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Julie, pute de l'école – Chapitre 13




Julie était perdue. Elle était obligée de continuer à vivre comme avant. Toujours obligée d’obéir au proviseur. Toujours obligée d’être humiliée en cours par ses profs, ses camarades et ses anciennes amies. Julie se trouvait dans la même situation qu’avant. Une semaine avait passé depuis l’enregistrement du prof de sport.

Mais c’était pour la bonne cause. En effet, l’ami journaliste de son père avait découvert qu’il y a vingt ans de cela, une histoire similaire à la sienne avait éclaté: une lycéenne avait été mise enceinte par un membre de l’établissement. Or, à l’époque des faits, le proviseur se trouvait justement dans l’établissement. Julie eut une idée.

« Papa j’irai voir la fille seule. Elle Je pense que si on a vécu le même calvaire, elle préfèrera se confier à une femme.

— J’ai pas confiance. Tu sais il a dû se donner un mal de chien pour la retrouver. À l’époque, les médias n’avaient pas trop parlé de l’affaire. Ils s’étaient plus concentrés sur le rôle de l’établissement que sur les acteurs et on ne sait même pas si c’était ton proviseur.

— Oui mais elle a dû subir des choses comme celles que j’ai subies, moi. Sinon pourquoi personne n’a porté plainte ?

— La honte comme toi. D’avoir été détruite de l’intérieur. On ne peut pas tous avoir la chance de rendre les coups. Mais écoute tu iras voir la fille seule si ça peut te faire plaisir. J’apellerai demain pour dire que tu es malade, d’accord?»

Le lendemain, Julie se rendit au domicile de la femme. Elle n’habitait pas loin. Elle n’avait jamais déménagé, peut-être par peur. Julie sonna à l’interphone d’un petit appartement dans un HLM.

« Qui est-ce ?

— Vous êtes Sally Sparow ?

— Oui. C’est pourquoi ?

— Je m’appelle Julie Jouannot. J’aimerais vous parler de ce qu’il vous est arrivé il y a vingt ans. Je suis dans le même cas que vous: des hommes de mon lycée m’ont violée et j’ai vraiment besoin de parler à quelqu’un. »

Sally ouvrit la porte à Julie et l’invita à entrer. Sally avait la quarantaine, les cheveux blonds et bouclés qui descendaient vers une poitrine généreuse cachée par un pyjama rose bonbon.

« À l’époque, j’avais honte de moi. Ils avaient réussi à m’avoir à leur botte en utilisant la pression. Je me souviendrai du visage de ces connards toute ma vie.

— Comment s’appelaient ils ?

— Ils étaient deux. Monsieur Kokran, professeur de biologie et Monsieur Delfosse, professeur de français.

— Monsieur Delfosse est mon proviseur C’est l’un des hommes qui m’abuse. »

Julie éclata en sanglots puis elle demanda à Sally de lui dire comment cela s’était passé pour elle.

« Je sortais avec le fils de Monsieur Kokran. Un joli minois, brun, les yeux verts. Putain, il était bien foutu et bien monté. Puis un soir, son fils est sorti et son salaud de père a commencé à me toucher et m’a dit que, si je disais quoi que ce soit, il y aurait des retombées au lycée. Ensuite, il a commencé à me violer aux récréations. Puis un ami à lui, ton proviseur, l’a rejoint.

Ils m’ont fait des choses horribles. Il m’ont fait signer un contrat qui spécifiait que je deviendrais leur esclave sexuelle. En moins de deux semaines, j’étais devenue la pute du lycée.

Mes amies m’ont lâchée et M.Kokran, ce pervers, faisait participer mes camarades à ses jeux sexuels qu’il organisait pendant ses cours. Les garçons éprouvaient un malin plaisir à me pénétrer en rigolant de mon malaise et les filles riaient de ma douleur et me traitaient de pute à chaque que je criais ma détresse.

Je me souviendrai toujours d’un samedi chez mes bourreaux. Dans la cave, j’étais attachée à des cordes qui me tenaient à quinze centimètres au-dessus du sol. Ils ont commencé à filmer la scène. Ils m’ont fouettée jusqu’au sang puis ils m’ont détachée et m’ont forcée à leur quémander la queue comme une chienne Je m’en souviendrai toujours Leurs bites au fond de ma gorge, les va et vient dans mes orifices… Quand je suis tombée enceinte, ils ont fait un pacte: je ne portais pas plainte et eux rompaient le contrat et j’étais libre. »

Devant cela, Julie, qui avait les larmes aux yeux, vit à quoi aller ressembler sa vie si elle se taisait. En sortant elle fit promettre à Sally de témoigner en cas de procès.

En sortant de l’appartement de Sally, Julie reçut un message de son père.

« Retrouve-moi dans dix minutes sur le parking du lycée. Nous allons régler le cas de ton prof de sport.

À tout à l’heure, ma puce.»

L’appartement de Sally se trouvant assez loin du lycée, Julie décida de se rendre de suite au rendez-vous de son père. À son arrivée, celui-ci la prit chaleureusement dans ses bras et lui exposa son plan.

« J’ai appris de source sûre qu’à cette heure-ci, ton prof de sport est seul dans la salle de gym. Donc voici le plan: tu te rends dans la salle de gym, tu te fais remarquer par ton prof et, à ce moment, je rentre et je le fais chanter avec ce que j’ai trouvé. Fais-moi confiance: ce soir, l’un de tes bourreaux tombera.»

Julie hocha la tête et se dirigea vers la salle de gym, son père sur ses talons. En arrivant dans la salle, la jeune femme prit une démarche faussement timide et se dirigea vers son professeur de sport. Celui-ci se retourna et la vit arriver.

— Tiens, tiens, la salope! Tu t’es reposée pour me venir me voir?

— Euh… Non, Monsieur… Je… J’ai perdu mon téléphone.

— Ah bon? Moi, je n’ai rien trouvé mais qu’importe. Maintenant que tu es là, je vais en profiter. À poil!

— Je ne crois pas, non.»

Le professeur de sport leva la tête vers l’entrée de la salle de gym et aperçut le père de Julie arrivant en trombe dans la salle, prêt à en découdre.

— Monsieur Jouannot… Qu’est-ce que vous faites là?

— Ce que je fais là? Je viens réparer les torts que vous et vos collègues avez causés à ma fille.

— Votre fille a commis une grosse erreur en vous prévenant.

— Vous vous trompez, au contraire. Vous et vos copains allez tomber. J’ai un enregistrement de votre dernier cours de sport. De plus… Jolie petite famille que vous avez là.»

Sur ces derniers mots, le père de Julie sortit une photo du professeur et de sa famille de son porte-feuille. Le professeur devint livide.

— Où avez-vous eu cette photo?

— Peu importe où je l’ai eu. Ce qui compte est l’arrangement que nous allons conclure. Si vous ne voulez pas que je révèle à votre femme ce que vous faites avec ma fille, vous allez gentiment faire ce que je vous dis.»

Le professeur hocha la tête en signe de soumission.

«Très bien. Premièrement, vous n’organiserez plus de jeux sexuels durant vos cours. Deuxièmement, vous avez intérêt à respecter ma fille et à la traiter comme si elle était la vôtre. Troisièmement, si je viens à apprendre que vous avez enfreint l’une des deux règles que j’ai établies, je révèle tout votre petit jeu à votre femme et c’en sera fini de votre petite vie tranquille de prof de sport. Est-ce que c’est compris?

— Oui, Monsieur Jouannot. Je ferai comme vous voudrez mais, par pitié, ne dites rien à ma femme.

— Je suis un homme de parole. Et j’ose espérer que c’est également votre cas. En attendant, tu veux t’amuser un petit peu avec lui, Julie?»

M. Jouannot se pencha à l’oreille de sa fille et lui murmura quelques mots. Julie eut un large sourire.

« Je serai à l’entrée, ma chérie. Je vous laisse entre les mains de ma fille, monsieur le professeur. Vous connaissez la règle: si vous ne lui obéissez pas, je dirai tout à votre femme.»

Le père de Julie s’éclipsa, laissant sa fille seule face à son ancien tortionnaire.

— À poil, "Monsieur".

Le professeur s’exécuta sans broncher. Quant à Julie, rien que le fait de donner cet ordre lui procurait une joie extrême qu’elle n’avait plus connu depuis un bon bout de temps.

— Et maintenant, à genoux et baissez la tête.

Le professeur s’exécuta et Julie retira ses vêtements comme l’avait si prétentieusement voulu son professeur quelques minutes auparavant. La jeune femme releva la tête du vieillard et la colla sur son sexe.

— Léchez.

Le prof de sport obéit sans discuter. Julie le laissa lécher sa chatte quelques minutes durant puis elle le laissa retomber lourdement au sol. La jeune lycéenne se positionna dos à son prof puis elle lui releva la tête et l’attira vers son anus, le forçant à le lécher.

Julie laissa durer le plaisir durant quelques longues et agréables minutes puis elle relâcha la tête de son professeur et redressa celui-ci sur ses jambes. Pour conclure, la jeune femme décocha un coup de pied dans les parties du vieillard en y mettant toute la haine et le dégoût qu’elle éprouvait pour lui. Le professeur tomba au sol en criant de douleur.

Julie se rhabilla ensuite sans remettre sa petite culotte en ignorant les plaintes de l’instituteur. Avant de s’en aller, la jeune lycéenne laissa tomber sa petite culotte sur le visage de son professeur.

— Branlez-vous dedans et, une fois que vous aurez joui, vous la rapporterez chez moi encore couverte de sperme et la nettoierez avec votre langue devant moi. Je vous donne une heure pour le faire. Si vous ne le faites pas, mon père racontera tout à votre femme.

Julie tourna les talons et retrouva son père à l’entrée de la salle de gym. L’agréable moment de domination qu’elle avait passé avec son prof de sport lui redonnait confiance et elle était à présent prête à affronter autant de perversions qu’il le faudrait.

Mais, pour cela, elle allait devoir retourner à sa condition de pute du lycée…

Note: ce récit a été rédigé par benxxx et StormX

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