Je m’appelle Fabienne et j’ai aujourd’hui plus de cinquante ans.

Lorsque mes sens de jeune fille s’éveillèrent et après que je sois passée par caresses et masturbations, je me rendis vite compte que je portais en moi d’autres désirs, plus "pervers" (encore que je ne connaissais pas vraiment le sens de ce mot à l’époque) qui me procuraient une honte, fruit de mon éducation, comme des frissons ; ils revenaient inlassablement sans que je puisse m’en défaire.

Je crois que tout avait commencé lorsque très jeune, mes premiers jeux de "touche-pipi" avec mon voisin Arnaud me révélèrent mes goûts réprouvés.

Nous inventions des jeux historiques ou jeunes esclaves d’un patricien romain Arnaud qui était régulièrement puni et devait passer un long moment à sentir ma chatte pubère ; il acceptait l’acte d’enfouir son visage dans cette fente de petite fille négligée avec un enthousiasme mesuré pour le seul plaisir de découvrir ce sexe féminin nouveau pour lui. Ces jeux, nous les pratiquâmes pendant plusieurs années jusqu’à ce que nos adolescences respectives firent que nous vécûmes nos vies.

Je gardais un souvenir doux et vif de ces moments qui, plus tard, me révélèrent ce que je cherchais.

Ma vie sentimentale de jeune fille puis de femme restait classique encore que j’avais parfois des pulsions violentes d’autre chose, mais quoi ?

Les hasards de la vie font qu’un jour, alors que je me brossais les cheveux, presque machinalement, je dirigeais ma brosse vers mon sexe que je commençai à caresser doucement puis de plus en plus fort jusqu’à ce que ma vulve soit rouge et enflée ; il me suffit de quelques caresses pour éprouver un orgasme puissant, violent qui me laissa pantelante.

Je recommençais régulièrement pour découvrir ainsi que le plaisir et la douleur étaient étroitement associés dans mon esprit ; cette révélation me perturba, je la rejetais, mais je sentais bien que je ne pourrais pas lutter.

Je m’inventais de nouveaux jeux en m’étirant les lèvres, longuement, frottant ma brosse, jusqu’à l’orgasme, mais honteuse de ces désirs, je n’avais jamais pu m’en ouvrir auprès de mon amant de l’époque ; certes, il me faisait jouir, mais jamais l’intensité de mes orgasmes n’atteignait celle de mes jeux solitaires et pervers.

Pendant ces jeux, mes pensées flottaient et je pensais à Arnaud en reniflant mes doigts poisseux des sécrétions de mon intimité ; j’aimais son odeur et je rêvais qu’un homme l’apprécie aussi.

Quelques mots pour me décrire, je suis brune, le teint mat un peu rond et mon odeur intime est forte et musquée, et il me suffit de ne pas me laver pendant une journée pour que je dégage un parfum de femelle entêtant et puissant ; la cinquantaine passée, la chatte épilée n’est pas de mon époque. Je possède donc une toison noire et fournie quand bien même je m’épile les lèvres pour que mes amants puissent me lécher agréablement. Je m’éloigne de mon histoire !

A 42ans, taraudée par mes envies de soumission, je décidais de rencontrer un dominateur pour qu’il me fasse découvrir ces plaisirs que je n’avais jusqu’à présent éprouvés qu’en solitaire.

Je vous passe mes nombreux essais où "fantasmeurs" et incapables ont tenté de me faire croire qu’ils étaient des "Maîtres" sans parler de ceux qui, nourris aux films pornos ne pouvaient admettre ni ma pilosité ni que le sexe d’une soumise sente … le sexe !

Et puis un jour, je reçois la réponse à une annonce que j’avais déposée sur un site de rencontre :

Madame, Dominateur expérimenté (je pratique ces.

Je serais ravi d’entamer un dialogue avec vous avant toutes choses."

Troublée par cette réponse, surtout par le fétichisme que cet homme, dès le premier échange, avouait, il allait de soi qu’il fallait aller plus loin.

Après quelques semaines d’échange de messages, nous décidons de prendre un verre ensemble.

Il faut dire que pendant nos échanges, Pierre, c’est son nom, m’avait longuement décrit ses pratiques parmi lesquelles (mais je ne le lui avais pas encore avoué !) figuraient celles que je m’infligeais régulièrement. Lors de nos échanges, il n’hésitait pas à être volontairement cru et direct et je sentais que cet interlocuteur était un homme d’expérience ; mais son goût du partage, celui de voir le plaisir de sa soumise amplifié par les punitions infligées me charmait, je l’avoue.

A sa demande, je lui avais envoyé des photos y compris celle de ma chatte ; pour l’occasion, je ne m’étais pas lavée pendant quelques jours, ce qui était très visible sur la photo ! J’étais intriguée par sa réaction.

Elle me transporta !

Fabienne, je constate sur cette photo que tu présentes à ton Maître une chatte très négligée et que comme tu t’y attends, tu seras punie.

Le rendez-vous fut pris dans un café assez sombre ; il m’attendait à une table qui était juponnée ; j’allais comprendre son choix.

Après avoir commandé des verres de champagne, le serveur déposa nos coupes accompagnées d’olives et de piques en bois.

Pierre était disert, plutôt brillant et de toute évidence, bien élevé, mais après avoir bavardé agréablement, son regard se plissa, ses yeux brillaient et il me tendit une petite pochette.

Tu prends cette pochette, tu vas te rendre aux toilettes, enlever ta culotte et poser la paire de pinces qui se trouve à l’intérieur sur les lèvres de ta chatte. Tu reviendras ensuite t’asseoir.

J’obéis sans discuter ; ces simples mots avaient déclenché, je le sentais, une forte excitation.

La pose fut facile, remonter les escaliers et marcher avec ces pinces qui mordaient mes lèvres fut une épreuve, mais aussi douloureuse soit-elle, j’éprouvais du plaisir, un plaisir dont j’avais cependant encore honte.

Une fois assise, Pierre me demanda d’écarter les cuisses et d’approcher mon buste de la table qui était étroite ; je sentis ses doigts remonter le long de mes cuisses et sans brutalité, il ouvrit ma chatte pour y faire glisser ses doigts.

A son sourire, je vis bien qu’il était à peine surpris de découvrir à quel point j’étais mouillée !

Avec délicatesse et discrétion, il porta ses doigts à son visage :

Pierre : "Ta chatte sent très fort ! Quand t’es-tu lavée ?"

Fabienne :"Hier matin Monsieur"

Pierre :"Tu peux mieux faire" me répondit-il !"

Il m’avait fallu 42 ans pour en arriver là! J’étais à la fois humiliée et tremblante de désir.

Je m’attendais à être sa soumise dès ce soir-là ; je m’étais trompée.

Pierre :"Nous sommes mardi, je te verrai vendredi. D’ici là, voici tes instructions : tu te caresseras au moins une fois par jour, tu ne te laveras pas la chatte et tu ne changeras pas de culotte, culotte que tu porteras jour et nuit. Tu as bien compris ? "

J’acquiesçais dans un murmure un peu rauque. Il me donna l’autorisation d’enlever les pinces que je garderai, me dit-il pour m’entraîner.

A suivre

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