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initiation accidentelle… – Chapitre 5




Mon oncle rigola : « Cest pas grave, tu nas quà la laisser là ! Cela fera le bonheur dun bucheron et personne ne saura que tu ne portes rien en dessous sauf moi ! » en lui faisant une petite claque sur la fesse.

    Ils sembrassèrent de nouveau puis la mariée réajusta une dernière fois sa robe et ils prirent la direction du chemin. Mon cousin avait, comme moi, enlevé sa main pour pouvoir se dissimuler du mieux quon pouvait, sans faire de bruit derrière le buisson puis larbre, lorsquils sen allèrent.

suite…

    On attendit patiemment cinq minutes après ne plus les entendre avant de sortir de notre cachette. Une fois sûr dêtre seul, on se rendit dans la petite clairière ou le spectacle sétait déroulé. Mon cousin alla directement sur la mare quavait laissée la mariée et se baissa pour prendre délicatement la culotte trempée là et laissé quelques minutes plus tôt..

« Eh bien ! On dirait que les culottes te passionnent ? » Dis-je

« Cest vrai quà chaque fois que jen vois une, cela me fait tout bizarre. Cest comme ça que je deviens tout dur du zizi. » Ce

disant, il alla étendre la culotte de la mariée à lextrémité du tronc darbre.

« Et ten vois souvent ? »

« Ben non. Pas vraiment »

« Lesquelles ta déjà vue ? »

« Ben à lécole parfois. Enfin une ou deux fois seulement quand une copine avait mis une mini-jupe. »

« Et ailleurs ? ».

« Ben » il baissa la tête. « Dans la famille »

« Ah bon ? Qui ça ? A qui ta vu la culotte à part moi? »

« Ben celle que jai vu le plus, cest celle de tantine. Elle porte souvent des jupes courtes et quand elle sassoie, elle ne fait pas attention de serrer les jambes. Je marrange souvent pour être en face delle. Alors ça marrive de lui voir sa culotte. Parfois, quand je suis bien positionné, je lui vois même des poils qui dépassent. Mais alors, je suis obligé de partir car jai trop peur quelle ne voie mon zizi dur à travers mon pantalon. Je mets alors longtemps à redevenir normal. »

« Et qui dautre encore ?» Il redevint rouge cramoisis. « Eh bien vas-y! Dis-moi ! Qui dautre encore ? »

« Ben, ta mère quelquefois » répondit-il en regardant le sol. Même si je mattendais inconsciemment à cette réponse, cela me fit quand même un choc.

« Maman ? Cest pas vrai ! Je te crois pas ! »

« Si plusieurs fois dailleurs » Avait-il répondu par bravade en relevant les yeux. Il naimait visiblement pas être traité de menteur. « Ca a été même la première fois que jai vu une culotte. On jouait ensemble il y a deux ans dans ton salon et à un moment, un jouet avait roulé sous la table ou était nos deux mamans. En allant le chercher aux pieds de ta mère, jai relevé les yeux avant de faire demi-tour, et mes yeux étaient justes devant ses jambes écartées. Je voyais entièrement sa culotte. Elle était bleu en dentelle et je voyais même ses poils à travers car elle avait une robe blanche et on voyait tout très bien. Cest la première fois que je sentis mon zizi devenir tout dur et je narrivais pas à détacher mes yeux de sa culotte. Il avait fallu que tu mappelles pour que je ressorte de sous la table. »

En effet, je me rappelais cet incident ou je trouvais quil mettait longtemps pour rechercher un jouet mais je ny avais guère plus fait attention. Je me rappelle aussi quil était sorti de la maison précipitamment pour aller jouer dehors. Je ne savais pas pourquoi à ce moment-là.

« La seconde fois, cétait à un barbecue à la maison lannée dernière. Après on avait sortis des transats dans le jardin. Nos pères étaient partis à la pêche et nous on samusait dans le jardin. On avait voulu jouer dans la petite piscine gonflable mais comme je navais pas mon maillot de bain, jétais parti en mettre un. Ma maman faisait la vaisselle dans la maison et moi, je tai donc laissé. Mais en passant devant les transats, ta mère sétait assoupie sur lun deux. Elle dormait sur le dos, une jambe allongée et une jambe repliée par le haut qui faisait remonter sa jupe. De par ou jarrivais, je ne pouvais pas manquer de voir ce quil y avait dessous.

    Je me suis arrêté pour ne pas faire de bruit. Tu ne pouvais pas nous voir de la piscine et jentendais ma mère dans la cuisine. Alors je me suis approché du côté de la jambe baissée. Mes yeux regardaient sous sa jupe. Mon zizi était devenu bien dur en sachant ce que jallais voir.

    Et alors je vis ce que je navais plus eu loccasion de voir. Jusquà hier. Ta maman portait une culotte blanche aussi en dentelle. Mais la position de la robe ne me permettait pas de voir la culotte correctement comme la première fois. Alors je me suis enhardi.

    Jétais arrivé au pied du transat. Ta mère semblait dormir profondément. Ne voyant personne autour, jai soufflé légèrement sur la jambe nue pour voir sil y avait une réaction. Mais rien. Alors jai soufflé une seconde fois plus fort. Toujours rien. Alors jai saisi le bas de la jupe de mes deux main, et lai soulevé du bord du genou relevé, lai reculé et fait descendre doucement à la base de la cuisse. Ta mère se retrouvait ainsi avec sa jupe remonté jusquau nombril, les jambes nue et la culotte à lair.

    J étais tétanisé par ce que je venais de faire. Mon zizi me faisait hyper mal dans mon short que je trouvais déjà étroit au départ. Je voyais ainsi le haut de sa culotte ou on voyait ses poils par transparence comme la première fois sous la table. Mais ce nétait pas finit. Ta mère bougea. Je crus mourir en limaginant se réveiller et devoir me justifier. Mais il nen fut rien, au contraire. Elle avait tourné la tête à lopposé et basculé sa jambe replié.

    Jai pu ainsi voir son entrejambe en entier. La dentelle de la culotte arrivait presque jusquen bas avant un repli en coton ou il y avait une petite tâche jaune. A travers, on pouvait donc voir ses poils. Japprochais mon visage pour mieux voir et je devinais une fente avant le repli mais caché par les poils. Je navais jamais vu de kiki de fille. Je savais que vous naviez pas de zizi mais cest tout. Alors jai voulus profiter de loccasion. Je soufflai de nouveau sur la jambe pour voir mais toujours aucune réaction alors je ne sais pas ce qui me prit mais tout doucement, jétendis mes main vers sa culotte.

    Je regardais ta mère mais elle dormait vraiment à point fermé. Jentendais aussi toujours ma mère dans la cuisine. Mes mains se posèrent sur le côté de la culotte que je saisi tout doucement en essayant de na pas toucher le corps de ta mère et encore plus doucement jai écarté le bord de la culotte. Mon zizi me faisait hyper mal. Javais vraiment envie de faire pipi tellement il me faisait mal.

    Millimètre par millimètre, mes mains ont reculé sa culote et jai pu voir le kiki de ta mère. Il y avait pleins de poils qui séchappaient sur les côtés puis jai commencé à voir la fente que javais deviné à travers la dentelle je fus surpris de voir quelle commençait haut pour continuer loin sous le repli de la culotte. Elle était entourée de peau boursoufflée. Et de poils. Ce fut ainsi la seule fois à part hier et aujourdhui que je vis un kiki de femme. Seulement le kiki de ta mère »

Il sarrêta de parler sapercevant quil en avait trop dit.

« Quoi. Quest-ce quil avait le kiki de ma mère ? »

Son visage était de nouveau rouge foncé.

« Eh bienje lai touché. » dit-il en rebaissant les yeux.

« Quoi ! Tu as quoi ? » Criai-je interloqué par ce quil venait de me dire.

« Oui, jai touché le kiki de ta mère. »

« Mais ! »

« Ben comme tout était embrouillé avec cette peau et ces poils jai voulus mieux voir. Alors avec une main jai tenu la culotte écartée et de lautre, je me suis approché de son kiki. Je regardais ta mère pour voir sa réaction mais elle semblait toujours dormir. Alors mes doigts entrèrent en contact avec son kiki sur la fente.

    Je ne bougeais plus pour voir mais rien. Alors, jessayais de séparer cette fente mais ce ne fut pas facile car cétait bien touffu et comme je regardais le visage de ta mère pour guetter tout risque de réveil, je ny arrivais pas. Alors je regardais de nouveau le kiki et jintroduisis un doigt en haut de la fente que je fis descendre vers le milieu. A ce moment-là, ta mère émis un petit gémissement. Jarrêtais tout de suite mon mouvement. Mais elle semblait toujours endormie.

    Jaurai du arrêter immédiatement, mais je voulais absolument voir en dessous. Mon doigt repris alors son chemin. Jessayais de lenfoncer en même temps quil descendait et cela me semblais profond. Alors jécartais sur un bord pour insérer un deuxième doigt et ensuite jécartais des deux côtés. Jai pu ainsi observer lintérieur du kiki de ta maman. Cest une chose que je nai jamais pu refaire ensuite. Il y avait une sorte de renflement au-dessus, puis un petit trou de nouveau un renflement puis un plus grand trou avec de nouveau de la peau autour. Il était si grand quil me semblait pouvoir mettre un doigt dedans. Et alors cest ce que jai fait : jai jai entré un doigt à lintérieur. »

    Il me regarda dans les yeux : « Si tu savais Quelles sensations cétait chaud et doux à lintérieur et humide javais limpression que mon doigt était prisonnier de cette caverne. Je lenfonçais de plus en plus jusquau bout de ma main et il me semblait ne pas toucher le fond. Je lai retiré à moitié, lai tourné un peu pour essayer de voir jusquoù je pouvais lenfoncer et le poussa de nouveau. Il me sembla rentrer plus loin que la première fois mais toujours sans toucher le fond. Je reculais une nouvelle fois quand ta mère gémis une seconde fois plus fort quavant et de la même façon que la mariée maintenant que jy repense et je ne sais pourquoi, cela ma encouragé à continuer.

    Je ressorti mon doigt et le remis jusquau bout de ma main. Puis une nouvelle fois, et encore tout doucement. Javais limpression que ça bougeait à lintérieur, que cela devenait plus chaud et plus humide. Quand mon doigt sortait, il était tout mouillé. Cétait aussi de plus en plus serré. Ta mère gémis encore une fois mais dune telle façon que je pris peur de son réveil et alors, je me suis fait pipi dessus. Mon zizi était dur et me faisait mal et entendre gémir ta mère me fit tout lâcher. Je sentis le pipi couler le long de mes jambes et à travers mon short. Je me retins le plus que je pu.

    Ce coup-ci, je pris vraiment peur et retira mon doigt aussi doucement que je pouvais. Je remis sa culotte en place et me releva pour partir en courant vers la maison. Je montai directement dans la salle de bain pour me nettoyer. Mon zizi qui me faisait toujours mal, était encore dur et jai eu du mal à finir mon pipi.

    Une fois propre, je mis un maillot de bain et retournai pour te rejoindre dans la piscine après avoir mis mes affaires au sale. Quand je suis repassé devant ta maman, ma mère lavait rejointe et elle sétait réajustée et semblait gênée de me voir passer dans ce sens. Moi, dans mon maillot de bain, je recommençais à devenir tout dur en repensant à ce que javais fait alors je courus vite te rejoindre ce jour-là.

    Et depuis ce jour, je narrête pas dessayer de revoir la culotte de ta mère ou de tantine mais cest très difficile. »

« Eh bien ! Même le fait den reparler te fait durcir ton zizi. » En effet, cela se voyait à travers son pantalon. »

« Oui, dès que je repense à ces moments-là, mon zizi deviens dur et me donne envie de faire pipi mais depuis hier, cest autre chose qui sort et ce quil y a de bizarre, cest que cela mapporte beaucoup de bien comme tout à lheure. »

« Dis, tu sais ce qui sest passé à linstant avec tonton ? »

« Ben je pense quils ont fait ce que lon appelle lamour »

« Cest ça faire lamour ? »

« Ben oui ! Après ce que javais vu avec ta mère, je me suis renseigné et jai appris que faire lamour, cest quand le garçon met son sexe dans celui de la fille, dans le trou ou javais mis mon doigt. Quand jai entendu les mariés, jai compris ce que faisaient mes parents certains soirs : Parfois, jentends ma mère gémir de la même façon quand ils pensent que je dois dormir profondément. Mais je me suis toujours demandé pourquoi elle gémissait. Maintenant, je comprends que mon papa et elle faisaient la même chose.»

Moi, mes parents dormaient un étage au-dessus donc je navais jamais rien entendue.

« Oui mais ta vu le zizi de tonton ? Il est énorme ! »

« Ben quand javais mis mon doigt dans le kiki de ta mère, mon doigt nétait pas arrivé au fond. Cest peut-être plus profond que ça ? »

« Moi Je sais pas, jai jamais essayé. » dis-je.

A suivre

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