Histoires de sexe de vacoisins Histoires de sexe soeur Histoires tabous

Douceur et gentillesse – Chapitre 3




Comme convenu lors de notre dernière rencontre, je dois retrouver Isabelle ce matin à son cabinet. Le week-end a été long mais c’est tellement bon de la retrouver pour de nouvelles découvertes. La tension monte, j’espère que tout va bien se passer…

    Je sonne et pénètre dans la salle d’attente vide, aucun bruit. Le bureau de la secrétaire et vide, mes mains sont moites, mon cerveau fonctionne à cent à l’heure, les images défilent à une allure folle toutes plus érotiques les unes que les autres.

    La porte s’ouvre, Isabelle apparaît, radieuse et souriante comme d’habitude. Elle est vêtue d’une longue jupe ample d’un blanc presque transparent, je distingue la forme de ses jambes fines et longues, et là, je me rends compte qu’elle connaît déjà mon corps dans ses moindres détails et moi rien d’elle, si ce n’est la douceur de ses mains, et la chaleur de sa langue contre la mienne.

    – Bonjour Sophie, elle s’approche de moi et me dépose un baiser sur les lèvres, ce contact est trop court à mon goût, alors je lui saisis les poignets, la fixe dans les yeux et approche ma bouche de la sienne et lui rend son baiser.

    – Bonjour Isabelle, lui dis-je en souriant.

    – Si tu es là c’est que tu n’as pas changé d’avis ?

    – Bien sûr que non.

    – Alors rappelle-toi bien la règle du jeu, tu dois faire absolument tout ce que je te demande.

    – Ne t’inquiète pas j’ai bien compris.

    Nous pénétrons dans son bureau, elle referme la porte.

    – Personne ne nous dérangera avant dix heures, la première patiente n’a rendez-vous qu’à ce moment là et ma secrétaire attaque à quatorze heures.

    Nous papotons un moment sur les activités de ce week-end, mais elle s’intéresse surtout à ce que moi j’ai fait.

    – Ote tes vêtements on va commencer ton initiation.

    Je me lève, et commence à me déshabiller, elle n’en manque pas une miette, cela m’excite, mais je ne laisse rien paraître.

    – Il faut vraiment que l’on s’occupe de tes sous vêtements, ils sont horribles, à partir de maintenant, soit tu portes ce que l’on achètera ensemble, soit tu n’en portes pas. Pour commencer tu vas jeter cela.

    Obéissante je m’approche de la poubelle et y dépose ceux-ci. Elle me demande de prendre place sur la table d’examen, et de mettre mes jambes dans les étriers. La température monte, je suis offerte à son regard et à sa disposition. Elle s’avance et me dépose un baiser sur le front, et me complimente sur mes formes.

    – Ne bouges pas,

    Elle s’éloigne fouille dans un petit meuble et revient avec des bandes de tissus en soie rouge. Elle me bande les yeux. Mon souffle s’accélère, je suis inquiète mais elle me rassure

    – Ne t’inquiète pas, c’est que du plaisir qui t’attend, je te garantis que tu ne le regretteras pas…

    Elle saisis délicatement mon poignet et l’attache à la table, puis l’autre. Ses mains commence à caresser mes seins, les mamelons se dressent, elle sait y faire pour les exciter. Ses mains se déplacent sur mon ventre, puis délicatement sur la face externe de mes cuisses. Elle s’attarde sous les genoux, à cet endroit précis où la peau est fine, glisse ensuite le long de mes mollets. Arrivant à la hauteur de mes chevilles je sens les liens se mettre en place. La situation est terriblement excitante pour moi. Je suis écartelée, à sa merci, nue comme un ver, sans voir ce qui se passe autour de moi.

    Elle s’éloigne, j’entends la porte qui s’ouvre, puis plus aucun bruit. Les secondes me semblent des heures. Soudain la porte se referme , elle approche.

    – Qu’est ce que tu fais ?

    Mais pour toute réponse j’ai un CHUUUUUTTTTT…..

    Ses mains se posent sur mon ventre, remontent vers mes seins et dessinent des petits ronds autour de mes mamelons. Sa bouche s’approche de mon sein droit, je sens son souffle chaud, sa langue titille doucement puis elle lèche délicatement, ses deux mains caressent doucement l’autre sein quand soudain je sursaute et me raidis, je commence à paniquer. Deux mains inconnues viennent de se poser sur mes jambes. Isabelle arrête sa succion et me rassure

    – Tu n’as rien à craindre, fais-moi confiance, que du plaisir, rappelle-toi ton engagement…

    Sa voix m’apaise, elle reprend ses caresses, je me relâche et savoure ce moment. Une question me hante quand même, à qui sont ses mains sur mes jambes ? qui à une vue imprenable sur mon intimité ? ce doit être la secrétaire, ses mains sont douces, je suis rassurée.

    Les mains inconnues se rapprochent de mon entrecuisse, l’excitation ambiante se fait sentir, aucun mot n’est échangé mais les souffles se font de plus en plus rapides et bruyants.

    Les doigts de l’inconnue commence à me malaxer le vagin, j’ai l’impression d’être mouillée comme jamais je l’ai été. Un contact inconnu mais si doux s’est produit sur mon sexe, je sens le souffle chaud, je ne rêve pas, elle me lèche, c’est sa langue que je sens. Depuis le temps que j’en rêvais je me trémousse de plaisir et savoure ce moment unique et tant attendu. J’imagine la jeune secrétaire entre mes cuisses, est-ce qu’elle me regarde ? Y prend-elle du plaisir ?

    Mais, mais ???????? Ce n’est pas une femme qui me lèche. Les joues de l’inconnue qui maintenant frottent contre mes cuisses sont piquantes, pas de doute c’est un homme mal rasé… Nouveau moment de panique, Isabelle a compris et me rassure à nouveau.

    La langue s’est retirée, je le regrette c’était tellement bon. Les mains de l’inconnu se posent sur mes genoux. Un contact doux et lisse s’établi contre mes grandes lèvres inondées. Jamais je n’ai ressenti une chose pareille. Qu’est-ce que cela peut-il bien être ? la réponse est facile à deviner, ça doit être son sexe. Le gland est lisse. Il force délicatement l’entrée de ma cavité, fait de petits allers retours s’enfonçant de plus en plus dans mon intimité. Quelque chose vient de céder laissant le passage libre à cet intrus qui s’initie au plus profond de moi. Une petite douleur fait vite place à un bien être jusque là inconnu. Le rythme est grandissant le plaisir monte je me retient pour savourer au maximum cette jouissance nouvelle pour moi. Enfin j’explose, dieu que c’est bon, mon corps est secoué par une onde incroyable, un volcan est en moi. Isabelle tente de m’embrasser, mes cris de plaisir et les spasmes qui me secouent sont d’une violence incroyable.

    Le bâton du bonheur de cet inconnu se retire , je suis vidée, une sensation inimaginable me laisse vidée, incapable de bouger. Isabelle me couvre de petits baisers, mais mon corps est à fleur de peau, sensible à tous effleurements et réactif comme jamais.

    La porte s’ouvre puis se referme. Après quelques minutes à reprendre mes esprits, Isabelle me détache. L’inconnu a disparu, peut être que jamais je ne saurai qui m’a défloré dans un tel bien être.

    – Cà va ?

    – C’est incroyable comme c’est bon… merci, merci…

    Je pleure je ne sais pas pourquoi, mais je pleure et me réfugie dans les bras d’Isabelle. On reste la bien cinq minutes dans les bras l’une de l’autre.

    – Maintenant passe à coté et va prendre une douche ça te fera du bien.

    c’est sûr que ça va faire du bien.

    – Maintenant que tu connais le plaisir, il va falloir que tu apprennes à en donner aux autres, mais ce sera une autre leçon et sûrement plus vite que ce que tu crois…….

    – …

Related posts

La pension – Chapitre 1

historiesexe

Ma mère, actrice X pour moi – Chapitre 21

historiesexe

Moi et mon voisin – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .