-même 15 ans, il lui a remis une clé dune cage de chasteté quil sétait lui-même acheté. Isabelle a gardé longtemps la clé au cou, très excitée à lidée que son cousin ne connaîtrait jamais le plaisir dune femme, bien décidée à ne jamais ouvrir le cadenas.

— Et elle na jamais ouvert le cadenas.

— Si elle la fait, mais juste pour changer de cage, celle quil avait achetée était vieille et pas très hygiénique, elle lui a demandé de faire des recherches et cest lui qui est à lorigine du modèle que tu portes.

— Et il est resté comme cela totalement puceau.

— Eh oui, pas même un caresse encore moins une éjaculation. Pire il na jamais vu Isabelle nue, et comme elle est bien décidée, il va rester puceau toute sa vie pour un amour de jeunesse.

— Mais cest horrible. Elle est vraiment méchante.

— Oh oui cest horrible, mais il adore cela, tu le verrais.

— Tu le connais ? Jétais de plus en plus surpris.

— Oui, Isabelle la fait venir un soir où nous étions toutes les trois chez elle. Cétait trop drôle de le voir ainsi tremblant devant elle, prêt à tout. Isabelle la offert pour la nuit à Béatrice.

— Comment cela offert ?

— Tu vois Béatrice, Céline était un peu embarrassée, eh bien elle déteste les hommes. Je ne sais pas trop ce quils lui ont fait mais elle les déteste. Alors de temps à autre Isabelle fait venir son cousin pour que Béatrice se défoule sur lui.

— Et il dit quoi ? Cest dingue ton truc.

— Lui ? Il remercie Béatrice, il est complètement dingue delle. Le pire cest que cest un super beau mec, toutes les nanas craquent pour lui, mais difficile pour lui de faire quoi que ce soit avec son sexe dans une cage, cela fait mourir de rire Isabelle. Bon cela cest pour la première clé. La seconde cest un collège étudiant avec qui Isabelle a fait médecine. Un jour il la appelé Maîtresse et voulait absolument se faire dominer par elle. Comme Isabelle naime que les femmes cétait mal barré. Elle sest amusée avec lui puis la enfermé dans la cage, comme la tienne, trop petite et difficile à porter, pour quil pense à elle régulièrement. Lui aussi bien sur ne la ni touchée ni même vue nue.

— Et tu le connais lui ?

— Je lai croisé à loccasion, Céline sétait faite vague dun coup. Du coup cela a commencé à amuser Isabelle et elle veut faire une collection la plus complète possible. La troisième clé cest une personne que je ne connais pas, qui est chaste depuis deux ans, et la quatrième cest donc toi.

— Mais moi tu me sortiras, ce nest pas pour toujours ?

— Tu es bête, si jai envie dun enfant il faudra bien que je te lenlève.

— Tu plaisantes ? Mais en dehors ?

— Je ne crois pas, il ne faut pas que tu te fasses trop dillusion, tu ne mas jamais fait beaucoup de bien avec ton petit sexe et tu es bien mieux quand tu es frustré, alors jai décidé que ce serait mieux que tu la gardes définitivement. Et ne fais pas cette tête-là de chien battu, je déteste et cela me donne envie de te battre pour que tu aies une bonne raison de faire tes yeux tout tristes. Dailleurs autre décision, je ne veux plus jamais tentendre te plaindre de cela, tu mentends ? A la moindre récrimination, gémissement, insinuation et autre tu seras battu et relégué loin de moi, tu as compris.

— Oui mon Amour. Avec cette cage comme cela je te sentirai à chaque instant pour bien sentir que je suis ton mari. Jessaie en vain de soutenir son regard, je lui dis cela pour lui faire plaisir, et je vois à son sourire que je lui fais plaisir, cela me détend.

— Voilà cest bien, tu es un bon mari. Cest comme cela que je taime. Regarde comme cest merveilleux, nous échappons à toutes les souffrances des couples ordinaires, les choses sont claires et simples et tu me combles de joie. Allez range tout, je vais appeler Isabelle pour lui raconter tes réactions.

Cest lesprit vide que jai rangé et nettoyé la cuisine. Je ne pense vraiment à rien, jessaie mais rien ne vient, comme anesthésié. Céline est tellement gaie et épanouie, que puis-je demander de plus. Jai envie daller aux toilettes, première expérience avec ce drôle dengin entre les cuisses.

Lisse

Cest ma sixième séance dépilation intégrale. Une séance un peu luxueuse car normalement je devrais être tranquille. Isabelle me reçoit toujours le week-end pour être tranquille et je suis son seul patient. Je suis reçu comme toujours par Béatrice qui, outre être lesclave personnelle dIsabelle, lui sert dassistante. Elle est très neutre avec moi, limite froide, et me fait rentrer dans la salle au laser. Sans un mot je me mets nu, ce qui va vite puisque je ne porte plus de sous vêtement depuis que ma femme en a décidé ainsi, trouvant cela inutile. Je me retrouve nu devant Béatrice, juste couvert de ma cage de chasteté auquel je ne mhabitue toujours pas après de longs mois de port. Toutes les nuits mes érections nocturnes me provoquent de vives douleurs, me réveillant. Dérangeant Céline, celle-ci ma relégué dans la chambre dami, pour dormir tranquille, tandis que je souffre toutes les nuits de cette cage qui me contraint, sans aucun espoir dy échapper. Tous les matins je me lève plus tôt pour rejoindre Céline et la réveiller comme elle laime, doucement, trendrement, sexuellement. Pour elle bien sûr.

Lassistante prend un gros pot de crème anesthésiante, et men couvre tout le corps. La brûlure est moins forte maintenant que les poils ont été quasiment éradiqués, mais cest la procédure qua fixé Isabelle. Le visage néchappe pas à la crème, jusquau crâne où certaines zones sont ainsi protégées de la douleur. Puis je reste seul, debout, sans pouvoir bouger. La sensation de la crème est assez désagréable, le fait de ne plus sentir progressivement les courants dair, perdre le toucher est très déstabilisant. Jentends la porte dentrée, Isabelle narrive que maintenant assurée que son esclave a tout préparé pour elle.

— Bonjour petite chose

— Bonjour Docteur. Ma femme exige que je lappelle ainsi.

— Dernière séance aujourdhui tu dois être soulagé.

— Oui Docteur, je vous remercie de vous occuper ainsi de moi.

— Tu me le rendras 100 fois petite chose.

— Oui Docteur. Je nai pas idée de ce quelle veut dire, et je préfère ne pas le savoir à ce stade.

— Béatrice va te nettoyer et nous commençons.

La séance dure environ deux heures, avec ses lunettes de protection, Isabelle passe mon corps au feu (et au froid glacial) de son laser. Elle mallonge sur la table, prend la précieuse clé dans sa boîte, qui, je lai noté, en compte une de plus, et me libère de cette cage. Instantanément mon sexe se met en érection, comme un diable jaillissant de sa boîte. Comme chaque fois elle appelle Béatrice qui vient me masturber. Elle tient un gant en latex comme si elle risquait de se souiller. Très vite se jouit, Béatrice récupère la jouissance dans une coupelle en métal. Puis recommence. Mon sexe est très sensible mais je ne me rebelle pas, cela me soulage un peu. Je pense à Céline et mon sexe durcit tout de suite, léjaculation suivante est toute aussi rapide, sans réaction de la part des deux femmes, lambiance est glaciale. Une fois le sperme recueilli, Céline porte la coupelle à mes lèvres et je bois ma semence, une fois encore sans rébellion, je suis habitué par ce rituel. Isabelle souhaite que je sois calme quand je suis sans cage. Il est temps de commencer la séance de torture.

Les résultats sont franchement étonnants. Je ne reconnais pas mon corps, alors que finalement peu de choses ont changé. Mes jambes sans poils sont en effet très douces, et du coup je prends plaisir à les enduire de crème et les hydrater. Les caresser est très troublant. Céline ma fait porter des bas pour que je connaisse la sensation et jétais terriblement excité de cette sensation, sentir lair frais glisser sur ma peau, cétait délicieusement érotique. Plusieurs fois Céline ma fait porter ces bas sous mon pantalon, cétait quelque chose de très troublant bien que très léger. Mon dos et mes fesses lisses sortent bien plus musclées, je trouve cela très beau, un fort paradoxe avec mes jambes qui deviennent plus féminines. Sur mon ventre et mon pubis, le regard est surtout porté par la cage métallique, mais le sexe ainsi mis à nu me renvoi tout de même à une dimension prépubère même si Céline me dit que je suis idiot. Jai limpression davoir perdu beaucoup de ma virilité à ce niveau-là.

Ce nest rien par rapport au visage. Isabelle ma dabord épilé définitivement la barbe et la moustache. Jétais ravi, me disant que je naurais plus à mirriter la peau en me rasant. Et cest le cas. Ce qui est très curieux cest que le résultat nest pas comme si jétais rasé de près, cest tout autre chose, ma peau est douce comme celle dun bébé, alors que même rasé de près, la naissance du poil se devine. Céline ne manque jamais de se féliciter de ce choix, me disant que mes cunnilingus, et annulingus car elle adore cela maintenant, sen trouvent dune douceur incroyable. Pour mhumilier elle me dit que je lèche presque aussi bien que Béatrice. Cela me rend fou que cette dernière puisse ainsi accéder à lintimité de ma femme.

Isabelle a également affiné mes sourcils, pour les rendre fins et harmonieux. Je ne les avais jamais regardés, et cest vrai que je ne les reconnais pas du tout. Sans doute est-ce lensemble car elle a aussi épilé mes cheveux sur certaines zones, comme la nuque, les pates devant les oreilles et le dessus des cheveux. Elle ma appris que ces zones étaient spécifiques aux hommes et mon visage est totalement transformé. Je suis incroyablement plus féminin sans même aucune autre modification. Je me reconnais à peine, et je crois des regards surpris au bureau. Dautant que Céline ne veut plus que je me fasse couper les cheveux, jai donc des cheveux qui commencent à tomber sur mes épaules, et je dois les mettre derrière mes oreilles. Cela me donne un look très spécial, que je ne saurais définir. Je ne sais pas si je laime, je sais que Céline est ravie et Isabelle aussi, jai déjà eu des compliments de sa part, ce qui est exceptionnel.

Ce nest pas une coïncidence, jen suis certain, chaque fois que je viens me faire épiler, ma femme trouve un prétexte pour me donner de la cravache et que je me présente avec des marques sur les fesses et maintenant aussi sur le dos. Cette fois ci cest la dernière avant longtemps et Céline a voulu marquer le coup. Son sexe était débordant dexcitation lorsque cassé jai dû la lécher pour lui donner orgasmes sur orgasmes. Ce nétait pas suffisant et elle a recommencé quelques minutes plus tard, elle me voulait en pleur et rampant à ses pieds. Et cest bien entendu ainsi que jai fini la soirée. Plus tard dans son cabinet, jai senti longle dIsabelle suivre certaines boursouflures, sans un mot, provoquant une petite brûlure.

— Je fais un petit cadeau à Céline, noublie pas de lui montrer ton dos quand tu rentres, toi interdiction de regarder avant elle, cest compris.

— Oui Docteur, merci pour elle.

Quand je rentre Céline mattend avec un sourire irrésistible, je laime tant.

— Jai une grande nouvelle à tannoncer !

— Oh mon Amour, cela semble te combler de joie.

— Oui et jespère toi aussi. Comme tu es magnifique ainsi, déshabille toi, montre-moi comment tu es.

Je laisse tomber mes affaires et remarque en même temps quelle toutes les trainées de sang sur ma chemise.

— Tourne-toi ? Oh mon Dieu ! Cest Isabelle qui ta fait cela ?

— Quoi ? De quoi tu parles ? Je suis paniqué.

— Oh cest magnifique, merveilleux. Cest, je nai pas de mot. Vas te regarder dans ma salle de bain.

La vision me fait sursauter. Mon dos est barré de longue strie rouge où le sang a coulé. Ce nest pas avec longle quIsabelle a suivi mes boursouflures dans le dos, mais avec une lame de rasoir, ouvrant ainsi des plaies à chacun des coups reçus. Je suis fasciné par le spectacle à la fois dantesque mais je dois avouer à peine douloureux. Je sens maintenant les marques, mais cest juste une sensation qui ne va que modérément augmenter au fur et à mesure que la crème va sestomper. Jai bien compris que jétais un jouet pour Isabelle, entre la ceinture dont elle détient la clé et cette épilation où elle ma remodelé, mais là cest autre chose, une atteinte à mon intégrité physique. Et comme à chaque fois, je ne songe pas à me rebeller.

— Oui ma chérie cest magnifique, merci pour ce merveilleux cadeau. Cela me donne plein denvies et didées, mais cela tu le savais déjà ! Céline appelle son amie. Il faudrait que nous trouvions un tatoueur un peu génial et versé dans ce genre de choses. Tu en connais une ? Trop canon, mais il faut que je réfléchisse un peu. Oui je te laisse, il faut que je lui annonce la grande nouvelle, je te raconte.

— Viens là ma petite chose, oh tu sais ce qui pourrait être génial, cest que tu me lèches doucement les pieds pendant que je texplique, avec un petit massage, voilà cest parfait.

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