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Ma tentation incestueuse – Chapitre 10




Youpi ! Nous sommes à la veille de Noël. Le jour J est enfin arrivé ; on peut dire qu’il se sera fait attendre. Lorsqu’il est revenu de sa visite, Jeff nous a donné des nouvelles de Sophie, qui se porte à merveille. Ensuite, nous lui avons parlé de notre petite aventure avec maman et proposé une pause sexuelle ; il a été d’accord.

Maman et moi avions respecté notre petit programme, à savoir coiffeur et rapide séance de shopping.

Dans un magasin de lingerie, nous avions toutes les deux craqué pour un body en tulle rouge de type Mère Noël sexy, transparent, avec des plumes blanches et doté d’un minuscule carillon sur le devant. Nous avions aussi pris avec un petit bonnet assorti.

Le soir du réveillon, papa est parti à son travail, et nous avons tous les trois fait un petit dîner de fête pour respecter la tradition de fin d’année. Le repas terminé, nous avons beaucoup discuté, avec force allusions sexuelles afin de nous mettre dans l’ambiance.

La maison toute entière était devenue notre terrain de jeu pour cette nuit, quoique seule la chambre parentale était digne de notre interêt, sachant que c’était là quil y avait le plus grand lit. Nous avions pourtant convenu d’une seule règle très importante : douche obligatoire pour tout le monde avant de faire la fête. Nous étions tous très excités et impatients ; l’attente était à la fois difficile mais délicieuse.

Pour maman et Jeff, je ne sais pas comment ils faisaient pour tenir ; moi, j’avais le ventre qui se tordait à chaque fois un peu plus à mesure que le temps passait. J’étais de plus en plus excitée, à tel point que j’en tremblais. Je regardais l’heure toutes les cinq minutes : minuit approchait, mais pas assez rapidement à mon goût. Ce fut Jeff qui prit sa douche le premier, peu avant minuit. Nous l’avons imité dans l’autre salle de bain.

Je suis prêt, les filles ! déclara-t-il en sortant de la douche.

Parfait. Maintenant, mon chéri, vu qu’on a toutes les deux une surprise pour toi, tu vas devoir t’allonger sur le lit, bien au milieu, et surtout fermer les yeux. Tu ne les rouvriras que lorsqu’on te le dira, c’est compris ? demanda maman qui était en ma compagnie, toutes deux en peignoir.

Oui, maman.

On peut vraiment te faire confiance ? Tu ne tricheras pas ? Sûr ? lui demandai-je, faussement suspicieuse.

Oui, c’est promis ! J’ai pas envie de gâcher ni votre surprise, ni notre soirée.

Bien ! répondit ma mère en désignant du menton le rouleau de ruban doré que nous avions acheté dans un magasin.

J’attrapai le rouleau de ruban doré, en coupai un morceau de taille correcte à l’aide d’une paire de ciseaux et le tendis à maman.

C’est bon, mon chéri. T’es bien installé ? demanda-t-elle après avoir laissé à Jeff le temps de respecter ses consignes.

Oui, oui. J’ai fait ce que tu m’as demandé.

Allons-y ! chuchotai-je à ma complice.

Maman passa la tête dans l’embrasure de la porte et me fit signe de venir. Nous sortîmes de la salle de bain en silence et découvrîmes Jeff allongé sur le lit, les yeux clos, exactement comme maman le lui avait demandé. Il était nu, avec une superbe érection. La simple vue de son sexe me provoqua des picotement au niveau de mon bas-ventre ; je me pourléchai à cette vision enchanteresse, ce qui fit sourire maman. J’avais envie de me jeter dessus, mais il me fallait encore un peu de patience avant de pouvoir en profiter pleinement.

Ne bouge pas et continue à garder les yeux fermés, dit maman.

Je ne ferais rien, promis.

Je te surveille, de toute façon, déclarai-je.

J’aidai maman à enrubanner la base du sexe de mon grand frère comme si c’était un cadeau qu’on allait offrir. Nous ne serrions que très peu, juste ce qu’il fallait afin que le ruban ne glisse pas. Il ne fallait pas non plus couper la circulation sanguine.

Hé, une minute ! Mais qu’est ce que vous faites toutes les deux, là ? interrogea-t-il, les yeux toujours fermés. C’est bon ? Je peux les ouvrir ?

Non, pas encore, ça fait partie de notre surprise. Alors ne touche à rien, s’il te plaît, on a bientôt fini, l’informai-je.

Voilà : la première partie de la surprise est prête ! On revient pour préparer la suite ; on nen aura pas pour très longtemps, mon chéri, déclara maman, visiblement aussi impatiente et excitée que moi.

Une fois le ruban bien installé, nous retournâmes à la salle de bain afin de finir de nous préparer. Après avoir passé nos tenues festives respectives, un peu de parfum, coup de brosse sur les dents, un petit coup de gloss sur les lèvres, et nous enfilâmes notre bonnet afin de parfaire notre acoutrement. Maman m’enrubanna la taille, et j’en fis de même pour elle.

Nous fîmes les dernières petites vérifications : nous étions fin prêtes toutes les deux. Une petite vague de trac m’envahit à nouveau ; je me sentais devenir rouge, mon ventre me faisait mal tant mon état d’excitation était intense : j’allais faire mon premier plan à trois avec mon frère et ma mère… Ce n’était pas rien ! Maman le remarqua ; elle posa ses mains sur mes hanches.

Est ce que ça va, ma puce ? me demanda-t-elle, souriante, en chuchotant si doucement que je l’entendais à peine.

Oui, ça va, maman. Je me sens à nouveau un peu nerveuse, mais je sais que tout ira bien ; ça va passer, répondis-je sur le même ton.

Tu vas voir : on va passer une soirée vraiment jouissive, fais-moi confiance. Tu te rappelles bien de tout ce qu’on doit faire maintenant ?

Oui, j’ai rien oublié, ne t’en fais pas, répondis-je en lui déposant un petit baiser silencieux. On y va ? Le pauvre Jeff va finir par se demander ce qu’on fabrique toutes les deux.

T’as raison, ma puce, allons-y ! dit-elle en ouvrant délicatement la porte.

Nous pénétrâmes toutes deux dans la chambre à pas de loup. Jeff n’avait pas bougé d’un iota, son érection non plus. Voir la base de sa queue entourée d’un joli ruban lui donnait un petit air festif. Nous nous sommes avancées au pied du lit et, nous regardant de concert, nous nous sommes enlacées tendrement en prenant une pose légèrement sexy, et nous avons tourné la tête en direction de mon frère.

C’est bon ; tu peux ouvrir les yeux maintenant, déclara maman à voix haute en souriant.

Jeff obéit, écarquilla les yeux, et eut le souffle coupé en nous voyant.

Wouaah, dis donc… Quelle jolie vue !

Joyeux Noël, mon chéri! lui souhaitâmes-nous en chur avec un grand sourire.

Joyeux Noël à vous aussi, les filles. Vous êtes vraiment magnifiques dans cette tenue… Elle vous va à ravir !

C’est vrai, ça te plaît ? lui demandai-je.

On a choisi cette jolie tenue à ton intention, précisa maman.

J’ai une chance incroyable, moi : les deux plus jolies Mères Noël de la planète sont ici et pour moi tout seul !

Oui, mais on compte bien évidemment en profiter nous aussi… fis-je avec un joli sourire.

Bien sûr, venez, nous invita-t-il.

Maman et moi nous sommes séparées, avons fait le tour du lit, sommes montées doucement dessus et nous sommes agenouillées de chaque côté de mon frère.

Alors, est ce que tu as été sage cette année ? questionna maman.

Oh oui, beaucoup, Maman Noël.

Tu as été vraiment trèèès sage ? ajoutai-je.

Oui, tout au long de l’année, et je n’ai jamais fait de bêtises ! répondit-il de manière complice.

Il tenta de nous caresser les fesses, mais nous avons repoussé simultanément sa main baladeuse.

Attention : ceci n’est pas le comportement d’un homme qui dit avoir été sage cette année ! déclara maman.

Toutes mes excuses, Mère Noël.

Bon… me dit-elle. Je crois qu’il est l’heure, non ?

Je tournai la tête et regardai le réveil posé sur la table de nuit : il indiquait minuit passé d’une minute.

Ouiiii, c’est enfin l’heure d’ouvrir les cadeaux ! exultai-je en frappant dans mes mains avec un sentiment d’euphorie qui m’envahissait.

Joyeux Noël, mon chéri ! dit maman en embrassant Jeff à pleine bouche.

Joyeux Noël, mon grand frère chéri ! ajoutai-je en embrassant à pleine bouche mon frère à mon tour.

Joyeux Noël à vous deux, mes amours ! déclara Jeff.

Joyeux Noël, ma Cécile chérie ! déclara maman en m’embrassant à pleine bouche à mon tour sous les yeux ravis de Jeff.

Joyeux Noël, maman chérie ! répondis-je.

Maman et moi prîmes chacune entre nos doigts une extrémité du ruban qui entourait le sexe de Jeff, toujours en érection, et de celui qui était autour de notre taille. Lui, de son côté, fit comme nous en prenant entre ses doigts les extrémités restées libres.

Tout le monde est prêt ? nous interrogea-t-elle.

Nous hochâmes la tête positivement.

Uuun… Deuux… Trois ! Tirez ! lança maman.

Nous tirâmes doucement et simultanément sur les rubans qui se défirent, puis nous les avons jetés par terre : ils étaient devenus inutiles.

Youpi ! Ça y est ! Maintenant que nous avons tous ouvert nos cadeaux, c’est parti. Que la fête commence ! déclarai-je, les bras en l’air, toute guillerette.

Une suite ?

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